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'abstract' => 'Séminaire « Pratiques de recherche et de production de la connaissance » :<br><b>Faire œuvre à l’époque du numérique</b><br>le 23/04/2015 à Paris 17h30, à Montréal à 11h30<br>Centre Pompidou et Université de Montréal',
'description' => '<h3>Faire œuvre à l’époque du numérique</h3>
<p>le 23/04/2015 <br>À Paris : De 17h30 à 19h30, au Centre Pompidou, salle Triangle - entrée libre et gratuite <br>À Montréal : De 11h30 à 13h30, à l\'Université de Montréal, au CITÉ situé dans le pavillon principal</p>
- <p>avec <a href="http://oreilletendue.com/" target="_blank">Benoît Melançon</a> et <a href="http://joellelemarec.fr/" target="_blank">Joëlle Le Marec</a> et <a href="http://hackyourphd.org/" target="_blank">Celya Gruson-Daniel</a>.</p>
- <p>Le web semble mettre profondément en question le concept d’auteur tel que nous le connaissons depuis quelques siècles. L’assimilation du copier-coller, de l’hypertexte dans l’écriture courante, et plus généralement les nouvelles formes d’éditorialisation, mettent en avant le travail collaboratif et tendent à affaiblir le sens de la signature. La réception d’un contenu est ainsi davantage liée à la plateforme qui le diffuse, plutôt qu’à la personne qui l’a créé. Des expressions comme “j’ai trouvé cette information sur Google” ou encore “sur le web” démontrent un changement de la perception des dispositifs de légitimation d’un contenu.<br/>De la même manière, les chercheurs eux-mêmes intègrent des logiques de partage et de co-élaboration de résultats qui ne favorisent pas la réalisation d’une œuvre propre, valorisable en tant que telle par un individu. Le chercheur se présentera et se définira alors davantage à travers l’agrégation de ses activités, participations et collaborations, souvent publiées ou communiquées en tant que work-in-progress et échappant à la validation scientifique.<br/>Dans ce cadre, qu’en est-il du concept d’œuvre en tant que production cohérente d’un individu - ou d’un groupe de chercheurs ? Comment penser les notions de “plagiat”, de “copie” ou d’”originalité” ? Quels sont les nouveaux vecteurs de reconnaissance qui permettent malgré tout aux individus de faire œuvre ?</p>
+ <p>avec <a href="http://www.anthonymasure.com/" target="_blank">Anthony Masure</a> et <a href="https://bbordeleau.wordpress.com/" target="_blank">Benoît Bordeleau</a>.</p>
+ <p>Le web semble mettre profondément en question le concept d’auteur tel que nous le connaissons depuis quelques siècles. L’assimilation du copier-coller, de l’hypertexte dans l’écriture courante, et plus généralement les nouvelles formes d’éditorialisation, mettent en avant le travail collaboratif et tendent à affaiblir le sens de la signature. La réception d’un contenu est ainsi davantage liée à la plateforme qui le diffuse, plutôt qu’à la personne qui l’a créé. Des expressions comme “j’ai trouvé cette information sur Google” ou encore “sur le web” démontrent un changement de la perception des dispositifs de légitimation d’un contenu.
+De la même manière, les chercheurs eux-mêmes intègrent des logiques de partage et de co-élaboration de résultats qui ne favorisent pas la réalisation d’une œuvre propre, valorisable en tant que telle par un individu. Le chercheur se présentera et se définira alors davantage à travers l’agrégation de ses activités, participations et collaborations, souvent publiées ou communiquées en tant que work-in-progress et échappant à la validation scientifique.
+Dans ce cadre, qu’en est-il du concept d’œuvre en tant que production cohérente d’un individu - ou d’un groupe de chercheurs ? Comment penser les notions de “plagiat”, de “copie” ou d’”originalité” ? Quels sont les nouveaux vecteurs de reconnaissance qui permettent malgré tout aux individus de faire œuvre ?</p>
<ul>
- <li><p><b>Benoit Mélançon</b> professeur titulaire au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal</p></li>
- <li><p><b>Joëlle Le Marec</b> PR en sciences de l’information et de la communication au CERILAC (Centre de Recherches sur les Lettres Arts Cinéma) de l\'Université Paris-Diderot</p></li>
- <li><p><b>Celya Gruson-Daniel</b> Cofondatrice de l’association HackYourPhD et ingénieur de recherche en charge des MOOC au Centre Virchow-Villermé</p></li></ul>
- <p>Programme complet sur <a href="http://seminaire.sens-public.org/spip.php?article44" target="_blank">sens-public.org</a></p>',
+ <li><p><b>Anthony Masure</b> [...]</p></li>
+ <li><p><b>Benoit Bordeleau</b> [...]</p></li></ul>
+ <p>Programme complet sur <a href="http://seminaire.sens-public.org/spip.php?article48" target="_blank">sens-public.org</a></p>',
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'partenaires' => '<a href="http://www.sens-public.org" class="footerLink" target="_blank">Sens Public</a> | <a href="http://www.iri.centrepompidou.fr/" class="footerLink" target="_blank">IRI</a> | <a href="http://www.cite.umontreal.ca/" class="footerLink" target="_blank">Centre de recherche Interdisciplinaire sur les Technologies Émergentes</a> | <a href="http://www.mshparisnord.fr/fr/" class="footerLink" target="_blank">Maison des Sciences de l\'Homme Paris Nord</a>',
- 'archive_title' => 'Hybridation des pratiques de recherche',
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