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'title' => "Journées de l'Innovation 2013, Tables Rondes",
'abstract' => "Journées de l'Innovation 2013<br /><b>« Innover pour refonder »</b><br/>les 27 et 28 Mars 2013<br/>Unesco",
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<h3>Innover pour Refonder</h3>
<p>Programme des Tables Rondes, salle IX</p>
<ul>
<li>
<h3>La liaison école-collège, le travail en réseau d’équipes : quels changements pour les pratiques et les organisations ?</h3>
<p>27 mars 2013 (11 h 30 - 13 h 30)</p>
<ul>
<li>Patrick Lemoine, IEN Toulon 2, académie de Nice</li>
<li>Joëlle Jean, directrice du service pédagogique, AEFE</li>
<li>Luc Launay, DASEN, Maine et Loire, académie de Nantes</li>
<li>Martine Cazes, principal du collège Darasse, Caussade, académie de Toulouse</li>
<li>Pascale Toscani, maitre de conférences, IFUCOME, Université catholique d’Angers</li>
<li>Animateur : Nicolas Feld, DGESCO</li>
</ul>
<p>En une trentaine d’années, le cadre de référence de l’activité d’enseignement a progressivement basculé ; les pratiques pédagogiques sont de plus en plus dépendantes des dispositifs et organisations relevant d’un groupe collectif au niveau d’une école, d’un établissement, et à présent, d’un réseau d’unités éducatives.</p>
<p>Ces petits changements parfois lents sont importants pour tous : en élargissant son cadre de référence, l’équipe se donne les moyens de s’appuyer sur davantage de ressources, et des moyens plus nombreux pour varier ; les élèves peuvent y gagner en choix et en continuité dans leur parcours scolaire. Comment rendre ces liaisons entre les degrés d’enseignements plus effectives, plus riches, et plus nombreuses ?</p>
</li>
<li>
<h3>A quelles conditions l’accueil des moins de trois ans devient une chance et une réussite pour les élèves ?</h3>
<p>27 mars 2013 (14 h - 16 h)</p>
<ul>
<li>Michel Grandaty, professeur d’université, Université Toulouse 2 Le Mirail</li>
<li>Isabelle Racoffier, présidente de l’AGEEM</li>
<li>Nicole Geneix, professeur des écoles, présidente de l'Observatoire de l’enfance, direction de l’éducation de la ville d’Istres</li>
<li>Jean-Louis Baglan, DASEN Rhône, académie de Lyon</li>
<li>Edouard Gentaz, professeur, université de Genève</li>
<li>Animatrice : Marie-Claire Mzali-Duprat, DGESCO</li>
</ul>
<p>Accueillir les « tout petits » à l’Ecole maternelle n’est pas chose nouvelle ; l’enjeu est d’accueillir sans doute plus d’enfants selon les besoins repérés auprès des familles et certainement mieux au niveau de l’école. Ce pari a des effets pour les équipes d’enseignants et leurs partenaires : il interroge sur les organisations les plus adaptées, dans les temps scolaires et les espaces dédiés, comme dans les groupements variés à envisager. Il questionne tout autant les pratiques professionnelles portant sur la nature des activités à privilégier pour ces « nouveaux » publics.</p>
</li>
<li>
<h3>Plus de maîtres que de classes : quels changements dans l’organisation et dans les pratiques ?</h3>
<p>27 mars 2013 (16 h 15 - 18 h)</p>
<ul>
<li>Pascale Varay, Ecole Saint-Charles, Marseille, LEA-IFE, académie d’Aix-Marseille</li>
<li>Mireille Pascaud, IEN La Châtre, académie d’Orléans-Tours</li>
<li>Marie Toullec-Théry, maitre de conférences, CREN, Université de Nantes</li>
<li>Sylvain Grandserre, directeur d’école, représentant de l’ICEM</li>
<li>Guy Charlot. DASEN du Pas-de-Calais, académie de Lille</li>
<li>Animatrice : Christine Vallin, rédactrice des Cahiers pédagogiques</li>
</ul>
<p>Le dispositif « plus de maitres que de classes » prend appui sur des études partagées au niveau international sur les effets du travail enseignant organisé collectivement dans l’amélioration des acquis des élèves. Il ne s’agirait pas tant de faire baisser peu ou prou le nombre d’élèves par groupes que d’envisager des scénarios alternatifs à un maitre/une classe. Variété des situations d’apprentissage, plus grande sollicitation des élèves par un maitre plus proche, mais aussi développement professionnel des enseignants, par la co-animation, l’observation et l’analyse partagée ; ce sont autant de facteurs à disposition des équipes.</p>
</li>
<li>
<h3>Le numérique : des outils, des usages… et après ?</h3>
<p>28 mars 2013 (9 h 00 – 10 h 45)</p>
<ul>
<li>Vincent Puig, IRI, sur le concept de digital studies</li>
<li>Michèle Drechsler, IEN conseillère TICE du recteur pour le premier degré, académie d’Orléans-Tours</li>
<li>Jean-François Boulagnon, chef d’établissement, académie de Bordeaux</li>
<li>Sébastien Hache, réseau sésamath</li>
<li>Animatrice : Isabelle Quentin, chercheur</li>
</ul>
<p>Après plusieurs années de montée en charge des équipements numériques dans les écoles et établissements scolaires, plusieurs rapports interrogent les pratiques et les usages, des élèves et des professionnels de l’éducation. Les conclusions, partagées au niveau international, sont mitigées sur les améliorations conséquentes en termes d’apprentissages et de résultats scolaires. Quelles sont les meilleures manières de s’y prendre ?</p>
</li>
<li>
<h3>Filles-garçons, garçons-filles, comment construire l’égalité ?</h3>
<p>28 mars 2013 (11 h 00 – 13 h 00)</p>
<ul>
<li>Jean-Louis Auduc, ancien directeur adjoint, IUFM Créteil, auteur de «Sauvons les garçons» (Descartes, 2009)</li>
<li>Nicole Abar, responsable du sport de haut niveau et du sport professionnel, Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale de Midi-Pyrénées (DRJSCS)</li>
<li>Sylvie Cromer, maitre de conférences, université de Lille</li>
<li>Michel Quéré, recteur de l’académie de Rennes</li>
<li>Animatrice : Anne Rebeyrol, DGESCO</li>
</ul>
<p>L’école est tout autant victime des clichés véhiculés par la société et la culture ambiante qu’elle produit elle-même si ce n’est qu’elle reproduit certaines inégalités bien malgré elle, liées aux genres. Ce peuvent être des habitudes de travail, des supports non questionnés, des représentations mentales erronées ; filles et garçons à divers titres en font les frais. Comment alors faire une école plus équitable et qui donne des rôles, des choix et des réussites d’égale dignité pour les filles et pour les garçons ?</p>
</li>
<li>
<h3>Dans quelle mesure les décrocheurs scolaires nous font réinventer une école plus juste et plus efficace pour tous ?</h3>
<p>28 mars 2013 (13 h 30 – 15 h 30)</p>
<ul>
<li>Philippe Goeme, accompagnateur, coordonnateur du Pôle innovant lycéen</li>
<li>Olivier Klein, maire de Clichy/Bois</li>
<li>Béatrice Delandre, principale adjointe, Collège Albert Camus, académie de Rouen</li>
<li>Christian Frin, proviseur, Unité Pédagogique Régionale du Grand Ouest académie de Rennes</li>
<li>Gabriel Borger, doyen de l’inspection, directeur de la pédagogie, académie de Bordeaux</li>
<li>Animateur : Nicolas Torres, DGESCO</li>
</ul>
<p>Les décrocheurs ou perdus de vue sont des noms donnés à des élèves qui sortent temporairement ou définitivement du système scolaire, sans que celui-ci soit lui-même questionné dans ses propres organisations et pratiques de sélection. Les études encore récentes en France sur la question montrent combien il est devenu urgent que les professionnels s’en préoccupent : un système efficace est celui qui se remarque par l’attention aux plus faibles.</p>
</li>
</ul>
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