En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone, Microsoft France, le Goldsmiths College, l''Université de Tokyo, l''Institut Telecom et l''ENSCI.
\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.
\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).
\r\n\r\nLe logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\nEn 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\n\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\n\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone, Microsoft France, le Goldsmiths College, l''Université de Tokyo, l''Institut Telecom et l''ENSCI.
\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.
\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).
\n\nEn 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
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-(91, 1, '2009-12-16 12:34:03', '2009-12-16 11:34:03', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d’annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l’annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d’images.', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '74-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:34:03', '2009-12-16 11:34:03', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=91', 0, 'revision', '', 0),
-(8, 1, '2010-01-15 15:21:08', '2010-01-15 14:21:08', 'Concept hérité des «Écoutes signées» développées à l’Ircam à l’initiative de Bernard Stiegler, les Regards signés incarnent le point de vue d’un amateur, qu’il soit critique, réalisateur, enseignant ou élève. S’ils sont construits à l’aide du logiciel Lignes de temps, ils peuvent cependant être publiés sous différentes formes (ou «rendus»). Parmi les formes de rendus possibles, Lignes de temps propose dans un premier temps la visualisation de séquences mises «bout à bout», la comparaison de deux extraits vidéo en parallèle, la lecture d’un hypertexte dont les liens déclenchent les séquences évoquées, la visualisation de séquences avec commentaire audio synchronisé...\r\n\r\nLes travaux des résidents de l’IRI ont d’ores et déjà révélé de nouvelles possibilités d’exploration de la construction narrative, des parcours thématiques à travers plusieurs films, une mise en lumière des relations entre cinéma, photographie et peinture, voire une analyse génétique de l’œuvre ou la mise en évidence du changement de statut des images selon le contexte historique, culturel, social ou politique de leur production et/ou de leur réception. Le logiciel Lignes de temps constitue un premier élément d’un appareil critique qui ne se limite pas au cinéma, mais qui doit permettre d’aborder toutes les œuvres d’art et de l’esprit – et en particulier, les arts visuels, les arts vivants et la littérature.\r\n\r\nEn 2006 et 2007, l’IRI avait organisé sur une base mensuelle des ateliers de co-conception d’un nouvel outil pour l’analyse cinématographique baptisé Lignes de temps. Cet atelier a réuni des critiques de cinéma et des réalisateurs (Alain Bergala, Jean-Louis Comolli, Raymond Bellour, Yousef Yshaghpour, Marcos Uzal, Jean-Philippe Tessé) mais aussi des historiens du cinéma (Sylvie Lindeperg), des commissaires d’exposition (Sam Stourdzé). Autour de ces ateliers se sont mis en place des cercles d’amateurs essentiellement dans l’enseignement supérieur du cinéma (Paris 3, FEMIS, Aix en Provence.) et dans l’enseignement en classes primaires, au collège et en lycées (option cinéma). Cette méthode de travail propre à l’IRI a permis le développement rapide du logiciel et la réalisation de premières formes de «regards signés».\r\n\r\nEn 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
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-(39, 1, '2009-12-15 19:13:37', '2009-12-15 18:13:37', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-2', '', '', '2009-12-16 10:30:32', '2009-12-16 09:30:32', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=44', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-3', '', '', '2009-12-16 10:30:34', '2009-12-16 09:30:34', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=46', 0, 'revision', '', 0),
-(47, 1, '2009-12-15 13:52:07', '2009-12-15 12:52:07', 'Ceci est un exemple de page WordPress. Vous pouvez la modifier pour mettre ici des informations vous concernant ou concernant votre site afin que vos lecteurs en sachent un peu plus sur vous. Vous pouvez créer autant de pages ou sous-pages que vous voulez, et gérer l’intégralité de votre contenu dans WordPress.', 'À propos', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '2-revision', '', '', '2009-12-15 13:52:07', '2009-12-15 12:52:07', '', 2, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=47', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-4', '', '', '2009-12-16 10:50:30', '2009-12-16 09:50:30', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=48', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-5', '', '', '2009-12-16 11:06:47', '2009-12-16 10:06:47', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=49', 0, 'revision', '', 0),
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En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\n\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\nLe logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
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\n\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\nLe logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\nEn 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\nÀ ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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-(101, 1, '2009-12-16 16:15:07', '2009-12-16 15:15:07', 'Après visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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\r\n\r\nM. Goebbels
\r\nM. Goebbels
\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\nÀ ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
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-(112, 1, '2009-12-16 16:27:53', '2009-12-16 15:27:53', '\n\n13-15 novembre 2007 Ircam (site officiel)\nabstract\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\nOrganisateurs :\n\n * IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr\n * LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr\n * éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu\n * IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr\n * GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr\n\n\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\n\n * IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)\n * IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)\n * IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).\n\n\n\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\n\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\n\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\n\n\nformat pdfInterfaces pour l''annotation et la manipulation d''objets temporels\nformat pdfEESI : SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif\nformat pdfGRAME : L''annotation de partitions musicales à des fins pédagogiques : l''exemple de Vemus\nformat pdfIRCAM : Interface de navigation musicale par le contenu\nformat pdfIRI : Lignes de temps, une plateforme collaborative pour l''annotation de films et d''objets temporels.\nformat pdfLIRIS : Annotations de documents audiovisuels Temporalisation et spatialisation\nformat pdfIRCAM : Annoter la musique : de la segmentation de fichiers audio à la publication d''articles multimédia', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '111-revision', '', '', '2009-12-16 16:27:53', '2009-12-16 15:27:53', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=112', 0, 'revision', '', 0),
-(113, 1, '2009-12-16 16:24:43', '2009-12-16 15:24:43', 'Après visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
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Accès :\n\n111, rue Saint-Martin,\n75004 Paris\nCode : B 1235\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\n\n
Tél : 01 44 78 42 02.\n\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\n\n

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\r\n
Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\n\r\n
Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\n\r\n
Une collaboration\r\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\n
Liens :\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\r\n
Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\r\n
Fondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
\r\n
La Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\n
Le cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\n
Le cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\n
Le cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\n
L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\n
Les films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
\r\n
Le Caméraman
\r\n
Etats-Unis 1928
\r\n
Coréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\n
Avec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\n
Les aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Sunrise - Aurore (L'')
\r\n
Etats-Unis, 1927
\r\n
Réalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\n
Scénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\n
Avec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\n
Photo Karl Struss, Charles Rosher
\r\n
Musique Dr Hugo Riesenfeld
\r\n
Durée 1h20
\r\n
Séduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
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Les pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
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Les binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '97-revision-3', '', '', '2009-12-16 16:22:14', '2009-12-16 15:22:14', '', 97, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=147', 0, 'revision', '', 0),
-(167, 1, '2009-12-16 16:10:27', '2009-12-16 15:10:27', '
Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
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En savoir plus
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TÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
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? FAQ ?\r\n
Télécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
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\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
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Une fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
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Notes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
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\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
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En savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
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Vous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
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Pour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
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Plus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
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Lignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\n
Lire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\n
Lire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '53-revision-4', '', '', '2009-12-16 16:10:27', '2009-12-16 15:10:27', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=167', 0, 'revision', '', 0),
-(148, 1, '2009-12-16 18:12:56', '2009-12-16 17:12:56', 'TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\r\n\r\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\r\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\r\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\r\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\r\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\r\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\r\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\r\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\r\nterritoires) / Université Toulouse 2.\r\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\r\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\r\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\r\n• le choix du terrain: la définition de l’objet,\r\n• l’observation participante,\r\n• l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,\r\n• la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,\r\n• les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,\r\n• la mise en public de la création.\r\n\r\n
\r\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\r\n
Partenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\r\n
Période : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '128-revision-2', '', '', '2009-12-16 18:12:56', '2009-12-16 17:12:56', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=148', 0, 'revision', '', 0),
-(149, 1, '2009-12-17 16:25:06', '2009-12-17 15:25:06', 'Pourquoi et comment commenter un film à l’aide de son téléphone portable, à la sortie du cinéma avec ses amis ou dans le cadre d’une exposition sur le cinéma au Centre Pompidou? La question pose en fait bien plus que des problèmes scientifiques liés à la synchronisation du flux du commentaire avec le flux du film ou avec les commentaires des autres visiteurs. Plus généralement c’est la pratique critique qui est ici questionnée dans une perspective de confrontation des regards portés sur les films. Le projet étend largement ses applications à l’enseignement du cinéma. Prolongement du projet Lignes de temps dans le domaine de la critique cinématographique, des pratiques éducatives, de la consultation de fonds d’archives et des technologies mobiles, CineLab est un projet de recherche, financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et le pôle de compétitivité Cap Digital jusqu’à fin juin 2009. Il vise l’annotation de films et le partage d’annotation sur postes de travail, sites web\net dispositifs mobiles. Les partenaires associés au Centre Pompidou sont le Forum des Images, le labora-\ntoire LIRIS (CNRS-Lyon I) et la société Antenna Audio.\nDispositif d’annotation sur PDA développé avec Antenna Audio, dans le cadre du projet CineLab\nÉcrans d’enregistrement et de dessin sur l’audioguide de l’exposition Víctor Erice-Abbas Kiarostami : Correspondances\nLes objectifs du projet en 2009 sont d’expérimenter l’annotation sur mobiles à base de vidéo\net d’enregistrements audio au travers d’une application Internet permettant de s’affranchir des défauts\ndu système sur téléphone portable ou sur audioguide (voir Mémoire de Master II de Cécilia Jauniau sur\nle dispositif d’annotation collaborative développé lors de l’exposition Traces du sacré, Université Paris XIII).', 'CINELAB', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '63-autosave', '', '', '2009-12-17 16:25:06', '2009-12-17 15:25:06', '', 63, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=149', 0, 'revision', '', 0),
-(150, 1, '2009-12-16 11:53:17', '2009-12-16 10:53:17', '"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"\r\n
Section 1.10.33 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat."\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"On the other hand, we denounce with righteous indignation and dislike men who are so beguiled and demoralized by the charms of pleasure of the moment, so blinded by desire, that they cannot foresee the pain and trouble that are bound to ensue; and equal blame belongs to those who fail in their duty through weakness of will, which is the same as saying through shrinking from toil and pain. These cases are perfectly simple and easy to distinguish. In a free hour, when our power of choice is untrammelled and when nothing prevents our being able to do what we like best, every pleasure is to be welcomed and every pain avoided. But in certain circumstances and owing to the claims of duty or the obligations of business it will frequently occur that pleasures have to be repudiated and annoyances accepted. The wise man therefore always holds in these matters to this principle of selection: he rejects pleasures to secure other greater pleasures, or else he endures pains to avoid worse pains."', 'Tic Tac', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '63-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:53:17', '2009-12-16 10:53:17', '', 63, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=150', 0, 'revision', '', 0),
-(153, 1, '2009-12-17 16:39:15', '2009-12-17 15:39:15', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\r\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\r\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\r\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\r\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\r\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\r\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\r\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\r\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\r\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\r\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\r\n\r\n\r\n\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '151-revision-2', '', '', '2009-12-17 16:39:15', '2009-12-17 15:39:15', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=153', 0, 'revision', '', 0),
-(154, 1, '2009-12-18 12:02:21', '2009-12-18 11:02:21', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\n\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '151-autosave', '', '', '2009-12-18 12:02:21', '2009-12-18 11:02:21', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=154', 0, 'revision', '', 0),
-(155, 1, '2009-05-18 11:10:11', '2009-05-18 10:10:11', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'dossier-de-presse-de-liri-mai-2009', '', '', '2009-12-21 15:33:04', '2009-12-21 14:33:04', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=155', 0, 'post', '', 0),
-(156, 1, '2009-12-18 11:08:26', '2009-12-18 10:08:26', '', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '155-revision', '', '', '2009-12-18 11:08:26', '2009-12-18 10:08:26', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=156', 0, 'revision', '', 0),
-(157, 1, '2009-12-21 10:15:58', '2009-12-21 09:15:58', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '155-autosave', '', '', '2009-12-21 10:15:58', '2009-12-21 09:15:58', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=157', 0, 'revision', '', 0),
-(158, 1, '2009-05-14 11:14:26', '2009-05-14 10:14:26', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'conference-de-presse-du-14-mai-2009-dans-lignes-de-temps', '', '', '2009-12-21 15:32:33', '2009-12-21 14:32:33', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=158', 0, 'post', '', 0),
-(159, 1, '2009-12-18 11:14:08', '2009-12-18 10:14:08', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '158-revision', '', '', '2009-12-18 11:14:08', '2009-12-18 10:14:08', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=159', 0, 'revision', '', 0),
-(160, 1, '2009-12-18 11:14:26', '2009-12-18 10:14:26', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '158-revision-2', '', '', '2009-12-18 11:14:26', '2009-12-18 10:14:26', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=160', 0, 'revision', '', 0),
-(161, 1, '2009-12-16 12:47:47', '2009-12-16 11:47:47', 'INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\n\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Interfaces multimodales', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:47:47', '2009-12-16 11:47:47', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=161', 0, 'revision', '', 0),
-(162, 1, '2009-12-18 11:57:31', '2009-12-18 10:57:31', 'INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\n\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Interfaces multimodales', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-revision-4', '', '', '2009-12-18 11:57:31', '2009-12-18 10:57:31', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=162', 0, 'revision', '', 0),
-(163, 1, '2010-02-01 15:27:28', '2010-02-01 14:27:28', 'L’IRI collabore avec le monde de l''enseignement supérieur et l’université dans le champ des sciences cognitives et des sciences de l’éducation pour étudier l’impact à long terme des technologies affectant le corps de manière générale et favorisant l’émergence de nouvelles pratiques amateurs, éducatives et professionnelles. La motricité est en effet un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en « gestualisant » une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. L’oreille musicale se forme dans l’activité gestuelle et oculaire que coordonnent l’instrument et la partition, de même que l’œil du peintre ne se forme que par l’activité de ses mains manipulant et maîtrisant des techniques. C’est par de tels « circuits » entre organes que se constituent les objets esthétiques.\n\nOn vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles en lien avec les expositions du Centre Pompidou, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du regard), l’utilisation des microtechnologies et des microsystèmes et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.\n\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\n
', 'Interfaces multimodales, mobilité et motricité dans les pratiques instrumentées ', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-autosave', '', '', '2010-02-01 15:27:28', '2010-02-01 14:27:28', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=163', 0, 'revision', '', 0),
-(164, 1, '2009-12-17 16:40:13', '2009-12-17 15:40:13', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\r\n\r\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '151-revision-3', '', '', '2009-12-17 16:40:13', '2009-12-17 15:40:13', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=164', 0, 'revision', '', 0),
-(165, 1, '2009-12-16 16:33:22', '2009-12-16 15:33:22', '
\r\n
abstract
\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\n
Organisateurs :
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\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
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\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n
\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\n
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\r\n
Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\n\r\n
Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\n\r\n
Une collaboration\r\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\n
Liens :\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\r\n
Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
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Fondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
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La Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
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Le cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
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Le cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
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Le cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\n
L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
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Les films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
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Le Caméraman
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Etats-Unis 1928
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Coréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
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Avec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
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Les aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
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Sunrise - Aurore (L'')
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Etats-Unis, 1927
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Réalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
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Scénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
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Avec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
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Photo Karl Struss, Charles Rosher
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Musique Dr Hugo Riesenfeld
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Durée 1h20
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Séduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
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Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
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Les pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
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Les binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '97-revision-4', '', '', '2009-12-17 15:07:37', '2009-12-17 14:07:37', '', 97, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=166', 0, 'revision', '', 0),
-(168, 1, '2009-12-17 16:23:06', '2009-12-17 15:23:06', '
TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\r\n\r\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\r\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\r\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\r\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\r\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\r\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\r\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\r\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\r\nterritoires) / Université Toulouse 2.\r\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\r\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\r\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\r\n• le choix du terrain: la définition de l’objet,\r\n• l’observation participante,\r\n• l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,\r\n• la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,\r\n• les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,\r\n• la mise en public de la création.\r\n\r\n
\r\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\r\n
Partenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\r\n
Période : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '128-revision-3', '', '', '2009-12-17 16:23:06', '2009-12-17 15:23:06', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=168', 0, 'revision', '', 0),
-(169, 1, '2009-12-16 18:11:40', '2009-12-16 17:11:40', 'Rassemblés au sein d’une même plateforme d’échange et de négociation de droits, les films de nombreux\r\nproducteurs européens indépendants peuvent enfin trouver un débouché rapide sur le marché de\r\nla diffusion en Vidéo à la demande (VoD). Ce service pour les professionnels permet en plus de préparer\r\net d’échanger des extraits, des éléments promotionnels et des parcours directement publiables sur\r\nun site de VoD.\r\nPrésenté par le premier groupement de producteurs français indépendants de cinéma (UniversCine.com),\r\nGlitner est un projet pilote du programme MEDIA de la Commission européenne. Il vise la mise en place\r\nd’une plateforme de partage d’informations sur les droits disponibles, les documents associés\r\net les annotations des utilisateurs de la plateforme en utilisant le logiciel Lignes de temps. Le projet s’est\r\nterminé fin 2008 mais se poursuit dans le cadre d’un GEIE dont l’IRI est membre.\r\n\r\nLe projet associe les partenaires suivants :\r\n
\r\n - le Meilleur du cinéma, LMC (France),
\r\n - Autori e produttori indipendenti, API (Italie),
\r\n - Budapestfilm (Hongrie),
\r\n - Cinando, Marché du film, Festival de Cannes (France),
\r\n - Institut de recherche et d’innovation / Centre Pompidou (France),
\r\n - ISAN (Suisse),
\r\n - Korpus (Slovénie),
\r\n - TechnikArt (Suède).
\r\n
', 'Glitner', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '125-revision-3', '', '', '2009-12-16 18:11:40', '2009-12-16 17:11:40', '', 125, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=169', 0, 'revision', '', 0),
-(170, 1, '2009-12-16 11:53:57', '2009-12-16 10:53:57', '
Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '65-revision-3', '', '', '2009-12-16 11:53:57', '2009-12-16 10:53:57', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=170', 0, 'revision', '', 0),
-(171, 1, '2009-12-18 12:05:06', '2009-12-18 11:05:06', '
Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '65-revision-4', '', '', '2009-12-18 12:05:06', '2009-12-18 11:05:06', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=171', 0, 'revision', '', 0),
-(172, 1, '2009-12-18 12:01:18', '2009-12-18 11:01:18', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\r\n\r\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '151-revision-4', '', '', '2009-12-18 12:01:18', '2009-12-18 11:01:18', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=172', 0, 'revision', '', 0),
-(173, 1, '2009-12-16 12:48:25', '2009-12-16 11:48:25', 'L’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.', 'Technologies collaboratives', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '77-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:48:25', '2009-12-16 11:48:25', '', 77, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=173', 0, 'revision', '', 0),
-(174, 1, '2009-12-16 12:49:12', '2009-12-16 11:49:12', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d’annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l’annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d’images.', 'Ingénierie des connaissances', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '74-revision-4', '', '', '2009-12-16 12:49:12', '2009-12-16 11:49:12', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=174', 0, 'revision', '', 0),
-(175, 1, '2009-12-18 12:07:28', '2009-12-18 11:07:28', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nContrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner\r\ntoute métadonnée, qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet\r\nde recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement\r\nla phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus\r\nd’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de\r\nmétadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques\r\nculturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter\r\n(au sens d’une organologie générale définie par B. Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche\r\nsur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d''annotation et des appareils critiques\r\nd’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec\r\ndes interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des\r\nmodules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.', 'Ingénierie des connaissances', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '74-revision-5', '', '', '2009-12-18 12:07:28', '2009-12-18 11:07:28', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=175', 0, 'revision', '', 0),
-(176, 1, '2009-12-16 18:17:05', '2009-12-16 17:17:05', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\n\r\n
LE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\n\r\n
Équipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\n\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '131-revision-9', '', '', '2009-12-16 18:17:05', '2009-12-16 17:17:05', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=176', 0, 'revision', '', 0),
-(177, 1, '2008-07-18 12:16:23', '2008-07-18 11:16:23', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\r\n\r\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\r\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\r\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'un-article-presentant-linstitut-juillet-2008', '', '', '2009-12-18 12:20:37', '2009-12-18 11:20:37', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=177', 0, 'post', '', 0),
-(178, 1, '2009-12-18 12:20:25', '2009-12-18 11:20:25', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\n\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '177-revision', '', '', '2009-12-18 12:20:25', '2009-12-18 11:20:25', '', 177, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=178', 0, 'revision', '', 0),
-(179, 1, '2009-12-18 12:20:31', '2009-12-18 11:20:31', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\r\n\r\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\r\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\r\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '177-revision-2', '', '', '2009-12-18 12:20:31', '2009-12-18 11:20:31', '', 177, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=179', 0, 'revision', '', 0),
-(180, 1, '2009-12-18 12:21:39', '2009-12-18 11:21:39', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\n\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '177-autosave', '', '', '2009-12-18 12:21:39', '2009-12-18 11:21:39', '', 177, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=180', 0, 'revision', '', 0),
-(181, 1, '2009-12-18 11:10:11', '2009-12-18 10:10:11', 'CRÉATION DE L’ASSOCIATION\r\nINSTITUT DE RECHERCHE ET D’INNOVATION', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-2', '', '', '2009-12-18 11:10:11', '2009-12-18 10:10:11', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=181', 0, 'revision', '', 0),
-(182, 1, '2009-12-18 12:23:27', '2009-12-18 11:23:27', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-3', '', '', '2009-12-18 12:23:27', '2009-12-18 11:23:27', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=182', 0, 'revision', '', 0),
-(185, 1, '2009-12-18 12:26:19', '2009-12-18 11:26:19', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009 (pdf)', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-4', '', '', '2009-12-18 12:26:19', '2009-12-18 11:26:19', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=185', 0, 'revision', '', 0),
-(381, 1, '2009-12-22 18:52:14', '2009-12-22 17:52:14', '
Abstract
\r\nLe Ministère de la culture et de la communication (Mission de la Recherche et de la Technologie/Délégation au Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de recherche du Château de Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire national sur le thème « Lieux culturels et nouvelles pratiques numériques ». De mars à juin 2007, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou (IRI) a organisé pour le compte de la MRT, un premier séminaire couvrant sur huit séances l’ensemble des problématiques numériques. Le séminaire était ouvert aux étudiants de l’Ecole du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du Ministère de la culture et de la communication, aux établissements culturels et aux professionnels qui en ont fait la demande. Durant l’année scolaire 2008-2009, la thématique prioritaire a été orientée vers
les espaces critiques collaboratifs avec une attention particulière à la combinaison d’approches « top-down » et de l’innovation ascendante de type « bottom-up ». En 2009-2010, nous proposons d’aborder des questions de fond relatives aux
technologies de l’attention.\r\n\r\nLa méthodologie consiste à confronter sur des séances de deux heures expériences muséales et réflexions théorique et scientifique en analysant à chaque séance l’impact des nouveaux dispositifs d’adresse au public sur les pratiques muséales.\r\n
Thématique proposée : Techniques de l’attention
\r\nLa consommation massive des objets culturels est de plus en plus surdéterminée par l’évolution « pulsionnelle » du consumérisme en général, ce qui se traduit par des postures de zapping généralisé. Le contexte muséal n’échappe pas à cette règle et les attitudes attentionnelles sont de plus en plus configurées par les médias de masse. Rappelons que selon une étude présentée lors d’un colloque en 2005, un visiteur du Louvre consacre en moyenne quarante deux secondes par œuvre.\r\nDans ce contexte qui devrait alarmer l’ensemble des institutions culturelles en général et muséales en particulier, nous proposons d’orienter le séminaire Muséologie 2009-2010 en croisant la question théorique des conditions cognitives, sociales et économiques de réception avec des exemples de développement de technologies de l’attention notamment les appareils critiques collaboratifs et le développement des réseaux sociaux et très hauts débits.\r\n
Inscription obligatoire auprès de Fanny Belvisi, Chargée de mission de l’Institut de recherche et d’innovation/Centre Pompidou :\r\n
fanny.belvisi@centrepompidou.fr\r\nTel : 01 44 78 49 11\r\n
Séance 1 :
\r\nMardi 8 décembre 2009, 16h-18h30, Petite Salle/Centre Pompidou\r\n
\r\n - Thème : Formes d’attention et de cognition, la question du « care »
\r\n
\r\nOn propose de partir d’études cognitives récentes, telles que celles de Katerine Hayles sur la disparition de processus d’attention soutenue (deep attention) au profit de formes d’attention dispersée (hyper-attention). Comment dans ce contexte, le musée peut il « prendre soin » de ses visiteurs ? Nous nous intéresserons par ailleurs à la modélisation de ces processus d’attention, à lumière de la cognition de l’attention, du marketing et de la micro-économie de l’attention.\r\n
\r\n - Katerine Hayles, Professeur de littérature à la Duke University, Critique littéraire
\r\n - Alain Giffard, Directeur du Groupement d’intérêt scientifique Culture et Médias numériques
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation
\r\n
\r\n
Séance 2 :
\r\nMardi 19 janvier 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Thème : Techniques d’attention et pathologies modernes
\r\n
\r\nL’énergie libidinale et la question du désir sont au cœur des processus d’attention. On l’abordera en particulier à la lumière des pathologies de l’attention contemporaines, en particulier à la lumière de la thérapie de l’addiction.\r\n
\r\n - Philippe Bordes, Directeur de la recherche à l’INHA (modérateur)
\r\n - Marc Valleur, Psychiatre, Chef du service de soin aux toxicomanes de l’hôpital Marmottan (sous réserve)
\r\n - Jean-Pierre Couteron, Président de l’Anitea (Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie)
\r\n - Coup de projecteur : Mapping the museum, une expérimentation suisse de suivi des visiteurs dans une exposition: http://www.mapping-museum-experience.com/en
\r\n
\r\n
Séance 3 :
\r\nFévrier 2010, INHA\r\n
\r\n - Thème : Histoire de l’Attention
\r\n
\r\nSéance spéciale à l’INHA avec la participation de l’IRI.\r\n
\r\n - Jonathan Crary, Professor of Modern Art and Theory, Columbia University (sous réserve)
\r\n - Conversation avec Philippe Bordes (INHA)
\r\n
\r\n
Séance 4 :
\r\nMardi 16 février 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - La question du jeu
\r\n
\r\nKaterine Hayles soutient que le paradigme du jeu permet d’articuler deep attention et hyper attention. C’est aussi ce que soutiennent les concepteurs de « serious game ». La question sera examinée en perspective.\r\n
\r\n - Stéphane Natkin, Professeur titulaire de la chaire Systèmes Multimédia au CNAM (ENSJVMI) (modérateur)
\r\n - Nicolas Auray, Maître de conférences en sociologie, École Nationale Supérieure des Télécommunications
\r\n - Kristel Kerstens, Waag Society (sous réserve)
\r\n - Emmanuel Guardiola, Mimesis Republic (sous réserve)
\r\n - Coup de projecteur : le projet PLUG au Musée du CNAM avec Annie Gentes, Maître de conférence en sciences de l''information et de la communication, École Nationale Supérieure des Télécommunications, et Coline Aunis, Responsable internet du musée des arts et techniques.
\r\n
\r\n
Séance 5 :
\r\nMardi 23 mars 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Réseaux sociaux, hauts débits, nouveaux médias, nouvelles pratiques sociales et pédagogiques
\r\n
\r\nCes nouvelles technologies favorisent-elles la dispersion de l’attention ? Quels outils développer pour de nouvelles pratiques pédagogiques ?\r\n
\r\n - François Quéré, Responsable de la politique des publics, Agence France Museum (modérateur)
\r\n - Alain Garnier, PDG du réseau social JameSpot
\r\n - Thomas de Baillecourt, Orange Labs (Enquête sur Youtube/Dailymotion)
\r\n - Coup de projecteur : présentation du site collaboratif développé par l’IRI pour les professeurs avec la Mission cinéma de la ville de Paris.
\r\n
\r\n
Séance 6 :
\r\nMardi 18 mai 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Interfaces, objets et technologies de mémoire
\r\n
\r\nDans un monde de connectivité permanente y compris en mobilité comment parvenir à gérer la temporalité de l’exposition, celle du visiteur, celle des médias diffusés ?\r\n
\r\n - Roland Topalian, Cité des sciences et de l’Industrie (modérateur)
\r\n - Georges Amar, Responsable unité prospective et développement de l’innovation à la RATP (sous réserve)
\r\n - Jean-Louis Frechin, Designer-Architecte, No Design, Directeur de l’Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers
\r\n - Alain Mille, Professeur des universités, Université Claude Bernard Lyon 1 (LIRIS)
\r\n
\r\n
Séance 7 :
\r\nMardi 8 juin, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Sensori-Motricité et perception active
\r\n
\r\n
\r\n - Yves-Armel Martin, Directeur du centre d’innovation Erasme (modérateur)
\r\n - Charles Lenay, Directeur de l''unité COSTECH, Université technologique de Compiègne
\r\n - François Pachet, Directeur d’une équipe de recherche en informatique musicale au laboratoire Sony CSL
\r\n - Coup de projecteur : présentation du projet Nadal (Interface gestuelle de Microsoft)
\r\n
\r\n
', 'Muséologie, Muséographie 2009-2010', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '374-revision-6', '', '', '2009-12-22 18:52:14', '2009-12-22 17:52:14', '', 374, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/374-revision-6/', 0, 'revision', '', 0);
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-(383, 1, '2009-12-23 10:19:26', '2009-12-23 09:19:26', '
Abstract
\r\nLe Ministère de la culture et de la communication (Mission de la Recherche et de la Technologie/Délégation au Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de recherche du Château de Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire national sur le thème « Lieux culturels et nouvelles pratiques numériques ». De mars à juin 2007, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou (IRI) a organisé pour le compte de la MRT, un premier séminaire couvrant sur huit séances l’ensemble des problématiques numériques. Le séminaire était ouvert aux étudiants de l’Ecole du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du Ministère de la culture et de la communication, aux établissements culturels et aux professionnels qui en ont fait la demande. Durant l’année scolaire 2008-2009, la thématique prioritaire a été orientée vers
les espaces critiques collaboratifs avec une attention particulière à la combinaison d’approches « top-down » et de l’innovation ascendante de type « bottom-up ». En 2009-2010, nous proposons d’aborder des questions de fond relatives aux
technologies de l’attention.\r\n\r\nLa méthodologie consiste à confronter sur des séances de deux heures expériences muséales et réflexions théorique et scientifique en analysant à chaque séance l’impact des nouveaux dispositifs d’adresse au public sur les pratiques muséales.\r\n
Thématique proposée : Techniques de l’attention
\r\nLa consommation massive des objets culturels est de plus en plus surdéterminée par l’évolution « pulsionnelle » du consumérisme en général, ce qui se traduit par des postures de zapping généralisé. Le contexte muséal n’échappe pas à cette règle et les attitudes attentionnelles sont de plus en plus configurées par les médias de masse. Rappelons que selon une étude présentée lors d’un colloque en 2005, un visiteur du Louvre consacre en moyenne quarante deux secondes par œuvre.\r\nDans ce contexte qui devrait alarmer l’ensemble des institutions culturelles en général et muséales en particulier, nous proposons d’orienter le séminaire Muséologie 2009-2010 en croisant la question théorique des conditions cognitives, sociales et économiques de réception avec des exemples de développement de technologies de l’attention notamment les appareils critiques collaboratifs et le développement des réseaux sociaux et très hauts débits.\r\n
Inscription obligatoire auprès de Fanny Belvisi, Chargée de mission de l’Institut de recherche et d’innovation/Centre Pompidou :\r\n
fanny.belvisi@centrepompidou.fr\r\nTel : 01 44 78 49 11\r\n
Séance 1 :
\r\nMardi 8 décembre 2009, 16h-18h30, Petite Salle/Centre Pompidou\r\n
\r\n - Thème : Formes d’attention et de cognition, la question du « care »
\r\n
\r\nOn propose de partir d’études cognitives récentes, telles que celles de Katerine Hayles sur la disparition de processus d’attention soutenue (deep attention) au profit de formes d’attention dispersée (hyper-attention). Comment dans ce contexte, le musée peut il « prendre soin » de ses visiteurs ? Nous nous intéresserons par ailleurs à la modélisation de ces processus d’attention, à lumière de la cognition de l’attention, du marketing et de la micro-économie de l’attention.\r\n
\r\n - Katerine Hayles, Professeur de littérature à la Duke University, Critique littéraire
\r\n - Alain Giffard, Directeur du Groupement d’intérêt scientifique Culture et Médias numériques
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation
\r\n
\r\n
Séance 2 :
\r\nMardi 19 janvier 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Thème : Techniques d’attention et pathologies modernes
\r\n
\r\nL’énergie libidinale et la question du désir sont au cœur des processus d’attention. On l’abordera en particulier à la lumière des pathologies de l’attention contemporaines, en particulier à la lumière de la thérapie de l’addiction.\r\n
\r\n - Philippe Bordes, Directeur de la recherche à l’INHA (modérateur)
\r\n - Marc Valleur, Psychiatre, Chef du service de soin aux toxicomanes de l’hôpital Marmottan (sous réserve)
\r\n - Jean-Pierre Couteron, Président de l’Anitea (Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie)
\r\n - Coup de projecteur : Mapping the museum, une expérimentation suisse de suivi des visiteurs dans une exposition: http://www.mapping-museum-experience.com/en
\r\n
\r\n
Séance 3 :
\r\nFévrier 2010, INHA\r\n
\r\n - Thème : Histoire de l’Attention
\r\n
\r\nSéance spéciale à l’INHA avec la participation de l’IRI.\r\n
\r\n - Jonathan Crary, Professor of Modern Art and Theory, Columbia University (sous réserve)
\r\n - Conversation avec Philippe Bordes (INHA)
\r\n
\r\n
Séance 4 :
\r\nMardi 16 février 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - La question du jeu
\r\n
\r\nKaterine Hayles soutient que le paradigme du jeu permet d’articuler deep attention et hyper attention. C’est aussi ce que soutiennent les concepteurs de « serious game ». La question sera examinée en perspective.\r\n
\r\n - Stéphane Natkin, Professeur titulaire de la chaire Systèmes Multimédia au CNAM (ENSJVMI) (modérateur)
\r\n - Nicolas Auray, Maître de conférences en sociologie, École Nationale Supérieure des Télécommunications
\r\n - Kristel Kerstens, Waag Society (sous réserve)
\r\n - Emmanuel Guardiola, Mimesis Republic (sous réserve)
\r\n - Coup de projecteur : le projet PLUG au Musée du CNAM avec Annie Gentes, Maître de conférence en sciences de l''information et de la communication, École Nationale Supérieure des Télécommunications, et Coline Aunis, Responsable internet du musée des arts et techniques.
\r\n
\r\n
Séance 5 :
\r\nMardi 23 mars 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Réseaux sociaux, hauts débits, nouveaux médias, nouvelles pratiques sociales et pédagogiques
\r\n
\r\nCes nouvelles technologies favorisent-elles la dispersion de l’attention ? Quels outils développer pour de nouvelles pratiques pédagogiques ?\r\n
\r\n - François Quéré, Responsable de la politique des publics, Agence France Museum (modérateur)
\r\n - Alain Garnier, PDG du réseau social JameSpot
\r\n - Thomas de Baillecourt, Orange Labs (Enquête sur Youtube/Dailymotion)
\r\n - Coup de projecteur : présentation du site collaboratif développé par l’IRI pour les professeurs avec la Mission cinéma de la ville de Paris.
\r\n
\r\n
Séance 6 :
\r\nMardi 18 mai 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Interfaces, objets et technologies de mémoire
\r\n
\r\nDans un monde de connectivité permanente y compris en mobilité comment parvenir à gérer la temporalité de l’exposition, celle du visiteur, celle des médias diffusés ?\r\n
\r\n - Roland Topalian, Cité des sciences et de l’Industrie (modérateur)
\r\n - Georges Amar, Responsable unité prospective et développement de l’innovation à la RATP (sous réserve)
\r\n - Jean-Louis Frechin, Designer-Architecte, No Design, Directeur de l’Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers
\r\n - Alain Mille, Professeur des universités, Université Claude Bernard Lyon 1 (LIRIS)
\r\n
\r\n
Séance 7 :
\r\nMardi 8 juin, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Sensori-Motricité et perception active
\r\n
\r\n
\r\n - Yves-Armel Martin, Directeur du centre d’innovation Erasme (modérateur)
\r\n - Charles Lenay, Directeur de l''unité COSTECH, Université technologique de Compiègne
\r\n - François Pachet, Directeur d’une équipe de recherche en informatique musicale au laboratoire Sony CSL
\r\n - Coup de projecteur : présentation du projet Nadal (Interface gestuelle de Microsoft)
\r\n
\r\n
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contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02.\r\n\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.', 'Contact', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '142-revision-3', '', '', '2009-12-17 11:42:46', '2009-12-17 10:42:46', '', 142, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=188', 0, 'revision', '', 0),
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contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02.\r\n\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02.\r\n\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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\r\n\r\n\r\n| Adresse électronique :\r\ncontact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02. | \r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n | \r\n
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contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\n\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02. Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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\r\n\r\n\r\n| Adresse électronique :\r\n\r\ncontact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\n\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02. | \r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n| Adresse électronique :\r\n\r\ncontact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n\r\n75004 Paris\r\n\r\nCode : B 1235\r\n\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\nTél : 01 44 78 42 02. | \r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n | \r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n\r\n
Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n
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Tél : 01 44 78 42 02.\r\n\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nTél : 01 44 78 42 02.\r\n
\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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\r\nTéléphone : 01 44 78 42 02.\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n\r\n

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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n
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\r\nTéléphone : 01 44 78 42 02.\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n
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\r\nTéléphone :
01 44 78 42 02.\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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01 44 78 42 02.\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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01 44 78 42 02.\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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Pratique et jugement\r\n\r\n\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au cœur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter d''analyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer l''idée d''un théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison d''être principale se cherche dans l''effet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation n était pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes d''un théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera d''utiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n
Coordination du séminaire : Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com\r\n
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10h-12h
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10h-12h, avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001)
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10h-12h, avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
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10h-12h, avec la participation de Pierre Frantz (L''esthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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10h-12h, A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
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10h-12h
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14h30-16h30, avec la participation de Georges Banu (Exercices d''accompagnement, l''Entretemps, 2002.
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14h30-16h30, avec l''Atelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
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14h30-16h30, avec la participation d''Hervé Loichemol (metteur en scène).
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14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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Pratique et jugement\r\n\r\n\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au cœur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter d''analyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer l''idée d''un théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison d''être principale se cherche dans l''effet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes d''un théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera d''utiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\n
Coordination du séminaire : Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
facdejouer@gmail.com\n
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10h-12h
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10h-12h, avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001)
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10h-12h, avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
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10h-12h, avec la participation de Pierre Frantz (L''esthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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10h-12h, A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
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10h-12h
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14h30-16h30, avec la participation de Georges Banu (Exercices d''accompagnement, l''Entretemps, 2002.
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Pratique et jugement\n\n\n\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au cœur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter d''analyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\n\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer l''idée d''un théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison d''être principale se cherche dans l''effet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes d''un théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\n\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera d''utiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\n\n
\n
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\r\n\r\nAbstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.
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\r\n\r\nAbstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.
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-(224, 1, '2009-12-21 11:44:35', '2009-12-21 10:44:35', '
Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\r\n\r\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\r\n\r\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\r\n\r\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\r\n\r\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\r\n\r\n
Programme des Conférences publiques :\r\n
\r\n\r\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\r\n\r\n
Horaires : 19 heures\r\n\r\n
Accès : dans la limite des places disponibles\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\r\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\r\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\r\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\r\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\r\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\r\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\r\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\r\n
\r\nDirection :
Denis Guénoun\r\n\r\nCoordination :
Johann Holland :
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\n\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\n\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\n\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\n\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\n\n
Programme des Conférences publiques :\n
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Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\n\n
Horaires : 19 heures\n\n
Accès : dans la limite des places disponibles\n\n
Dates :\n
\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\n
\nDirection :
Denis Guénoun\n\nCoordination :
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\n\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\n\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\n\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\n\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\n\n
Programme des Conférences publiques :\n
\n\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\n\n
Horaires : 19 heures\n\n
Accès : dans la limite des places disponibles\n\n
Dates :\n
\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
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Denis Guénoun\n\nCoordination :
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Politique et technologies de l''amateur\r\n\r\n\r\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\r\n\r\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\r\n\r\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\r\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\r\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\r\n\r\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\r\n\r\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\r\n\r\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\r\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\r\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\r\n\r\n
Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\r\n
\r\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\r\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\r\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\r\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\r\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27e région).
\r\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\r\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\r\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\r\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\r\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\r\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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Informations pratiques :\r\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\r\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\r\n\r\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \r\nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.\r\n
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Politique et technologies de l''amateur\r\n\r\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\r\n\r\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\r\n\r\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\r\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\r\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\r\n\r\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\r\n\r\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\r\n\r\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\r\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\r\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\r\n\r\n
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\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27 e région).
\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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\nInformations pratiques :\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\n\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.', 'Politiques et technologies de l’amateur ', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '227-revision', '', '', '2009-12-21 12:16:40', '2009-12-21 11:16:40', '', 227, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=228', 0, 'revision', '', 0),
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Politique et technologies de l''amateur\n\n\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\n\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\n\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\n\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\n\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\n\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\n\n
Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\n
\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27e région).
\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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Informations pratiques :\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\n\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.\n
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Politique et technologies de l''amateur\n\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\n\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\n\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\n\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\n\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\n\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\n\n
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Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\r\n
\r\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\r\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\r\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\r\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\r\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27 e région).
\r\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\r\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\r\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\r\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\r\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\r\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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\r\nInformations pratiques :\r\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\r\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\r\n\r\nInscriptions ouvertes par mail à
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\r\n\r\nDepuis 2007, l’IRI, le pôle de compétitivité Cap digital et l’ENSCI - Les Ateliers (École nationale supérieure de création industrielle) organisent une manifestation commune,
Les Entretiens du nouveau monde industriel, qui ont vocation à se dérouler chaque année.\r\n\r\nLa première édition qui s’est tenue les 27 et 28 novembre 2007 avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies du numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\r\n\r\nLa deuxième édition des Entretiens du nouveau monde industriel aborda ( les 3 et 4 octobre 2008 au Centre Pompidou) le thème « Réseaux sociaux, ingénierie et innovation sociales ».\r\nLa troisième édition se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants.\r\n\r\n
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\r\n - Agnès Saal, Directrice Générale du Centre Pompidou
\r\n - Alain Seban, Centre Pompidou
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Au XXème siècle, la vie quotidienne a été fondamentalement marquée par la place que le design a prise dans la production industrielle : l’art, devenu avec la modernité une exploration systématique de tous les possibles, donnant « des coups de boutoir dans tous les sens », a contribué en nouant une relation fonctionnelle avec l’industrie à ce qui allait aboutir à un processus de transformation planétaire aussi bien technologique que culturel.\r\nCe devenir, qui conférait à la vie esthétique une vocation économique, se concrétisa au moment où les publics relations, qui devinrent bientôt le marketing, inventèrent aux Etats-Unis la figure du consommateur.\r\nDésormais, tandis que le capitalisme est lui-même qualifié de culturel, c’est la conception au sens le plus large (comme recherche scientifique, comme nouveaux modèles économiques et politiques de socialisation, comme design et comme création artistique) qui vient au cœur du processus industriel – ce que l’on appelle aussi l’industrie de la connaissance, les sociétés de savoir ou le capitalisme cognitif. Les possibilités de la technologie paraissant illimitées, les destinataires des produits et des services semblent de moins en moins se satisfaire du rôle passif de clients ou d’usagers, et vouloir devenir de plus en plus des contributeurs et des praticiens – c’est-à-dire, aussi, redevenir des citoyens. C’est dans ce contexte qu’est remis en cause le circuit recherche/développement/ design/marketing/distribution.\r\n
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Le premier secteur économique où se concrétisent ces transformations est celui des nouveaux médias. Il résulte de la convergence des technologies culturelles et des technologies cognitives intégrées par la numérisation.
Social engineering et technologies de l’individuation se développent sur le Web qui devient ainsi un milieu participatif où échangent des amateurs – pour le meilleur et pour le pire : l’amateur peut devenir ce que l’on appelle au Japon un
otaku, le
user profiling au service de l’hyper-segmentation aggravant ainsi la
désindividuation ; le syndrome de saturation cognitive empoisonne les systèmes d’information et le déficit attentionnel semble se généraliser. Dans le même temps, les technologies d’autoproduction et de diffusion qui deviennent de plus en plus largement accessibles font apparaître une nouvelle forme d’attention appareillée, une attention active parce que participative (Katherine Hayles, professeur à Los Angeles, parle d’ « hyper attention »).\r\n
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Dans ce milieu technologique de plus en plus participatif, le consommateur devenu praticien ne peut plus être appréhendé comme un simple « utilisateur final » (
end user). La recherche technologique et le design doivent coopérer pour l’intégrer très en amont en mettant en œuvre de nouvelles méthodologies, comme celles qu’expérimente le design de process – la place et la responsabilité du designer dans le processus de conception ne cessant de s’étendre –. Dans ce contexte, les technologies cognitives font appel à de nouveaux modèles théoriques et méthodologiques, qui vont de ce que l’équipe COSTECH (UTC) a appelé la « phénoménologie expérimentale », jusqu’à ce qui se présente aujourd’hui comme une cognition de l’attention. C’est ainsi que se dessine une méthodologie de design ouverte à des pratiques actives et instrumentées par opposition à des usages proches de la simple consommation.\r\n
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L’extrême miniaturisation et les nouvelles liaisons sans fil transforment insensiblement mais radicalement le rapport entre les corps humains (et leurs cerveaux), devenus porteurs de fonctions technologiques toujours plus sophistiquées, et le milieu industriellement appareillé, où ils baignent presque en permanence. Cette mutation du milieu
technosocial est évidemment aussi ce qui induit une mutation des conditions de la socialisation des individus. Dans le même temps, après le « génie des matériaux » qui fut une méthode de direction de la recherche en physique appliquée, et après ces
immatériaux que furent les matériels et dispositifs informationnels médités et mis en scène par Lyotard au Centre Pompidou dès 1985, la
nanoplasticité bouleverse la distinction traditionnelle entre la forme et la matière. Nanoplasticité par où apparaissent des
hypermatériaux dits
nanostructurés, aux propriétés très éloignées de ce qui se trouve dans la nature, et élargit à des dimensions aussi bien cosmiques qu’éthiques les questions du design qui paraît devenir total.\r\n
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Depuis le début du processus d’hominisation, les organes de perception n’ont cessé de se trouver agencés avec des dispositifs techniques (techniques du corps, outils mnémotechniques) puis technologiques (machines, appareils, puces, prothèses sous-cutanées) par où les relations entre les sens ont formé des circuits engendrant des symboles, des pensées, des objets, des produits, des services, des organisations sociales…. Dans ce devenir, les nouvelles interfaces multimodales (ou multi-sensorielles), actuellement développées dans les laboratoires, préfigurent certaines situations qui seront amplifiées et généralisées par l’avènement des micro et nanotechnologies, et replacent le corps au centre du monde numérique. Après le développement des espaces et des temps numériquement virtuels (mais tout espace, qui n’est pas le « là où je suis », et tout temps qui n’est pas le « maintenant présent », sont virtuels) qui semblaient conduire à une véritable désincarnation des corps, ceux-ci reprennent une place prépondérante, tandis que la transformation des milieux vitaux vectorisés par les technologies transformationnelles ouvre la question d’une écologie numérique, micro-technologique, biotechnologique et nanotechnologique, où la virtualité devient une hyper-réalité.\r\n
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La mobilité et les objets communicants sont les technologies les plus largement socialisées de ce qui semble conduire à une véritable incarnation des artefacts industriels par les individus psychiques et tout se passe comme si le sens de ce que Leroi-Gourhan appelait un « processus d’extériorisation technique de l’humain » – comme délégation de ses fonctions vitales vers la technique – commençait à s’inverser. La convergence des technologies transformationnelles et des milieux pervasifs paraissent engager un processus d’intériorisation de la technique qui rompt avec les deux millions d’années au cours desquels se déroula l’hominisation comme extériorisation, et l’on peut en ce sens s’interroger en termes de « rupture anthropologique » - et se demander jusqu’à quel point ce renversement préserve non seulement l’intégrité individuelle, mais la sociabilité des organisations collectives. Des fonctions essentielles à la constitution de tout collectif humain, comme les dispositifs cardinaux et calendaires d’orientation dans le temps et dans l’espace, s’intègrent en services d’assistance à l’existence où l’on peut aussi bien projeter les technologies de contrôle les plus sophistiquées. Il se joue là une immense transformation organologique (des organes du corps, des organes artificiels et des organisations sociales où ils s’agencent) où la question essentielle est sa capacité à produire un lien social – plutôt que des individus sous contrôle.\r\n
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Ces mutations s’opèrent tandis que les industries culturelles et les industries de programmes qui auront été les bras séculiers de la société consumériste apparue au XXème siècle sont totalement bouleversées, et très gravement menacées, depuis l’industrie du disque jusqu’aux canaux de télévision en passant par la presse écrite qui fut la base de la république des lettres – comme le soulignait récemment Al Gore. La société des réseaux numériques engendre le passage des audiences de masse aux publics hypersegmentés – avec les problèmes déjà évoqués de nouvelles formes de désindividuation qui peuvent s’y produire. En outre, une indexation généralisée de tout objet matériel ou intellectuel semble devenir possible, de la puce RFID à la généralisation de la norme IPV6, nouveau standard du protocole internet, dont la puissance combinatoire permettrait en théorie d’encoder chaque atome de l’univers. On voit ainsi l’ingénierie des métadonnées entrer en relation directe avec les structures élémentaires de la matière qui semble ainsi déployer sous nos yeux sa définition quantique par l’énergie et l’information – où l’opposition forme/matière n’a plus cours. Mais ce sont aussi des possibilités technologiques de duplication de toutes choses qui se généralisent ainsi en remettant radicalement en cause le principe juridique qui supposait le droit de la propriété comme base de l’investissement. En tenant compte du bouleversement induit par les méthodologies de développement basées sur le logiciel libre et sur la diffusion de contenu sous licence
Creative Commons, la session finale de ces Entretiens du nouveau monde industriel abordera quelques exemples de nouveaux modèles économiques en insistant sur les questions juridiques, éthiques et sociétales qu’ils soulèvent. En d’autres termes, le cas de la communauté du logiciel libre sera examiné sous l’angle de son design, c’est-à-dire tel que cette communauté sait ou ne sait pas aujourd’hui traiter les questions de pratiques des non-développeurs.\r\n
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Design et innovation ascendante\r\n
\r\nLa première édition des Entretiens du nouveau monde industriel, qui s’est déroulée les 27 et 28 novembre 2007, avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme les technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\r\nLes mutations qui en résultent, et les contradictions qu’elles génèrent, imposent en effet de repenser les pratiques du design et de la recherche & développement, et leurs implications du point de vue social et économique. Le modèle industriel forgé au XIXème siècle, qui a conduit après la seconde guerre mondiale à la planétarisation de la société de consommation, semble de nos jours à la fois rencontrer ses limites et ouvrir de nouvelles possibilités – en renversant l’opposition producteur/consommateur (en particulier dans le domaine du numérique), et en conférant à la matière aussi bien qu’au vivant une plasticité jusqu’alors inconcevable.\r\nÀ travers un processus non linéaire où la séquence recherche / développement / design / marketing / distribution semble devenir caduque et requérir de nouvelles formes d’organisation de la société, comme le déploiement d’internet et les médias participatifs le rendent chaque jour plus manifeste, et où les possibilités de manipulation de la matière, du vivant et de l’information paraissent devenir illimitées, le design entendu en un sens élargi devient une activité de « sculpture » du social qui lui ouvre et lui assigne des perspectives et des responsabilités sans précédent – aussi exaltantes qu’écrasantes.\r\nUne nouvelle relation entre conception industrielle et pratiques quotidiennes de l’existence est en cours de définition. Veiller sur cette nouveauté et tenter d’en prendre collectivement soin seront les thématiques consacrées à ces entretiens qui ambitionnent de renouveler la relation entre savoir et industrie en particulier pour esquisser les contours de nouvelles industries culturelles numériques.
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On sait depuis la théorie psychanalytique que le désir est intrinsèquement et originellement inscrit dans un nœud de relations sociales. On sait aussi qu’au cours des dernières décennies les réseaux sociaux traditionnels ont été largement bousculés, « déterritorialisés » comme le disaient Gilles Deleuze et Félix Guattari, voire purement court-circuités, par les réseaux technologiques apparus dans le monde industriel. Or, avec la numérisation, il semble que les nouvelles formes de réseaux technologiques, dits eux-mêmes « sociaux », ouvrent à nouveaux frais la question de l’investissement du désir, de la relation sociale et de l’attention au sens large. En même temps, ils rendent possibles des formes pathologiques de tels investissements, par exemple de nature addictive, ou transforment radicalement les conditions de l’attention, par exemple comme ce que Katherine Hayles nomme l’hyper attention.\r\n
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur, IRI / Centre Pompidou, Désir et relation sociale à l‘époque du social engineering
\r\n - Antoine Masson, Professeur, Centre Chapelle-aux-Champs à Bruxelles, Universités de Louvain et Namur, Médiation technologique et modalités de désir et de transfert à l‘adolescence.
\r\n - Elizabeth Rossé, Psychologue, Hôpital Marmottan, Désir et addiction dans la médiation technologique
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Ce que l’on appelle les réseaux sociaux dans le monde Internet repose sur la formalisation plus ou moins poussée et explicite des relations sociales par les technologies numériques. Les protocoles de participation conduisent en particulier les membres de ces réseaux à s’auto-décrire, à s’auto-indexer, et à produire des schèmes de relations sociales sous forme de métadonnées générées par eux-mêmes – consciemment ou inconsciemment. Le réseau est dit social d’abord pour cette raison. Et c’est ce qui conduit à une sorte d’automatisation des relations, fondée sur une opération d’explicitation de ces relations, et qui a pour conséquence de les transformer en profondeur – au point que l’on peut se demander dans quelle mesure une nouvelle forme de « conscience de réseau », c’est-à-dire d’appartenance, est susceptible d’y apparaître comme nouvelle forme de conscience critique, et comment tout au contraire une dissolution de la relation proprement sociale peut tout aussi bien en résulter. On examinera ainsi la double dimension potentiellement dynamique aussi bien que potentiellement réifiante des réseaux sociaux sur le plan socio-anthropologique.\r\n
\r\n - Dominique Pasquier, Sociologue, Directrice de recherche au CNRS, La nouvelle génération à la recherche du lien social.
\r\n - Dana Diminescu , Enseignant-chercheur à Telecom ParisTech, directrice scientifique du programme TIC Migrations FMSH Paris, L’appropriation des réseaux sociaux par les populations migrantes.
\r\n - Questions-réponses
\r\n - Richard Harper, Principal researcher, Microsoft Research, Cambridge, A sense of body : how digital preseence is shifting the relationship between bodyliness and human identity ?
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Les réseaux sociaux numériques se développent dans un contexte où le modèle classique de l’économie industrielle reposant sur une organisation « top down » est diversement mis en question tandis que se développe un marketing participatif aussi tâtonnant que vibrionnant – le tout sur un fond de crise financière mondiale d’une ampleur telle que certains économistes, comme André Orléan, explorent désormais l’hypothèse d’un commerce (c’est-à-dire d’une organisation des échanges) qui ne serait plus fondé sur les relations uniquement déterminées par les marchés. C’est aussi dans ce contexte que l’on examine désormais la nécessité de définir de nouveaux types d’indicateurs économiques qualitatifs et relationnels. Enfin, s’il est vrai que le « branding » aura dominé les dernières décennies en organisant ou en surdéterminant les relations sociales, on peut se demander si les réseaux sociaux n’ouvrent pas la possibilité de dépasser le modèle économique fondé sur la marque et si les technologies du social ne deviennent pas le savoir économique, managérial et politique stratégique.\r\n
\r\n - Michel Gensollen, Chercheur associé au département Sciences Economiques et Sociales de Telecom ParisTech, Economie des communautés médiatisées.
\r\n - Bernard Benhamou, Délégué aux Usages de l‘Internet, Ministère de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche
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Cette session organisée en collaboration avec l’INRIA et l’Institut TELECOM fera un état de l’art des technologies mises en œuvre et dessinera les perspectives de développements à court et moyen terme dans le domaine des industries de la relation sociale en quoi consistent les réseaux sociaux numériques. Elle traitera tout aussi bien des questions d’infrastructures de réseaux qui conditionnent l’émergence de ces technologies sociales, et en particulier du point de vue de l’avenir du protocole Internet en cours de discussion dans le cadre de l’IPV6. Enfin, elle restituera ces réseaux dans le contexte de l’actuelle activité économique et entrepreneuriale fondée sur ces technologies également appelées relationnelles.\r\n
\r\n - Olivier Auber, Directeur, Laboratoire Culturel A+H/ANOPTIQUE, Enjeux de l’IPV6.
\r\n - Francis Jutand, Directeur scientifique, Institut TELECOM, Les technologies de la collaboration.
\r\n - Serge Abiteboul, Directeur de recherche, INRIA Saclay – Ile-de-France, La gestion des données dans les réseaux sociaux.
\r\n - François Bourdoncle, Co-fondateur, Exalead, Le modèle de développement d’Exalead dans le contexte des réseaux sociaux.
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Découverte d‘usages numériques en relation avec les réseaux sociaux et les technologies collaboratives, suivi de la rencontre avec les porteurs de ces projets.
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La conception des technologies sociales et relationnelles est elle-même de plus en plus structurellement sociale et relationnelle. Le feed-back des pratiques sur la spécification en constitue désormais un élément dynamique majeur. Pour autant, la question reste intacte de concevoir des formats de données et des fonctionnalités primitives qui permettent un tel feed-back - et celui-ci peut être mis au service aussi bien d’une individuation psychique et collective assistée par ordinateur que d’une désindividuation et d’un contrôle occulte par les technologies de traçabilité innombrables qui se développent entre cookies, objets communicants, géolocalisation, etc. Ici, R&D, design et marketing distribués sont à repenser comme éléments clés du savoir émergent que forment les technologies stratégiques du
social engineering.\r\n
\r\n - Alain Mille, Professeur des Universités, Directeur de recherche (Equipe Silex, Laboratoire Liris UMR 5205 CNRS, Le concept de M-traces (ou traces modélisées).
\r\n - Jean-Louis Fréchin, Designer-Architecte NoDesign.net - Directeur de Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers, « Vous êtes ici » : Cartographie numérique et mobilité.
\r\n - Pierre-Antoine Chardel, Maître de conférences, Responsable du groupe de recherche « Ethique, Technologies, Organisations, Société », Institut TELECOM, Nomadisme, contrôle et perte d‘individuation.
\r\n - Marc Davis, Chief Scientist and Director of ESP, Yahoo! Connected Life, Yahoo! Inc.
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Le déploiement des réseaux sociaux s’opère sur le fond plus vaste d’une généralisation de la société réticulaire, où la démarche hiérarchique traditionnelle est profondément mise en cause, et où des formes d’organisation sociale aussi bien que de pouvoir politique, économique, militaire et policier très inédites apparaissent – telles que la biométrie vient s’interfacer avec les technologies sociales numériques. Dans ce contexte, de nombreux modèles socio-politiques sont projetés et généralisés à partir de situations spécifiques qui se sont concrétisées historiquement en particulier avec les pratiques des hackers et le logiciel libre. Dans quelle mesure ces données déjà anciennes permettent-elles de penser le devenir des technologies sociales et relationnelles qui se forment avec les réseaux sociaux numériques ? Quelles perspectives géopolitiques planétaires peuvent s’y dessiner ?\r\n
\r\n - Pekka Himanen, Philosophe, Ethique hacker et réseaux.
\r\n - Ken Wark, Chair of Culture and Media Studies at Eugene Lang College and Associate Professor at the New School for Social Research in New York City, Les technologies relationnelles comme technologies politiques.
\r\n - Alexander Galloway, Associate Professor of Media, Culture, and Communication (New York University), Géopolitique des réseaux sociaux.
\r\n - Scott Lash, Director, Centre for Cultural Studies, Goldsmiths, University of London, Networks and democracy in China.
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Culture, politique et ingénierie des réseaux sociaux\r\n
\r\nLa seconde édition des Entretiens du nouveau monde industriel poursuit et approfondit les réflexions engagées lors de l’édition 2007, autour de l’innovation ascendante et les enjeux du design à l’ère du capitalisme dit « culturel » et encore « cognitif ». Nous proposons cette année de poursuivre et d’étendre le débat à la question des réseaux sociaux et du social engineering dans l’environnement technologique et économique du Web 3.0 qui s’impose progressivement à tous les acteurs.\r\nLa première journée des Entretiens sera consacrée à une analyse des conditions sociologiques et psychologiques qui président à la constitution de ces réseaux sociaux, ainsi qu’à un état de l’art international des technologies et des stratégies industrielles déjà mises en œuvre ou à venir. La seconde journée portera sur leurs conséquences économiques et organisationnelles, et sur l’identification des opportunités d’innovatio, sociale comme des enjeux politiques et des menaces afférents à cette émergence du social engineering.\r\nUn Carrefour des possibles de la FING (Fondation internet nouvelle génération) consacré à l’approfondissement des aspects technologiques, économiques et industriels de ces thématiques clôturera la première journée d’interventions.\r\nAu cours des trois dernières décennies, avec l’apparition de ce que l’on a appelé la « télématique » (rapport Nora/Minc L’Informatisation de la société, 1978), puis avec l’installation mondiale du Web (1992), qui a rendu possible le développement de ce que nous appelons désormais les « réseaux sociaux » et du Web 2.0, la dissémination des technologies numériques dans toutes les couches sociales de tous les pays industrialisés transforme inexorablement les relations entre les individus, les groupes, les générations et les nations. Ces technologies relationnelles, afférentes à ce que Jeremy Rifkin regroupe plus généralement sous le terme de « technologies R », bouleversent non seulement les règles traditionnelles de l’économie et de l’industrie, mais également et plus profondément le processus d’individuation psychique et collective par lequel, selon le philosophe Gilbert Simondon, les appareils psychiques des individus ne se forment et se développent qu’en participant à la vie et à l’évolution des appareils sociaux.\r\nCette croissance spectaculaire des réseaux sociaux affecte ainsi tous les milieux et vient transformer les règles du jeu socio-économique dans son ensemble, notamment à travers les jeunes générations qui sont les premières concernées. En cela, nous pouvons et nous devons poser que les grands enjeux de conception industrielle de demain - que l’on définisse ceux-ci en termes de choix économiques, de politiques, d’investissements et de régulations, de recherche et de développement (R&D), de design, de management, de marketing ou de distribution - seront dans une très large mesure conditionnés par des choix et des processus qui se produiront du côté du social engineering.\r\nLe social engineering est en effet ce qui permet la production de ces réseaux sociaux. Or, ceux-ci peuvent en première analyse se présenter plutôt comme des réseaux non sociaux, voire même anti-sociaux. Ils sont en effet généralement coupés de ce qui caractérisait jusqu’alors le social comme lié à un territoire, à une langue, à un héritage (religieux, politique ou culturel au sens le plus large), légué par des générations d’ascendants, et qui précède en principe le social comme son passé, et en cela, comme son sol commun. Pour ces Entretiens du nouveau monde industriel 2008, nous ferons en conséquence l’hypothèse que l’un des grands enjeux du monde industriel de demain est de créer les conditions – technologiques aussi bien qu’économiques et sociales – pour actualiser le potentiel de formation de nouveaux réseaux de relations sociales porté par les social networks. Ceci nous conduira à penser non seulement les règles de constitution et de développement des réseaux sociaux du Web 3.0 (alliance du Web sémantique et du Web social), mais également les conditions économiques et éthiques d’administration de ces nouveaux milieux souhaitables, c’est-à-dire les questions de la gestion, du contrôle, de la transparence et de l’e-démocratie.\r\nLe design au sens le plus large, c’est-à-dire également comme R&D et comme initiative sociale issue de l’innovation ascendante, deviendra en conséquence de plus en plus dépendant d’une vision et d’une stratégie qui devront combiner approche experte top-down et indexation sociale bottom-up. Les Entretiens du nouveau monde industriel 2008 illustreront comment ce mouvement s’incarne dans la recherche comme dans l’industrie grâce à un renouvellement profond du développement dans les termes de ce que l’on pourrait appeler un design distribué, c’est-à-dire assumé par l’ensemble des acteurs de l’innovation qui sont aussi et d’abord, dans de véritables réseaux sociaux, les membres de ces réseaux eux-mêmes.
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Les dernières décennies ont été dominées par le développement de ce que l’on a appelé le « virtuel », que l’on a opposé au « réel », et que l’on a assimilé à l’« immatériel ». Cependant, il n’y a aucune forme sans matière, et l’information est un état de matière. Avec l’internet des objets, c’est la matière qui revient au cœur des systèmes d’information. Il n’existe pas d’information sans supports matériels et réciproquement, ce qui signifie que le virtuel n’est pas l’opposé du réel : il en est la possibilité d’apparition et la profondeur de champ. Un indien Nambikwara projette dans la forêt amazonienne une virtualité foisonnante par laquelle ce milieu hostile est pour lui non seulement habitable, mais familier, constituant en cela sa réalité quotidienne. Un espace urbanisé est un réseau de rues, c’est à dire d’objets urbains nommés et en cela « étiquetés » et « virtualisés ». L’internet des objets communicants consiste en un étiquettage électronique et généralisé des objets industriels qui intensifie la virtualisation du réel, ce qui signifie qu’il constitue un nouvel espace relationnel – le virtuel est ce qu’actualisent des relations – où les objets faisant ainsi système transforment les relations entre les sujets, au risque parfois de les court-circuiter.\r\n
\r\n - Introduction, Alain Seban, Président du Centre Pompidou
\r\n - Objets réticulés et hyperobjectivité, B. Stiegler (IRI)
\r\n - Nouveau monde industriel et nouveaux espaces du design, A. Cadix (ENSCI)
\r\n - De l‘Internet mobile à l‘Internet des Objets : les enjeux économiques, technologiques et politiques, B. Benhamou, délégué aux usages de l’Internet
\r\n - Le devenir-média des objets quotidiens, H. Verdier (Cap Digital)
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Le nouveau monde industriel produit un nouvel objet industriel – qui poursuit sur un autre mode ce que Simondon avait appelé le « processus de concrétisation » : ce néo-objet, comme l’appelle Jean-Louis Fréchin, enregistre des événements, en produit d’autres, s’agence à d’autres objets agis par des sujets, et produit ainsi lui-même des « actions » par le biais d’ « actionneurs ». Cet objet communicant « internetisé » est actif et visible du fait même de sa matérialité, tandis qu’il est porteur de qualités nouvelles, informationnelles, « virtuelles », et qui peuvent demeurer cachées, échappant au propriétaire de l’objet, et s’activant à son insu.\r\nLe nouvel objet industriel, qui « s’anime », qui « raconte des histoires », tel un objet d’enchantement, est aussi un redoutable facteur du désenchantement dont Max Weber et Marcel Gauchet auront donné le sens historique : le nouveau système des objets, accentuant les effets déjà très réels de la traçabilité, paraît pouvoir dissoudre toute intimité, tout secret, toute singularité. Autrement dit, l’internet des objets constitue aussi le carrefour des possibles et des alternatives qui feront le nouveau monde industriel.\r\n
\r\n - Designer les NéoObjets, JL Fréchin (No Design)
\r\n - Les usagers dans les nouveaux objets numériques, Nicola Nova
\r\n - La métamorphose des objets, F. Kaplan (EPFL)
\r\n - Stratégie, vision de l’Internet des objets, JL Beylat (Alcatel Lucent)
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Il n’y a pas d’internet des objets sans capteurs, il n’y a pas de capteurs sans compatibilité et standards de communication, etc. L’histoire de la traçabilité des objets, qui commence avec le code à barres dans les années 1980, entame ainsi une longue histoire qui se poursuivra avec la nanostructuration des matériaux. La mémoire des nouveaux objets, comme celle de nos ordinateurs, est déportée vers les data centers qui la stocke et la gère selon les modèles du cloud computing. La normalisation pose cependant la question de savoir si la rematérialisation peut réintroduire le modèle de l’industrie des biens d’équipement, ou si c’est au contraire le modèle internet qui est appelé à redéfinir toute l’activité industrielle.\r\nL’enjeu est plus que jamais celui du nouveau monde industriel, et qui fera bouger le modèle internet lui-même :\r\n- soit en le soumettant aux logiques d’un contrôle centralisé, occulte et toujours plus puissant,\r\n- soit au contraire en accentuant son caractère décentralisé et hautement contributif. Ici, se pose la question décisive de la définition des standards, de la régulation et de la transparence de la gestion des données.\r\n
\r\n - Traçabilité : histoire et perspectives, Xavier Barras (GS1)
\r\n - Le Cloud Computing et l‘internet des objets, Ch. Fauré (Cap Gemini)
\r\n - Données ouvertes, données portables, que partageons-nous sur le Web ?, Valérie Peugeot (Sofrecom)
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Lieu de découverte d‘usages nouveaux qui dynamisent les échanges d‘informations et les partenariats. Le Carrefour des possibles organisé au sein des Entretiens du Nouveau Monde Industriel privilégiera la thématique des objets communicants.\r\n- 19h : 10 projets innovants se présenteront (jeunes entreprises et laboratoires, associations et services publics, étudiants et créateurs, etc...). Un seul critère : la technologie mise au service de la créativité et des nouveaux usages. Une règle : l‘ouverture d‘esprit, la volonté de découvrir.\r\n- 20h30 : Autour d‘un verre, les participants peuvent ensuite retrouver les porteurs de projets qui disposent chacun d‘un espace de démonstration pour détailler et démontrer leur idée. Le Carrefour des Possibles est organisé par la FING et rendu possible par le soutien de la Région Ile-de-France.\r\n\r\n
APPEL A PROJETS FING\r\n
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Le système des néo-objets pourrait-il devenir un vaste Mécano open source ? On parle désormais de hacking d’objet (aussi bien que de biosynthèse, sinon de nano-objets), do it yourself devenant le mot d’ordre en tous domaines dans ce qui se présente comme une économie générale de la contribution – où la valeur d’usage semble faire retour, ou bien faire place à une valeur pratique non-soluble dans la valeur d’échange : la valeur de l’objet se construirait dans ce qui ne serait plus seulement ou sa customisation, mais bien sa réalisation – au sein de communautés de praticiens partageant ces réalisations d’objets aussi bien que les partitions d’objets, ou spimes virtuels, dont ils sont des interprétations.\r\nLe néo-objet, qui n’est plus le point de départ conduisant au développement de divers services autour de lui, est au contraire le point d’arrivée ménagé par un nouveau type d’industries d’équipements (c’est à dire d’instruments d’interprétation), dont l’imprimante 3D est le précurseur, permettant la concrétisation, dans un espace contributif, de réalisations qui remettent en cause la notion même de service : cet hyperobjet est aussi un objet relationnel où la fonction de production devient essentiellement une fonction de post-production, et où l’innovation ascendante devient une open innovation.\r\n
\r\n - Du fabless au fablab, le modèle d‘innovation de l‘internet appliqué aux objets industriels, Daniel Kaplan, FING
\r\n - Hackers and makers, Massimo Banzi (projet Arduino)
\r\n - When connecting things becomes possible: 7 corners of an evolved networked Episteme, Julian Bleecker (Techkwondo)
\r\n - Public objects: connected things and civic responsibilities in the networked city (Adam Greenfield, auteur de La révolution de l’ubimédia)\r\n
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Une organologie tactile est apparue avec les objets communicants dont l’Iphone est le principal représentant, et sur laquelle enchaîne une organologie haptique qui n’engage plus seulement le doigt, mais aussi les mains et avec elles tout le corps et en premier lieu le toucher, aussi bien qu’une organologie du corps propre, de la cellule familiale et plus généralement des espaces domestiques – par des sous-systèmes d’objets à travers lesquels lesquels s’agencent les secteurs industriels des biens d’équipement aussi bien que des services et des opérateurs de réseau : ici se forme un nouveau système des objets précisément au sens où Jean Baudrillard pouvait en parler en 1968. Chaussure et Ipod, mais aussi ameublement, livre et ordinateur, et bien sûr fablabs : un « objet émancipateur » devient-il ainsi domesticable ? Un nouveau milieu d’individuation psychique et collective localisé est-il en cours de formation ?\r\n
\r\n - Du transit à la reliance : le nouveau paradigme de la mobilité urbaine, Georges AMAR (RATP)
\r\n - Phénoménologie du corps propre et de l’espace intime réticulés, François David Sebbah
\r\n - Les marques à l’épreuve des néo-objets, Benoit Heilbrunn
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« Coder le savoir sur les individus », comme le dit Xavier Guchet dans un style à la fois foucaldien et deleuzien, tel est à nouveau l’enjeu (comme l’avait déjà décrit, dans une autre mesure, et en d’autres temps, Surveiller et punir). Et on peut le coder :\r\n- pour eux-mêmes, c’est à dire dans une réflexivité critique de leurs propres pratiques, et de leurs propres productions objets ou d’agencements entre objets, et à travers ces objets, entre sujets, aussi bien que dans une critique des « partitions » (spimes) qui en sont les capsules virtuelles,\r\n- ou bien à leur insu, en faisant d’eux les hyperconsommateurs contribuant passionnément et aveuglément à une forme extraordinairement sophistiquée de servitude volontaire.\r\nTelle serait peut-être finalement la grande alternative ouverte par cette « interobjectivité ». Car si la traçabilité devient permanente, hors temps de connexion délibérée, les objets étant eux-mêmes connectés en permanence, et les réseaux locaux qu’ils forment assurant au réseau mondial leur « reporting » objectal, sinon objectif, deux questions seront ici examinées pour instruire les termes d’une telle alternative (qui conduiront comme toujours à un compromis) :\r\n- l’examen d’une histoire de la formation du couple public/privé, appréhendé d’un point de vue anthropologique, c’est à dire en extériorité par rapport à la définition occidentale de cette relation, et l’examen de la possibilité hypothétique de sa disparition,\r\n- l’examen de ce qu’il en est de l’intimité aujourd’hui, et de ce qu’il pourrait en être dans ce réseau d’objets rapporteurs, au moment où l’on s’interroge de nos jours sur ce que Roland Gori appelle l’extime.\r\n
\r\n - Le consommateur mis au travail, Marie-Anne Dujarier
\r\n - L’extime, Alain Abelhauer
\r\n - Anthropologie de l’intimité, Jean-Paul Demoule
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Le nouveau système des objets\r\n
\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIè siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.
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\r\n\r\nL’édition 2010 des Entretiens visera à développer une réflexion sur la question du corps à l’heure de la miniaturisation extrême des technologies qui constituent par là une nouvelle organologie prothétique. Ces enjeux relatifs au développement des micro et nano-technologies croisent de nombreux travaux de recherche, scientifiques et artistiques et impliquent dès à présent d''anticiper le développement de nouveaux objets ou services industriels en étroite relation avec les designers. Dans ce contexte, la question de la sensori-motricité et de la cohérence de ces outils et prothèses avec notre propre perception/action notamment dans le champ culturel, seront à l’ordre du jour et ferons l’objet d’une part d’un séminaire IRI durant l’année et d’autre part d’un séminaire préparatoire avec l’ENSCI et Cap Digital.\r\n\r\n
\r\n - Séminaire préparatoire à l’ENSCI : avril 2010 (dates à confirmer)
\r\n - Entretiens : novembre 2010 au Centre Pompidou (dates à confirmer)
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Les nouveaux objets communicants :\n\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision', '', '', '2009-12-21 12:27:31', '2009-12-21 11:27:31', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=232', 0, 'revision', '', 0);
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\n\nDepuis 2007, l’IRI, le pôle de compétitivité Cap digital et l’ENSCI - Les Ateliers (École nationale supérieure de création industrielle) organisent une manifestation commune,
Les Entretiens du nouveau monde industriel, qui ont vocation à se dérouler chaque année.\n
\nLa première édition qui s’est tenue les 27 et 28 novembre 2007 avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies du numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\nLa deuxième édition des Entretiens du nouveau monde industriel aborda ( les 3 et 4 octobre 2008 au Centre Pompidou) le thème « Réseaux sociaux, ingénierie et innovation sociales ».\nLa troisième édition se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants.\n
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\n - Agnès Saal, Directrice Générale du Centre Pompidou
\n - Alain Seban, Centre Pompidou
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Au XXème siècle, la vie quotidienne a été fondamentalement marquée par la place que le design a prise dans la production industrielle : l’art, devenu avec la modernité une exploration systématique de tous les possibles, donnant « des coups de boutoir dans tous les sens », a contribué en nouant une relation fonctionnelle avec l’industrie à ce qui allait aboutir à un processus de transformation planétaire aussi bien technologique que culturel.\nCe devenir, qui conférait à la vie esthétique une vocation économique, se concrétisa au moment où les publics relations, qui devinrent bientôt le marketing, inventèrent aux Etats-Unis la figure du consommateur.\nDésormais, tandis que le capitalisme est lui-même qualifié de culturel, c’est la conception au sens le plus large (comme recherche scientifique, comme nouveaux modèles économiques et politiques de socialisation, comme design et comme création artistique) qui vient au cœur du processus industriel – ce que l’on appelle aussi l’industrie de la connaissance, les sociétés de savoir ou le capitalisme cognitif. Les possibilités de la technologie paraissant illimitées, les destinataires des produits et des services semblent de moins en moins se satisfaire du rôle passif de clients ou d’usagers, et vouloir devenir de plus en plus des contributeurs et des praticiens – c’est-à-dire, aussi, redevenir des citoyens. C’est dans ce contexte qu’est remis en cause le circuit recherche/développement/ design/marketing/distribution.\n
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Le premier secteur économique où se concrétisent ces transformations est celui des nouveaux médias. Il résulte de la convergence des technologies culturelles et des technologies cognitives intégrées par la numérisation.
Social engineering et technologies de l’individuation se développent sur le Web qui devient ainsi un milieu participatif où échangent des amateurs – pour le meilleur et pour le pire : l’amateur peut devenir ce que l’on appelle au Japon un
otaku, le
user profiling au service de l’hyper-segmentation aggravant ainsi la
désindividuation ; le syndrome de saturation cognitive empoisonne les systèmes d’information et le déficit attentionnel semble se généraliser. Dans le même temps, les technologies d’autoproduction et de diffusion qui deviennent de plus en plus largement accessibles font apparaître une nouvelle forme d’attention appareillée, une attention active parce que participative (Katherine Hayles, professeur à Los Angeles, parle d’ « hyper attention »).\n
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Dans ce milieu technologique de plus en plus participatif, le consommateur devenu praticien ne peut plus être appréhendé comme un simple « utilisateur final » (
end user). La recherche technologique et le design doivent coopérer pour l’intégrer très en amont en mettant en œuvre de nouvelles méthodologies, comme celles qu’expérimente le design de process – la place et la responsabilité du designer dans le processus de conception ne cessant de s’étendre –. Dans ce contexte, les technologies cognitives font appel à de nouveaux modèles théoriques et méthodologiques, qui vont de ce que l’équipe COSTECH (UTC) a appelé la « phénoménologie expérimentale », jusqu’à ce qui se présente aujourd’hui comme une cognition de l’attention. C’est ainsi que se dessine une méthodologie de design ouverte à des pratiques actives et instrumentées par opposition à des usages proches de la simple consommation.\n
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L’extrême miniaturisation et les nouvelles liaisons sans fil transforment insensiblement mais radicalement le rapport entre les corps humains (et leurs cerveaux), devenus porteurs de fonctions technologiques toujours plus sophistiquées, et le milieu industriellement appareillé, où ils baignent presque en permanence. Cette mutation du milieu
technosocial est évidemment aussi ce qui induit une mutation des conditions de la socialisation des individus. Dans le même temps, après le « génie des matériaux » qui fut une méthode de direction de la recherche en physique appliquée, et après ces
immatériaux que furent les matériels et dispositifs informationnels médités et mis en scène par Lyotard au Centre Pompidou dès 1985, la
nanoplasticité bouleverse la distinction traditionnelle entre la forme et la matière. Nanoplasticité par où apparaissent des
hypermatériaux dits
nanostructurés, aux propriétés très éloignées de ce qui se trouve dans la nature, et élargit à des dimensions aussi bien cosmiques qu’éthiques les questions du design qui paraît devenir total.\n
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Depuis le début du processus d’hominisation, les organes de perception n’ont cessé de se trouver agencés avec des dispositifs techniques (techniques du corps, outils mnémotechniques) puis technologiques (machines, appareils, puces, prothèses sous-cutanées) par où les relations entre les sens ont formé des circuits engendrant des symboles, des pensées, des objets, des produits, des services, des organisations sociales…. Dans ce devenir, les nouvelles interfaces multimodales (ou multi-sensorielles), actuellement développées dans les laboratoires, préfigurent certaines situations qui seront amplifiées et généralisées par l’avènement des micro et nanotechnologies, et replacent le corps au centre du monde numérique. Après le développement des espaces et des temps numériquement virtuels (mais tout espace, qui n’est pas le « là où je suis », et tout temps qui n’est pas le « maintenant présent », sont virtuels) qui semblaient conduire à une véritable désincarnation des corps, ceux-ci reprennent une place prépondérante, tandis que la transformation des milieux vitaux vectorisés par les technologies transformationnelles ouvre la question d’une écologie numérique, micro-technologique, biotechnologique et nanotechnologique, où la virtualité devient une hyper-réalité.\n
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La mobilité et les objets communicants sont les technologies les plus largement socialisées de ce qui semble conduire à une véritable incarnation des artefacts industriels par les individus psychiques et tout se passe comme si le sens de ce que Leroi-Gourhan appelait un « processus d’extériorisation technique de l’humain » – comme délégation de ses fonctions vitales vers la technique – commençait à s’inverser. La convergence des technologies transformationnelles et des milieux pervasifs paraissent engager un processus d’intériorisation de la technique qui rompt avec les deux millions d’années au cours desquels se déroula l’hominisation comme extériorisation, et l’on peut en ce sens s’interroger en termes de « rupture anthropologique » - et se demander jusqu’à quel point ce renversement préserve non seulement l’intégrité individuelle, mais la sociabilité des organisations collectives. Des fonctions essentielles à la constitution de tout collectif humain, comme les dispositifs cardinaux et calendaires d’orientation dans le temps et dans l’espace, s’intègrent en services d’assistance à l’existence où l’on peut aussi bien projeter les technologies de contrôle les plus sophistiquées. Il se joue là une immense transformation organologique (des organes du corps, des organes artificiels et des organisations sociales où ils s’agencent) où la question essentielle est sa capacité à produire un lien social – plutôt que des individus sous contrôle.\n
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Ces mutations s’opèrent tandis que les industries culturelles et les industries de programmes qui auront été les bras séculiers de la société consumériste apparue au XXème siècle sont totalement bouleversées, et très gravement menacées, depuis l’industrie du disque jusqu’aux canaux de télévision en passant par la presse écrite qui fut la base de la république des lettres – comme le soulignait récemment Al Gore. La société des réseaux numériques engendre le passage des audiences de masse aux publics hypersegmentés – avec les problèmes déjà évoqués de nouvelles formes de désindividuation qui peuvent s’y produire. En outre, une indexation généralisée de tout objet matériel ou intellectuel semble devenir possible, de la puce RFID à la généralisation de la norme IPV6, nouveau standard du protocole internet, dont la puissance combinatoire permettrait en théorie d’encoder chaque atome de l’univers. On voit ainsi l’ingénierie des métadonnées entrer en relation directe avec les structures élémentaires de la matière qui semble ainsi déployer sous nos yeux sa définition quantique par l’énergie et l’information – où l’opposition forme/matière n’a plus cours. Mais ce sont aussi des possibilités technologiques de duplication de toutes choses qui se généralisent ainsi en remettant radicalement en cause le principe juridique qui supposait le droit de la propriété comme base de l’investissement. En tenant compte du bouleversement induit par les méthodologies de développement basées sur le logiciel libre et sur la diffusion de contenu sous licence
Creative Commons, la session finale de ces Entretiens du nouveau monde industriel abordera quelques exemples de nouveaux modèles économiques en insistant sur les questions juridiques, éthiques et sociétales qu’ils soulèvent. En d’autres termes, le cas de la communauté du logiciel libre sera examiné sous l’angle de son design, c’est-à-dire tel que cette communauté sait ou ne sait pas aujourd’hui traiter les questions de pratiques des non-développeurs.\n
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Design et innovation ascendante\n
\nLa première édition des Entretiens du nouveau monde industriel, qui s’est déroulée les 27 et 28 novembre 2007, avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme les technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\nLes mutations qui en résultent, et les contradictions qu’elles génèrent, imposent en effet de repenser les pratiques du design et de la recherche & développement, et leurs implications du point de vue social et économique. Le modèle industriel forgé au XIXème siècle, qui a conduit après la seconde guerre mondiale à la planétarisation de la société de consommation, semble de nos jours à la fois rencontrer ses limites et ouvrir de nouvelles possibilités – en renversant l’opposition producteur/consommateur (en particulier dans le domaine du numérique), et en conférant à la matière aussi bien qu’au vivant une plasticité jusqu’alors inconcevable.\nÀ travers un processus non linéaire où la séquence recherche / développement / design / marketing / distribution semble devenir caduque et requérir de nouvelles formes d’organisation de la société, comme le déploiement d’internet et les médias participatifs le rendent chaque jour plus manifeste, et où les possibilités de manipulation de la matière, du vivant et de l’information paraissent devenir illimitées, le design entendu en un sens élargi devient une activité de « sculpture » du social qui lui ouvre et lui assigne des perspectives et des responsabilités sans précédent – aussi exaltantes qu’écrasantes.\nUne nouvelle relation entre conception industrielle et pratiques quotidiennes de l’existence est en cours de définition. Veiller sur cette nouveauté et tenter d’en prendre collectivement soin seront les thématiques consacrées à ces entretiens qui ambitionnent de renouveler la relation entre savoir et industrie en particulier pour esquisser les contours de nouvelles industries culturelles numériques.
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On sait depuis la théorie psychanalytique que le désir est intrinsèquement et originellement inscrit dans un nœud de relations sociales. On sait aussi qu’au cours des dernières décennies les réseaux sociaux traditionnels ont été largement bousculés, « déterritorialisés » comme le disaient Gilles Deleuze et Félix Guattari, voire purement court-circuités, par les réseaux technologiques apparus dans le monde industriel. Or, avec la numérisation, il semble que les nouvelles formes de réseaux technologiques, dits eux-mêmes « sociaux », ouvrent à nouveaux frais la question de l’investissement du désir, de la relation sociale et de l’attention au sens large. En même temps, ils rendent possibles des formes pathologiques de tels investissements, par exemple de nature addictive, ou transforment radicalement les conditions de l’attention, par exemple comme ce que Katherine Hayles nomme l’hyper attention.\n
\n - Bernard Stiegler, Directeur, IRI / Centre Pompidou, Désir et relation sociale à l‘époque du social engineering
\n - Antoine Masson, Professeur, Centre Chapelle-aux-Champs à Bruxelles, Universités de Louvain et Namur, Médiation technologique et modalités de désir et de transfert à l‘adolescence.
\n - Elizabeth Rossé, Psychologue, Hôpital Marmottan, Désir et addiction dans la médiation technologique
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Ce que l’on appelle les réseaux sociaux dans le monde Internet repose sur la formalisation plus ou moins poussée et explicite des relations sociales par les technologies numériques. Les protocoles de participation conduisent en particulier les membres de ces réseaux à s’auto-décrire, à s’auto-indexer, et à produire des schèmes de relations sociales sous forme de métadonnées générées par eux-mêmes – consciemment ou inconsciemment. Le réseau est dit social d’abord pour cette raison. Et c’est ce qui conduit à une sorte d’automatisation des relations, fondée sur une opération d’explicitation de ces relations, et qui a pour conséquence de les transformer en profondeur – au point que l’on peut se demander dans quelle mesure une nouvelle forme de « conscience de réseau », c’est-à-dire d’appartenance, est susceptible d’y apparaître comme nouvelle forme de conscience critique, et comment tout au contraire une dissolution de la relation proprement sociale peut tout aussi bien en résulter. On examinera ainsi la double dimension potentiellement dynamique aussi bien que potentiellement réifiante des réseaux sociaux sur le plan socio-anthropologique.\n
\n - Dominique Pasquier, Sociologue, Directrice de recherche au CNRS, La nouvelle génération à la recherche du lien social.
\n - Dana Diminescu , Enseignant-chercheur à Telecom ParisTech, directrice scientifique du programme TIC Migrations FMSH Paris, L’appropriation des réseaux sociaux par les populations migrantes.
\n - Questions-réponses
\n - Richard Harper, Principal researcher, Microsoft Research, Cambridge, A sense of body : how digital preseence is shifting the relationship between bodyliness and human identity ?
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Les réseaux sociaux numériques se développent dans un contexte où le modèle classique de l’économie industrielle reposant sur une organisation « top down » est diversement mis en question tandis que se développe un marketing participatif aussi tâtonnant que vibrionnant – le tout sur un fond de crise financière mondiale d’une ampleur telle que certains économistes, comme André Orléan, explorent désormais l’hypothèse d’un commerce (c’est-à-dire d’une organisation des échanges) qui ne serait plus fondé sur les relations uniquement déterminées par les marchés. C’est aussi dans ce contexte que l’on examine désormais la nécessité de définir de nouveaux types d’indicateurs économiques qualitatifs et relationnels. Enfin, s’il est vrai que le « branding » aura dominé les dernières décennies en organisant ou en surdéterminant les relations sociales, on peut se demander si les réseaux sociaux n’ouvrent pas la possibilité de dépasser le modèle économique fondé sur la marque et si les technologies du social ne deviennent pas le savoir économique, managérial et politique stratégique.\n
\n - Michel Gensollen, Chercheur associé au département Sciences Economiques et Sociales de Telecom ParisTech, Economie des communautés médiatisées.
\n - Bernard Benhamou, Délégué aux Usages de l‘Internet, Ministère de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche
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Cette session organisée en collaboration avec l’INRIA et l’Institut TELECOM fera un état de l’art des technologies mises en œuvre et dessinera les perspectives de développements à court et moyen terme dans le domaine des industries de la relation sociale en quoi consistent les réseaux sociaux numériques. Elle traitera tout aussi bien des questions d’infrastructures de réseaux qui conditionnent l’émergence de ces technologies sociales, et en particulier du point de vue de l’avenir du protocole Internet en cours de discussion dans le cadre de l’IPV6. Enfin, elle restituera ces réseaux dans le contexte de l’actuelle activité économique et entrepreneuriale fondée sur ces technologies également appelées relationnelles.\n
\n - Olivier Auber, Directeur, Laboratoire Culturel A+H/ANOPTIQUE, Enjeux de l’IPV6.
\n - Francis Jutand, Directeur scientifique, Institut TELECOM, Les technologies de la collaboration.
\n - Serge Abiteboul, Directeur de recherche, INRIA Saclay – Ile-de-France, La gestion des données dans les réseaux sociaux.
\n - François Bourdoncle, Co-fondateur, Exalead, Le modèle de développement d’Exalead dans le contexte des réseaux sociaux.
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Découverte d‘usages numériques en relation avec les réseaux sociaux et les technologies collaboratives, suivi de la rencontre avec les porteurs de ces projets.
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La conception des technologies sociales et relationnelles est elle-même de plus en plus structurellement sociale et relationnelle. Le feed-back des pratiques sur la spécification en constitue désormais un élément dynamique majeur. Pour autant, la question reste intacte de concevoir des formats de données et des fonctionnalités primitives qui permettent un tel feed-back - et celui-ci peut être mis au service aussi bien d’une individuation psychique et collective assistée par ordinateur que d’une désindividuation et d’un contrôle occulte par les technologies de traçabilité innombrables qui se développent entre cookies, objets communicants, géolocalisation, etc. Ici, R&D, design et marketing distribués sont à repenser comme éléments clés du savoir émergent que forment les technologies stratégiques du
social engineering.\n
\n - Alain Mille, Professeur des Universités, Directeur de recherche (Equipe Silex, Laboratoire Liris UMR 5205 CNRS, Le concept de M-traces (ou traces modélisées).
\n - Jean-Louis Fréchin, Designer-Architecte NoDesign.net - Directeur de Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers, « Vous êtes ici » : Cartographie numérique et mobilité.
\n - Pierre-Antoine Chardel, Maître de conférences, Responsable du groupe de recherche « Ethique, Technologies, Organisations, Société », Institut TELECOM, Nomadisme, contrôle et perte d‘individuation.
\n - Marc Davis, Chief Scientist and Director of ESP, Yahoo! Connected Life, Yahoo! Inc.
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Le déploiement des réseaux sociaux s’opère sur le fond plus vaste d’une généralisation de la société réticulaire, où la démarche hiérarchique traditionnelle est profondément mise en cause, et où des formes d’organisation sociale aussi bien que de pouvoir politique, économique, militaire et policier très inédites apparaissent – telles que la biométrie vient s’interfacer avec les technologies sociales numériques. Dans ce contexte, de nombreux modèles socio-politiques sont projetés et généralisés à partir de situations spécifiques qui se sont concrétisées historiquement en particulier avec les pratiques des hackers et le logiciel libre. Dans quelle mesure ces données déjà anciennes permettent-elles de penser le devenir des technologies sociales et relationnelles qui se forment avec les réseaux sociaux numériques ? Quelles perspectives géopolitiques planétaires peuvent s’y dessiner ?\n
\n - Pekka Himanen, Philosophe, Ethique hacker et réseaux.
\n - Ken Wark, Chair of Culture and Media Studies at Eugene Lang College and Associate Professor at the New School for Social Research in New York City, Les technologies relationnelles comme technologies politiques.
\n - Alexander Galloway, Associate Professor of Media, Culture, and Communication (New York University), Géopolitique des réseaux sociaux.
\n - Scott Lash, Director, Centre for Cultural Studies, Goldsmiths, University of London, Networks and democracy in China.
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Culture, politique et ingénierie des réseaux sociaux\n
\nLa seconde édition des Entretiens du nouveau monde industriel poursuit et approfondit les réflexions engagées lors de l’édition 2007, autour de l’innovation ascendante et les enjeux du design à l’ère du capitalisme dit « culturel » et encore « cognitif ». Nous proposons cette année de poursuivre et d’étendre le débat à la question des réseaux sociaux et du social engineering dans l’environnement technologique et économique du Web 3.0 qui s’impose progressivement à tous les acteurs.\nLa première journée des Entretiens sera consacrée à une analyse des conditions sociologiques et psychologiques qui président à la constitution de ces réseaux sociaux, ainsi qu’à un état de l’art international des technologies et des stratégies industrielles déjà mises en œuvre ou à venir. La seconde journée portera sur leurs conséquences économiques et organisationnelles, et sur l’identification des opportunités d’innovatio, sociale comme des enjeux politiques et des menaces afférents à cette émergence du social engineering.\nUn Carrefour des possibles de la FING (Fondation internet nouvelle génération) consacré à l’approfondissement des aspects technologiques, économiques et industriels de ces thématiques clôturera la première journée d’interventions.\nAu cours des trois dernières décennies, avec l’apparition de ce que l’on a appelé la « télématique » (rapport Nora/Minc L’Informatisation de la société, 1978), puis avec l’installation mondiale du Web (1992), qui a rendu possible le développement de ce que nous appelons désormais les « réseaux sociaux » et du Web 2.0, la dissémination des technologies numériques dans toutes les couches sociales de tous les pays industrialisés transforme inexorablement les relations entre les individus, les groupes, les générations et les nations. Ces technologies relationnelles, afférentes à ce que Jeremy Rifkin regroupe plus généralement sous le terme de « technologies R », bouleversent non seulement les règles traditionnelles de l’économie et de l’industrie, mais également et plus profondément le processus d’individuation psychique et collective par lequel, selon le philosophe Gilbert Simondon, les appareils psychiques des individus ne se forment et se développent qu’en participant à la vie et à l’évolution des appareils sociaux.\nCette croissance spectaculaire des réseaux sociaux affecte ainsi tous les milieux et vient transformer les règles du jeu socio-économique dans son ensemble, notamment à travers les jeunes générations qui sont les premières concernées. En cela, nous pouvons et nous devons poser que les grands enjeux de conception industrielle de demain - que l’on définisse ceux-ci en termes de choix économiques, de politiques, d’investissements et de régulations, de recherche et de développement (R&D), de design, de management, de marketing ou de distribution - seront dans une très large mesure conditionnés par des choix et des processus qui se produiront du côté du social engineering.\nLe social engineering est en effet ce qui permet la production de ces réseaux sociaux. Or, ceux-ci peuvent en première analyse se présenter plutôt comme des réseaux non sociaux, voire même anti-sociaux. Ils sont en effet généralement coupés de ce qui caractérisait jusqu’alors le social comme lié à un territoire, à une langue, à un héritage (religieux, politique ou culturel au sens le plus large), légué par des générations d’ascendants, et qui précède en principe le social comme son passé, et en cela, comme son sol commun. Pour ces Entretiens du nouveau monde industriel 2008, nous ferons en conséquence l’hypothèse que l’un des grands enjeux du monde industriel de demain est de créer les conditions – technologiques aussi bien qu’économiques et sociales – pour actualiser le potentiel de formation de nouveaux réseaux de relations sociales porté par les social networks. Ceci nous conduira à penser non seulement les règles de constitution et de développement des réseaux sociaux du Web 3.0 (alliance du Web sémantique et du Web social), mais également les conditions économiques et éthiques d’administration de ces nouveaux milieux souhaitables, c’est-à-dire les questions de la gestion, du contrôle, de la transparence et de l’e-démocratie.\nLe design au sens le plus large, c’est-à-dire également comme R&D et comme initiative sociale issue de l’innovation ascendante, deviendra en conséquence de plus en plus dépendant d’une vision et d’une stratégie qui devront combiner approche experte top-down et indexation sociale bottom-up. Les Entretiens du nouveau monde industriel 2008 illustreront comment ce mouvement s’incarne dans la recherche comme dans l’industrie grâce à un renouvellement profond du développement dans les termes de ce que l’on pourrait appeler un design distribué, c’est-à-dire assumé par l’ensemble des acteurs de l’innovation qui sont aussi et d’abord, dans de véritables réseaux sociaux, les membres de ces réseaux eux-mêmes.
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Les dernières décennies ont été dominées par le développement de ce que l’on a appelé le « virtuel », que l’on a opposé au « réel », et que l’on a assimilé à l’« immatériel ». Cependant, il n’y a aucune forme sans matière, et l’information est un état de matière. Avec l’internet des objets, c’est la matière qui revient au cœur des systèmes d’information. Il n’existe pas d’information sans supports matériels et réciproquement, ce qui signifie que le virtuel n’est pas l’opposé du réel : il en est la possibilité d’apparition et la profondeur de champ. Un indien Nambikwara projette dans la forêt amazonienne une virtualité foisonnante par laquelle ce milieu hostile est pour lui non seulement habitable, mais familier, constituant en cela sa réalité quotidienne. Un espace urbanisé est un réseau de rues, c’est à dire d’objets urbains nommés et en cela « étiquetés » et « virtualisés ». L’internet des objets communicants consiste en un étiquettage électronique et généralisé des objets industriels qui intensifie la virtualisation du réel, ce qui signifie qu’il constitue un nouvel espace relationnel – le virtuel est ce qu’actualisent des relations – où les objets faisant ainsi système transforment les relations entre les sujets, au risque parfois de les court-circuiter.\n
\n - Introduction, Alain Seban, Président du Centre Pompidou
\n - Objets réticulés et hyperobjectivité, B. Stiegler (IRI)
\n - Nouveau monde industriel et nouveaux espaces du design, A. Cadix (ENSCI)
\n - De l‘Internet mobile à l‘Internet des Objets : les enjeux économiques, technologiques et politiques, B. Benhamou, délégué aux usages de l’Internet
\n - Le devenir-média des objets quotidiens, H. Verdier (Cap Digital)
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Le nouveau monde industriel produit un nouvel objet industriel – qui poursuit sur un autre mode ce que Simondon avait appelé le « processus de concrétisation » : ce néo-objet, comme l’appelle Jean-Louis Fréchin, enregistre des événements, en produit d’autres, s’agence à d’autres objets agis par des sujets, et produit ainsi lui-même des « actions » par le biais d’ « actionneurs ». Cet objet communicant « internetisé » est actif et visible du fait même de sa matérialité, tandis qu’il est porteur de qualités nouvelles, informationnelles, « virtuelles », et qui peuvent demeurer cachées, échappant au propriétaire de l’objet, et s’activant à son insu.\nLe nouvel objet industriel, qui « s’anime », qui « raconte des histoires », tel un objet d’enchantement, est aussi un redoutable facteur du désenchantement dont Max Weber et Marcel Gauchet auront donné le sens historique : le nouveau système des objets, accentuant les effets déjà très réels de la traçabilité, paraît pouvoir dissoudre toute intimité, tout secret, toute singularité. Autrement dit, l’internet des objets constitue aussi le carrefour des possibles et des alternatives qui feront le nouveau monde industriel.\n
\n - Designer les NéoObjets, JL Fréchin (No Design)
\n - Les usagers dans les nouveaux objets numériques, Nicola Nova
\n - La métamorphose des objets, F. Kaplan (EPFL)
\n - Stratégie, vision de l’Internet des objets, JL Beylat (Alcatel Lucent)
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Il n’y a pas d’internet des objets sans capteurs, il n’y a pas de capteurs sans compatibilité et standards de communication, etc. L’histoire de la traçabilité des objets, qui commence avec le code à barres dans les années 1980, entame ainsi une longue histoire qui se poursuivra avec la nanostructuration des matériaux. La mémoire des nouveaux objets, comme celle de nos ordinateurs, est déportée vers les data centers qui la stocke et la gère selon les modèles du cloud computing. La normalisation pose cependant la question de savoir si la rematérialisation peut réintroduire le modèle de l’industrie des biens d’équipement, ou si c’est au contraire le modèle internet qui est appelé à redéfinir toute l’activité industrielle.\nL’enjeu est plus que jamais celui du nouveau monde industriel, et qui fera bouger le modèle internet lui-même :\n- soit en le soumettant aux logiques d’un contrôle centralisé, occulte et toujours plus puissant,\n- soit au contraire en accentuant son caractère décentralisé et hautement contributif. Ici, se pose la question décisive de la définition des standards, de la régulation et de la transparence de la gestion des données.\n
\n - Traçabilité : histoire et perspectives, Xavier Barras (GS1)
\n - Le Cloud Computing et l‘internet des objets, Ch. Fauré (Cap Gemini)
\n - Données ouvertes, données portables, que partageons-nous sur le Web ?, Valérie Peugeot (Sofrecom)
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Lieu de découverte d‘usages nouveaux qui dynamisent les échanges d‘informations et les partenariats. Le Carrefour des possibles organisé au sein des Entretiens du Nouveau Monde Industriel privilégiera la thématique des objets communicants.\n- 19h : 10 projets innovants se présenteront (jeunes entreprises et laboratoires, associations et services publics, étudiants et créateurs, etc...). Un seul critère : la technologie mise au service de la créativité et des nouveaux usages. Une règle : l‘ouverture d‘esprit, la volonté de découvrir.\n- 20h30 : Autour d‘un verre, les participants peuvent ensuite retrouver les porteurs de projets qui disposent chacun d‘un espace de démonstration pour détailler et démontrer leur idée. Le Carrefour des Possibles est organisé par la FING et rendu possible par le soutien de la Région Ile-de-France.\n\n
APPEL A PROJETS FING\n
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Le système des néo-objets pourrait-il devenir un vaste Mécano open source ? On parle désormais de hacking d’objet (aussi bien que de biosynthèse, sinon de nano-objets), do it yourself devenant le mot d’ordre en tous domaines dans ce qui se présente comme une économie générale de la contribution – où la valeur d’usage semble faire retour, ou bien faire place à une valeur pratique non-soluble dans la valeur d’échange : la valeur de l’objet se construirait dans ce qui ne serait plus seulement ou sa customisation, mais bien sa réalisation – au sein de communautés de praticiens partageant ces réalisations d’objets aussi bien que les partitions d’objets, ou spimes virtuels, dont ils sont des interprétations.\nLe néo-objet, qui n’est plus le point de départ conduisant au développement de divers services autour de lui, est au contraire le point d’arrivée ménagé par un nouveau type d’industries d’équipements (c’est à dire d’instruments d’interprétation), dont l’imprimante 3D est le précurseur, permettant la concrétisation, dans un espace contributif, de réalisations qui remettent en cause la notion même de service : cet hyperobjet est aussi un objet relationnel où la fonction de production devient essentiellement une fonction de post-production, et où l’innovation ascendante devient une open innovation.\n
\n - Du fabless au fablab, le modèle d‘innovation de l‘internet appliqué aux objets industriels, Daniel Kaplan, FING
\n - Hackers and makers, Massimo Banzi (projet Arduino)
\n - When connecting things becomes possible: 7 corners of an evolved networked Episteme, Julian Bleecker (Techkwondo)
\n - Public objects: connected things and civic responsibilities in the networked city (Adam Greenfield, auteur de La révolution de l’ubimédia)\n
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Une organologie tactile est apparue avec les objets communicants dont l’Iphone est le principal représentant, et sur laquelle enchaîne une organologie haptique qui n’engage plus seulement le doigt, mais aussi les mains et avec elles tout le corps et en premier lieu le toucher, aussi bien qu’une organologie du corps propre, de la cellule familiale et plus généralement des espaces domestiques – par des sous-systèmes d’objets à travers lesquels lesquels s’agencent les secteurs industriels des biens d’équipement aussi bien que des services et des opérateurs de réseau : ici se forme un nouveau système des objets précisément au sens où Jean Baudrillard pouvait en parler en 1968. Chaussure et Ipod, mais aussi ameublement, livre et ordinateur, et bien sûr fablabs : un « objet émancipateur » devient-il ainsi domesticable ? Un nouveau milieu d’individuation psychique et collective localisé est-il en cours de formation ?\n
\n - Du transit à la reliance : le nouveau paradigme de la mobilité urbaine, Georges AMAR (RATP)
\n - Phénoménologie du corps propre et de l’espace intime réticulés, François David Sebbah
\n - Les marques à l’épreuve des néo-objets, Benoit Heilbrunn
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« Coder le savoir sur les individus », comme le dit Xavier Guchet dans un style à la fois foucaldien et deleuzien, tel est à nouveau l’enjeu (comme l’avait déjà décrit, dans une autre mesure, et en d’autres temps, Surveiller et punir). Et on peut le coder :\n- pour eux-mêmes, c’est à dire dans une réflexivité critique de leurs propres pratiques, et de leurs propres productions objets ou d’agencements entre objets, et à travers ces objets, entre sujets, aussi bien que dans une critique des « partitions » (spimes) qui en sont les capsules virtuelles,\n- ou bien à leur insu, en faisant d’eux les hyperconsommateurs contribuant passionnément et aveuglément à une forme extraordinairement sophistiquée de servitude volontaire.\nTelle serait peut-être finalement la grande alternative ouverte par cette « interobjectivité ». Car si la traçabilité devient permanente, hors temps de connexion délibérée, les objets étant eux-mêmes connectés en permanence, et les réseaux locaux qu’ils forment assurant au réseau mondial leur « reporting » objectal, sinon objectif, deux questions seront ici examinées pour instruire les termes d’une telle alternative (qui conduiront comme toujours à un compromis) :\n- l’examen d’une histoire de la formation du couple public/privé, appréhendé d’un point de vue anthropologique, c’est à dire en extériorité par rapport à la définition occidentale de cette relation, et l’examen de la possibilité hypothétique de sa disparition,\n- l’examen de ce qu’il en est de l’intimité aujourd’hui, et de ce qu’il pourrait en être dans ce réseau d’objets rapporteurs, au moment où l’on s’interroge de nos jours sur ce que Roland Gori appelle l’extime.\n
\n - Le consommateur mis au travail, Marie-Anne Dujarier
\n - L’extime, Alain Abelhauer
\n - Anthropologie de l’intimité, Jean-Paul Demoule
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Le nouveau système des objets\n
\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIè siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.
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\n\nL’édition 2010 des Entretiens visera à développer une réflexion sur la question du corps à l’heure de la miniaturisation extrême des technologies qui constituent par là une nouvelle organologie prothétique. Ces enjeux relatifs au développement des micro et nano-technologies croisent de nombreux travaux de recherche, scientifiques et artistiques et impliquent dès à présent d''anticiper le développement de nouveaux objets ou services industriels en étroite relation avec les designers. Dans ce contexte, la question de la sensori-motricité et de la cohérence de ces outils et prothèses avec notre propre perception/action notamment dans le champ culturel, seront à l’ordre du jour et ferons l’objet d’une part d’un séminaire IRI durant l’année et d’autre part d’un séminaire préparatoire avec l’ENSCI et Cap Digital.\n\n
\n - Séminaire préparatoire à l’ENSCI : avril 2010 (dates à confirmer)
\n - Entretiens : novembre 2010 au Centre Pompidou (dates à confirmer)
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Entretiens du nouveau monde industriel se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants :\r\n\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision-2', '', '', '2009-12-21 12:28:15', '2009-12-21 11:28:15', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=234', 0, 'revision', '', 0),
-(257, 1, '2009-12-21 15:42:49', '2009-12-21 14:42:49', '
FAQ
\r\n
Introduction :\r\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\r\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\r\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\r\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\r\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\r\n
\r\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\r\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\r\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\r\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\r\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\r\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\r\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\r\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\r\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.8 :\r\n
\r\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\r\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\r\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\r\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\r\n - Debug
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\r\n
\r\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\r\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\r\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\r\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\r\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.3 :\r\n
\r\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10 :\r\n
\r\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\r\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\r\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\r\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\r\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\r\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\r\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\r\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\r\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.4 :\r\n
\r\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\r\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\r\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\r\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\r\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
\r\n - Possibilité de dupliquer une ligne en ne sélectionnant que les segments en surbrillance.
\r\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\r\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.2 :\r\n
\r\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
\r\n - Ajout du champ tag pour les segments.
\r\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
\r\n - Débogage des bugs identifiés dans la version précédente.
\r\n - Modification de l''interface : fenêtre d''informations agrandie en hauteur et en largeur et fenêtre d''affichage des lignes agrandie en largeur.
\r\n
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\r\n
\r\n
\r\n
Adresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris
\r\n
Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)
\r\n
Téléphone : \r\n01 44 78 42 02.
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
\r\n
\r\n
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Adresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris
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Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)
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Téléphone : \r\n01 44 78 42 02.
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Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
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-(240, 1, '2009-12-21 15:09:40', '2009-12-21 14:09:40', 'Carrefour des possibles de la FING le 17 décembre à 17h30 au CNAM (métro Arts et Métiers). L''Iri y fera une présentation du projet Fingers Dance sur la table tactile Microsoft Surface.', 'Carrefour des possibles de la FING le 17 décembre', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'carrefour-des-possibles-17', '', '', '2010-01-05 18:44:01', '2010-01-05 17:44:01', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=240', 0, 'post', '', 0),
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Entretiens du nouveau monde industriel se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants :\r\n\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision-3', '', '', '2009-12-21 12:31:05', '2009-12-21 11:31:05', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/231-revision-3/', 0, 'revision', '', 0),
-(242, 1, '2009-12-21 15:10:28', '2009-12-21 14:10:28', 'Les vidéos des Entretiens du Nouveau Monde Industriel sont accessibles sur
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-(246, 1, '2009-12-16 15:19:25', '2009-12-16 14:19:25', 'ATTENTION : en raison d''un mouvement social du personnel du Centre Pompidou, le séminaire Muséologie 2.0 sur les techniques de l’attention avec Katherine Hayles et Alain Giffard ne se tiendra pas comme prévu au Centre Pompidou mais à
l''amphithéâtre Dürer à l’Ecole du Louvre (Métro Palais Royal, aile sud-ouest).\r\n\r\n
Horaires inchangés : de 16h à 18h30.', 'ATTENTION : en raison d''un mouvement social du personnel du Centre Pompidou ...', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'attention-en-raison-dun-mouvement-social-du-personnel-du-centre-pompidou', '', '', '2009-12-23 15:35:01', '2009-12-23 14:35:01', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=246', 0, 'post', '', 0),
-(247, 1, '2009-12-21 15:19:11', '2009-12-21 14:19:11', '', 'ATTENTION : en raison d''un mouvement social du personnel du Centre Pompidou', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '246-revision', '', '', '2009-12-21 15:19:11', '2009-12-21 14:19:11', '', 246, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=247', 0, 'revision', '', 0),
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-(249, 1, '2009-12-18 11:14:46', '2009-12-18 10:14:46', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '158-revision-3', '', '', '2009-12-18 11:14:46', '2009-12-18 10:14:46', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=249', 0, 'revision', '', 0),
-(250, 1, '2009-12-21 10:14:42', '2009-12-21 09:14:42', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-5', '', '', '2009-12-21 10:14:42', '2009-12-21 09:14:42', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=250', 0, 'revision', '', 0),
-(251, 1, '2009-12-21 15:10:28', '2009-12-21 14:10:28', '', 'Les vidéos des Entretiens du Nouveau Monde Industriel sont accessibles sur http://enmi.tivipro.tv/.', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '242-revision-2', '', '', '2009-12-21 15:10:28', '2009-12-21 14:10:28', '', 242, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=251', 0, 'revision', '', 0),
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http://enmi.tivipro.tv/.', 'Les vidéos des Entretiens du Nouveau Monde Industriel sont accessibles', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '242-autosave', '', '', '2009-12-22 18:12:42', '2009-12-22 17:12:42', '', 242, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=252', 0, 'revision', '', 0),
-(253, 1, '2009-12-18 12:02:08', '2009-12-18 11:02:08', '
\r\n
abstract
\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\n
Organisateurs :
\r\n
\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n
\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '111-revision-5', '', '', '2009-12-18 12:02:08', '2009-12-18 11:02:08', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=253', 0, 'revision', '', 0),
-(254, 1, '2009-12-01 15:42:49', '2009-12-01 14:42:49', '
Introduction :\r\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\r\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\r\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\r\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\r\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\r\n
\r\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\r\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\r\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\r\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\r\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\r\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\r\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\r\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\r\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.8 :\r\n
\r\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\r\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\r\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\r\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\r\n - Debug
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\r\n
\r\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\r\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\r\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\r\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\r\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.3 :\r\n
\r\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10 :\r\n
\r\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\r\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\r\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\r\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\r\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\r\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\r\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\r\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\r\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.4 :\r\n
\r\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\r\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\r\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\r\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\r\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
\r\n - Possibilité de dupliquer une ligne en ne sélectionnant que les segments en surbrillance.
\r\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\r\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.2 :\r\n
\r\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
\r\n - Ajout du champ tag pour les segments.
\r\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
\r\n - Débogage des bugs identifiés dans la version précédente.
\r\n - Modification de l''interface : fenêtre d''informations agrandie en hauteur et en largeur et fenêtre d''affichage des lignes agrandie en largeur.
\r\n
', 'FAQ - ligne de temps', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'faq-ligne-de-temps', '', '', '2009-12-21 18:14:12', '2009-12-21 17:14:12', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=254', 0, 'post', '', 0),
-(255, 1, '2009-12-21 15:42:35', '2009-12-21 14:42:35', '', 'FAQ - ligne de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '254-revision', '', '', '2009-12-21 15:42:35', '2009-12-21 14:42:35', '', 254, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=255', 0, 'revision', '', 0),
-(256, 1, '2009-12-21 15:43:54', '2009-12-21 14:43:54', '
Introduction :\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\n
\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\n
\n
Notes de version 0.10.8 :\n
\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\n - Debug
\n
\n
Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\n
\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\n - Débug divers
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Notes de version 0.10.3 :\n
\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\n - Débug divers
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Notes de version 0.10 :\n
\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\n
\n
Notes de version 0.9.4 :\n
\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
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\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
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Notes de version 0.9.2 :\n
\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
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\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
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\n
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-(258, 1, '2009-12-18 12:03:04', '2009-12-18 11:03:04', '
Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\n
En savoir plus
\r\n\r\n
TÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
\r\n
? FAQ ?\r\n
Télécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\n
\r\n
\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
\r\n
\r\n
Une fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\n
Notes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\r\n\r\n
\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
\r\n
\r\n
En savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
\r\n
Vous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\r\n
Pour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\r\n\r\n
Plus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\r\n\r\n
Lignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\n
Lire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\n
Lire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '53-revision-5', '', '', '2009-12-18 12:03:04', '2009-12-18 11:03:04', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=258', 0, 'revision', '', 0),
-(270, 1, '2009-12-21 16:06:11', '2009-12-21 15:06:11', '
Abstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com', 'Sur la faculté de jouer', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '263-revision-5', '', '', '2009-12-21 16:06:11', '2009-12-21 15:06:11', '', 263, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=270', 0, 'revision', '', 0),
-(260, 1, '2009-12-21 15:54:05', '2009-12-21 14:54:05', 'Au sein du Collège, il s’agit de théoriser et de formaliser les résultats de ces travaux de recherche technologique pour les confronter aux objets de la recherche en sciences humaines en revisitant depuis ce contexte les questions les plus traditionnelles de disciplines afférant à l’esthétique, à l’histoire de l’art, à la psychologie, à la philosophie, principalement sous l’angle des rapports de la vie de l’esprit avec les techniques.', 'Séminaires', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'seminaire-page', '', '', '2010-01-05 17:04:11', '2010-01-05 16:04:11', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=260', 0, 'page', '', 0),
-(261, 1, '2009-12-21 15:53:45', '2009-12-21 14:53:45', '', 'Collège', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '260-revision', '', '', '2009-12-21 15:53:45', '2009-12-21 14:53:45', '', 260, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=261', 0, 'revision', '', 0),
-(262, 1, '2009-12-22 14:14:19', '2009-12-22 13:14:19', 'Au sein du Collège, il s’agit de théoriser et de formaliser les résultats de ces travaux de recherche technologique pour les confronter aux objets de la recherche en sciences humaines en revisitant depuis ce contexte les questions les plus traditionnelles de disciplines afférant à l’esthétique, à l’histoire de l’art, à la psychologie, à la philosophie, principalement sous l’angle des rapports de la vie de l’esprit avec les techniques.', 'Séminaire', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '260-autosave', '', '', '2009-12-22 14:14:19', '2009-12-22 13:14:19', '', 260, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=262', 0, 'revision', '', 0),
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Sur la faculté de jouer\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre 2006, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre 2006, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre 2007, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - li>Jeudi 11 janvier 2007, 10h-12h| : (programme en cours)\r\n
- Lundi 5 février 2007, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février 2007, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars 2007, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com\r\n\r\n
\r\n\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
Présentation générale| : Denis Guénoun.
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9 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n
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Jeudi 23 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
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Jeudi 7 décembre 2006, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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Jeudi 21 décembre 2007, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
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Jeudi 11 janvier 2007, 10h-12h| : programme en cours)
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Lundi 5 février 2007, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
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Lundi 5 mars 2007 : Sur le théâtre didactique de Brecht
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Lundi 19 mars 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 30 avril 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 14 mai 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 4 juin 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 18 juin 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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Sur la faculté de jouer\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n
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Abstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\n\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\n\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\n\n
Accès : limité et sur inscription\n\n
Dates :\n
\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n
\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\n\n
Dates :\n
\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n
\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\r\n\r\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il s''agirait pour chacun d''interroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\r\n\r\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\r\n\r\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\r\n\r\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\r\n\r\n
Programme des Conférences publiques :\r\n\r\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\r\n\r\n
Horaires : 19 heures\r\n\r\n
Accès : dans la limite des places disponibles\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\r\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\r\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\r\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\r\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\r\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\r\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\r\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\r\n
\r\nDirection :
Denis Guénoun\r\n\r\nCoordination :
Johann Holland :
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\r\n
\r\n
\r\n
Images et Visages\r\n\r\nArtistes & Associés et l''Institut de Recherche et d''Innovation du Centre Pompidou, proposent à l''initiative de Bernard Stiegler, un dispositif visuel et intellectuel dont l''enjeu est d''inscrire dans le temps une réflexion sur les images. Ce dispositif prend appui sur l''expérience d''une récente rencontre à Biarritz dans le cadre de la manifestation Grande Plage # 1. Rencontre marquée par l''image en mouvement d''un visage d''enfant qui regarde une image, et sur le regard de qui nos premières réflexions en commun se sont esquissées.\r\n\r\nIl s''agit de réunir pendant une saison, à intervalles réguliers de deux mois,
Christian Caujolle,
Pascal Convert,
Georges Didi-Huberman et
Bernard Stiegler à qui, chaque fois, seront proposés par Artistes & Associés de brefs moments d''images susceptibles de faire lever une problématique. La forme du feuilleton devrait permettre un véritable travail, c''est-à-dire une façon d''approfondir le regard par répétitions et variations successives.\r\n\r\nIl s''agit aussi d''un dispositif visuel, voire télévisuel et diffusable. Les membres d''Artistes & Associés filment la manifestation avec plusieurs caméras, de façon à ne pas séparer les images regardées sur l''écran des visages qui les regardent. À ne pas séparer non plus les visages - et les réactions - des auditeurs et ceux des intervenants. On espère ainsi, en ne séparant pas images et visages, biaiser le rapport spectaculaire standard (rapport standard qui perdure lorsqu''on assiste au «| spectacle| » d''intellectuels en train de parler, en public ou devant une caméra).\r\n\r\nLa rencontre des problématiques des uns et des autres semble, pour le moment, privilégier la question de la fabrique de l''image et du sort esthétique - mais politique tout aussi bien - qui est fait à ceux qui, d''ordinaire, ne sont pas «| acteurs| » mais «| figurants| » de l''Histoire. Comment représente-t-on, comment photographie-t-on, comme filme-t-on - dignement s''entend - ceux qui n''ont ni la parole ni l''autorité pour se mettre en scène| ? C''est encore une question de visage et d''envisagement.\r\n\r\n
Modalités pratiques\r\n\r\nLes séances de projection sont enregistrées puis débattues à la séance suivante. Ce séminaire s''inscrit dans l''axe de recherche «| Jugement| » mené par l''Institut de Recherche et d''Innovation.\r\n\r\n
\r\n\r\n
Lieu : Centre Pompidou, petite salle (niveau -1)\r\n
Accès : Chercheurs, étudiants et professionnels sur inscription.\r\n
Dates et horaires : de 18h à 20h, les mardis suivants \r\n
Inscriptions :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
\r\n\r\n
\r\n \r\n
Images et Visages\r\n\r\nArtistes & Associés et l''Institut de Recherche et d''Innovation du Centre Pompidou, proposent à l''initiative de Bernard Stiegler, un dispositif visuel et intellectuel dont l''enjeu est d''inscrire dans le temps une réflexion sur les images. Ce dispositif prend appui sur l''expérience d''une récente rencontre à Biarritz dans le cadre de la manifestation Grande Plage # 1. Rencontre marquée par l''image en mouvement d''un visage d''enfant qui regarde une image, et sur le regard de qui nos premières réflexions en commun se sont esquissées.\r\n\r\nIl s''agit de réunir pendant une saison, à intervalles réguliers de deux mois,
Christian Caujolle,
Pascal Convert,
Georges Didi-Huberman et
Bernard Stiegler à qui, chaque fois, seront proposés par Artistes & Associés de brefs moments d''images susceptibles de faire lever une problématique. La forme du feuilleton devrait permettre un véritable travail, c''est-à-dire une façon d''approfondir le regard par répétitions et variations successives.\r\n\r\nIl s''agit aussi d''un dispositif visuel, voire télévisuel et diffusable. Les membres d''Artistes & Associés filment la manifestation avec plusieurs caméras, de façon à ne pas séparer les images regardées sur l''écran des visages qui les regardent. À ne pas séparer non plus les visages - et les réactions - des auditeurs et ceux des intervenants. On espère ainsi, en ne séparant pas images et visages, biaiser le rapport spectaculaire standard (rapport standard qui perdure lorsqu''on assiste au «| spectacle| » d''intellectuels en train de parler, en public ou devant une caméra).\r\n\r\nLa rencontre des problématiques des uns et des autres semble, pour le moment, privilégier la question de la fabrique de l''image et du sort esthétique - mais politique tout aussi bien - qui est fait à ceux qui, d''ordinaire, ne sont pas «| acteurs| » mais «| figurants| » de l''Histoire. Comment représente-t-on, comment photographie-t-on, comme filme-t-on - dignement s''entend - ceux qui n''ont ni la parole ni l''autorité pour se mettre en scène| ? C''est encore une question de visage et d''envisagement.\r\n
\r\n - 24 octobre 2006
\r\n - 14 novembre 2006
\r\n - 26 janvier 2007(Séance publique au FIPA Biarritz)
\r\n - 13 mars 2007 (reporté)
\r\n - 15 mai (reporté)
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.
\n
Le programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).
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Les « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.
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Cette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des Lignes de temps sous le nom de Regards signés.
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Le Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.
\n
Programme des Conférences publiques :
\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.
\n
Horaires : 19 heures
\n
Accès : dans la limite des places disponibles
\n
Dates :
\n
\n - \n
26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n \n - \n
24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n \n - \n
28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n \n - \n
9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n \n - \n
13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n \n - \n
13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n \n - \n
24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\n \n - \n
22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\n \n
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Direction : Denis Guénoun
\n
Coordination : Johann Holland : information.grt@gmail.com
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\r\n
Résumé :\r\n\r\nInternet et la mutation numérique travaillent en profondeur le champ culturel.\r\n\r\nL''attention s''est focalisée, dans un premier temps, sur l''impact des phénomènes de numérisation et de dématérialisation sur les industries culturelles : gains de productivité, phénomènes de « convergence », concurrence et coopération entre les acteurs traditionnels des filières culturelles et les acteurs issus du numérique, déstabilisation des modes de valorisation, d''exploitation et de distribution des 1/2uvres, exploration de nouveaux modèles économiques.\r\n\r\nL''attention tend à se déplacer désormais vers les usages numériques culturels eux mêmes, sinon vers les « contenus ».\r\n\r\nCe changement de perspective amène à sinterroger sur la manière dont les logiciels, les services en ligne, les compétences et savoir-faire « numériques » des « usagers » informent les pratiques culturelles.\r\n\r\nL''objectif de ce séminaire est de dégager les lignes de force qui travaillent tant l''offre culturelle que les pratiques culturelles.\r\n\r\nLe séminaire se propose d''explorer avec des chercheurs et des praticiens les problématiques d''usages émergents. Il portera une attention particulière aux usages liés à l''univers du « Web 2.0 ».\r\n\r\nPlutôt que de passer en revue l''impact du numérique sur chacune des grandes filières culturelles (l''audiovisuel, l''écrit, la photographie ou la musique), le parti a été retenu d''organiser le séminaire autour de quelques grandes thématiques d''usage transversales aux filières.\r\n\r\nCe séminaire s''adresse aux agents du DEPS : il est ouvert aux responsables des différentes directions du ministère de la Culture.\r\n\r\nLes travaux du séminaire s''appuieront sur un état bibliographique et donneront lieu à une synthèse. (Le détail des intervenants ultérieurs sera communiqué très prochainement).\r\n\r\nLa séance inaugurale aura lieu le 17 octobre, à 15h Salle «Vivant Denon», Ministère de la Culture, 182 rue Saint Honoré.\r\n\r\nSauf indication différente, le séminaire se tiendra ensuite les mardi de 14h30 à 17h30.\r\n\r\nSalle Colette. Ministère de la Culture. 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage.\r\n\r\nDes séances auront lieu au Centre G. Pompidou.\r\n\r\nAprès le mois de février, ce séminaire se poursuivra par une suite de manifestations ouvertes au public, à linitiative de lIRI / Centre G. Pompidou.\r\n\r\n
Programme et horaires :\r\n\r\n
Contact Y. Maignien (0140157975) et J. Beaudoin-Glandières. (0140157917)\r\n\r\n
Lieu : Salle Colette. Ministère de la Culture : 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage. (excepté séance inaugurale)\r\n\r\n
Horaires : les mardi de 14h30 à 17h30
EN 2006\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Mardi 17 octobre 14h30 Ouverture du séminaire Objectifs Paysage technologique Les convergences (informatique-audiovisuel-télécoms, fixe-mobile, image-son etc |) La prééminence du logiciel Le Web 2.0
\r\n - Mardi 7 novembre Publier, s''exprime r,| Médias personnels, nano-publication Nouvelles lignes de partage entre le public et le privé
\r\n - Mardi 21 novembre Rechercher, conserver, archiver, classer, indexer, taguer, annoter, géolocaliser Les nouvelles pratiques documentaires : moteurs de recherche, « indexation sociale », folksonomies, « recherche communautaire ». Les nouvelles bibliothèques.
\r\n - Mardi 5 décembre Commenter, juger, évaluer, coopérer, co-produire, collaborer, partager Co-création et communautés
\r\n - Mardi 9 janvier Echanger, distribuer, communiquer, accéder, faire suivre, reproduire| L''Internet comme architecture La neutralité technologique Logiques pull et push, RSS, Web 2.0 Agrégation de contenus et assemblage de systèmes, mash up
\r\n - Mardi 23 janvier Citer, emprunter, recycler, réutiliser, remixer La révolution modulaire dans la musique (Culture « remix ») et dans le logiciel Les nouvelles licences
\r\n - Mardi 6 février Jouer, simuler, modéliser Le jeu video : un foyer d''innovations, un « attracteur» pour les industries culturelles Les nouvelles articulations virtuel-réel
\r\n - Mardi 20 février Natifs et immigrants numériques Cultures jeunes, cultures urbaines, culture numériques (Mobilité, nomadisme, « culture de l''écran »)
\r\n - Synthèse publique Typologie des usages numériques culturels Figures de l''usager, du consommateur, du bricoleur, de l''amateur et du pro-am (amateur-professionnel). Synthèse des problématiques prospective
\r\n
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\r\n
\r\n
\r\n\r\n
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies\r\n\r\nSéminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d’Innovation, 2007-2009\r\n\r\n
Nanotechnologies 2009 sous Lignes de Temps\r\n\r\nL’intention générale qui anime ce séminaire, programmé sur les trois prochaines années, est double :\r\n- il s’agit d’abord de stimuler une approche résolument critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que le développement des NST aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques. Construire une réflexion critique et, au besoin, réformer notre entendement à partir d’une analyse de la réalité de la recherche et non dans le ressassement de quelques lieux communs sur la technoscience, telle est la première ambition de ces séminaires ;\r\n- il s’agit ensuite de réfléchir aux usages sociaux des objets communicants afin de déterminer si ces objets, dont certains prédisent que demain ils seront parmi les premiers à être équipés en nanotechnologies, pourront faire émerger un nouvel espace critique ainsi qu’une nouvelle figure de l’amateur des oeuvres d’art, ou bien risqueront d’intensifier ce que Hannah Arendt décrivait comme un engloutissement du monde des oeuvres dans le processus de la consommation.
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Introduction du séminaire par X. Guchet (IRI, INRA) – Projection du film « Le silence des nanos », du réalisateur J. Colin – Communication de P. Pajon, Maître de conférences en sémiologie, Université Stendhal Grenoble III, et Centre de Recherche sur L’Imaginaire
\r\n
\r\n
« nano ». Communication de T. Shinn, Directeur de recherche au CNRS / GEMAS (Groupe d’Etude des Méthodes de l’Analyse Sociologique). Débat introduit par S. Loeve (IRI, Université Paris X).
\r\n
\r\n
\r\nCommunication de J.-M. Lévy-Leblond, professeur émérite à l’Université de Nice.
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunications de G. Dujardin, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Laboratoire de Photophysique Moléculaire, groupe Nanosciences (LPPM, Université Paris XI), et E. Klein, physicien et philosophe des sciences, CEA.
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunication de C. Joachim, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Centre d’Elaboration des Matériaux et d’Etudes Structurales (CEMES, Toulouse).
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunications de J. Frey, chimiste, Laboratoire de Chimie Organo-Minérale (LCOM, Strasbourg), et B. Bensaude-Vincent, professeur de philosophie et d’histoire des sciences, Université de Paris X – Nanterre.
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\nLa première année du séminaire fut consacrée à la fabrique des représentations, que le programme des séances permet d’aborder selon différentes perspectives.\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
V. Bontems, sur le thème « Nanosciences et relations d’échelle »
\r\n
\r\n
Xavier Guchet, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon ».
\r\n
\r\n
Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences »
\r\n\r\n
\r\n
D. Debaise, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead »
\r\n\r\n
\r\n
Jean-Pierre Dupuy, sur le thème « Nanosciences et théories de la complexité ».
\r\n\r\n
\r\n
Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences ».
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\n
Nanotechnologies 2009 sous Lignes de Temps\r\n\r\nL’intention générale de ce séminaire, commencé l’an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\nLe séminaire de l’an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu’il n’est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l’électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d’avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l’idée que les NST ne font pas qu’intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu’elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu’on ne peut pas aujourd’hui penser la nature sans parler des nanosciences. C’est cette pensée de la nature que l’on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l’an passé a permis d’en donner un aperçu par l’examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n’y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s’appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l’hypothèse qu’elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l’ère d’une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l’être. L’idée même d’une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d’instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
intervention d’Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d’un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\r\n\r\n
\r\n
intervention d’Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d’une thèse sur l’émergence de MINATEC.
\r\n
\r\n
intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\r\n\r\n
\r\n
intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\r\n\r\n
\r\n
intervention d’Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
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intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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\r\n\r\nLe séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l’examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d’une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l’indique clairement le rapport d’un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c’est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n’émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l’ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d’une société de la connaissance s’articule-t-il aux dynamiques de recherche et d’innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\r\n\r\n
Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\r\n\r\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve\r\n\r\n
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Flyer du séminaire 2009\r\n\r\n
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Résumé :
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Internet et la mutation numérique travaillent en profondeur le champ culturel.
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L''attention s''est focalisée, dans un premier temps, sur l''impact des phénomènes de numérisation et de dématérialisation sur les industries culturelles : gains de productivité, phénomènes de « convergence », concurrence et coopération entre les acteurs traditionnels des filières culturelles et les acteurs issus du numérique, déstabilisation des modes de valorisation, d''exploitation et de distribution des 1/2uvres, exploration de nouveaux modèles économiques.
\n
L''attention tend à se déplacer désormais vers les usages numériques culturels eux mêmes, sinon vers les « contenus ».
\n
Ce changement de perspective amène à sinterroger sur la manière dont les logiciels, les services en ligne, les compétences et savoir-faire « numériques » des « usagers » informent les pratiques culturelles.
\n
L''objectif de ce séminaire est de dégager les lignes de force qui travaillent tant l''offre culturelle que les pratiques culturelles.
\n
Le séminaire se propose d''explorer avec des chercheurs et des praticiens les problématiques d''usages émergents. Il portera une attention particulière aux usages liés à l''univers du « Web 2.0 ».
\n
Plutôt que de passer en revue l''impact du numérique sur chacune des grandes filières culturelles (l''audiovisuel, l''écrit, la photographie ou la musique), le parti a été retenu d''organiser le séminaire autour de quelques grandes thématiques d''usage transversales aux filières.
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Ce séminaire s''adresse aux agents du DEPS : il est ouvert aux responsables des différentes directions du ministère de la Culture.
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Les travaux du séminaire s''appuieront sur un état bibliographique et donneront lieu à une synthèse. (Le détail des intervenants ultérieurs sera communiqué très prochainement).
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La séance inaugurale aura lieu le 17 octobre, à 15h Salle «Vivant Denon», Ministère de la Culture, 182 rue Saint Honoré.
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Sauf indication différente, le séminaire se tiendra ensuite les mardi de 14h30 à 17h30.
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Salle Colette. Ministère de la Culture. 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage.
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Des séances auront lieu au Centre G. Pompidou.
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Après le mois de février, ce séminaire se poursuivra par une suite de manifestations ouvertes au public, à linitiative de lIRI / Centre G. Pompidou.
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Programme et horaires :
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Contact Y. Maignien (0140157975) et J. Beaudoin-Glandières. (0140157917)
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Lieu : Salle Colette. Ministère de la Culture : 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage. (excepté séance inaugurale)
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Horaires : les mardi de 14h30 à 17h30 EN 2006
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Dates :
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\n - Mardi 17 octobre 14h30 Ouverture du séminaire Objectifs Paysage technologique Les convergences (informatique-audiovisuel-télécoms, fixe-mobile, image-son etc |) La prééminence du logiciel Le Web 2.0
\n - Mardi 7 novembre Publier, s''exprime r,| Médias personnels, nano-publication Nouvelles lignes de partage entre le public et le privé
\n - Mardi 21 novembre Rechercher, conserver, archiver, classer, indexer, taguer, annoter, géolocaliser Les nouvelles pratiques documentaires : moteurs de recherche, « indexation sociale », folksonomies, « recherche communautaire ». Les nouvelles bibliothèques.
\n - Mardi 5 décembre Commenter, juger, évaluer, coopérer, co-produire, collaborer, partager Co-création et communautés
\n - Mardi 9 janvier Echanger, distribuer, communiquer, accéder, faire suivre, reproduire| L''Internet comme architecture La neutralité technologique Logiques pull et push, RSS, Web 2.0 Agrégation de contenus et assemblage de systèmes, mash up
\n - Mardi 23 janvier Citer, emprunter, recycler, réutiliser, remixer La révolution modulaire dans la musique (Culture « remix ») et dans le logiciel Les nouvelles licences
\n - Mardi 6 février Jouer, simuler, modéliser Le jeu video : un foyer d''innovations, un « attracteur» pour les industries culturelles Les nouvelles articulations virtuel-réel
\n - Mardi 20 février Natifs et immigrants numériques Cultures jeunes, cultures urbaines, culture numériques (Mobilité, nomadisme, « culture de l''écran »)
\n - Synthèse publique Typologie des usages numériques culturels Figures de l''usager, du consommateur, du bricoleur, de l''amateur et du pro-am (amateur-professionnel). Synthèse des problématiques prospective
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archive 2008
\n\nLe séminaire
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l''examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d''une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l''indique clairement le rapport d''un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c''est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n''émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l''ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d''une société de la connaissance s''articule-t-il aux dynamiques de recherche et d''innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\n
Dates en 2009\n
\n - Jeudi 15 janvier de 17h à 19h : intervention d''Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d''un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\n - Jeudi 26 février de 17h à 19h : intervention d''Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d''une thèse sur l''émergence de MINATEC.
\n - Jeudi 26 mars de 17h à 19h : intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\n - Jeudi 9 avril de 17h à 19h : intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\n - Jeudi 14 mai de 17h à 19h : intervention d''Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
\n - Jeudi 18 juin de 17h à 19h : intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\n\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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archive 2008
\r\n\r\nLe séminaire
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l''examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d''une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l''indique clairement le rapport d''un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c''est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n''émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l''ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d''une société de la connaissance s''articule-t-il aux dynamiques de recherche et d''innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\r\n
Dates en 2009\r\n
\r\n - Jeudi 15 janvier de 17h à 19h : intervention d''Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d''un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\r\n - Jeudi 26 février de 17h à 19h : intervention d''Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d''une thèse sur l''émergence de MINATEC.
\r\n - Jeudi 26 mars de 17h à 19h : intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 9 avril de 17h à 19h : intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 14 mai de 17h à 19h : intervention d''Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 18 juin de 17h à 19h : intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\r\n\r\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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\n\nEnjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies\n\nSéminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d’Innovation, 2007-2009\n\nL’intention générale qui anime ce séminaire, programmé sur les trois prochaines années, est double :\n- il s’agit d’abord de stimuler une approche résolument critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que le développement des NST aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques. Construire une réflexion critique et, au besoin, réformer notre entendement à partir d’une analyse de la réalité de la recherche et non dans le ressassement de quelques lieux communs sur la technoscience, telle est la première ambition de ces séminaires ;\n- il s’agit ensuite de réfléchir aux usages sociaux des objets communicants afin de déterminer si ces objets, dont certains prédisent que demain ils seront parmi les premiers à être équipés en nanotechnologies, pourront faire émerger un nouvel espace critique ainsi qu’une nouvelle figure de l’amateur des oeuvres d’art, ou bien risqueront d’intensifier ce que Hannah Arendt décrivait comme un engloutissement du monde des oeuvres dans le processus de la consommation.
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Introduction du séminaire par X. Guchet (IRI, INRA) – Projection du film « Le silence des nanos », du réalisateur J. Colin – Communication de P. Pajon, Maître de conférences en sémiologie, Université Stendhal Grenoble III, et Centre de Recherche sur L’Imaginaire
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« nano ». Communication de T. Shinn, Directeur de recherche au CNRS / GEMAS (Groupe d’Etude des Méthodes de l’Analyse Sociologique). Débat introduit par S. Loeve (IRI, Université Paris X).
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\nCommunication de J.-M. Lévy-Leblond, professeur émérite à l’Université de Nice.
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\nCommunications de G. Dujardin, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Laboratoire de Photophysique Moléculaire, groupe Nanosciences (LPPM, Université Paris XI), et E. Klein, physicien et philosophe des sciences, CEA.
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\nCommunication de C. Joachim, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Centre d’Elaboration des Matériaux et d’Etudes Structurales (CEMES, Toulouse).
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\nCommunications de J. Frey, chimiste, Laboratoire de Chimie Organo-Minérale (LCOM, Strasbourg), et B. Bensaude-Vincent, professeur de philosophie et d’histoire des sciences, Université de Paris X – Nanterre.
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\n\nLa première année du séminaire fut consacrée à la fabrique des représentations, que le programme des séances permet d’aborder selon différentes perspectives.\n
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V. Bontems, sur le thème « Nanosciences et relations d’échelle »
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Xavier Guchet, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon ».
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Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences »
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D. Debaise, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead »
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Jean-Pierre Dupuy, sur le thème « Nanosciences et théories de la complexité ».
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Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences ».
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Nanosciences et philosophies de la nature\n\nL’intention générale de ce séminaire, commencé l’an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\nLe séminaire de l’an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu’il n’est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l’électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d’avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l’idée que les NST ne font pas qu’intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu’elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu’on ne peut pas aujourd’hui penser la nature sans parler des nanosciences. C’est cette pensée de la nature que l’on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l’an passé a permis d’en donner un aperçu par l’examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n’y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s’appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l’hypothèse qu’elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l’ère d’une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l’être. L’idée même d’une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d’instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\n
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intervention d’Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d’un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
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intervention d’Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d’une thèse sur l’émergence de MINATEC.
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intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
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intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
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intervention d’Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
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intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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\n\nLe séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l’examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d’une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l’indique clairement le rapport d’un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c’est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n’émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l’ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d’une société de la connaissance s’articule-t-il aux dynamiques de recherche et d’innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\n\n
Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\n\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve\n\n
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Flyer du séminaire 2009\n\n
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\nL''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\n\r\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
dates en 2008 : \r\n
\r\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\r\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\r\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\r\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\r\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\r\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Modernités\r\n\r\nSous la direction de Pierre-Damien Huyghe, philosophe Paris I Panthéon-Sorbonne\r\n\r\nLe Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.\r\n\r\nLa naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.\r\n\r\nQu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?\r\n\r\nLimportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :\r\n\r\n«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?\r\n\r\nNous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.\r\n\r\nNous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »\r\n\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
Horaires : les lundis : 18h-20h\r\n
Coordination du séminaire : Pierre-Damien Huygue\r\n\r\n\r\n\r\n
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle du Collège (Piazza Beaubourg)
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Bernard Stiegler, en Salle Messiaen, Ircam.
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En Salle Messiaen, IRCAM.
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En Salle Messiaen, IRCAM.
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En Salle Messiaen de l''Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe et Bernard Stiegler, en Salle Messiaen de l''Ircam
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Modernités\r\n\r\nSous la direction de Pierre-Damien Huyghe, philosophe Paris I Panthéon-Sorbonne\r\n\r\nLe Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.\r\n\r\nLa naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.\r\n\r\nQu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?\r\n\r\nLimportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :\r\n\r\n«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?\r\n\r\nNous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.\r\n\r\nNous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »\r\n
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-(282, 1, '2009-12-21 16:22:46', '2009-12-21 15:22:46', '
Séminaire « Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies ». Séminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d''Innovation, 2007-2008
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature
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L''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.
\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.
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dates en 2008 : \n
\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Flyer du séminaire 2008
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Flyer du séminaire 2007
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Programme de l''atelier : Pour une évaluation critique des bionanotechnologies (25-26 janvier 2008, ENS)
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-(285, 1, '2007-03-09 16:24:32', '2007-03-09 15:24:32', 'Sous la direction de
Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.\r\n
La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
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Ethique foucaldienne et art contemporain
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
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Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
\r\n
Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
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L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
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Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
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Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
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Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
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Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
\r\n
L’articulation savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, de jugement.
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La nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques de soi et des arts de la mémoire.
\r\n\r\nNous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »\r\n
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Accès Sur invitation\r\n\r\n
Dates : à partir du mois de mars\r\n\r\n
Lieux: Salle du collège\r\n\r\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :\r\n
\r\n - 9 mars
\r\n - 16 mars
\r\n - 23 mars
\r\n - 30 mars
\r\n - 6 avril
\r\n - 27 avril
\r\n - 4 mai
\r\n - 11 mai
\r\n - 18 mai
\r\n - 25 mai
\r\n - 1er juin
\r\n - 8 juin
\r\n - 15 juin
\r\n
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abstract :
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Le Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.
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La naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.
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Qu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?
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Limportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :
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«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?
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Nous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.
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Nous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »
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Lieu :
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Accès : Sur inscription : contact@iri.centrepompidou.fr
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Horaires : les lundis : 18h-20h
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Dates et lieux :
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\n - 23 octobre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Les formes de l''invention » Salle du Collège (Piazza Beaubourg).
\n - 06 novembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Du moderne à la modernité, la représentation en question » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 20 novembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Les fondements de l''urbanité : entre violence souveraine et poussées productives. » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 04 décembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Expérience vécue et expérience enregistrée, la double mémoire des modernes. » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 18 décembre, Bernard Stiegler, titre à déterminer. Salle Messiaen, Ircam.
\n - 15 janvier, Salle Messiaen, IRCAM.
\n - 29 janvier, Salle Messiaen, IRCAM.
\n - 12 février, Salle Messiaen de l''Ircam (Annulée)
\n - 26 février, Salle Messiaen de l''Ircam.
\n - 12 mars, Pierre-Damien Huyghe et Bernard Stiegler : conclusion du séminaire. Salle Messiaen de l''Ircam
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\nL''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\n\r\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
dates en 2008 : \r\n
\r\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\r\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\r\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\r\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\r\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\r\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Flyer du séminaire 2008\r\n\r\n
Flyer du séminaire 2007\r\n\r\n
Programme de l''atelier : Pour une évaluation critique des bionanotechnologies (25-26 janvier 2008, ENS)', 'Séminaire Nanotechnologies 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '281-revision-2', '', '', '2009-12-21 16:22:53', '2009-12-21 15:22:53', '', 281, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=287', 0, 'revision', '', 0),
-(286, 1, '2009-12-21 16:24:43', '2009-12-21 15:24:43', '
Sous la direction de Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.
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La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
\n
\n
Ethique foucaldienne et art contemporain
\n
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
\n
Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
\n
Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
\n
L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
\n
Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
\n
Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
\n
Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
\n
Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
\n
L’articulation savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, de jugement.
\n
La nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques de soi et des arts de la mémoire.
\n
Nous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »
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Accès Sur invitation
\n
Dates : à partir du mois de mars
\n
Lieux: Salle du collège
\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :
\n
\n - 9 mars
\n - 16 mars
\n - 23 mars
\n - 30 mars
\n - 6 avril
\n - 27 avril
\n - 4 mai
\n - 11 mai
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Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.\n
La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
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Ethique foucaldienne et art contemporain
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
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Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
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Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
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L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
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Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
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Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
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Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
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Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
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\n\nNous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »\n
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Accès Sur invitation\n\n
Dates : à partir du mois de mars\n\n
Lieux: Salle du collège\n\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :\n
\n - 9 mars
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--- Contenu de la table `Lignes`
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-INSERT INTO `Lignes` (`ID`, `Auteur`, `Titre`, `Fond`, `NomFichier`) VALUES
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@@ -0,0 +1,1675 @@
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+DROP TABLE IF EXISTS `wp_calendar`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_calendar` (
+ `event_id` int(11) NOT NULL auto_increment,
+ `event_begin` date NOT NULL,
+ `event_end` date NOT NULL,
+ `event_title` varchar(30) collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ `event_desc` text collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ `event_time` time default NULL,
+ `event_recur` char(1) collate latin1_german1_ci default NULL,
+ `event_repeats` int(3) default NULL,
+ `event_author` bigint(20) unsigned default NULL,
+ `event_category` bigint(20) unsigned default NULL,
+ `event_link` text collate latin1_german1_ci,
+ PRIMARY KEY (`event_id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=latin1 COLLATE=latin1_german1_ci AUTO_INCREMENT=2 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_calendar`
+--
+
+INSERT INTO `wp_calendar` (`event_id`, `event_begin`, `event_end`, `event_title`, `event_desc`, `event_time`, `event_recur`, `event_repeats`, `event_author`, `event_category`, `event_link`) VALUES
+(1, '2009-12-18', '2009-12-18', 'test', 'lorem ipsum nkvfdkj vkjdfhnv kildhfskjh vlkjdjlhfjkvhdfk hvkdhs fkvhksjdf jvkhdfkl vhkjdsfh vkj hdsfk\r\n\r\n
lien ', '14:03:00', 'S', 0, 1, 1, '');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_calendar_categories`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_calendar_categories`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_calendar_categories` (
+ `category_id` int(11) NOT NULL auto_increment,
+ `category_name` varchar(30) collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ `category_colour` varchar(30) collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ PRIMARY KEY (`category_id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=latin1 COLLATE=latin1_german1_ci AUTO_INCREMENT=2 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_calendar_categories`
+--
+
+INSERT INTO `wp_calendar_categories` (`category_id`, `category_name`, `category_colour`) VALUES
+(1, 'General', '#F6F79B');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_calendar_config`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_calendar_config`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_calendar_config` (
+ `config_item` varchar(30) collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ `config_value` text collate latin1_german1_ci NOT NULL,
+ PRIMARY KEY (`config_item`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=latin1 COLLATE=latin1_german1_ci;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_calendar_config`
+--
+
+INSERT INTO `wp_calendar_config` (`config_item`, `config_value`) VALUES
+('can_manage_events', 'edit_posts'),
+('calendar_style', ' .calnk a:hover {\n background-position:0 0;\n text-decoration:none; \n color:#000000;\n border-bottom:1px dotted #000000;\n }\n .calnk a:visited {\n text-decoration:none;\n color:#000000;\n border-bottom:1px dotted #000000;\n }\n .calnk a {\n text-decoration:none; \n color:#000000; \n border-bottom:1px dotted #000000;\n }\n .calnk a span { \n display:none; \n }\n .calnk a:hover span {\n color:#333333; \n background:#F6F79B; \n display:block;\n position:absolute; \n margin-top:1px; \n padding:5px; \n width:150px; \n z-index:100;\n }\n .calendar-table {\n border:none;\n width:100%;\n }\n .calendar-heading {\n height:25px;\n text-align:center;\n border:1px solid #D6DED5;\n background-color:#E4EBE3;\n }\n .calendar-next {\n width:25%;\n text-align:center;\n }\n .calendar-prev {\n width:25%;\n text-align:center;\n }\n .calendar-month {\n width:50%;\n text-align:center;\n font-weight:bold;\n }\n .normal-day-heading {\n text-align:center;\n width:25px;\n height:25px;\n font-size:0.8em;\n border:1px solid #DFE6DE;\n background-color:#EBF2EA;\n }\n .weekend-heading {\n text-align:center;\n width:25px;\n height:25px;\n font-size:0.8em;\n border:1px solid #DFE6DE;\n background-color:#EBF2EA;\n color:#FF0000;\n }\n .day-with-date {\n vertical-align:text-top;\n text-align:left;\n width:60px;\n height:60px;\n border:1px solid #DFE6DE;\n }\n .no-events {\n\n }\n .day-without-date {\n width:60px;\n height:60px;\n border:1px solid #E9F0E8;\n }\n span.weekend {\n color:#FF0000;\n }\n .current-day {\n vertical-align:text-top;\n text-align:left;\n width:60px;\n height:60px;\n border:1px solid #BFBFBF;\n background-color:#E4EBE3;\n }\n span.event {\n font-size:0.75em;\n }\n .kjo-link {\n font-size:0.75em;\n text-align:center;\n }\n .event-title {\n text-align:center;\n font-weight:bold;\n font-size:1.2em;\n }\n .event-title-break {\n width:96%;\n margin-left:2%;\n margin-right:2%;\n margin-top:5px;\n margin-bottom:5px;\n text-align:center;\n height:1px;\n background-color:#000000;\n }\n .event-content-break {\n width:96%;\n margin-left:2%;\n margin-right:2%;\n margin-top:5px;\n margin-bottom:5px;\n text-align:center;\n height:1px;\n background-color:#000000;\n }\n .calendar-date-switcher {\n height:25px;\n text-align:center;\n border:1px solid #D6DED5;\n background-color:#E4EBE3;\n }\n .calendar-date-switcher form {\n margin:0;\n padding:0;\n }\n .calendar-date-switcher input {\n border:1px #D6DED5 solid;\n }\n .calendar-date-switcher select {\n border:1px #D6DED5 solid;\n }\n .cat-key {\n width:100%;\n margin-top:10px;\n padding:5px;\n border:1px solid #D6DED5;\n }'),
+('display_author', 'false'),
+('display_jump', 'false'),
+('display_todays', 'true'),
+('display_upcoming', 'true'),
+('display_upcoming_days', '7'),
+('calendar_version', '1.2'),
+('enable_categories', 'false');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_comments`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_comments`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_comments` (
+ `comment_ID` bigint(20) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `comment_post_ID` bigint(20) unsigned NOT NULL default '0',
+ `comment_author` tinytext NOT NULL,
+ `comment_author_email` varchar(100) NOT NULL default '',
+ `comment_author_url` varchar(200) NOT NULL default '',
+ `comment_author_IP` varchar(100) NOT NULL default '',
+ `comment_date` datetime NOT NULL default '0000-00-00 00:00:00',
+ `comment_date_gmt` datetime NOT NULL default '0000-00-00 00:00:00',
+ `comment_content` text NOT NULL,
+ `comment_karma` int(11) NOT NULL default '0',
+ `comment_approved` varchar(20) NOT NULL default '1',
+ `comment_agent` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `comment_type` varchar(20) NOT NULL default '',
+ `comment_parent` bigint(20) unsigned NOT NULL default '0',
+ `user_id` bigint(20) unsigned NOT NULL default '0',
+ PRIMARY KEY (`comment_ID`),
+ KEY `comment_approved` (`comment_approved`),
+ KEY `comment_post_ID` (`comment_post_ID`),
+ KEY `comment_approved_date_gmt` (`comment_approved`,`comment_date_gmt`),
+ KEY `comment_date_gmt` (`comment_date_gmt`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=2 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_comments`
+--
+
+INSERT INTO `wp_comments` (`comment_ID`, `comment_post_ID`, `comment_author`, `comment_author_email`, `comment_author_url`, `comment_author_IP`, `comment_date`, `comment_date_gmt`, `comment_content`, `comment_karma`, `comment_approved`, `comment_agent`, `comment_type`, `comment_parent`, `user_id`) VALUES
+(1, 1, 'Monsieur WordPress', '', 'http://wordpress.org/', '', '2009-12-15 13:52:07', '2009-12-15 12:52:07', 'Bonjour, ceci est un commentaire.
Pour supprimer un commentaire, connectez-vous, et affichez les commentaires de cet article. Vous pourrez alors les modifier ou les supprimer.', 0, '1', '', '', 0, 0);
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_ec3_schedule`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_ec3_schedule`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_ec3_schedule` (
+ `sched_id` bigint(20) NOT NULL auto_increment,
+ `post_id` bigint(20) default NULL,
+ `start` datetime default NULL,
+ `end` datetime default NULL,
+ `allday` tinyint(1) default NULL,
+ `rpt` varchar(64) collate latin1_german1_ci default NULL,
+ PRIMARY KEY (`sched_id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=latin1 COLLATE=latin1_german1_ci AUTO_INCREMENT=297 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_ec3_schedule`
+--
+
+INSERT INTO `wp_ec3_schedule` (`sched_id`, `post_id`, `start`, `end`, `allday`, `rpt`) VALUES
+(1, 220, '2007-10-19 10:00:00', '2007-10-19 12:00:00', 0, NULL),
+(2, 219, '2007-10-19 10:00:00', '2007-10-19 12:00:00', 0, NULL),
+(3, 225, '2006-09-26 19:00:00', '2006-09-26 23:00:00', 0, NULL),
+(4, 225, '2006-10-24 19:00:00', '2006-10-24 23:00:00', 0, NULL),
+(5, 225, '2006-11-28 19:00:00', '2006-11-28 23:00:00', 0, NULL),
+(6, 225, '2007-01-09 19:00:00', '2007-01-09 23:00:00', 0, NULL),
+(7, 225, '2007-02-09 19:00:00', '2007-02-09 23:00:00', 0, NULL),
+(8, 225, '2009-03-13 19:00:00', '2009-03-13 23:00:00', 0, NULL),
+(9, 225, '2009-04-24 19:00:00', '2009-04-24 19:00:00', 0, NULL),
+(10, 225, '2009-05-22 19:00:00', '2009-05-22 19:00:00', 0, NULL),
+(11, 224, '2006-09-26 19:00:00', '2006-09-26 23:00:00', 0, NULL),
+(12, 224, '2006-10-24 19:00:00', '2006-10-24 23:00:00', 0, NULL),
+(13, 224, '2006-11-28 19:00:00', '2006-11-28 23:00:00', 0, NULL),
+(14, 224, '2007-01-09 19:00:00', '2007-01-09 23:00:00', 0, NULL),
+(15, 224, '2007-02-09 19:00:00', '2007-02-09 23:00:00', 0, NULL),
+(16, 224, '2009-03-13 19:00:00', '2009-03-13 23:00:00', 0, NULL),
+(17, 224, '2009-04-24 19:00:00', '2009-04-24 19:00:00', 0, NULL),
+(18, 224, '2009-05-22 19:00:00', '2009-05-22 19:00:00', 0, NULL),
+(19, 228, '2008-10-07 12:30:00', '2008-10-07 14:30:00', 0, NULL),
+(20, 228, '2008-12-19 12:30:00', '2008-12-19 14:30:00', 0, NULL),
+(21, 228, '2009-01-09 12:30:00', '2009-01-09 14:00:00', 0, NULL),
+(22, 228, '2009-01-30 12:30:00', '2009-01-30 14:00:00', 0, NULL),
+(23, 228, '2009-02-06 12:30:00', '2009-02-06 14:00:00', 0, NULL),
+(24, 228, '2009-03-06 12:30:00', '2009-03-06 14:00:00', 0, NULL),
+(25, 228, '2009-03-20 12:30:00', '2009-03-20 14:00:00', 0, NULL),
+(26, 228, '2009-04-24 12:30:00', '2009-04-24 14:00:00', 0, NULL),
+(27, 228, '2009-05-15 12:30:00', '2009-05-15 14:00:00', 0, NULL),
+(28, 228, '2009-05-29 12:30:00', '2009-05-29 12:30:00', 0, NULL),
+(29, 228, '2009-06-26 12:30:00', '2009-06-26 12:30:00', 0, NULL),
+(30, 227, '2008-10-07 12:30:00', '2008-10-07 14:30:00', 0, NULL),
+(31, 227, '2008-12-19 12:30:00', '2008-12-19 14:30:00', 0, NULL),
+(32, 227, '2009-01-09 12:30:00', '2009-01-09 14:00:00', 0, NULL),
+(33, 227, '2009-01-30 12:30:00', '2009-01-30 14:00:00', 0, NULL),
+(34, 227, '2009-02-06 12:30:00', '2009-02-06 14:00:00', 0, NULL),
+(35, 227, '2009-03-06 12:30:00', '2009-03-06 14:00:00', 0, NULL),
+(36, 227, '2009-03-20 12:30:00', '2009-03-20 14:00:00', 0, NULL),
+(37, 227, '2009-04-24 12:30:00', '2009-04-24 14:00:00', 0, NULL),
+(38, 227, '2009-05-15 12:30:00', '2009-05-15 14:00:00', 0, NULL),
+(39, 227, '2009-05-29 12:30:00', '2009-05-29 12:30:00', 0, NULL),
+(40, 227, '2009-06-26 12:30:00', '2009-06-26 12:30:00', 0, NULL),
+(41, 232, '2009-10-26 09:00:00', '2009-10-27 19:00:00', 0, NULL),
+(42, 232, '2009-10-27 09:00:00', '2009-10-27 19:00:00', 0, NULL),
+(43, 231, '2009-11-26 09:00:00', '2009-11-27 19:00:00', 1, NULL),
+(44, 231, '2009-11-27 09:00:00', '2009-11-27 19:00:00', 1, NULL),
+(45, 236, '2010-12-21 14:00:00', '2010-12-21 14:00:00', 0, NULL),
+(46, 235, '2010-12-21 14:00:00', '2010-12-21 14:00:00', 0, NULL),
+(47, 241, '2009-12-17 17:30:00', '2009-12-17 21:00:00', 0, NULL),
+(48, 240, '2009-12-17 17:30:00', '2009-12-17 21:00:00', 0, NULL),
+(49, 253, '2007-11-15 16:00:00', '2007-11-15 16:00:00', 0, NULL),
+(50, 111, '2007-11-15 16:00:00', '2007-11-15 16:00:00', 0, NULL),
+(51, 264, '2006-10-19 10:00:00', '2006-10-19 12:00:00', 0, NULL),
+(52, 264, '2006-11-09 10:00:00', '2006-11-09 12:00:00', 0, NULL),
+(53, 264, '2006-11-23 10:00:00', '2006-11-23 12:00:00', 0, NULL),
+(54, 264, '2006-12-07 10:00:00', '2006-12-07 12:00:00', 0, NULL),
+(55, 264, '2006-12-21 10:00:00', '2006-12-21 12:00:00', 0, NULL),
+(56, 264, '2007-01-11 14:30:00', '2007-01-11 16:30:00', 0, NULL),
+(57, 264, '2007-02-05 14:30:00', '2007-02-05 16:30:00', 0, NULL),
+(58, 264, '2007-02-19 14:30:00', '2007-02-19 16:30:00', 0, NULL),
+(59, 264, '2007-03-05 14:30:00', '2007-03-05 16:30:00', 0, NULL),
+(60, 264, '2007-04-30 14:30:00', '2007-04-30 16:30:00', 0, NULL),
+(61, 264, '2007-05-14 14:30:00', '2007-05-14 16:30:00', 0, NULL),
+(62, 264, '2007-06-04 14:30:00', '2007-06-04 16:30:00', 0, NULL),
+(63, 264, '2007-06-18 14:30:00', '2007-06-18 16:30:00', 0, NULL),
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+(66, 263, '2006-11-23 10:00:00', '2006-11-23 12:00:00', 0, NULL),
+(67, 263, '2006-12-07 10:00:00', '2006-12-07 12:00:00', 0, NULL),
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+(70, 263, '2007-02-05 14:30:00', '2007-02-05 16:30:00', 0, NULL),
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+(72, 263, '2007-03-05 14:30:00', '2007-03-05 16:30:00', 0, NULL),
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+(80, 265, '2006-12-07 10:00:00', '2006-12-07 12:00:00', 0, NULL),
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+(85, 265, '2007-03-05 14:30:00', '2007-03-05 16:30:00', 0, NULL),
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+(230, 283, '2008-02-12 18:00:00', '2008-02-12 20:00:00', 0, NULL),
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+(243, 422, '2007-03-09 14:30:00', '2007-03-09 17:30:00', 0, NULL),
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+(267, 424, '2006-09-26 19:00:00', '2006-09-26 19:00:00', 0, NULL),
+(268, 424, '2006-10-24 19:00:00', '2006-10-24 19:00:00', 0, NULL),
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+(284, 505, '2010-03-16 17:00:00', '2010-03-16 19:00:00', 0, NULL),
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+(296, 504, '2010-06-29 17:00:00', '2010-06-30 01:00:00', 0, NULL);
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_gigs_gig`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_gigs_gig`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_gigs_gig` (
+ `id` int(10) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `venueID` int(10) unsigned NOT NULL,
+ `date` date NOT NULL,
+ `notes` text NOT NULL,
+ `postID` bigint(20) unsigned NOT NULL,
+ `eventName` varchar(255) NOT NULL,
+ `tour_id` int(10) unsigned default NULL,
+ PRIMARY KEY (`id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=3 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_gigs_gig`
+--
+
+INSERT INTO `wp_gigs_gig` (`id`, `venueID`, `date`, `notes`, `postID`, `eventName`, `tour_id`) VALUES
+(1, 1, '2009-12-24', 'is a long established fact that a reader will be distracted by the readable content of a page when looking at its layout. The point of using Lorem Ipsum is that it has a more-or-less normal distribution of letters, as opposed to using ''Content here, content here'', making it look like readable English. Many desktop publishing packages and web page editors now use Lorem Ipsum as their default model text, and a search for ''lorem ipsum'' will uncover many web sites still in their infancy. Various versions have evolved over the years, sometimes by accident, sometimes on purpose (injected humour and the like).', 35, 'ENMI 2010', NULL),
+(2, 1, '2009-12-30', 'Lorem Ipsum is that it has a more-or-less normal distribution of letters, as opposed to using ''Content here, content here'', making it look like readable English. Many desktop publishing packages and web page editors now use Lorem Ipsum as their default model text, and a search for ''lorem ipsum'' will uncover many web sites still in their infancy. Various versions have evolved over the years, sometimes by accident, sometimes on purpose (injected humour and the like).', 40, 'Conférence N°2', NULL);
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_gigs_performance`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_gigs_performance`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_gigs_performance` (
+ `id` int(10) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `gigID` int(10) unsigned NOT NULL,
+ `time` time default NULL,
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+ `ages` varchar(255) NOT NULL,
+ PRIMARY KEY (`id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=5 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_gigs_performance`
+--
+
+INSERT INTO `wp_gigs_performance` (`id`, `gigID`, `time`, `link`, `shortNotes`, `ages`) VALUES
+(1, 1, '20:00:00', 'http://amateur.iri.centrepompidou.fr/nouveaumonde/enmi/conf/', 'test', 'All Ages'),
+(3, 2, '22:00:00', 'http://amateur.iri.centrepompidou.fr/nouveaumonde/enmi/conf/', 'event 2 short here', 'All Ages');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_gigs_tour`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_gigs_tour`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_gigs_tour` (
+ `id` int(10) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `name` varchar(255) NOT NULL,
+ `notes` mediumtext NOT NULL,
+ `pos` int(10) unsigned NOT NULL,
+ PRIMARY KEY (`id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=1 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_gigs_tour`
+--
+
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_gigs_venue`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_gigs_venue`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_gigs_venue` (
+ `id` int(10) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `name` varchar(255) NOT NULL,
+ `address` text NOT NULL,
+ `city` varchar(255) NOT NULL,
+ `state` varchar(255) NOT NULL,
+ `country` varchar(255) NOT NULL,
+ `postalCode` varchar(255) NOT NULL,
+ `contact` varchar(255) NOT NULL,
+ `phone` varchar(255) NOT NULL,
+ `email` varchar(255) NOT NULL,
+ `link` varchar(255) NOT NULL,
+ `notes` text NOT NULL,
+ `private` tinyint(4) NOT NULL,
+ `apiID` int(10) unsigned NOT NULL,
+ `deleted` tinyint(4) NOT NULL,
+ `customMap` varchar(255) NOT NULL,
+ PRIMARY KEY (`id`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=2 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_gigs_venue`
+--
+
+INSERT INTO `wp_gigs_venue` (`id`, `name`, `address`, `city`, `state`, `country`, `postalCode`, `contact`, `phone`, `email`, `link`, `notes`, `private`, `apiID`, `deleted`, `customMap`) VALUES
+(1, 'Centre George Pompidou', 'Place Georges Pompidou\n', 'Paris', '', 'France', '75004 ', '', '', '', '', '', 0, 0, 0, 'Place Georges Pompidou 75004 Paris');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_links`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_links`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_links` (
+ `link_id` bigint(20) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `link_url` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `link_name` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `link_image` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `link_target` varchar(25) NOT NULL default '',
+ `link_description` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `link_visible` varchar(20) NOT NULL default 'Y',
+ `link_owner` bigint(20) unsigned NOT NULL default '1',
+ `link_rating` int(11) NOT NULL default '0',
+ `link_updated` datetime NOT NULL default '0000-00-00 00:00:00',
+ `link_rel` varchar(255) NOT NULL default '',
+ `link_notes` mediumtext NOT NULL,
+ `link_rss` varchar(255) NOT NULL default '',
+ PRIMARY KEY (`link_id`),
+ KEY `link_visible` (`link_visible`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=10 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_links`
+--
+
+INSERT INTO `wp_links` (`link_id`, `link_url`, `link_name`, `link_image`, `link_target`, `link_description`, `link_visible`, `link_owner`, `link_rating`, `link_updated`, `link_rel`, `link_notes`, `link_rss`) VALUES
+(1, 'http://codex.wordpress.org/', 'Documentation', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(2, 'http://wordpress.org/development/', 'Development Blog', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', 'http://wordpress.org/development/feed/'),
+(3, 'http://wordpress.org/extend/ideas/', 'Suggest Ideas', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(4, 'http://wordpress.org/support/', 'Support Forum', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(5, 'http://wordpress.org/extend/plugins/', 'Plugins', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(6, 'http://wordpress.org/extend/themes/', 'Themes', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(7, 'http://planet.wordpress.org/', 'WordPress Planet', '', '', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', '', '', ''),
+(8, 'http://www.thdculture.fr/', 'THD culture', '', '_blank', 'THD Culture est une revue en ligne initiée et publiée dans le cadre du projet de plateforme régionale d''expérimentation THD (Très Haut Débit) coordonné par Cap Digital.', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', 'me', '', ''),
+(9, 'http://amateur.iri.centrepompidou.fr/nouveaumonde/enmi/conf/', 'Entretien du Nouveau Monde Industriel', '', '_blank', '', 'Y', 1, 0, '0000-00-00 00:00:00', 'me', '', '');
+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_options`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_options`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_options` (
+ `option_id` bigint(20) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `blog_id` int(11) NOT NULL default '0',
+ `option_name` varchar(64) NOT NULL default '',
+ `option_value` longtext NOT NULL,
+ `autoload` varchar(20) NOT NULL default 'yes',
+ PRIMARY KEY (`option_id`,`blog_id`,`option_name`),
+ KEY `option_name` (`option_name`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=2358 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_options`
+--
+
+INSERT INTO `wp_options` (`option_id`, `blog_id`, `option_name`, `option_value`, `autoload`) VALUES
+(2, 0, 'siteurl', 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/', 'yes'),
+(3, 0, 'blogname', 'IRI', 'yes'),
+(4, 0, 'blogdescription', 'Institut de recherche et d’innovation', 'yes'),
+(5, 0, 'users_can_register', '', 'yes'),
+(6, 0, 'admin_email', 'samuel.huron@centrepompidou.fr', 'yes'),
+(7, 0, 'start_of_week', '1', 'yes'),
+(8, 0, 'use_balanceTags', '', 'yes'),
+(9, 0, 'use_smilies', '1', 'yes'),
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+(28, 0, 'links_recently_updated_prepend', '
', 'yes'),
+(29, 0, 'links_recently_updated_append', '', 'yes'),
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+(31, 0, 'comment_moderation', '1', 'yes'),
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+(33, 0, 'permalink_structure', '/%category%/%postname%/', 'yes'),
+(34, 0, 'gzipcompression', '0', 'yes'),
+(35, 0, 'hack_file', '0', 'yes'),
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+--
+
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+ PRIMARY KEY (`rel_ID`),
+ KEY `page_ID` (`page_ID`,`cat_ID`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=latin1 COLLATE=latin1_german1_ci AUTO_INCREMENT=74 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_page2cat`
+--
+
+INSERT INTO `wp_page2cat` (`rel_ID`, `page_ID`, `cat_ID`) VALUES
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+
+-- --------------------------------------------------------
+
+--
+-- Structure de la table `wp_postmeta`
+--
+
+DROP TABLE IF EXISTS `wp_postmeta`;
+CREATE TABLE IF NOT EXISTS `wp_postmeta` (
+ `meta_id` bigint(20) unsigned NOT NULL auto_increment,
+ `post_id` bigint(20) unsigned NOT NULL default '0',
+ `meta_key` varchar(255) default NULL,
+ `meta_value` longtext,
+ PRIMARY KEY (`meta_id`),
+ KEY `post_id` (`post_id`),
+ KEY `meta_key` (`meta_key`)
+) ENGINE=MyISAM DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=3294 ;
+
+--
+-- Contenu de la table `wp_postmeta`
+--
+
+INSERT INTO `wp_postmeta` (`meta_id`, `post_id`, `meta_key`, `meta_value`) VALUES
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+
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+(1, 1, '2009-12-15 13:52:07', '2009-12-15 12:52:07', 'Bienvenue dans WordPress. Ceci est votre premier article. Modifiez-le ou supprimer-le, puis lancez-vous !', 'Bonjour tout le monde !', '', 'private', 'closed', 'open', '', 'bonjour-tout-le-monde', '', '', '2009-12-22 17:15:29', '2009-12-22 16:15:29', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=1', 0, 'post', '', 1),
+(2, 1, '2009-12-15 13:52:07', '2009-12-15 12:52:07', 'Les recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).', 'Projets', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'a-propos', '', '', '2009-12-24 14:33:12', '2009-12-24 13:33:12', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=2', 0, 'page', '', 0),
+(3, 1, '2009-12-15 14:32:39', '2009-12-15 13:32:39', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone, Microsoft France, le Goldsmiths College, l''Université de Tokyo, l''Institut Telecom et l''ENSCI.
\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.
\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).
\r\n\r\n', 'Accueil', '', 'publish', 'closed', 'open', '', 'home', '', '', '2010-02-01 14:52:15', '2010-02-01 13:52:15', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=3', 0, 'post', '', 0),
+(96, 1, '2009-12-16 11:22:19', '2009-12-16 10:22:19', 'Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\nEn savoir plus
\r\n\r\nTÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
\r\n? FAQ ?\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\n\r\n\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
\r\n
\r\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
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\r\nVous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\r\nPour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\r\n\r\nPlus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\r\n\r\nLignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\nLire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\nLire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '53-revision-3', '', '', '2009-12-16 11:22:19', '2009-12-16 10:22:19', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=96', 0, 'revision', '', 0),
+(4, 1, '2009-12-15 14:32:31', '2009-12-15 13:32:31', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\n\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\n\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\n\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision', '', '', '2009-12-15 14:32:31', '2009-12-15 13:32:31', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=4', 0, 'revision', '', 0),
+(5, 1, '2009-12-15 14:32:39', '2009-12-15 13:32:39', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-2', '', '', '2009-12-15 14:32:39', '2009-12-15 13:32:39', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=5', 0, 'revision', '', 0),
+(6, 1, '2009-12-15 15:16:32', '2009-12-15 14:16:32', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-3', '', '', '2009-12-15 15:16:32', '2009-12-15 14:16:32', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=6', 0, 'revision', '', 0),
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\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.
\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
', 'home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-15', '', '', '2009-12-16 12:47:13', '2009-12-16 11:47:13', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=95', 0, 'revision', '', 0),
+(91, 1, '2009-12-16 12:34:03', '2009-12-16 11:34:03', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d’annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l’annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d’images.', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '74-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:34:03', '2009-12-16 11:34:03', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=91', 0, 'revision', '', 0),
+(8, 1, '2010-01-15 15:21:08', '2010-01-15 14:21:08', 'Concept hérité des «Écoutes signées» développées à l’Ircam à l’initiative de Bernard Stiegler, les Regards signés incarnent le point de vue d’un amateur, qu’il soit critique, réalisateur, enseignant ou élève. S’ils sont construits à l’aide du logiciel Lignes de temps, ils peuvent cependant être publiés sous différentes formes (ou «rendus»). Parmi les formes de rendus possibles, Lignes de temps propose dans un premier temps la visualisation de séquences mises «bout à bout», la comparaison de deux extraits vidéo en parallèle, la lecture d’un hypertexte dont les liens déclenchent les séquences évoquées, la visualisation de séquences avec commentaire audio synchronisé...\r\n\r\nLes travaux des résidents de l’IRI ont d’ores et déjà révélé de nouvelles possibilités d’exploration de la construction narrative, des parcours thématiques à travers plusieurs films, une mise en lumière des relations entre cinéma, photographie et peinture, voire une analyse génétique de l’œuvre ou la mise en évidence du changement de statut des images selon le contexte historique, culturel, social ou politique de leur production et/ou de leur réception. Le logiciel Lignes de temps constitue un premier élément d’un appareil critique qui ne se limite pas au cinéma, mais qui doit permettre d’aborder toutes les œuvres d’art et de l’esprit – et en particulier, les arts visuels, les arts vivants et la littérature.\r\n\r\nEn 2006 et 2007, l’IRI avait organisé sur une base mensuelle des ateliers de co-conception d’un nouvel outil pour l’analyse cinématographique baptisé Lignes de temps. Cet atelier a réuni des critiques de cinéma et des réalisateurs (Alain Bergala, Jean-Louis Comolli, Raymond Bellour, Yousef Yshaghpour, Marcos Uzal, Jean-Philippe Tessé) mais aussi des historiens du cinéma (Sylvie Lindeperg), des commissaires d’exposition (Sam Stourdzé). Autour de ces ateliers se sont mis en place des cercles d’amateurs essentiellement dans l’enseignement supérieur du cinéma (Paris 3, FEMIS, Aix en Provence.) et dans l’enseignement en classes primaires, au collège et en lycées (option cinéma). Cette méthode de travail propre à l’IRI a permis le développement rapide du logiciel et la réalisation de premières formes de «regards signés».\r\n\r\nA partir de septembre 2009, l’IRI renouvelle cet atelier d’échanges sur les pratiques critiques et éducatives relatives au cinéma et à la conception d’outils numériques.\r\nL’atelier est proposé en priorité aux enseignants, critiques et médiateurs du cinéma. A chaque séance, des pratiques critiques ou pédagogiques sont présentées et des propositions d’outils numériques sont discutées. Ces propositions et discussions serviront notamment à faire évoluer le logiciel d’annotation Lignes de temps, et à concevoir et développer une plateforme collaborative sur laquelle les travaux de l’atelier Regards Signés pourront être édités. L’atelier s’appuiera sur des problématiques et des films proposés par les participants.\r\n\r\n L’Atelier se tiendra sur un rythme mensuel, les mardis de 17h à 20h et se déroulera alternativement dans l’Espace Piazza de l’IRI et au Forum des Images. Une journée de rendu public sera proposée en fin d’année scolaire.\r\n\r\n Entrée sur inscription auprès de Fanny Belvisi : fanny.belvisi@centrepompidou.fr', 'Atelier regards signés', '', 'publish', 'closed', 'open', '', 'atelier-regard-signes', '', '', '2010-01-26 17:58:11', '2010-01-26 16:58:11', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=8', 0, 'post', '', 0),
+(9, 1, '2009-12-15 15:22:29', '2009-12-15 14:22:29', 'Concept hérité des «Écoutes signées» développées à l’Ircam à l’initiative de Bernard Stiegler, les Regards signés incarnent le point de vue d’un amateur, qu’il soit critique, réalisateur, enseignant ou élève. S’ils sont construits à l’aide du logiciel Lignes de temps, ils peuvent cependant être publiés sous différentes formes (ou «rendus»). Parmi les formes de rendus possibles, Lignes de temps propose dans un premier temps la visualisation de séquences mises «bout à bout», la comparaison de deux extraits vidéo en parallèle, la lecture d’un hypertexte dont les liens déclenchent les séquences évoquées, la visualisation de séquences avec commentaire audio synchronisé...\n\nLes travaux des résidents de l’IRI ont d’ores et déjà révélé de nouvelles possibilités d’exploration de la construction narrative, des parcours thématiques à travers plusieurs films, une mise en lumière des relations entre cinéma, photographie et peinture, voire une analyse génétique de l’œuvre ou la mise en évidence du changement de statut des images selon le contexte historique, culturel, social ou politique de leur production et/ou de leur réception. Le logiciel Lignes de temps constitue un premier élément d’un appareil critique qui ne se limite pas au cinéma, mais qui doit permettre d’aborder toutes les œuvres d’art et de l’esprit – et en particulier, les arts visuels, les arts vivants et la littérature.\n\nEn 2006 et 2007, l’IRI avait organisé sur une base mensuelle des ateliers de co-conception d’un nouvel outil pour l’analyse cinématographique baptisé Lignes de temps. Cet atelier a réuni des critiques de cinéma et des réalisateurs (Alain Bergala, Jean-Louis Comolli, Raymond Bellour, Yousef Yshaghpour, Marcos Uzal, Jean-Philippe Tessé) mais aussi des historiens du cinéma (Sylvie Lindeperg), des commissaires d’exposition (Sam Stourdzé). Autour de ces ateliers se sont mis en place des cercles d’amateurs essentiellement dans l’enseignement supérieur du cinéma (Paris 3, FEMIS, Aix en Provence.) et dans l’enseignement en classes primaires, au collège et en lycées (option cinéma). Cette méthode de travail propre à l’IRI a permis le développement rapide du logiciel et la réalisation de premières formes de «regards signés».\n\nA partir de septembre 2009, l’IRI renouvelle cet atelier d’échanges sur les pratiques critiques et éducatives relatives au cinéma et à la conception d’outils numériques.\nL’atelier est proposé en priorité aux enseignants, critiques et médiateurs du cinéma. A chaque séance, des pratiques critiques ou pédagogiques sont présentées et des propositions d’outils numériques sont discutées. Ces propositions et discussions serviront notamment à faire évoluer le logiciel d’annotation Lignes de temps, et à concevoir et développer une plateforme collaborative sur laquelle les travaux de l’atelier Regards Signés pourront être édités. L’atelier s’appuiera sur des problématiques et des films proposés par les participants.\n\n L’Atelier se tiendra sur un rythme mensuel, les mardis de 17h à 20h et se déroulera alternativement dans l’Espace Piazza de l’IRI et au Forum des Images. Une journée de rendu public sera proposée en fin d’année scolaire.\n\n Entrée sur inscription auprès de Fanny Belvisi : fanny.belvisi@centrepompidou.fr', 'atelier regard signéd', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '8-autosave', '', '', '2009-12-15 15:22:29', '2009-12-15 14:22:29', '', 8, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/8-autosave/', 0, 'revision', '', 0),
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Accès : Résidents et conseillers de l''IRI.\r\n\r\n
Dates : le vendredi de 10h à 12h\r\n
\r\n - 13 octobre
\r\n - 3 novembre
\r\n - 15 décembre
\r\n - 2 Février
\r\n - 16 Février
\r\n - 2 Mars
\r\n - Vendredi 1er juin
\r\n - Vendredi 22 juin
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Textes de Bernard Stiegler à télécharger :\r\n
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Accès : Résidents et conseillers de l''IRI.\r\n\r\n
Dates : le vendredi de 10h à 12h\r\n
\r\n - 13 octobre
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Textes de Bernard Stiegler à télécharger :\r\n
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+(16, 1, '2009-12-15 15:16:40', '2009-12-15 14:16:40', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-4', '', '', '2009-12-15 15:16:40', '2009-12-15 14:16:40', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/3-revision-4/', 0, 'revision', '', 0),
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Accès : Résidents et conseillers de l''IRI.\r\n\r\n
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-5', '', '', '2009-12-15 15:32:29', '2009-12-15 14:32:29', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=19', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-7', '', '', '2009-12-15 19:13:19', '2009-12-15 18:13:19', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=38', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-6', '', '', '2009-12-15 16:43:52', '2009-12-15 15:43:52', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=37', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-8', '', '', '2009-12-15 19:13:37', '2009-12-15 18:13:37', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=39', 0, 'revision', '', 0),
+(90, 1, '2009-12-16 12:34:32', '2009-12-16 11:34:32', 'L’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.', 'TECHNOLOGIES COLLABORATIVES', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '77-revision-2', '', '', '2009-12-16 12:34:32', '2009-12-16 11:34:32', '', 77, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=90', 0, 'revision', '', 0),
+(42, 1, '2009-12-16 10:30:34', '2009-12-16 09:30:34', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Ateliers', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'atelier2', '', '', '2010-01-05 17:03:35', '2010-01-05 16:03:35', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=42', 0, 'page', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-2', '', '', '2009-12-16 10:30:32', '2009-12-16 09:30:32', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=44', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\n\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\n\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-autosave', '', '', '2010-01-04 19:10:55', '2010-01-04 18:10:55', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=45', 0, 'revision', '', 0);
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-3', '', '', '2009-12-16 10:30:34', '2009-12-16 09:30:34', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=46', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-4', '', '', '2009-12-16 10:50:30', '2009-12-16 09:50:30', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=48', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-5', '', '', '2009-12-16 11:06:47', '2009-12-16 10:06:47', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=49', 0, 'revision', '', 0),
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INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-6', '', '', '2009-12-16 11:07:19', '2009-12-16 10:07:19', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=50', 0, 'revision', '', 0),
+(51, 1, '2009-12-15 19:14:32', '2009-12-15 18:14:32', '
En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-9', '', '', '2009-12-15 19:14:32', '2009-12-15 18:14:32', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=51', 0, 'revision', '', 0),
+(52, 1, '2009-12-16 11:12:03', '2009-12-16 10:12:03', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier - head test', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-7', '', '', '2009-12-16 11:12:03', '2009-12-16 10:12:03', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=52', 0, 'revision', '', 0),
+(53, 1, '2009-12-10 11:18:38', '2009-12-10 10:18:38', '
\r\nLe logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\n\r\n\r\n\r\n
\r\n\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres « lignes de temps » parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\nPour appareiller les pratiques « amateurs » \r\n\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles « pratiques » de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n\r\n \r\n\r\n \r\n
\r\n\r\n \r\n\r\nObjectivation, subjectivation, communautisation\r\n\r\nAux critères de segmentation précédemment décrits et qualifiés «d’objectifs», les praticiens du logiciel peuvent ajouter leurs propres lignes subjectives en s’appuyant ou non sur les découpages disponibles ou en constituant des groupes de lignes en fonction de critères et de finalités qui leurs sont propres. L’annotation subjective peut dépasser la dimension du visible, porter sur l’analyse du hors champ ou souligner la construction technique, narrative ou émotionnelle – elle est subjective en cela qu’elle se fonde, non plus sur le film lui-même, mais sur la rencontre entre le film et le regard du spectateur. L’outil propose pour ce faire, de poser des marqueurs ou de définir des segments le long des «lignes de temps», puis de leur attacher une annotation en texte libre, des mots-clés gérés par une base de données partageable entre une multitude d’utilisateurs, ou, dans des développements futurs, en faisant appel à des thésaurus (vocabulaires contrôlés) ou des arborescences thématiques.\r\n\r\nL’annotation peut aussi prendre la forme d’un commentaire audio enregistré directement via le logiciel ou par synchronisation de documents (fichiers audio, textes, photos, vidéos, URLs).\r\n\r\nTroisième enjeu du développement de l’outil, la «communautisation » permet à l’auteur de partager sa ou ses lignes de temps avec un cercle choisi, ou encore de manière ouverte et publique. La ligne de temps constitue dans ce cas un instrument organisé de dialogue synchronisé au film. Les lignes de temps des différents contributeurs peuvent en effet être échangées, superposées ou modifiées par les uns ou les autres indépendamment du site collaboratif décrit plus loin.\r\n\r\nRegards signés et formes de rendu\r\n\r\nConcept hérité des «Écoutes signées» développées à l’Ircam à l’initiative de Bernard Stiegler, les Regards signés incarnent le point de vue d’un amateur, qu’il soit critique, réalisateur, enseignant ou élève. S’ils sont construits à l’aide du logiciel Lignes de temps, ils peuvent cependant être publiés sous différentes formes (ou «rendus»). Parmi les formes de rendus possibles, Lignes de temps propose dans un premier temps la visualisation de séquences mises «bout à bout», la comparaison de deux extraits vidéo en parallèle, la lecture d’un hypertexte dont les liens déclenchent les séquences évoquées, la visualisation de séquences avec commentaire audio synchronisé…\r\n\r\nLes travaux des résidents de l’IRI ont d’ores et déjà révélé de nouvelles possibilités d’exploration de la construction narrative, des parcours thématiques à travers plusieurs films, une mise en lumière des relations entre cinéma, photographie et peinture, voire une analyse génétique de l’œuvre ou la mise en évidence du changement de statut des images selon le contexte historique, culturel, social ou politique de leur production et/ou de leur réception.\r\n\r\nLe logiciel Lignes de temps constitue un premier élément d’un appareil critique qui ne se limite pas au cinéma, mais qui doit permettre d’aborder toutes les œuvres d’art et de l’esprit – et en particulier, les arts visuels, les arts vivants et la littérature.\r\n\r\nLignes de temps existe en français, anglais, espagnol, japonais et basque.\r\nTÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
\r\nFAQ\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\n\r\n\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
\r\n
\r\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\nNotes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\r\n\r\n\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
\r\n
\r\nEn savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
\r\nVous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\r\nPour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\r\n\r\nPlus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\r\n\r\nLignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\nLire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\nLire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'lignes-de-temps', '', '', '2010-01-28 17:30:37', '2010-01-28 16:30:37', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=53', 0, 'post', '', 0),
+(54, 1, '2009-12-16 11:18:05', '2009-12-16 10:18:05', '', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '53-revision', '', '', '2009-12-16 11:18:05', '2009-12-16 10:18:05', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=54', 0, 'revision', '', 0),
+(55, 1, '2010-01-28 17:30:04', '2010-01-28 16:30:04', '\nLe logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\n\n\n\n
\n\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres « lignes de temps » parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\n\nPour appareiller les pratiques « amateurs » \n\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles « pratiques » de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\n\n \n\n \n
\n\n \n\nObjectivation, subjectivation, communautisation\n\nAux critères de segmentation précédemment décrits et qualifiés «d’objectifs», les praticiens du logiciel peuvent ajouter leurs propres lignes subjectives en s’appuyant ou non sur les découpages disponibles ou en constituant des groupes de lignes en fonction de critères et de finalités qui leurs sont propres. L’annotation subjective peut dépasser la dimension du visible, porter sur l’analyse du hors champ ou souligner la construction technique, narrative ou émotionnelle – elle est subjective en cela qu’elle se fonde, non plus sur le film lui-même, mais sur la rencontre entre le film et le regard du spectateur. L’outil propose pour ce faire, de poser des marqueurs ou de définir des segments le long des «lignes de temps», puis de leur attacher une annotation en texte libre, des mots-clés gérés par une base de données partageable entre une multitude d’utilisateurs, ou, dans des développements futurs, en faisant appel à des thésaurus (vocabulaires contrôlés) ou des arborescences thématiques.\n\nL’annotation peut aussi prendre la forme d’un commentaire audio enregistré directement via le logiciel ou par synchronisation de documents (fichiers audio, textes, photos, vidéos, URLs).\n\nTroisième enjeu du développement de l’outil, la «communautisation » permet à l’auteur de partager sa ou ses lignes de temps avec un cercle choisi, ou encore de manière ouverte et publique. La ligne de temps constitue dans ce cas un instrument organisé de dialogue synchronisé au film. Les lignes de temps des différents contributeurs peuvent en effet être échangées, superposées ou modifiées par les uns ou les autres indépendamment du site collaboratif décrit plus loin.\n\nRegards signés et formes de rendu\n\nConcept hérité des «Écoutes signées» développées à l’Ircam à l’initiative de Bernard Stiegler, les Regards signés incarnent le point de vue d’un amateur, qu’il soit critique, réalisateur, enseignant ou élève. S’ils sont construits à l’aide du logiciel Lignes de temps, ils peuvent cependant être publiés sous différentes formes (ou «rendus»). Parmi les formes de rendus possibles, Lignes de temps propose dans un premier temps la visualisation de séquences mises «bout à bout», la comparaison de deux extraits vidéo en parallèle, la lecture d’un hypertexte dont les liens déclenchent les séquences évoquées, la visualisation de séquences avec commentaire audio synchronisé…\n\nLes travaux des résidents de l’IRI ont d’ores et déjà révélé de nouvelles possibilités d’exploration de la construction narrative, des parcours thématiques à travers plusieurs films, une mise en lumière des relations entre cinéma, photographie et peinture, voire une analyse génétique de l’œuvre ou la mise en évidence du changement de statut des images selon le contexte historique, culturel, social ou politique de leur production et/ou de leur réception.\n\nLe logiciel Lignes de temps constitue un premier élément d’un appareil critique qui ne se limite pas au cinéma, mais qui doit permettre d’aborder toutes les œuvres d’art et de l’esprit – et en particulier, les arts visuels, les arts vivants et la littérature.\n\nLignes de temps existe en français, anglais, espagnol, japonais et basque. La langue\nTÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
\nFAQ\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\n\n\n\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\n\n
\n
\nUne fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\nNotes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\n\n\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
\n
\nEn savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
\nVous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\nPour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\n\nPlus d''information :\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\n\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\n\nLignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\n\nLire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\nLire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '53-autosave', '', '', '2010-01-28 17:30:04', '2010-01-28 16:30:04', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=55', 0, 'revision', '', 0),
+(119, 1, '2009-12-16 17:28:21', '0000-00-00 00:00:00', '', 'A propos', '', 'draft', 'open', 'open', '', '', '', '', '2009-12-16 17:28:21', '0000-00-00 00:00:00', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=119', 0, 'page', '', 0),
+(56, 1, '2009-12-16 11:13:29', '2009-12-16 10:13:29', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\n
TECHNOLOGIES COLLABORATIVES\r\nL’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\n
INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Atelier', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '42-revision-8', '', '', '2009-12-16 11:13:29', '2009-12-16 10:13:29', '', 42, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=56', 0, 'revision', '', 0);
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Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\nEn savoir plus
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\r\n? FAQ ?\r\nTélécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
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\r\nNotes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\r\n\r\n\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
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\r\nEn savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
\r\nVous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\r\nPour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\r\n\r\nPlus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\r\n\r\nLignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\nLire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\nLire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '53-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:18:38', '2009-12-16 10:18:38', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=57', 0, 'revision', '', 0),
+(58, 1, '2009-12-16 11:13:02', '2009-12-16 10:13:02', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-10', '', '', '2009-12-16 11:13:02', '2009-12-16 10:13:02', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=58', 0, 'revision', '', 0),
+(59, 1, '2009-12-16 11:51:10', '2009-12-16 10:51:10', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles\r\nau public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands\r\nsites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\r\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\r\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\r\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\r\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\r\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\r\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\r\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\r\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\r\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\r\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\r\n\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'Cinecast', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'cinecast', '', '', '2009-12-22 14:40:28', '2009-12-22 13:40:28', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=59', 0, 'post', '', 0),
+(60, 1, '2009-12-16 11:50:29', '2009-12-16 10:50:29', '', 'Cinecast', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '59-revision', '', '', '2009-12-16 11:50:29', '2009-12-16 10:50:29', '', 59, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=60', 0, 'revision', '', 0),
+(61, 1, '2009-12-16 11:52:46', '2009-12-16 10:52:46', 'Pourquoi et comment commenter un film à l’aide de son téléphone portable, à la sortie du cinéma avec\r\nses amis ou dans le cadre d’une exposition sur le cinéma au Centre Pompidou? La question pose en fait\r\nbien plus que des problèmes scientifiques liés à la synchronisation du flux du commentaire avec le flux\r\ndu film ou avec les commentaires des autres visiteurs. Plus généralement c’est la pratique critique\r\nqui est ici questionnée dans une perspective de confrontation des regards portés sur les films. Le projet\r\nétend largement ses applications à l’enseignement du cinéma.\r\nProlongement du projet Lignes de temps dans le domaine de la critique cinématographique, des pratiques\r\néducatives, de la consultation de fonds d’archives et des technologies mobiles, CineLab est un projet\r\nde recherche, financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et le pôle de compétitivité Cap Digital\r\njusqu’à fin juin 2009. Il vise l’annotation de films et le partage d’annotation sur postes de travail, sites web\r\net dispositifs mobiles. Les partenaires associés au Centre Pompidou sont le Forum des Images, le labora-\r\ntoire LIRIS (CNRS-Lyon I) et la société Antenna Audio.\r\n\r\nLes objectifs du projet en 2009 sont d’expérimenter l’annotation sur mobiles à base de vidéo\r\net d’enregistrements audio au travers d’une application Internet permettant de s’affranchir des défauts\r\ndu système sur téléphone portable ou sur audioguide (voir Mémoire de Master II de Cécilia Jauniau sur\r\nle dispositif d’annotation collaborative développé lors de l’exposition Traces du sacré, Université Paris XIII).', 'CineLab', '', 'draft', 'open', 'open', '', 'cinelab', '', '', '2010-01-18 16:18:57', '2010-01-18 15:18:57', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=61', 0, 'post', '', 0),
+(62, 1, '2009-12-16 11:52:34', '2009-12-16 10:52:34', '', 'CineLab', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '61-revision', '', '', '2009-12-16 11:52:34', '2009-12-16 10:52:34', '', 61, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=62', 0, 'revision', '', 0),
+(123, 1, '2009-12-16 18:06:34', '2009-12-16 17:06:34', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles\r\nau public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands\r\nsites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\r\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\r\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\r\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\r\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\r\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\r\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\r\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\r\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\r\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\r\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\r\n\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech,\r\nForum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'Cinecast', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '59-revision-4', '', '', '2009-12-16 18:06:34', '2009-12-16 17:06:34', '', 59, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=123', 0, 'revision', '', 0),
+(63, 1, '2009-12-16 11:53:17', '2009-12-16 10:53:17', 'Pourquoi et comment commenter un film à l’aide de son téléphone portable, à la sortie du cinéma avec ses amis ou dans le cadre d’une exposition sur le cinéma au Centre Pompidou? La question pose en fait bien plus que des problèmes scientifiques liés à la synchronisation du flux du commentaire avec le flux du film ou avec les commentaires des autres visiteurs. Plus généralement c’est la pratique critique qui est ici questionnée dans une perspective de confrontation des regards portés sur les films. Le projet étend largement ses applications à l’enseignement du cinéma.\r\n\r\nProlongement du projet Lignes de temps dans le domaine de la critique cinématographique, des pratiques éducatives, de la consultation de fonds d’archives et des technologies mobiles, CineLab est un projet de recherche, financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et le pôle de compétitivité Cap Digital jusqu’à fin juin 2009. Il vise l’annotation de films et le partage d’annotation sur postes de travail, sites web\r\net dispositifs mobiles. Les partenaires associés au Centre Pompidou sont le Forum des Images, le laboratoire LIRIS (CNRS-Lyon I) et la société Antenna Audio.\r\n\r\nDispositif d’annotation sur PDA développé avec Antenna Audio, dans le cadre du projet CineLab Écrans d’enregistrement et de dessin sur l’audioguide de l’exposition Víctor Erice-Abbas Kiarostami : Correspondances Les objectifs du projet en 2009 sont d’expérimenter l’annotation sur mobiles à base de vidéo et d’enregistrements audio au travers d’une application Internet permettant de s’affranchir des défauts du système sur téléphone portable ou sur audioguide (voir Mémoire de Master II de Cécilia Jauniau sur\r\nle dispositif d’annotation collaborative développé lors de l’exposition Traces du sacré, Université Paris XIII).', 'CineLab', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'tic-tac', '', '', '2009-12-24 14:21:38', '2009-12-24 13:21:38', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=63', 0, 'post', '', 0),
+(64, 1, '2009-12-16 11:53:01', '2009-12-16 10:53:01', '', 'Tic Tac', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '63-revision', '', '', '2009-12-16 11:53:01', '2009-12-16 10:53:01', '', 63, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=64', 0, 'revision', '', 0),
+(151, 1, '2009-12-17 16:39:15', '2009-12-17 15:39:15', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\r\n\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'Cine Cast', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'cine-cast', '', '', '2009-12-24 14:22:32', '2009-12-24 13:22:32', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=151', 0, 'post', '', 0),
+(152, 1, '2009-12-17 16:38:28', '2009-12-17 15:38:28', '', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '151-revision', '', '', '2009-12-17 16:38:28', '2009-12-17 15:38:28', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=152', 0, 'revision', '', 0),
+(65, 1, '2009-12-16 11:53:41', '2009-12-16 10:53:41', 'Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2 ?????', '', 'pending', 'closed', 'closed', '', 'eulalie-2', '', '', '2010-01-14 17:10:08', '2010-01-14 16:10:08', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=65', 0, 'post', '', 0),
+(66, 1, '2009-12-16 11:53:27', '2009-12-16 10:53:27', '', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '65-revision', '', '', '2009-12-16 11:53:27', '2009-12-16 10:53:27', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=66', 0, 'revision', '', 0),
+(67, 1, '2009-12-16 11:53:41', '2009-12-16 10:53:41', 'Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '65-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:53:41', '2009-12-16 10:53:41', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=67', 0, 'revision', '', 0),
+(68, 1, '2009-12-18 12:06:17', '2009-12-18 11:06:17', 'Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\n1914 translation by H. Rackham
\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2 ?????', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '65-autosave', '', '', '2009-12-18 12:06:17', '2009-12-18 11:06:17', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=68', 0, 'revision', '', 0),
+(69, 1, '2009-12-16 12:03:06', '2009-12-16 11:03:06', 'Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'home', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'test-ma-page-dans-ma-rub', '', '', '2009-12-16 12:04:54', '2009-12-16 11:04:54', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=69', 0, 'page', '', 0),
+(70, 1, '2009-12-16 12:02:45', '2009-12-16 11:02:45', '', 'test ma page dans ma rub', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '69-revision', '', '', '2009-12-16 12:02:45', '2009-12-16 11:02:45', '', 69, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=70', 0, 'revision', '', 0),
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\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\n1914 translation by H. Rackham
\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'test ma page dans ma rub', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '69-autosave', '', '', '2009-12-16 12:04:11', '2009-12-16 11:04:11', '', 69, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=71', 0, 'revision', '', 0),
+(72, 1, '2009-12-16 12:03:06', '2009-12-16 11:03:06', 'Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'test ma page dans ma rub', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '69-revision-2', '', '', '2009-12-16 12:03:06', '2009-12-16 11:03:06', '', 69, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=72', 0, 'revision', '', 0),
+(73, 1, '2009-12-16 11:49:04', '2009-12-16 10:49:04', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'Home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-11', '', '', '2009-12-16 11:49:04', '2009-12-16 10:49:04', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=73', 0, 'revision', '', 0),
+(74, 1, '2010-01-16 12:33:54', '2010-01-16 11:33:54', 'Contrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner toute métadonnée, qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet de recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement la phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus d’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de métadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques culturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter (au sens d’une organologie générale définie par Bernard Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche sur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\r\n\r\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\r\n', 'Ingénierie des connaissances, ingénierie documentaire et appareils critiques', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'ingenierie-des-connaissances', '', '', '2010-02-01 16:01:35', '2010-02-01 15:01:35', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=74', 0, 'post', '', 0),
+(594, 3, '2010-01-12 14:51:49', '2010-01-12 13:51:49', 'Contrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner toute métadonnée, qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet de recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement la phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus d’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de métadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques culturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter (au sens d’une organologie générale définie par B. Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche sur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.', 'Ingénierie des connaissances ', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '74-revision-8', '', '', '2010-01-12 14:51:49', '2010-01-12 13:51:49', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/non-classe/74-revision-8/', 0, 'revision', '', 0),
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+(77, 1, '2009-12-25 12:34:32', '2009-12-25 11:34:32', 'L’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.\r\n\r\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\r\n', 'Technologies collaboratives et outils de transindividuation', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'technologies-collaboratives', '', '', '2010-02-01 16:02:09', '2010-02-01 15:02:09', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=77', 0, 'post', '', 0);
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+(78, 1, '2009-12-16 12:34:29', '2009-12-16 11:34:29', 'L’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.', 'TECHNOLOGIES COLLABORATIVES', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '77-revision', '', '', '2009-12-16 12:34:29', '2009-12-16 11:34:29', '', 77, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=78', 0, 'revision', '', 0),
+(79, 1, '2009-12-16 12:35:09', '2009-12-16 11:35:09', 'L’IRI collabore avec le monde de l''enseignement supérieur et l’université dans le champ des sciences cognitives et des sciences de l’éducation pour étudier l’impact à long terme des technologies affectant le corps de manière générale et favorisant l’émergence de nouvelles pratiques amateurs, éducatives et professionnelles. La motricité est en effet un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en « gestualisant » une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. L’oreille musicale se forme dans l’activité gestuelle et oculaire que coordonnent l’instrument et la partition, de même que l’œil du peintre ne se forme que par l’activité de ses mains manipulant et maîtrisant des techniques. C’est par de tels « circuits » entre organes que se constituent les objets esthétiques.\r\n\r\nOn vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles en lien avec les expositions du Centre Pompidou, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du regard), l’utilisation des microtechnologies et des microsystèmes et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.\r\n\r\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\r\n', 'Interfaces multimodales, mobilité et motricité dans les pratiques instrumentées ', '', 'publish', 'closed', 'open', '', 'interfaces-multimodales', '', '', '2010-02-01 16:02:33', '2010-02-01 15:02:33', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=79', 0, 'post', '', 0),
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+(81, 1, '2009-12-16 12:05:53', '2009-12-16 11:05:53', 'En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l''IRI a acquis un statut d''association de recherche autonome dont les membres administrateurs sont le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), Microsoft France, Goldsmiths College, Université de Tokyo, Institut Telecom et ENSCI.
\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-12', '', '', '2009-12-16 12:05:53', '2009-12-16 11:05:53', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=81', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n\r\nEn explorant le champ des technologies culturelles et cognitives, l’IRI a pour ambition, depuis l’origine, d’élaborer de nouvelles formes d’adresse au public dans le domaine de la culture et de développer les applications culturelles et scientifiques, en particulier dans le domaine muséal, des technologies numériques destinées aux amateurs, aux chercheurs et aux artistes dans le contexte de l’ingénierie des connaissances, des réseaux sociaux et des interfaces multimodales.\r\nLe programme de recherche de l’IRI articule trois objets de recherche théorique (Écologie de l’attention, Figures de l’amateur et Mutations du monde industriel et questions de design) avec trois axes de recherche technologique (Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques, Technologies collaboratives et réseaux sociaux, Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques culturelles instrumentées).\r\n
Deux premières années de travaux au sein du Centre Pompidou ont déjà permis la mise en place des trois activités principales de l’Institut (Atelier de R&D, Collège des résidents, Espace critique) et la consolidation du programme de recherche en articulation étroite avec la programmation du Centre Pompidou notamment pour les expositions Víctor Erice / Abbas Kiarostami : Correspondances et Traces du sacré.
\r\n\r\nLes recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).\r\n\r\nLe programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.', 'home', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '3-revision-13', '', '', '2009-12-16 12:35:48', '2009-12-16 11:35:48', '', 3, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=87', 0, 'revision', '', 0),
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+(92, 1, '2009-12-16 12:41:45', '2009-12-16 11:41:45', 'Les recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).', 'Projets', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '2-revision-4', '', '', '2009-12-16 12:41:45', '2009-12-16 11:41:45', '', 2, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=92', 0, 'revision', '', 0),
+(93, 1, '2010-02-01 15:21:23', '2010-02-01 14:21:23', 'Contrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner toute métadonnée, qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet de recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement la phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus d’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de métadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques culturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter (au sens d’une organologie générale définie par Bernard Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche sur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.\n\nL’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d''annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.\n\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\n', 'Ingénierie des connaissances, ingénierie documentaire et appareils critiques', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '74-autosave', '', '', '2010-02-01 15:21:23', '2010-02-01 14:21:23', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=93', 0, 'revision', '', 0),
+(94, 1, '2009-12-16 12:49:54', '2009-12-16 11:49:54', 'Les recherches de l’IRI alimentent actuellement deux chantiers de développement : le logiciel d’annotation de flux audio et vidéo Lignes de temps et la plate-forme collaborative L’Amateur. Les principaux projets collaboratifs de l’IRI sont le projet ANR/Cap Digital Cine Lab (annotation de films et partage d’annotations sur postes de travail, sites web et dispositifs mobiles), le projet MEDIA 2007 Glitner (site d’échange entre producteurs de films et plates-formes VoD), et le projet de plate-forme THD Cap Digital (expérimentation de services et contenus sur réseaux à très haut débit).', 'PROJETS', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '2-revision-5', '', '', '2009-12-16 12:49:54', '2009-12-16 11:49:54', '', 2, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=94', 0, 'revision', '', 0),
+(97, 1, '2010-01-12 16:11:24', '2010-01-12 15:11:24', 'Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n\r\nUne collaboration Centre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création…
\r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\nLe projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\r\n\r\n
\r\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\nLe cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\nLe cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes films de référence
\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.\r\nLe Caméraman
\r\nEtats-Unis 1928
\r\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n\r\n\r\n\r\nSunrise - Aurore (L'')
\r\nEtats-Unis, 1927
\r\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\r\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\r\nDurée 1h20
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\n\r\n\r\n\r\n
\r\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\r\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\r\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
\r\n\r\n\r\n
Sites partenaires:\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires:\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html ', 'Ma ville vue par...', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'ma-ville-vue-par', '', '', '2010-02-01 16:19:07', '2010-02-01 15:19:07', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=97', 0, 'post', '', 0),
+(98, 1, '2009-12-16 16:11:22', '2009-12-16 15:11:22', '\nUn projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\n\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\n\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\n\nUne collaboration\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\n\nLiens :\nhttp://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\nhttp://www.centrepompidou.fr/\n\nEtablissements européens partenaires\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\n\nhttp://www.bkherzogenrath.de/\nhttp://lme.is.edu.ro/\nhttp://radunegru.licee.edu.ro/\nhttp://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\nhttp://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\nhttp://www.liceogioia.it/\nhttp://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\nhttp://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\nLe projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\nFondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\nLe cinéma et la citoyenneté\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\n
\nLe cinéma et la ville\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\nLes films de référence\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
\nLe Caméraman
\nEtats-Unis 1928
\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\n\n\n\nSunrise - Aurore (L'')
\nEtats-Unis, 1927
\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\nDurée 1h20
\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\n\n\n\n
\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
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+(108, 1, '2009-12-16 16:15:51', '2009-12-16 15:15:51', '\r\nDe la théorie… Dans un premier temps, les classes complètent l’analyse du film de référence fourni sur le logiciel Lignes de temps. Les films correspondent à une double nécessité : ils sont le produit d’un travail d’auteur et montrent les choix auxquels les cinéastes sont confrontés ; la ville y tient un rôle en tant que « personnage », sans jamais n’être qu’une « option ». La ville peut être montrée de façon documentaire ou fantastique mais doit rester un lieu reconnaissable et descriptible. Espace émotionnel de rencontre entre le cinéaste et le spectateur, le film part à la découverte de la ville dans ses aspects les plus étonnants et les plus quotidiens.\r\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\n…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\r\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\r\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\r\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\r\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\r\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\r\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '100-revision-2', '', '', '2009-12-16 16:15:51', '2009-12-16 15:15:51', '', 100, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=108', 0, 'revision', '', 0);
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\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\nLe projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\n\n
\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\nLe cinéma et la citoyenneté\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\n
\nLe cinéma et la ville\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\n\nLes films de référence
\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.\nLe Caméraman
\nEtats-Unis 1928
\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\n\n\n\nSunrise - Aurore (L'')
\nEtats-Unis, 1927
\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\nDurée 1h20
\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\n\n\n\n
\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
\n\n\n
Sites partenaires:\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\n
http://www.centrepompidou.fr/\n\n
Etablissements européens partenaires\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\n\n
http://www.bkherzogenrath.de/\n
http://lme.is.edu.ro/\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\n
http://www.liceogioia.it/\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\n
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+(1096, 3, '2010-02-01 16:17:06', '2010-02-01 15:17:06', 'Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009
\r\nUne collaboration Centre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image
\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création…
\r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\nLe projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\r\n\r\n
\r\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\nLe cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\nLe cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes films de référence
\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.\r\nLe Caméraman
\r\nEtats-Unis 1928
\r\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n\r\n\r\n\r\nSunrise - Aurore (L'')
\r\nEtats-Unis, 1927
\r\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\r\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\r\nDurée 1h20
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\n\r\n\r\n\r\n
\r\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\r\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\r\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
\r\n\r\n\r\n
Sites partenaires:\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html ', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '97-revision-10', '', '', '2010-02-01 16:17:06', '2010-02-01 15:17:06', '', 97, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/non-classe/97-revision-10/', 0, 'revision', '', 0),
+(1094, 3, '2010-01-26 17:59:01', '2010-01-26 16:59:01', '\r\nUn projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\n\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\n\r\nUne collaboration\r\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\nLiens :\r\nhttp://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\nhttp://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\nEtablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\nhttp://www.bkherzogenrath.de/\r\nhttp://lme.is.edu.ro/\r\nhttp://radunegru.licee.edu.ro/\r\nhttp://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\nhttp://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\nhttp://www.liceogioia.it/\r\nhttp://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\nhttp://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\r\nLe projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\r\nFondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
\r\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\nLe cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\nLe cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
\r\nLe Caméraman
\r\nEtats-Unis 1928
\r\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n\r\n\r\n\r\nSunrise - Aurore (L'')
\r\nEtats-Unis, 1927
\r\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\r\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\r\nDurée 1h20
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
\r\n\r\n\r\n\r\n
\r\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\r\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\r\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
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\r\nFondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
\r\nLa Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\nLe cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\nLe cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\nLe cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\nL’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\nLes films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
\r\nLe Caméraman
\r\nEtats-Unis 1928
\r\nCoréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\nAvec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\nLes aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n\r\n\r\n\r\nSunrise - Aurore (L'')
\r\nEtats-Unis, 1927
\r\nRéalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\nScénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\nAvec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\nPhoto Karl Struss, Charles Rosher
\r\nMusique Dr Hugo Riesenfeld
\r\nDurée 1h20
\r\nSéduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
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\r\nLe réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\r\nLes pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\r\nLes binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
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+(100, 1, '2008-12-16 16:15:51', '2008-12-16 15:15:51', '\r\nDe la théorie…\r\n\r\n Dans un premier temps, les classes complètent l’analyse du film de référence fourni sur le logiciel Lignes de temps. Les films correspondent à une double nécessité : ils sont le produit d’un travail d’auteur et montrent les choix auxquels les cinéastes sont confrontés ; la ville y tient un rôle en tant que « personnage », sans jamais n’être qu’une « option ». La ville peut être montrée de façon documentaire ou fantastique mais doit rester un lieu reconnaissable et descriptible. Espace émotionnel de rencontre entre le cinéaste et le spectateur, le film part à la découverte de la ville dans ses aspects les plus étonnants et les plus quotidiens.\r\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\n…à la pratique
\r\nÀ ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\r\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\r\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\r\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\r\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\r\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\r\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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+(101, 1, '2009-12-16 16:15:07', '2009-12-16 15:15:07', '\nDe la théorie… Dans un premier temps, les classes complètent l’analyse du film de référence fourni sur le logiciel Lignes de temps. Les films correspondent à une double nécessité : ils sont le produit d’un travail d’auteur et montrent les choix auxquels les cinéastes sont confrontés ; la ville y tient un rôle en tant que « personnage », sans jamais n’être qu’une « option ». La ville peut être montrée de façon documentaire ou fantastique mais doit rester un lieu reconnaissable et descriptible. Espace émotionnel de rencontre entre le cinéaste et le spectateur, le film part à la découverte de la ville dans ses aspects les plus étonnants et les plus quotidiens.\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\n…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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+(111, 1, '2010-01-01 16:28:12', '2010-01-01 15:28:12', 'Interfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\n\r\n13-15 novembre 2007 - Ircam (site officiel de l''événement) \r\nOrganisateurs :
\r\n\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\r\n', 'Atelier IHM', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'atelier-ihm', '', '', '2010-02-01 15:26:52', '2010-02-01 14:26:52', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=111', 0, 'post', '', 0),
+(102, 1, '2008-12-16 16:17:29', '2008-12-16 15:17:29', '\r\nPARTENAIRES
\r\nCe projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
\r\nL’Ambassade de France en Roumanie, Bucarest
\r\nLe Centre culturel suédois, Paris
\r\nL’Institut culturel roumain, Paris
\r\nL’Institut français, Berlin
\r\nLa Mairie de Paris / Mission cinéma
\r\nLe Rectorat de Paris / Dareic et Mission innovation
\r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nEQUIPE
\r\nDépartement du développement culturel-Centre Pompidou,
\r\nFrédérique Mirotchnikoff direction du projet.
\r\nIntervenants
\r\nMarta Boni doctorante en cinéma, direction des Ateliers Lignes de temps.
\r\nLila Pinell réalisatrice, membre de l’association bétonsalon, direction des tournages dans des établissements scolaires partenaires.
\r\nAurore Frey étudiante en cinéma
\r\nStagiaires
\r\nEsther Baucher
\r\nElodie Bertrand
\r\nSophie Besson
\r\nMaëlys Bourgoin
\r\nLaure Grimaldi
\r\nAlexandre Marques
\r\nInstitut de recherche et d’innovation-Centre Pompidou
\r\nJosep Ramoneda,président
\r\nBernard Stiegler, directeur
\r\nVincent Puig, directeur-adjoint
\r\nThibaut Cavalié, chef de projet - ingénieur logiciel Lignes de temps
\r\nFanny Belvisi, chargée d’administration et de communication
\r\nYves-Marie L’Hour, responsable éditorial
\r\nYves-Marie Haussonne, chef de projet web
\r\nMaison du geste et de l’image
\r\nEvelyne Panato directrice
\r\nLaurent Geniller coordinateur vidéo
\r\nEt l’équipe de la MGI
\r\nREMERCIEMENTS
\r\nPour leur chaleureux soutien
\r\nJean-Christophe Aguas
\r\nMarion Alluchon
\r\nAlain Bergala
\r\nOlivier Bernon
\r\nBruno Boullault
\r\nLucile Bruand-Exner
\r\nFrançoise Cagli
\r\nElisabeth Caillet
\r\nSébastien Canevet
\r\nMagda Carneci
\r\nPatrice Chazotte
\r\nJean-Louis Comolli
\r\nLouis Corno
\r\nYves Clerget
\r\nYves Dalmau
\r\nSimona Edwards
\r\nLaurence Emile-Besse
\r\nHugues Fournier-Montgieux
\r\nAnne-Sophie François
\r\nCezar Grumazescu
\r\nSacha Ilic
\r\nAlexis Jäderholm
\r\nMarie Kraft
\r\nSerge Navas
\r\nSonia Ouchelli
\r\nMarc Oustabatchieff
\r\nFabrice Pleynet
\r\nPhilippe Puicouyoul
\r\nPeter Schott
\r\nLaurie Szulz
\r\nBoris Tissot
\r\nRectorat de Paris
\r\nDéléguation ac
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\r\n \r\nBinômes / Réalisations
\r\nLes liens présentent les films à télécharger.
\r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France) \r\nCE1 – Anne Laforge, institutrice \r\n Présentation par les enseignants : Anne Laforge / Hélène Valencien \r\n\r\nAteliers « Lignes de temps » par Marta Boni, interview d’enfants, durée 4’34’’ \r\n | \r\n\r\n Scuola Elementare Federigo Tozzi, Sienne (Italie) \r\nCE1 – Mariarita Fiori, institutrice \r\n02_PP \r\nPrésentation et dessins des élèves de l’école. | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris4ème (France) \r\nCE1 - Hélène Valencien, institutrice \r\n\r\n « L’école Saint-Merri », durée 3’19’’ \r\nL’école présentée par les enfants. \r\nLes enfants nous présentent, en français et en italien, les lieux les plus significatifs de leur quartier : leur école, le Centre Pompidou, le Bazar de l’Hôtel de ville, le fameux BHV. \r\n\r\nPrésentation du travail par les enseignantes \r\n« Après avoir travaillé avec les élèves du collège Thomas Mann pour ce projet, j’ai été mise en contact avec l''école Saint-Merri qui avait besoin d’une aide pour concevoir et suivre le travail de tournage de leurs élèves. La démarche a été différente de celle que nous avons suivie avec les élèves de Thomas Mann (voir texte Lila Pinell / Collège Thomas Mann). Nous avions beaucoup moins de temps (je suis intervenue au collège pendant toute l''année), mais Anne Laforge et Hélène Valencien avaient travaillé en amont avec leurs élèves. \r\nLes enfants ont choisi de présenter leur Paris à la manière de petits reporters. C''est pourquoi les lieux choisis sont plutôt dans leur quartier, et qu''à côté du Centre Pompidou, on peut trouver la boulangerie ou le BHV (Bazar de l’Hôtel de ville). L''idée est de parler d''un Paris totalement subjectif, vu par des enfants qui y habitent, mais de le leur présenter à travers une forme journalistique, connue de tous. \r\nNous avons décidé de continuer ce travail et de l''étendre à d''autres lieux de leur Paris, et cela dans la perspective notamment de continuer le dialogue avec les élèves italiens. \r\nJ''espère que le projet va continuer et évoluer avec les années, parce que les enfants s''amusent, créent et apprennent beaucoup grâce à ce type d''initiatives. Et moi aussi. » Lila Pinell, juin 2009. | \r\n\r\n Scuola Elementare Federigo Tozzi, Sienne (Italie) \r\nCE1 - Donatella Bargis, institutrice \r\n\r\n« A scuola e il quartiere », durée 19’27’’ \r\nUne promenade à Sienne avec les enfants de l’école. \r\n « Sienne est une petite ville, très ancienne, de Toscane entourée de douces collines et de grands espaces verts. Dans notre ville il n’y a pas de grands bâtiments et surtout il y a peu de trafic. Nous pouvons marcher ou faire du vélo tranquillement. L’année dernière avec nos maîtresses nous avons travaillé sur les limites et, grâce à cette réflexion, l’envie est née de travailler avec la classe de CE1 de l’école à aires ouvertes Saint-Merri et Renard : nous avons envoyé des dessins montrant nos moments préférés du film Le Caméraman , ainsi que nos portraits. » \r\n\r\n\r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France) \r\n6ème - Monique Dugué Boyer, professeur \r\n\r\n« Regards croisés de notre patrimoine : le mur », durée 5’ \r\nQuatre regards sur les murs du 18ème arrondissement de Paris. \r\nPrésentation du travail par l’enseignante \r\n« En échange avec l''Ecole centrale de Bucarest, un travail sur le patrimoine architectural de chaque ville a été réalisé. \r\nLa classe de CM1 et CM2 de l''école Maurice Genevoix du 18ème arrondissement présente un travail en cours.Ce qui est présenté doit être repris et complété, pour être plus ‘lisible’.\r\nLe thème général est une interrogation et un regard sur les différents sens et regards que l''on peut porter sur le mur.Des expositions nous ont servi de référence dans le montage et les successions d''idées, des textes étudiés en littérature, un travail en arts visuels autour des maquettes et l''urbanisme en plein mouvement dans notre quartier du 18ème, Porte de la Chapelle.Photomontages sur le thème du mur : les textes sont des poèmes de Paul Eluard, Pierre Reverdy, Gilles Troillet, Charles Daubzynski, ainsi que des extraits d''Italo Calvino Les Villes invisibles ».\r\n\r\n \r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nItalo Calvino, Les Villes invisibles, Seuil Editions. \r\n« En partant de là et en allant trois jours vers le levant, l''homme se trouve à Diomira, une ville avec soixante coupoles d''argent, des statues en bronze de tous les dieux, des rues pavées d''étain, un théâtre en cristal, un coq en or qui chante chaque matin sur une tour. Toutes ces beautés, le voyageur les connaît déjà pour les avoir vues aussi dans d''autres villes. Mais le propre de celle-ci est que si l''on y arrive un soir de septembre, quand les jours raccourcissent et que les lampes multicolores s''allument toutes ensemble aux portes des friteries, et que d''une terrasse une voix de femme crie : hou !, on en vient à envier ceux qui à l''heure présente pensent qu''ils ont déjà vécu une soirée pareille et qu''ils ont été cette fois-là heureux. » | \r\n\r\n Scoala centrala n° 10, Bucarest \r\n5ème C - Mariana Visan, Isabelle Bucurescu, A. Oslobeanu, Cecila Potescu \r\n\r\n « Bucarest d’aujourd’hui – Ancien ‘Petit Paris’ », durée 16’50’’ \r\nUne balade dans la ville, à travers les yeux des enfants de 6ème de l’école de Bucarest. \r\n\r\n « Nous avons décidé de participer à ce projet et de réaliser ce film avec nos élèves de 6ème pour réinvestir des apprentissages scolaires dans un projet de communication vers l’extérieur de l`école, développer le sens de la rigueur et pour donner un lien aux différents contenus scolaires. \r\nLes domaines concernés plus particulièrement ont été : \r\n- Le français \r\n- L’histoire de l’art : connaissance d’œuvres dans des domaines variés, découvertes, recherche sur Bucarest, dans l’idée de mieux connaître sa ville. \r\n- l`histoire : inclure l’histoire dans une démarche globale de compréhension du monde). \r\n- l`informatique : s’approprier un outil de travail et de communication, dans un esprit responsable. \r\n- sciences et techniques : l’évolution des techniques, l’image fabrication et perception. \r\nEn participant à ce projet, nos élèves ont développé le goût de la découverte, de la curiosité, ont appris à regarder, à observer, à réfléchir, à s’interroger. Ils ont pris aussi conscience d’un choix commun dans lequel chacun peut avoir un rôle. \r\nMême s’ils ont eu des difficultés dans la réalisation de leur petit film, la grande satisfaction qu’ils ont ressentie à la fin de leur travail les a effacées totalement. » | \r\n
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\r\n \r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France) \r\n4èmeD - Elisabeth Loupiac, professeur d’arts plastiques \r\nPrésentation par Elisabeth Loupiac \r\n\r\n « Pas perdus », durée 6’18’’ \r\nSous la direction d’Antoine Petit, professeur d’éducation physique \r\nLa classe et la ville de Paris : balades et « effets spéciaux ». \r\n | \r\n\r\n Scuola Media Irnerio, Bologne (Italie) \r\n5èmeC - Elisa Cappi, professeur d’histoire \r\nPrésentation par Elisa Cappi \r\n\r\n« La mia città », durée 14’29’’ \r\nDécouverte de la ville de Bologne par la classe, à travers une chasse au trésor qui les conduira à… Paris. \r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France) \r\n4èmeE - Elisabeth Loupiac, professeur d’arts plastiques \r\n\r\n « Cinéma Paris », durée 5’55’’ \r\nRéalisé sous la direction de Lila Pinell (scénario, tournage, montage). \r\nUn « journal télévisé » sur la ville, réalisé par les élèves il s’inspire de certains des films les plus célèbres de l’histoire du 7ème art. » \r\n\r\nPrésentation par Lila Pinell \r\n « J''ai rencontré Elisabeth Loupiac il y a un an, au mois de juillet. Elle voulait monter une comédie musicale avec quelques élèves inscrits à l''école ouverte du collège Thomas Mann. Nous avons donc travaillé ensemble pendant une semaine, l''expérience a été riche et heureuse, et il en a résulté un film qui a été projeté aux élèves et à leurs invités. Le tout s''est déroulé au bétonsalon, un centre d''art au sein duquel j''organise ces différents ateliers vidéo. Cette année elle m''a recontacté et je l''ai assisté sur le projet « Ma ville vue par... ». J’ai suivi deux classes : avec la première, nous avons imaginé un scénario dans lequel des élèves seraient projetés dans le film Le Caméraman. Cela a permis aux élèves de comprendre la construction du film plan par plan. Pour insérer leur propre image dans le film, ils ont dû distinguer les champs et les contre-champs, les plans serrés et les plans larges, et trouver les moments opportuns pour apparaitre. Ils avaient imaginé une histoire de vengeance lors de laquelle un élève deviendrait invisible. Nous avons donc créé des effets spéciaux très simples, et les élèves ont imaginé des situations comiques mettant en jeu cette invisibilité. Le temps nous ayant un peu manqué, j''ai monté moi même le petit film, mais j''aurais aimé qu''ils puissent aussi participer à cette dernière phase. \r\nAvec le deuxième groupe, nous nous sommes concentrés sur Paris. Après plusieurs discussions, nous sommes tombés d''accord sur l''idée de faire des remakes de scènes très connues du cinéma international, mais de les transposer à Paris. Nous avons choisi les films, les scènes, les lieux. Puis nous avons observé le découpage exact des morceaux choisis et nous avons tenté de les reproduire dans la mesure du possible. Nous avons utilisé des plans larges, moyens, ou des contre-plongées lorsqu''il y en avait dans la scène initiale. \r\nChaque fois, nous avons posé la musique du film sur l''extrait rejoué (ce qui aide beaucoup !). \r\nAinsi, durant plusieurs après-midis, nous avons arpenté Paris en bus, à pied ou en métro, en rejouant des scènes de film dans des célèbres endroits de Paris ou certains n''avaient jamais été. » Lila Pinell, juin 2009 | \r\n\r\n Scuola Media Irnerio, Bologne (Italie) \r\n5ème2B - Daniela Amante, professeur d’histoire \r\n\r\nUne promenade dans Bologne avec les élèves. \r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème(France) \r\n4èmeC - Elisabeth Loupiac, professeur d’arts plastiques \r\n\r\n « Le Caméraman », durée 7’37’’ \r\nFilm réalisé sous la direction de Lila Pinell. (coordination, tournage, montage). \r\nToute la classe disparait et se retrouve dans le film « Le caméraman ». \r\n | \r\n\r\n Colegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie) \r\n4ème - Sorina Danaila, professeur de français langue étrangère \r\n\r\n\r\n « Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’ \r\nLa classe a voulu mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d''entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer: le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l''orthodoxie. \r\nPrésentation par les enseignants \r\n « Pour les petits films, c''est très simple : l''un d''entre eux est une promenade joyeuse et très jeune dans une ville qui s''ouvre à la jeunesse malgré son âge vénérable et sa vétusté. Il a un rythme joyeux et alerte, qui voulait faire pendant au deuxième film, qui veut mettre en évidence un Iasi orthodoxe, paisible, conservateur, calme, malgré toute la modernité, plein d''images d''églises qui projettent dans un autre espace et un autre temps. En fait, la classe a voulu, finalement, se mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d''entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l''orthodoxie. » | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 19ème(France) \r\nBTS Assistant trilingue - Yola Le Caïnec, professeur de français \r\n\r\nPrésentation par Yola Le Caïnec, Maëlys Bourgoin, Sophie Besson et Esther Baucher \r\n\r\n« Ma ville vue par moi », réalisée par Maëlys Bourgoin, durée 2’37’’ \r\n« J’ai choisi de montrer différents lieux du centre de Paris à mes correspondants Roumains du Colegiul national I.C. Bratianu de Pitesti. » \r\n\r\n « J’ai travaillé dans l’optique de définir comment mon regard perçoit le caractère culturel de Paris. Jai souhaité donner deux grands axes à mon film tout en restant fidèle au thème de la promenade ; donne à voir des lieux emblématiques comme : la Cathédrale Notre Dame, le Marais ou encore le Centre Pompidou. » \r\nLa chronologie : Je voulais que le mouvement de la caméra corresponde aux trajectoires prises par mon corps et que l’on puisse repérer sur une carte les détours empruntés. \r\nLe rythme : Toujours dans un souci de réalisme, j’ai fait coïncider la musique avec les accélérations de la foule et j’ai marqué les moments clés par des pauses dans la musique. \r\nGrâce à la « Maison du Geste et de l’Image » de Paris, qui m’a accueillie, j’ai pu monter mon film sur le logiciel de montage Final Cut Pro. » Maëlys Bourgoin \r\n « Walk in Paris by Sophie B. et Esther B. », réalisée par Sophie Besson, Esther Baucher, durée 3’26’’ \r\nUne promenade à Paris. \r\n\r\n \r\n « Nous avons dû faire vite avec deux caméras pour deux heures en ville avec une météo très favorable ce jour-là. Ne disposant que de très peu de temps, nous avons orienté les images vers deux thèmes principaux, l''architecture et les animaux, les rues servant plus de repères pour la promenade. \r\nJe dirais que l''architecture est le thème dominant. » Sophie Besson | \r\n\r\n Colegiul Ion C. Bratianu, Pitesti (Roumanie) \r\nTerminale - Iulian Untaru, professeur de français langues étrangères \r\n\r\n09_PP_pitesti \r\nLa ville de Pitesti \r\n\r\n\r\n« Notre lycée », durée 10’45’’ \r\nVisite du collège Ion C. Bratianu, homme politique roumain (1864-1927). Parcours historique, présentation des élèves célèbres… \r\n\r\n\r\n « L’Architecture de Pitesti », durée 10’57’’ \r\nPromenade dans la ville de Pitesti. \r\n\r\nPrésentation par les enseignants \r\n « Nous avons voulu présenter l’architecture de notre ville d’une manière originale, dans le cadre d’une petite histoire qui racontait une amourette. Le plus difficile a été le montage. Il a été réalisé par Adonis et George, qui ont de l’expérience dans ce domaine. La lecture a été faite par Iulia, qui a traduit les textes et George a fait l’enregistrement. Les autres membres de l’équipe ont fait les recherches sur l’architecture de Pitesti. L’équipe a été coordonnée par notre professeur, Iulian Untaru. » \r\n\r\n « Les rues », durée 10’12’’ \r\nUne promenade dans les rues de Pitesti. \r\n\r\n\r\n« La Foule », durée 10’26’’ \r\n\r\n « La foule diverse, bigarrée, anonyme représente l’âme quotidienne de notre ville, elle peuple notre univers noyé dans le béton et dans l’artificiel, cette civilisation urbanisée et polluée d’aujourd’hui. La foule, c’est le triomphe de l’homme vivant sur l’homme câblé, scotché devant le moniteur.\r\nNous pouvons écouter aussi la voix mystérieuse de l''actrice Luminita Borta qui récite le poème L''Amour de Jacques Prévert.\r\n\r\nNous pensons que ce film est un bon moyen de souligner la condition de l''homme dans une ville qui ressemble à toutes les villes. »\r\n\r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 19ème (France) \r\n1èreES - Isabelle Limon, professeur d’allemand \r\nPrésentation par Isabelle Limon \r\n10_ PP_visite_a _aachen_annamarie \r\n10_ PP_visite_a _aachen_arthur \r\n10_ PP_visite_a _aachen_lisa \r\n10_ PP_visite_a _aachen_antoine \r\n10_PP_ visite_a _aachen_yoannd \r\n10_ PP_ravel_limon _visite_aix_la_chapelle \r\n10bis_PP_diapo_voyage_chazette \r\n10_PP_ visite_aachen \r\nDiaporamas « Visite à Aix-la-Chapelle » durée 5’ \r\n\r\nEn mars 2009, les élèves de la classe de 1ère ES déjà en lien depuis l’année précédente, avec le Berufskolleg d’Herzogenrath, ont visité leurs partenaires. Promenades à Herzogenrath, Aix-la-Chapelle (Aachen), et à la frontière entre l’Allemagne, la Belgique et la Hollande… | \r\n\r\n Berufskolleg Herzogenrath(Allemagne) \r\n1ère économie-commerce, Jean-Paul Moreau, professeur de français \r\n\r\nLes élèves allemands proposent différentes visions de leur région. \r\n11_ 1_aachen \r\n « Aachen » durée 52’’ \r\n\r\n11_ 2_aachen \r\n « Aachen », durée 3’24’’ \r\n\r\n\r\n « Baesweiler », durée 44’’ \r\n\r\n11_ 4_alsdorf \r\n « Alsdorf » durée 3’06’’ \r\n\r\n11_PP_5_alsdorf \r\n« Alsdorf » \r\n\r\nPrésentation par l’enseignant \r\n « Les élèves du Berufskolleg Herzogenrath de la classe G11 passeront l’Abitur dans trois ans. Dans le cours de français, ils ont participé cette année, avec leurs correspondants du Lycée Maurice Ravel de Paris 20, au projet cinéma proposé par le Centre Pompidou et dont le thème est : Ma ville vue par… \r\nLe point de départ a été l’Atelier Lignes de temps qui a eu lieu à notre école au mois de novembre. Les explications étaient en langue française. Les élèves qui avaient quatre ans de français ont très bien compris ce qu’on leur a communiqué. Le thème cinématographique était très motivant et la présentation du logiciel Lignes de temps était parfaitement à leur portée. L’intervention d’experts extra scolaires a complètement capté leur attention et l’introduction très pédagogique des intervenantes ne pouvait que rencontrer la compréhension de tous. Plusieurs collègues dont notre directeur ont assisté à cette prestation exceptionnelle. \r\nPuis les élèves ont regardé le film « L’Aurore » de Murnau et ont écrit leurs impressions et leurs remarques. Celles-ci ont été envoyées aux correspondants parisiens, qui ont fait de même. L’appréhension du départ pour un film en noir et blanc et muet par-dessus le marché a été vite surmontée. Les élèves ont reconnu la qualité artistique du film, les moyens techniques employés, l’interprétation des acteurs. Certains en ont parlé dans leur résumé, sans qu’on ait au préalable attiré leur attention sur ces points. Le thème de la ville vue par Murnau a ensuite été discuté en cours. \r\nAprès les vacances de Noël les élèves ont formé de petits groupes pour faire une présentation filmée de leur ville ou leur quartier. C’est ainsi que nous avons obtenu plusieurs résultats : deux sur la ville d’Aix-la-Chapelle, un sur Alsdorf et un sur Baesweiler. Ces films ont été envoyés à Paris. \r\nLors de la rencontre à Paris au mois de mars, les petits groupes allemands se sont associés aux petits groupes français et pour prendre quelques images ou quelques vidéos sur la ville de Paris ou ses quartiers selon des aspects qui ont préalablement été convenus au sein des groupes franco-allemands. L’échange n’est pas encore terminé puisque nous devons encore recevoir à Herzogenrath le groupe parisien. \r\nParmi les multiples effets positifs que nous a apportés le projet citons en quelques-uns au hasard : Le thème de la ville est particulièrement bien adapté aux échanges puisqu’une partie des activités d’un échange ordinaire consiste à visiter les lieux où vivent les partenaires. L’aspect cinématographique nous a apporté un grand plus, puisque les élèves ont été sensibilisés à certains côtés de l’art et de la technique cinématographique, qu’ils ont communiqué sur ce sujet, qu’ils l’ont même utilisé pour communiquer entre eux. Ce moyen de communication étant, comme le pensait Chaplin, universel, ils ont pu communiquer au-delà des mots par le truchement de la caméra. Ce ne sont pas uniquement les élèves qui ont tiré parti de ce projet, mais aussi les professeurs car il leur a ouvert des horizons. » J.P. M. | \r\n
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\r\n \r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France) \r\n3èmeA etgroupe d’élèves de 3ème - Laurence Dauvergne, professeur de technologie / Elisabeth Battistel et Dominique Vadet, professeurs de français/ Céline Noras, professeur d’anglais / Mme Amor Fahsi, professeur 1er degré d’UPI \r\n\r\n\r\n\r\n« Une rencontre à Paris » par des élèves de 3èmeBCDE : montage par Marie, durée 2’25’’ / montage par Vladimir, durée 5’59’’ / montage par Théo, durée 5’20’’ / montage par Yixuan, durée 4’41’’ \r\nUn adolescent visite Paris pour la première fois. Il rencontre un élève du collège Jean Moulin. Deux visions de Paris, l''une touristique, l''autre plus quotidienne, se croisent. Différents montages réalisés par les élèves à partir des mêmes images tournées par la classe. \r\n\r\n« Des tenues pour Paris », réal. Odile, 4’57’’ \r\nDes élèves sont rejetés par un groupe en raison de leur habillement (différent des leurs). Rejetés, ils font le tour de Paris et observent des tenues vestimentaires très diverses. Ils reviennent et sont finalement intégrés au groupe. \r\n\r\n12_1_jean_moulin_upi | \r\n\r\n Colegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie) \r\n4ème et 3ème - Sorina Danaila, professeur de français langue étrangère \r\n2ème - Corina Ungurean, professeur de français langue étrangère \r\n\r\n« Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’ \r\nLa classe a voulu mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d''entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer - le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l''orthodoxie. \r\nPrésentation par les enseignantes \r\n« Les classes ont fait des progrès dans la préparation (thèmes des petits films, petits scénarios, travail technique de compréhension des notions cinématographiques...). Pour ce qui est des collaborations avec le Collège Thomas Mann à Paris les enfants ont fait connaissance grâce à des blogs. \r\nNous avons aussi assisté à des projections d’un festival de documentaires sur la ville de Iasi programmé pour la commémoration des 600 ans de la fondation de la ville. C''était l''illustration idéale de notre projet, et qui est tombé fort à propos... Les enfants ont apprécié et ont beaucoup argumenté sur la valeur des films. » Sorina Danaila | \r\n
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\r\n \r\n\r\n\r\n\r\n | \r\n\r\nColegiul national Radu Negru, Făgăraş (Roumanie) \r\n1ère Raluca Ionescu, professeur de français langue étrangère \r\n\r\nPrésentation par Raluca Ionescu et deux élèves roumains. \r\n\r\n « Ma ville vue par… nous-mêmes », durée 11’07’’ \r\nReportage sur la ville de Făgăraş et ses monuments historiques. \r\n\r\nAnnée scolaire 2008-2008 / Programme de travail \r\nSeptembre \r\nDiffusion du projet dans le lycée: \r\n- discussion avec: le Proviseur, le Conseil d''Administration, le service comptable, les élèves \r\n- recherche de sponsors pour le voyage à Paris, au mois de mai/ juin \r\nSeptembre-octobre \r\nconstitution du groupe des élèves participants \r\nOctobre-novembre \r\nAvec le groupe d''élèves : \r\n- visionnage du film Le Caméraman de Buster Keaton. \r\n-installation du logiciel Lignes de temps. \r\n- accueil de Frédérique Mirotchnikoff et de Marta Boni: \r\n- explication de l''emploi de ce logiciel \r\n- explication des étapes du projet \r\n- utilisation du logiciel Lignes de temps. \r\nNovembre-décembre \r\nMise en relation avec le binôme français. \r\n- échange des lettres de présentation, \r\n- mise au point du programme \r\nJanvier-février-mars \r\nFilmer dans la ville. \r\nMars-avril \r\n- scénarisation, tournage, montage du film sur sa propre ville. \r\n- correspondance entre binômes sous forme de production de «films-essais» sur sa propre ville \r\nMai \r\n- derniers aspects administratifs et mises au point - envoi du film au Centre Pompidou. \r\n- participation au visionnage au Centre Pompidou. \r\nJuin \r\nDissémination du projet dans le lycée \r\nSeptembre 2009 \r\nAvant la rentrée: dissémination du projet dans les écoles de la ville et du département \r\nResponsable du projet \r\nRaluca Ionescu, Professeur de français langue étrangère. Colegiul National « Radu Negru » \r\nQuelques courriers des élèves roumains à leurs correspondants français \r\nBonjour \r\nJe m’appelle Cristian. J’ai 17 ans. \r\nJe suis en XIème E au Collège National Radu Negru. En Roumanie, les collèges nationaux sont les lycées les plus prestigieux. \r\nNotre petite ville tranquille est située au centre en Transylvanie (région du centre du pays), près des montagnes. \r\nJe suis entré dans ce projet parce que j’aime le français, j’aime le cinéma, le théâtre et je serai très heureux si, au mois de juin, on se voyait à Paris. \r\nMes passe-temps préférés sont: les promenades avec mes amis, le musique, l''ordinateur et j''adore les voyages avec mes amis. \r\nJ’attends impatiemment vos présentations. \r\nA +, \r\nCristian \r\nBonjour! \r\nJe m’appelle Cyntia et j’ai 17 ans. \r\nJ''étudie au collège « Radu Negru » (on peut le voir dans la photo) de Făgăraş (Roumanie). Je suis une jeune fille sociable. \r\nLe lycée est situé au centre de la ville, qui a 40.000 habitants. Je suis en XI-ème E (ça \r\ndoit être la première d''un lycée français)  \r\nNotre petite ville paisible est située au centre de la Roumanie, en Transylvanie, près des montagnes de Făgăraş. C''est très beau. \r\nJe suis entrée dans ce projet parce que j’aime le français, j’aime le cinéma et je \r\nserai bien heureuse si, au mois de juin, on se voit à Paris. \r\nMes passe-temps préférés sont le piano, la lecture, les promenades avec mes amis. \r\nJ’attends impatiemment vos présentations. \r\nAu plaisir de vous lire, \r\nCynthia \r\n\r\nLes montagnes de Făgăraş. Chaîne des Carpates. \r\nSalut les copains! \r\nJe suis Ioana, j’ai 17 ans et je suis élève en XIème au Collège National Radu Negru. \r\nJ’ai beaucoup de hobbies. Par exemple, j’aime danser et écouter de la musique. \r\nJe suis dans une équipe de danses populaires roumaines. \r\nEh bon! C’est tout! \r\nAmitiés, \r\nIoana \r\nBonjour \r\nJe m’appelle Laurentiu . \r\nJ’ai 17 ans. \r\nJe suis en XIème B –en France, ça doit être la première, du Collège National Radu Negru. C''est un des meilleurs lycées de notre département. \r\nNotre petite ville calme est située au centre de la Roumanie, en Transylvanie, près des montagnes portant le même nom: Făgăraş. \r\nCe projet me plaît parce que j’aime le français et le cinéma. \r\nMes passe-temps préférés sont le football, la danse, l''ordinateur. \r\nJe voudrais bien qu''on se voie au mois de juin à Paris. \r\nJ’attends impatiemment vos présentations. \r\nAu plaisir de vous lire, \r\nLaurentiu \r\nBonjour \r\nJe m’appelle Laurentiu Ionut. \r\nJ’ai 17 ans. \r\nJe suis en XIème E du Collège National Radu Negru de la ville de Făgăraş. En Roumanie, on nomme collège national les meilleurs lycées. \r\nNotre petite ville tranquille est située au centre de la Roumanie, en Transylvanie, près des montagnes portant le même nom. \r\nJe suis entré dans ce projet parce que j’aime le français, j’aime le cinéma. \r\nJe serais très heureux si, au mois de juin, on se voyait à Paris. \r\nMes passe-temps préférés sont le football, l’ordinateur, la musique, les promenades avec mes amis. \r\nA l’attente de vos présentations, \r\nIonut \r\n\r\nLe château-fort de Făgăraş \r\n (en roumain : Cetatea Făgăraş) est un château fort situé en plein centre ville de Făgăraş. La construction du château a débuté en 1310, \r\nsur le site d''une ancienne fortification de terre et de bois du XII siècle. Son but était éminemment \r\nstratégique, à savoir défendre le sud-est de la \r\nTransylvanie contre les incursions des Tatars et des Ottomans. Actuellement le château héberge le musée du pays de Făgăraş avec des sections sur l''histoire de la ville et du pays de Făgăraş ainsi que la bibliothèque municipale. \r\nIoana | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France) \r\n3ème1 - Anne-Catherine Mourgue, professeur de lettres classiques / Aurélie Pieterwas professeur de lettres classiques / Philippe Roca et Julien Charlier, professeurs de technologie / Christelle Musset, professeur d''anglais / Christophe Sayol, professeur d''anglais / Nicolas Henry professeur de SVT \r\n\r\n présentation par Anne Catherine Mourgue \r\n14_Darius_Milhaud \r\n « Ma ville vue par… la mère et sa fille », durée 5’40’’ \r\nLes alentours du collège à travers deux points de vue : le regard du bébé et celui de sa mère. \r\n\r\n« Nous avons écrit une trame de scénario : Ma ville vue par... des personnes d''âges différents. \r\nLes deux angles de vues du film seront le regard d''un bébé/jeune enfant et de sa mère. \r\nPoint de vue de l''enfant : Vision en contre-plongée et/ou depuis une poussette. Les choses sont vues d''en bas, on est au ras du sol, on voit tout un tas d''aspect de la ville dont les plus grands n''ont pas forcément conscience, ou qu''ils perçoivent différemment : pots d''échappements, voitures qui passent très près de la poussette et qui sont effrayantes, crottes de chiens, plaques d''égouts, jambes des passants, chiens agressifs juste au même niveau (qui se jettent contre le grillage ou aboient en montrant les dents au passage de la poussette), secousses du trajet en poussette, descente du toboggan (chute en avant vers le vide), personnes qui se penchent sur la poussette pour embrasser l''enfant ou le toucher (gros plan d''une personne qui se penche vers la caméra) etc. \r\nPar moments, flashes de lumière vive (rayons de soleil selon la direction dans laquelle on roule) ou passages plus sombres. \r\nLa musique utilisée devra être angoissante, en adéquation avec les impressions de l''enfant. Les bruits (aboiements, etc.) agressifs et très forts par rapport à la musique. \r\nPoint de vue de la mère : Vision positive de la balade, atmosphère détendue, gens vus d''en haut, souriants, les conducteurs des véhicules croisés s''arrêtent pour laisser passer la poussette, passants/connaissances qui s''adressent à la caméra et lui sourient en restant à une distance respectueuse et à la même hauteur, parc aux couleurs gaies et agréables de taille normale, etc. \r\nLa musique est plutôt gaie, enjouée et en tout les cas agréable pour faire un vrai contraste avec l''autre point de vue. \r\nLa raison des deux différents points de vue ne devra pas être trop explicite dès le début, ce serait bien de pouvoir intriguer et de ne révéler la clé qu''à la fin, à l''aide d''une chute (mère qui se penche sur la caméra et dit quelque chose concernant la balade) \r\nLieux : rues voisines du collège par exemple, parc près du collège (en allant vers l''espace Gérard Philippe) ou parc du dispensaire… \r\nNous (le prof de techno) avons créé un logiciel pour rédiger les scénarios et allons commencer à monter le 31 mars sur un salon où nous nos élèves présentent les logiciels libres : http://www.intertice.fr/. | \r\n\r\n Liceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie) \r\n2èmeB classique - Maria Augusta Schippisi, professeur de langages non verbaux \r\n\r\n\r\n« I Ragazzi con la machina da presa – Odessa adesso », durée 11’49’’ \r\nFascinés par L’Homme à la caméra de Dziga Vertov, les élèves ont construit leur film sur le modèle du film. \r\n\r\nPrésentation par les enseignants \r\nPiacenza, 26 juin 2008 \r\nProjet européen La mia città vista da… \r\nCadre : \r\n• Langages non verbaux et multimédia (la communication cinématographique) et Informatique \r\nAutre disciplines : \r\n• Italien \r\n• Langue étrangère \r\nDestinataires : \r\nLes étudiants de deux classes de seconde jumelés avec deux classes d’un lycée français (même type d’études et même âge) \r\nEnseignants : \r\nLangages : Paola Gozzi et Maria Augusta Schippisi \r\nInformatique : Paolo Vermi \r\nInstruments : \r\nLignes de temps \r\nFormation des enseignants : \r\nUne journée de préparation avec l’expert de l’Iri. \r\nObjectifs : \r\n• Approfondir les compétences d’analyse du texte filmique. \r\n• Réaliser un court-métrage inspiré par la structure narrative ou formelle des films analysés. \r\n• Donner l’occasion d’un échange culturel entre des étudiants de l’Union européenne. \r\nPlan des activités : \r\n1er période de l’année scolaire (septembre-décembre) \r\nActivités préliminaires : \r\n• Exploration guidée du logiciel (étudiants et expert de l’Iri). \r\n• Analyse de textes littéraires sur le thème de la ville (enseignants d’Italien et de Langue étrangère, pendant les horaires de cours). \r\n• Début de la décodification du langage cinématographique (avec les enseignants de Langages, pendant les horaires de cours). \r\n• Pré-production d’un court-métrage sur le thème de la ville : écriture du scénario (20h- selon les disponibilités des enseignants- avec un expert externe nominé par le lycée). \r\n2e période de l’année scolaire (janvier-mai) \r\nLes mêmes étapes seront suivies par les étudiants des classes partenaires en France. \r\n1ère étape (janvier 2009- pendant les cours de Langages et Informatique) : \r\n• Avec le logiciel Lignes de temps, analyse d’un film sur la ville à choisir entre un long-métrage, un documentaire ou un film expérimental (proposés par l’Iri). \r\n2e étape (janvier/février - pendant les cours de Langages et Informatique) : \r\n• échange de points de vue sur les films analysés avec la classe partenaire. \r\n3e étape (février/mars- selon les disponibilités du conseil de classe - 30h) : \r\n• Production du court-métrage : réalisation du court-métrage sur le modèle du film analysé (intervention d’un expert nominé par le lycée). \r\n4e étape (avril/mai pendant les cours de Langages et Informatique) : \r\n• Les classes partenaires s’échangent les courts-métrages réalisés, ils les analysent et s’échangent leurs points de vue. \r\nPrésentation par les enseignants \r\nPiacenza, mai 2009 \r\n « Les élèves ont analysé plusieurs films sur la ville et ont été fascinés par L’homme à la caméra de Dziga Vertov, film dans lequel on voit des images de Moscou mais aussi les péripéties de l’opérateur qui cherche ses images dans la ville, ainsi que les spectateurs qui assistent, dans une salle de cinéma, à la projection du film que la caméra a capturé pour eux. \r\nEn réfléchissant à la manière de représenter Piacenza, ils ont voulu se référer à ce modèle qu’ils considèrent encore d’actualité. Ils n’ont donc pas suivi de scénario, et se sont montrés dans l’acte de tourner. Leur caméra a essayé de saisir le rythme de la vie quotidienne. Le montage a eu un rôle capital : la comparaison entre les plans de la ville soviétique et ceux de Piacenza montre que les villes, bien que distantes dans l’espace et dans le temps, se ressemblent un peu, lorsqu’elles parlent de la vie de tout les jours lorsque la ville est vide parce qu’elle dort ; lorsqu’elle s’anime et se remplit, lorsqu’elle travaille; mais, puisque le tournage s’est fait le jour où le pont sur le Pô s’est écroulé, ils ont pu filmer aussi cet événement exceptionnel.\r\n\r\nLe montage a eu un rôle capital : la comparaison continue entre les plans de la ville soviétique et celles de Piacenza nous montrent que toutes les villes, bien que distantes dans l’espace et dans le temps, se ressemblent un peu, lorsqu’elles parlent de la vie. »\r\n\r\n | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France) \r\n3ème4 - Anne-Catherine Mourgue, professeur de lettres classiques / Aurélie Pieterwas professeur de lettres classiques / Philippe Roca et Julien Charlier, professeurs de technologie / Christelle Musset, professeur d''anglais / Christophe Sayol, professeur d''anglais / Nicolas Henry professeur de SVT \r\nNB : Le Collège Darius Milhaud et le Colegiul National Mihai Eminescu ayant plusieurs classes en binôme ont produit des films communs. Voir ci-dessus. | \r\n\r\n Colegiul national Mihai Eminescu, Iasi(Roumanie) \r\n3ème, Sorina Danaila, professeur de français langue étrangère | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème(France) \r\n1ère ES1 et 1er S2- et étudiants du Lycée Charlemagne, option facultative cinéma - Philippe Zill, professeur de cinéma \r\n\r\n\r\n « Le Prince malheureux » durée 5’26’’ \r\nSylvain, 20 ans se présente confiant à une audition pour l’adaptation américaine de Bérénice, dans le Marais. \r\n \r\n\r\n « Avant de partir, sa copine ne l’encourage qu’à demi-mot. Pourtant, l’enjeu est important. Il échoue. A la sortie de l’audition, pris de désespoir il suit la directrice de casting dans les rues du Marais, en vue d’une seconde chance. Réalisant son erreur, il reprend ses esprits et se réconcilie avec sa copine. » Laure Massiet \r\n | \r\n\r\n Colegiul B. P. Hasdeu, Buzău (Roumanie) \r\n3ème - Ioana Voinea / Dan Solcan, professeurs de français langue étrangère \r\n\r\n19_Buzău \r\n« Salut Paris », durée 24’’ / « Ma ville vue par… Buzău », durée 13’08’’ \r\nL’idée générale du film, c''est la ville, les rues, les parcs, des aspects de la vie des gens, des animaux et des bâtiments anciens, notre lycée et nos élèves. \r\n\r\nPrésentation par les enseignants \r\n « Nous avons travaillé sur des séquences : \r\n1. tout d''abord notre lycée avec l''entrée. \r\n2. la gare, des images du parc du lycée avec des élèves qui bougent. \r\n3. l''église près du lycée, le cours de religion ayant comme fond sonore la prière que les élèves disent au commencement, des images de l''église avec des enfants qui embrassent les icônes, une autre église datant de l''année 1922 et qui se trouve dans le Bocage, parc classique de la ville. \r\n4. la bibliothèque du lycée. \r\n5. une séquence d''un montage de Guignol, inspiré d''un conte roumain. \r\n6. la répétition d''une troupe rock, dont la soliste est une de nos élèves de terminale ; les halls vides et animés d''élèves pendant les récréations. \r\n7. le vieux bâtiment d’un hôpital un peu délabré \r\n8. des élèves qui sont entrés dans le livre des records, ils ont noué le plus long fil. \r\n9. la vieille ville avec la rue commerçante la plus passanteCuZa Voda. \r\n10. les élèves qui flânent sur le boulevard et dans le Bocage. \r\n11. la ville pendant la nuit avec le Palais Communal. \r\n12. retour au lycée avec le portrait du patron, l''écrivain BP Hasdeu, les bustes de deux grandes personnalités, anciens élèves, les halls , les fleurs très chères à notre directeur. » Ioana Voinea \r\nQuelques courriers des élèves roumains à leurs correspondants français \r\nJe m’appelle Patricia et je suis lycéenne au college B. P. Hasdeu .Je suis née en novembre 1992 et j’ai 16 ans. A l’école je suis dans une classe ou nous étudions les mathématiques, informatique, chimie, biologie, physiques plus que les autres copains. Je connais l`anglais très bien et le français de niveau moyen. \r\nJ’aime communiquer avec d’autres gens et me faire beaucoup d’amies. J`aime aussi lire tandis que ma classe est faite pour ceux qui aiment les sciences. Mon rêve est de devenir un bon médecin parce que je crois qu’aider les hommes quand ils sont malades est un des plus beaux métiers. Si on parle « éducation physique » je peux dire que j`aime le basket-ball et la danse sportive. J’aime aussi les promenades avec mes amis et mes copains. \r\nLes animaux… je les aime. J’ai deux chiens qui s’appellent Fred et Lady et une petite chatte câline qui s’appelle Zuzu. \r\nQuand j’ai du temps j’aime naviguer sur l’internet et écouter de la musique. J’écoute beaucoup de bandes qui chantent de la musique rock comme Iron Maiden, AC/DC, Queen, Metallica et autres. \r\nJ’espère que dans ce projet nous aurons la chance d’apprendre des choses fascinantes sur votre pays et faire beaucoup d`amis. C’est magnifique comme nous pouvons connaitre un autre homme avec des images et des films. \r\nSalut ! Je suis Diana et j''ai 16 ans et 8 mois. J''aime bien la chimie et les autres sciences. Dans mon temps libre j’aime lire des livres divers, les promenades et voir des films, surtout en fin de semaine. Je suis une personne qui s''intéresse aux problèmes de l''humanité, de la nature et des animaux et je voudrais faire quelque chose pour les aider. Mon rêve est de devenir médecin ou travailler dans un domaine militaire, mais je ne suis sûre pour le moment. \r\nSalut, je m''appelle Ana-Maria. J''ai 16 ans, j''adore dessiner, lire, chanter n''importe où, sortir avec mes amis, voyager et surfer sur le net. Depuis que j''ai ma palette graphique, je dessine presque sans arrêt sur mon ordinateur.\r\n\r\nEn ce qui concerne mon caractère : ...tête dans les nuages plutôt qu’avoir les pieds sur terre, timide à certains moments et complètement déjantée à d’autres, ouverte d’esprit plutôt que fermée aux grandes théories, pas très expansive mais pas non plus introvertie, bavarde quand l’envie m’en prend mais plutôt discrète quand il s’agit de débattre… et un brin cynique (qu’est ce que les gens peuvent me détester pour ça )\r\n\r\n \r\nJe m’appelle Denisa. Je suis née en 1992 donc j’ai dix-sept ans. J’habite Buzău, une ville de Roumanie. \r\nJe suis lycéenne en seconde classe. Mes objets d’étude préférés sont : les langues étrangères (l’anglais et le français), la chimie, et les maths. \r\nQuand j’ai beaucoup de temps libre j’aime rencontrer mes amis. Chaque fois, nous essayons de faire n’importe quoi pour nous divertir. Nous allons au disco, voyons des films, d`habitude des comédies, ou nous nous promenons dans le parc. \r\nQuand je suis seule j’adore écouter de la musique, danser et pourquoi pas lire un bon livre. De même j’aime jouer avec les animaux. J`adore les chats mais, comme je n’en ai pas, je joue avec le chat de ma meilleure amie. \r\nJe suis très heureuse de prendre part a ce projet. J’espère que nous deviendrons bons amis.\r\n\r\n \r\nSalut ! Je m’appelle Corina et j’ai 16 ans et demi. J’habite avec mes parents et je suis fille unique. Moi, je voudrais devenir un bon psychologue parce que j’aime comprendre et expliquer la vie spirituelle de quelqu''un. En ce qui concerne mes passions j’aime voir des films quand j’ai du temps et jouer au volley-ball. \r\nJe m’appelle Corina et j’ai 16 ans. Je suis élève en seconde au lycée “Bogdan Petriceicu Hasdeu” de Buzău, Roumanie. Je suis toujours calme et optimiste. Me balader, faire des excursions, passer le temps avec mes amis ou avec ma famille, toutes ces choses me plaisent beaucoup. J’aime aussi lire, écouter de la musique, danser… \r\nC’est parce que je trouve les mathématiques très intéressantes que j’ai choisi d’être élève dans cette classe au profil mathématiques-informatiques, mais ce qui me plaît le plus à l’école c’est la chimie. Même si je sais que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre, je crois que la chimie est réellement fascinante. \r\nJe suis une fille ambitieuse et je suis sûre que mon rêve d’être médecin deviendra réalité un jour. Et, qui sait ? Peut-être j’aurai même l’occasion d’étudier en France. \r\nSalut mes amis! Je suis Diana et j''ai 16 ans. J''habite Buzău avec ma famille : mes parents, ma sœur et mon grand-père. Comme tous les jeunes j''aime écouter de la musique mais ce que j''aime le plus est collectionner des monnaies. En ce qui concerne l''école, mes objets préférés sont l''anglais, la psychologie, la biologie mais aussi le français. \r\nJe m’appelle Maria. \r\nJ’ai 16 ans.J’habite en Buzău et je suis étudiante au Collège National Bogdan Petriceicu Hasdeu. \r\nJ’aime la musique. Mes groupes préférées sont Pink Floyd et Nirvana. J’aime aussi la peinture et la photographie. Mes artists préférées sont Renée Magritte et Salvador Dali. J’aime aussi écouter du théâtre radiophonique ou lire. \r\nÀ l’école j’aime beaucoup la chimie et je voudrais devenir chimiste ou médecin. \r\nSalut ! Je m’appelle Monica et j’ai seize ans. J’étudie au Collège B.P.Hasdeu en seconde. Je suis une fille sociable et toujours joyeuse. J’adore la France et surtout le français. J’ai eu la possibilité d’aller en France et j’étais vraiment impressionnée. J’aimerais retourner dans la ville lumière un jour. \r\nLe projet qu’on avait commencé ensemble m’a donne la possibilité d’apprendre beaucoup de nouvelles choses mais aussi que le travail en équipe c’est très important. J’aime aussi la photographie et maintenant avec l’aide de ce projet je peux combiner la photographie avec le français. \r\nMon rêve est de faire le tour du monde après que je finirai la Faculté de Médicine. Même si j’aime beaucoup voyager je ne partirai jamais définitivement de Roumanie. J’aime beaucoup mon pays et sa culture. \r\nChers amis, Je m’appelle Andreea et j’ai 16 ans. Je suis une fille très sociable ; j’ai beaucoup d’amis, mais mes meilleures amies sont deux filles. J’aime rencontrer mes amis et aussi j’adore quand nous sommes ensemble et nous faisons tout ce que les jeunes de notre âge font : aller dans le parc, jouer sur l’ordinateur, s’amuser, lire un bon livre; mais la plus importante chose et que nous nous écoutons entre nous et nous apprenons que l’amitié c’est très importante dans la vie des jeunes. \r\nAprès le bac, je ne sais très bien quel métier je choisirai, mais je crois que je deviendrai économiste, avocate ou professeur. \r\nSalut ! Je m’appelle Bianca, j’ai 16 ans et j’habite Buzău, Roumanie. J’ai une sœur, qui a 8 ans, mais avec laquelle je ne m’entends pas si bien. \r\nA l’école j’aime les langues (l’anglais, le français et aussi l’allemand), l’histoire, la chimie. J’adore lire des romans. Je viens de finir Le château de Kafka), j’aime la photographie, voir des films. J’écoute toujours de la musique – en lisant, en écrivant mes devoirs… tout les temps. \r\nSi c’était selon moi, je resterais toujours dans des cafés, je lirais toujours, j’irais aux concerts (même si à Buzău il n’y a pas tant), mais il faut aussi penser aux études, à l’avenir, essayer de répondre à cette question qui a commencé à accaparer nos années de lycée : Quelle université veux-tu suivre de suite ? Moi, j’essaye de rester à 16 ans, je ne me comporte pas comme un adulte, je fais toute sorte de bêtises – il reste encore du temps pour penser aux choses plus sérieuses, pour ‘grandir’. \r\nSalut! Je m`appelle Claudia, j’ai 16 ans et j’habite Buzău, une ville de la Roumanie. \r\nJ’ai un frère, il ‘appelle Ciprian et il a 20 ans… donc je suis la cadette de ma famille. \r\nÀ l’école j`aime les langues étrangères [l’anglais, le français et l’allemand], la biologie, l`histoire et les arts plastiques. \r\nComme hobby, j’aime écouter de la musique, mes artistes préférés sont : Metallica, Pink Floyd, Led Zeppelin, Norah Jones, Red Hot Chili Peppers , Gorillaz, Urma [ils sont roumains] et beaucoup d’autres, j`aime jouer du tennis, j`aime la photographie. \r\nPour l’avenir je veux visiter tout le monde [s`il est possible]. \r\nJe suis très enchantée de ce projet et je le veux voir fini. \r\nSalut ! Je m’appelle Elena et j’ai 16 ans. Comme tous les ados, j’aime beaucoup écouter de la musique, surfer sur l’internet, jouer au basketball et j’adore aussi voyager. Mon rêve est de visiter tout le monde, spécialement l’Extrême-Orient. \r\nSalut! Je m’appelle Ioana et j’ai 16 ans. J’habite Buzău, Roumanie et j’étudie au Collège National Bogdan Petriceicu Hasdeu, dans une classe de mathématiques-informatique bilingue anglais. À la différence de la majorité de mes camarades de classe, je ne sais pas encore quel métier j’aimerai exercer, mais j’ai assez de temps pour me décider. \r\nPour me décrire en quelques mots, je peux dire que, d’habitude, je suis une fille gaie, qui aime rire tout le temps et passer le temps avec les amis et la famille. Faire du sport est une chose que j’aime beaucoup, c’est pour ça que je pratique le volley à l’école. Ce n’est que le volley que j’aime, j’aime bien aussi le parachutisme, peut-être que c’est un trait génétique hérité de mes parents, qui ont mille sauts. \r\nJ’espère me réaliser en tous les plans… sentimentaux, professionnels ; en attendant, je ferai tout mon possible pour avoir une belle vie. \r\nJe suis Diana Marina (Marina), j’ai 16 ans et je vis en Buzău, une ville assez grande de Roumanie. J’ai un frère cadet qui s’appelle Petruţ Ciprian (Pierre). Il a 14 ans, mais il se comporte comme s’il était mon frère aîné ! Ma mère est médecin et mon père est homme d’affaires. \r\nMon lycée est Bogdan Petriceicu Hasdeu, le meilleur collège de ma ville et un des meilleurs collèges de Roumanie aussi. Je suis en 10ème (nous avons une structure différente pour l’éducation en Roumanie) et même si mon profil est mathématique informatique bilingue anglais (ce qui signifie sept heures d’anglais par semaine et l’histoire des États-Unis enseignée par un américain) le français me plaît beaucoup. J’ai visité la France cet été, plus exactement Paris et la prestigieuse Vallée de la Loire. Je peux dire que votre pays m’a impressionné extraordinairement. Pour moi, la cathédrale Notre-Dame de Paris est un véritable joyau architectural et culturel autant qu’une source d’inspiration artistique. \r\n Assez d’information palpable ! Cela n’est qu’une part minuscule de mon existence, puisqu’ il y a d’autres choses qu’on pourrait dire sur moi. Pour commencer, je suis une antithèse. Vraiment, parce qu’il y a des tendances à peu près contradictoires qui influencent mes pensées et mes idées, en transformant ma vie en un mélange très bizarre. Mes hobbies peuvent parler pout moi : j’aime la littérature (lire et écrire), la musique (je préfère la musique classique – Mozart, Beethoven, Bach, Strauss, George Enescu, mais j’écoute d’autres sortes de musique aussi), j’ai quelques inclinations pour la peinture, le patinage… Voyager me rend presque toujours heureuse. Toutefois, il y a des activités que je peux faire avec plaisir sans être mes hobbies (danser, nager, faire des gâteaux). \r\nJ’aime les Mathématiques et les Sciences (nous étudions la Physique, la Chimie et la Biologie comme des objets distincts – je sais qu’en France celles-ci sont comprises dans une seule matière, les Sciences). La cinématographie me semble un domaine complexe qui réunit plusieurs manifestations de l’art. C’est la raison principale pour laquelle je suis entrée dans ce projet de partenariat. \r\nJ’ai commencé à écrire quand j’avais 8 ans… des poésies et des petites compositions. À 13 ans j’ai publié le premier volume de mon roman, "Les mystères de l’école Shetland" ("Misterele şcolii Shetland" – en roumain), et l’année dernière j’ai lancé le second volume. Maintenant, j’écris un nouveau roman, quoique je n’ai pas beaucoup de temps pour faire ça (chaque jour, mes copains et moi restons à l’école sept ou huit heures et nous avons des devoirs interminables à la maison!). La littérature est essentielle… ma vie serait impossible sans écrire ou sans lire. Ne m’entendez pas mal ; je me considère une des plus fortunées personnes du monde. J’ai le tout ! Une famille merveilleuse qui m’adore et qui me donne ce que je veux. Mais j’ai le sentiment "du temps perdu", le sentiment que tout va dans une direction imminente, implacable et douloureuse… est l’impression épouvantable que l’univers s’écoule comme le sable d’une clepsydre et je m’affaisse simultanément. Quand j’écris, je m’illusionne seule en croyant que dans cette manière mon empreinte restera sur la terre. Hm… l’écriture n’est pas pour moi un simple jeu des chimères… c’est un modus vivendi, une ars poetica, l’art poétique de l’existence… \r\n Mes écrivains préférés sont Dostoievski, Goethe, Hermann Hesse et Mihai Eminescu (le poète génial des roumains qui a écrit quelque prose par ailleurs). Notre professeur de français a stimulé mon intérêt vers des lectures françaises aussi. J’ai l’opinion que des écrivains comme Balzac, Gustave Flaubert, Jules Verne, Victor Hugo, Antoine de Saint Éxupéry ou Jean-Paul Sartre ont eu un rôle très important dans l’histoire spirituelle de l’humanité. \r\nPeut-être que je deviendrai un réalisateur de films, ou un homme de science, ou une femme d’affaires. Je ne sais pas. Ce dont je suis sûre c’est seulement que mon "destin" (je crois que le destin n’existe pas mais j’utilise ce mot pour son pouvoir suggestif) est éternellement relié à celui de mes écritures… \r\nSalut ! Je m’appelle Alexandra et j’ai 16 ans. Je suis élève en seconde F, au Collège National Bogdan Petriceicu Hasdeu, à Buzău. \r\nEt maintenant quelques choses sur moi : je suis très sociable, j’aime connaître de nouvelles personnes. J’aime beaucoup lire, surtout des romans et pièces de théâtre. J’aime la nature, les excursions à la montagne avec mes amis… \r\nCoté loisirs, je préfère écouter de la musique, me promener avec mes amis , mais j’aime aussi rester à la maison et faire diverses choses avec ma famille. | \r\n
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\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème(France) \r\nPhilippe Zill, professeur de cinéma \r\n \r\n\r\n« Epreuve capitale » durée 4’87’’ fini à 7’22’’ \r\nSuite à une dispute avec sa mère, un jeune homme sort de chez lui, furieux, le jour de l’examen du baccalauréat. \r\n\r\n« … Il claque la porte et prétend qu’il se moque de l’examen. Il prend le bus, mais n’a pas son pass Navigo. Tout le bus s’en mêle. Deuxième dispute, le chauffeur pile. Le jeune homme doit sortir et croise deux jeunes gens à qui il demande son chemin. Les deux jeunes l’accompagnent sur la Petite ceinture, puis le laissent seul. Il cherche son chemin et découvre un lieu tout à fait insoupçonné où l’on découvre les traces d''une capitale champêtre, fantôme, abandonnée. Finalement, il panique à l’idée de rater son examen. En apercevant des individus peu rassurants, il décide de quitter les lieux. par le premier moyen possible, et s’aperçoit que, miraculeusement, il est arrivé au lycée Paul Valéry. Il arrive à convaincre le gardien de le laissé entrer in extremis et peut passer son examen, l’esprit tranquille, libéré de toute pression. » \r\nJournal de bord collectif / Compte-rendu de la séance du 3 décembre 2008 \r\nNous avons d’abord commencé par faire un tour de table pour rassembler les idées de chacun pour le film : \r\nEric : les quais de Seine, voyage au fil de l’eau. Rencontre entre un homme riche qui attend sa femme et un SDF assis là. Les deux protagonistes se parlent, se lient, deviennent presque amis. \r\n® voir les films de Renoir, La Règle du jeu ; Boudu sauvé des eaux. \r\nElie : voir chaque facette de Paris, du métro à la seine en passant pas les beaux quartiers puis par Belleville etc.…. \r\nMaïa : partie de ballon, puis perte du ballon après un shoot malencontreux. Puis recherche du ballon à travers la ville. \r\nLaure : coulée verte. \r\nYouri : dispute entre un homme et une femme, l’homme tente de la rattraper et tombe dans une partie de la ville qu’il ne soupçonnait pas. Il est étonné puis retour à la réalité. \r\nAlexandre : un homme cherche une femme après une dispute, il la retrouve mais elle ne veut plus de lui…Déprimé il rencontre alors une personne qui est opposée à lui comme un artiste fou (opposition de deux personnages cf. Eric ) \r\nGuillaume : deux personnes marchent dans la rue ; l’un fait découvrir a l’autre un lieu secret puis disparaît. Retrouvé seul le deuxième personnage se perd et découvre des endroits étranges (catacombes ?) \r\nJeu d’opposition entre le mouvement, le bruit, le gens de la ville extérieure et la ville souterraine silencieuse et vide. (petite ceinture ?) Ville du haut ¹ ville du bas. \r\n® voir le film d’Antonioni, L’Avventura. \r\nPierre : Barbès, rue de la Chapelle, métro aérien, terrain de basket, lieux sales, tristes… Comparaison avec un autre quartier. \r\nTimothée : Petite ceinture, maison abandonnée lieux de la digression ? \r\nDécouverte de la maison. \r\n® Voir film de Richet, Etat des lieux. \r\nVictorine : Baladeur passant de mains en mains, chaque musique, chaque quartier. \r\nSamuel : Un homme rate une séance au MK2 Bibliothèque, il se perd dans les nouveaux quartiers atroces qu’il ne connaissait pas et est en quelque sorte absorbé par cette ville. Il avance et se retrouve finalement sur les quais ou il retrouve l’humanité des couleurs de la seine et va mieux. \r\n® Voir le film d’Antonioni, La Notte. \r\nTim : Un adolescent qui doit aller acheter du pain tôt le matin, rencontre une personne qui l’intrigue et décide de la suivre. Cet homme se dirige de magasins en magasins (Galeries Lafayette ?) l’adolescent le suit. \r\nL’homme se révèle finalement être une femme . \r\nPhilippe Zill : une personne rencontre une autre personne et la suit à travers Paris car il est séduit. \r\nTimothée : Une personne se rendant a un RDV passe devant la cinémathèque ou un réalisateur est en train de se faire interviewer. En arrière-plan des images de son film sont projetées on y voit Paris. Film dans le film. \r\nBlandine : Petite ceinture, une fille passe par plusieurs endroits animés et rencontre des musiciens ; elle s’installe avec eux. \r\nSiham : Une personne lisant un journal assis sur un banc se crispe à la lecture d’un article. Il repense à plusieurs endroits de Paris de sa vie d’avant en temps que juif pendant la seconde guerre mondiale sous l’occupation. Il revient ensuite à la réalité. \r\nLouise : Un homme a un entretien d’embauche auquel il échoue. Pour tenter d’oublier ses ennuis il s’échappe dans un endroit qu’il ne connaît pas (coulée verte ?) \r\nIgor : Un groupe de jeunes ne sachant pas où passer leur soirée du samedi soir. Ils ont plusieurs possibilités. On filme chacune d’entres elles. \r\nPropositions retenues : \r\nProposition 1 : \r\nDeux amis se retrouvent puis se perdent dans la petite ceinture. \r\nL’un disparaît et laisse l’autre seul. \r\nLe premier manque son examen car il se perd. \r\nGuillaume, Pierre, Timothée, Blandine, Samuel, Alexandre, Antonin, Louis, Gaétan, Timothée. \r\nProposition 2 : \r\nUn homme passe un entretien d’embauche auquel il échoue. \r\nIl sort et rencontre un adolescent. Il veut changer, oublier le réel, son point de vue change. \r\nEric, Elie, Tim, Laure, Igor, Maïa, Louise, Siham, Youri. \r\nQuestions \r\n· Les personnages seront-ils dans une dure réalité ou bien la digression est-elle vecteur de cette réalité ? \r\nTristesse®digression®joie \r\nJoie®digression®tristesse. \r\n· La digression sert-elle à s’échapper de la réalité ou bien justement à la trouver ? \r\n \r\nJournal de bord \r\n\r\nUn film écrit et réalisé par la classe d’option cinéma audiovisuel facultative de 1ère du Lycée Paul Valéry : \r\nTimothée, 1ère S1 \r\nAlexandre, 1ère ES1 \r\nTimothée, 1ère S2 \r\nGaétan, 1ère ES1 \r\nGuillaume, 1ère STG \r\nLouis, 1ère ES1 \r\nPierre, 1ère S2 \r\nVlad, 1ère L \r\nTable des matières \r\nLe calendrier du film \r\nLe sujet proposé \r\nLe synopsis \r\nFiches personnages \r\nLe séquencier (continuité non-dialoguée) \r\nLe scénario \r\nLa note d’intention \r\nLa répartition aux différents postes techniques \r\nLes repérages \r\nLe découpage technique \r\nLe plan de tournage \r\nLe tournage \r\nLe dérushage \r\nLe montage \r\nLa bande-son et le mixage \r\nLe générique \r\nLe calendrier \r\nSéance du 21/01/2009 (3h) \r\n- 1ère idée du synopsis \r\nUne personne du groupe est chargée d’envoyer la version à tout le monde. \r\n- Scénario Nous avons cherché une idée de scénario à partir du synopsis que nous avons imaginé. Puis nous réfléchissons à un lieu de tournage (la petit ceinture en l’occurrence) et à élaborer des scènes et des situations. \r\nLa petite ceinture est un bon lieu de tournage car il y a peu de bruit. \r\nPour la prochaine séance Tourner des images de la petite ceinture, avec une description des lieux (faire un essai avec les figurants, puis nous regarderons les rushes que nous avons tournés. \r\nSéance du 28/01/2009 (3h) \r\nArrivée d’un nouveau membre de l’équipe : Vlad Ratoyan (1ère L2) \r\nEn début de séance nous faisons un récapitulatif du scénario en apportant quelques modifications. \r\nNous avons cherché à améliorer la scène du bus : Le protagoniste descend à porte de Vincennes après une altercation avec le conducteur du bus (le conducteur contraint le protagoniste à descendre car les autres passagers trouvent injuste qu’il l’ait laissé entrer bien qu’il ait oublié son titre de transport, même s’il passe son bac). \r\nNous avons également modifié la scène de la rencontre entre les deux connaissances du protagoniste et celui-ci. Et du coup la façon dont le il est amené à se rendre sur la petite ceinture. \r\nSéance du 04/02/2009 (3h) \r\n- La quasi-totalité de cette séance a servi au groupe de réaliser la mise au point du séquencier (12 séquences). \r\n- Une petite partie du groupe s’est occupé de rédiger sur ordinateur le sujet proposé, ainsi que les données personnelles de chaque membre du groupe et de la répartition de chacun aux différents postes techniques. \r\n- Nous avons également commencé en fin de séance le scénario de la 1ère séquence. \r\nSéance du 11/02/2009 (1h30) \r\n- Visionnage des vidéos de repérage \r\nDiscussion autour d’une table sur les choses importantes à mettre en évidence dans le scénario et sur le tournage. \r\nPour la prochaine séance : Les trois acteurs devront écrire un paragraphe sur la vie et la personnalité du personnage qu’ils joueront. \r\nPour les autres membres du groupe, chacun devra se charger d’écrire le scénario de la séquence qui lui sera attribuée. \r\nSéance du 04/03/2009 (3h) \r\n- Rédaction complète de tout le scénario. \r\n- Dernières mises au point sur les fiches personnages. \r\nLe sujet proposé \r\nAu départ, deux groupes ont été formés, il nous a été imposé deux thématiques ; la première traitait de la digression. Le protagoniste devait se détourner de son objectif, s’effacer et laisser place au décor. La seconde thématique était celle de la ville. Il fallait filmer la ville d’un point de vue différent de l’image habituelle de Paris. Nous nous sommes alors tourné vers l’idée d’une action sur la Petite ceinture. Cette voie ferrée donnant un point de vue sur l’arrière des immeubles haussmanniens, très beaux sur la façade et négligés sur la façade arrière, permet une opposition flagrante avec le décor du début du film. \r\nPour nous faciliter la tâche on nous a aussi donné une trame narrative à suivre : notre personnage principal se détourne de son objectif et laisse alors place à une digression qu’il va suivre un temps, avant de la laisser de côté et de retourner à son objectif initial. \r\nPour nous, cet objectif initial était celui du passage du BAC. \r\nUne grande partie des idées a été trouvée avec l’aide des repérages. Ils nous ont permis de déterminer les commencements et fin de la digression. \r\nEn revanche, nous avons eu quelques problèmes pour trouver l’actrice préposée au rôle de la mère du film. \r\nIci la digression sert à révéler au héros, sa volonté de passer le bac. \r\nLa structure du récit sera donc CONFLIT/DIGRESSION/RESOLUTION. \r\n\r\nFiches personnages \r\nLouis : (par Louis) \r\nLouis est un jeune garçon âgé de 16 ans, il vit seul avec sa mère suite au départ de son père qui n’est jamais revenu. Départ qui marque aussi la relation tumultueuse avec sa mère. Il aime le sport, et passer du temps avec ses amis, il n’est pas très travailleur mais reste motivé à l’idée d’avoir son bac. Il connaît assez peu Pierre et Tim mais garde un souvenir plutôt sympathique des deux personnages qu’il n’a pas revu depuis longtemps. Il sort assez souvent délaissant un peu son travail. Son humeur est plutôt joviale mais il reste quelque peu renfermé sur lui même. \r\n \r\nPierre : (par Pierre) \r\nPierre est un jeune garçon âgé d’environ 16 ans, c’est un adolescent au tempérament assez joyeux, tout en restant bien trempé. Il a grandi dans les quartiers populaires parisiens aux côtés de ses amis du quartier (y compris Tim). Après une enfance tumultueuse, et un échec scolaire cuisant, il s’immisce dans les trafics du quartier ainsi que dans des délits mineurs afin de subvenir aux besoins financiers de sa famille. \r\nSuite à une altercation musclée avec les forces de l’ordre, il évite de peu la prison et décide alors de quitter ce milieu dans lequel il commence à ressentir un mal-être. Il trouve alors un petit boulot tranquille, et occupe son temps libre à sortir avec son principal ami Tim. Leur passe temps favori, bien que illégal, reste le graffiti ; et leur terrain de jeu préféré : Les chemins de fers désaffectés de « La Petite Ceinture » (où il guidera, avec Louis, voir synopsis). \r\n \r\nTim : (par Timothée) \r\nC’est un jeune garçon, habitué à sortir dans la rue, il va souvent sur la petite ceinture de Paris pour y faire du graffiti et y vagabonder avec des amis. \r\nIl ne connaît pas très bien Louis (le personnage principal) et cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vue, avant de le croiser dans la rue (voir synopsis).Il est d’humeur plutôt jovial et plaisantin, tout comme son amis Pierre avec qui il passe le plus claire de son temps à trainer dans les rues et à la petite ceinture. \r\nLe séquencier \r\n1ère séquence : Louis, le protagoniste du récit, est réveillé par sa mère vers 13h00, alors qu’il a passé sa nuit à réviser pour son BAC qu’il doit passer le jour même. \r\n2ème séquence : Louis arrive dans la cuisine en dilettante, il commence à petit déjeuner. Sa mère est assise près de lui, et ne cesse de le scruter en observant ces faits et gestes cherchant le moindre détail pour le critiquer. Poussé à bout, LOUIS sort de la cuisine en claquant la porte, prend son sac et sort de chez lui pour aller passer son épreuve. \r\n3ème séquence : Louis se dirige vers une boulangerie pour s’acheter un petit quelque chose à manger puisqu’il n’a pas eu le temps de petit déjeuner chez lui. Il se rend compte qu’il n’a pas assez d’argent et demande à la boulangère s’il peut la payer avec ce qu’il a, mais celle-ci refuse. Il se dirige alors vers l’arrêt du bus qu’il doit prendre. \r\n4ème séquence : Il arrive sur la place Daumesnil, et s’aperçoit que celle-ci est fermée à la circulation. Il demande à un viel homme posté à l’arrêt de bus qui lui indique qu’il n’y a pas de bus. Louis décide donc de partir au lieu d’examen à pied. \r\n5ème séquence : En marchant dans les rues du XXème arrondissement, il croise deux de ses anciens camarades de classe, Pierre et Tim, assis justement devant leur ancien collège. Les trois garçons discutent brièvement, et Louis explique au deux individus qu’il va passer son baccalauréat au lycée Paul Valéry, mais qu’il ne connaît pas la route. Les deux compères lui propose de passer par un raccourci, qui se trouve être le petite ceinture. Louis accepte mais reste sur ses gardes. \r\n\r\n6ème séquence : Les trois jeunes hommes prennent alors une petite rue, qui les mènent face à un mur, Louis est hésitant à l’idée de pénétrer sur les rails, de braver l’interdit. Finalement il cède aux propositions des deux autres et escalade le mur qui mène aux rails. \r\n7ème séquence : Louis, Tim et Pierre commencent alors à marcher sur les rails, les deux compères faisant les imbéciles. Louis est consterné et demande aux deux autres de se dépêcher un peu. \r\n\r\n8ème séquence : Pierre et Tim veulent montrer à Louis leurs graffs situés sur un mur en hauteur, mais Louis ne veut pas. Pierre et Tim grimpent sur le mur, pour montrer à Louis leurs graffitis, cependant celui-ci ne monte pas, il regarde les graffitis d’en bas. \r\nAprès ce court arrêt, les trois compères repartent en chemin. \r\n9ème séquence : En montant sur une échelle, Tim aperçoit un homme avec qui, Pierre et Louis devaient s’entretenir. Alors ils abandonnent Louis sur la voie déserte en lui assurant qu’il allé revenir. Louis est perdu, il ne sait plus où aller. \r\n\r\n10ème séquence : Au bout de dix minutes, Louis perd patience et prend l’initiative de continuer la route seul. Longue séance de vagabondage de Louis sur la PC. Il ère, marchant sur les rails et observant le décor autour de lui ; découvrant des lieus tout à fait insoupçonné où l’on découvre les traces d''une capitale champêtre, fantôme, abandonnée. \r\n11ème séquence : Sur le chemin, il croise un « fou » mais ne répond pas à ses interpellations. Il continu de marcher. \r\n12ème séquence : Au bout de plusieurs centaines de mètres, Louis aperçoit une sortie et se précipite sur celle-ci. La sortie l’amène juste devant son lycée. \r\n \r\n13ème séquence : Louis arrive en courant devant son lycée et le gardien le laisse rentrer in extremis ; heureux d’avoir retrouvé son chemin et de pouvoir passer son épreuve. \r\n \r\nLe scénario \r\nSéquence 1 \r\nLa mère de Louis est dans la cuisine en train de se manucurer et Louis arrive pour prendre son petit-déjeuner. \r\n \r\nLa mère \r\nC’est à cette heure là que tu te lèves ? \r\nEt tu ne finis pas tes céréales ? Tu crois que c’est gratuit ? Et tu aurais pu sortir la poubelle hier soir ! \r\nLouis \r\n(Soupir d’énervement) \r\nLa mère \r\nCause toujours tu m’intéresses… \r\nLouis \r\nC’est bon ! Je passe mon bac aujourd’hui ! Tu peux me lâcher deux secondes ! \r\nLa mère \r\nOh il a bon dos le BAC. Le BAC ceci, le BAC cela, avec toi il y a toujours une bonne excuse. \r\nDe toute façon tu ne l’auras pas ton BAC. C’est de père en fils et puis l’année prochaine je ne garde pas une larve à la maison ! \r\nLouis \r\nDe toute façon je m’en fiche du BAC ! \r\nLouis quitte son domicile en claquant la porte ! \r\nSéquence 2 \r\nLOUIS s’approche du bus tout en cherchant son pass dans sa poche. Arrivé au niveau du chauffeur, il se rend compte qu’il l’a oublié. \r\n \r\nLouis \r\nAh merde ! \r\nLe chauffeur \r\nBonjour jeune homme, vous avez votre titre de transport ? \r\nLouis \r\nBah en fait, j’ai oublié ma carte et comme je passe mon bac aujourd’hui, je me demandais si vous pouviez me laisser passer. \r\n \r\nLe chauffeur \r\nC’est bon pour cette fois. \r\nGrognement des voyageurs. Louis marche vers l’arrière du bus. Sans le vouloir, il marche sur le pied d’une jeune femme. Celle-ci s’énerve et commence alors une engueulade entre LOUIS et la FEMME. \r\n \r\nLa femme (énervée) \r\nVous vous croyez tout permis ! Déjà vous fraudez et ensuite vous m’agressez ! \r\nLouis \r\nOuais c’est bon ! Je n’ai pas fais exprès pardon ! \r\nUn HOMME s’en mêle alors soutenu par les commentaires des autres voyageurs. \r\n \r\nL’homme \r\nLes jeunes de nos jours ! Ils pensent que parce qu’ils sont jeunes ils ont tous les droits ! \r\nLouis \r\nJ’ai pas fait exprès, c’est bon ! C’est pas la peine de s’énerver pour si peu ! \r\nL’homme \r\nEt vulgaire en plus ! Ah bah bravo ! \r\nLouis \r\nN’importe quoi ! \r\nLe CHAUFFEUR du bus se gare sur le bas-côté et sort de sa cabine. \r\nLE CHAUFFEUR : (à bout) \r\nBon ça suffit maintenant ! J’ai été suffisamment patient pour vous laisser monter, et vous embêter tout le monde ! Vous descendez et puis c’est tout. \r\nLouis s’exécute tout en grognant dans son coin. \r\nSéquence 3 \r\nLouis descend du bus à un endroit qu’il ne connaît pas. Il est dépité et ne sait pas dans quelle direction aller. Il se décide à suivre la direction du bus, et croise des anciens copains du collège, qu’il avait perdu de vue. \r\nTIM et PIERRE, assis sur un banc l’aperçoivent. \r\n \r\nTim \r\nHey ! Regarde c’est pas LOUIS là-bas qui arrive ? \r\nPierre \r\nLOUIS lequel ? Du collège ? \r\nTim \r\nOuais ! Viens on va le voir. \r\n \r\nTim \r\nHey ! LOUIS ! Ça va ? Tu te rappels de nous !? Au collège et tout ! \r\nLouis \r\nAh, euh ouais ouais … ça va et vous ? Ca fait longtemps ! \r\nPierre \r\nJ’avoue ! Ca fait grave longtemps ! Bien ou quoi ? Tu fais quoi ici ? \r\nLouis \r\nBah là, j’vais passer le bac (rire) ! \r\nPierre \r\nT’es sérieux ? Là, maintenant ? \r\nLouis \r\nOui mais j’ai eu des problèmes dans le bus, le chauffeur il m’a obligé à descendre ! J’suis un peux perdu là. \r\nTim \r\nTu dois le passer dans quel lycée ? \r\nLouis \r\nPaul Valéry ! Vous connaissez ? Vous pouvez pas m’aider ? \r\nTim \r\nBien sûr qu’on connaît ! On y été en seconde, avant d’être réorienté en BEP (rire). Si tu veux on t’y amène. On connaît un petit raccourci sympa (sourire). \r\nPierre \r\nOuais j’avoue ! Un chemin direct d’ici à PV ! Si tu veux on t’emmène jusqu''à là-bas ! \r\nLouis \r\nOuais je veux bien, mais j’espère que vous me faites pas un plan foireux ! Jouez pas les gamins (sourire). \r\nLouis suit alors Tim et Pierre. \r\nSéquence 4 \r\nLouis et ses deux amis, Pierre et Tim, sont devant la petite ceinture, soudain Louis hésite à pénétrer sur les rails, car il faut escalader une grille. \r\n \r\nPierre(vexé) \r\nAllez viens ! Je t’assure c’est des rails abandonnées, y a rien à craindre. \r\n \r\nLouis (hésitant) \r\nOn sait jamais ! Imagine que quelqu''un nous voit. \r\n \r\nTim \r\nMais si allez viens on te dit qu’il n’y a jamais personne qui vient dans cet endroit. \r\n \r\nLouis cède aux avances de ses deux amis et les 3 personnages se mettent à escalader le mur. \r\nSéquence 5 \r\nTIM et PIERRE se dirigent vers une voiture, et commence à s’amuser avec. LOUIS n’apprécie pas. \r\n \r\nLouis \r\nAllez dépêchez vous les mecs ! \r\nPierre \r\nRolalah c’est bon mon pote ! T’inquiètes pas on à le temps ! C’est juste à coté … \r\nTim \r\nNan mais j’avoue que ça se fait pas, il passe son BAC le pauvre. \r\nLes deux amis s’arrêtent et reprennent le chemin. \r\nSéquence 6 \r\nEn chemin, PIERRE et TIM veulent montrer à LOUIS leurs graffitis situés sur un mur en hauteur. \r\nTim \r\nViens regarde sur le mur là-bas, on a un bête de truc à te montrer \r\n \r\nLouis \r\nNon j’ai pas le temps pas le temps les mecs \r\n \r\nPierre \r\nAllez c’est vite fait ! C’est des graffs qu’on a fait ! On a besoin de ton opinion (sourire) \r\nPIERRE et TIM grimpent sur le mur, pour montrer à LOUIS leurs graffitis. LOUIS ne monte pas et regarde la scène d’en bas. \r\nAprès ce court arrêt, les trois compères repartent en chemin. \r\nSéquence 7 \r\nSur le chemin, TIM monte sur une échelle pour s’amuser, une fois en hauteur, il a un point de vue magnifique portant très loin. Il aperçoit alors un homme, avec qui LUI et PIERRE devaient s’entretenir d’urgence. \r\nTim \r\nHey Pierre téma ! Y’a Alexandre là-bas !! Faut absolument qu’on aille lui parler, on n’aura pas de meilleur occasion ! \r\nPierre \r\nOk ! Louis, désolé, on doit aller régler un truc, mais on revient t’inquiète pas ! \r\nLouis \r\nMais j’ai pas le temps là ! Faites pas les enculés ! Vous m’aviez promis ! \r\nTiom \r\nNan mais t’inquiètes pas ! C’est tout droit ! \r\nPIERRE et TIM abandonnent LOUIS sur la voie déserte. LOUIS est perdu et ne sait plus où aller. \r\nSéquence 8 \r\nLongue séance de Vagabondage de LOUIS sur la PC. \r\nIl ère, marchant sur les rails et observant le décor autour de lui ; découvrant des lieux tout à fait insoupçonné où l’on découvre les traces d''une capitale champêtre, fantôme, abandonnée. \r\nSéquence 9 \r\nLors de sa marche, il croise un « fou » qui ne répond pas à ses interpellations. \r\n \r\nLouis \r\nEuuh …Monsieur ? Monsieur ! \r\n \r\nLe fou \r\n(soupir)… \r\nLOUIS continue de marcher et aperçoit un tunnel qu’il décide de traverser. \r\nSéquence 10 \r\nLOUIS s’engage dans un tunnel peu réconfortant. Il finit par trouver une sortie signifiant la fin de son calvaire. \r\n \r\nSéquence 11 \r\nDésespéré, Il quitte la petite ceinture ne retrouvant plus son chemin. Il marche dans la rue sans but avec l’idée qu’il a raté son BAC et de toute les répercutions que cela pourrai avoir. LOUIS demande son chemin à un passant qui lui indique le lycée qui se trouve juste à côté. \r\n \r\nSéquence 12 \r\nLOUIS arrive en courant devant son lycée. \r\n \r\nLouis \r\nMonsieur ! je vous en supplie laissez moi rentrer, c’est super important pour moi ! \r\nLe gardien le laisse rentrer in extremis ; heureux d’avoir retrouvé son chemin et de pouvoir passer son épreuve. \r\n \r\n \r\nLa note d’intention \r\n \r\n\r\n \r\nLa répartition des élèves aux différents postes techniques.\r\n\r\nCadrage\r\n\r\n \r\nTimothée (1ère S1) \r\nGaétan (1ère ES1) \r\nActeurs \r\nTimothée (1ère S2) \r\nLouis (1ère ES1) \r\nPierre (1ère S2) \r\nGaétan (1ère ES1) \r\n \r\nPrise de son \r\nGuillaume (1ère STG) \r\n \r\nScripte \r\nAlexandre (1ère ES1) \r\nVlad (1ère L2) \r\n \r\nLes repérages \r\n \r\n\r\nPetite ceinture \r\nà 13ème Arrondissement \r\n\r\nPetite ceinture \r\n à Charonne \r\n\r\nPetite ceinture \r\nà Buttes Chaumont \r\n\r\nPetite ceinture \r\nà Tunnel \r\n\r\n PC à Montsouris \r\n\r\nà Plan de la petite ceinture autour de Paris \r\n\r\nà Plan mémoire des chemins de fer de Paris \r\nLe découpage technique \r\nManque \r\n \r\nLe plan de tournage \r\n1er JOUR DE TOURNAGE : (séquence 1, 2 & 3) \r\nSéquence 1 : Tournage chez Gaétan, dans sa chambre. Cadrage : Timothée. Prise de son : Timothée Gros-. Acteur : Louis. \r\nSéquence 2 : Tournage chez Gaétan, dans la cuisine. Cadrage : Timothée. Prise de son : Guillaume. Acteur : Louis & Marie. \r\nSéquence 3 : Tournage chez Gaétan, de la coure de sa résidence à la boulangerie situé à coté. Cadrage : Marie (Gaétan). Prise de son : Guillaume. Acteur : Louis. \r\n2ème JOUR DE TOURNAGE : (séquence 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11 & 12) \r\nSéquence 4 : Tournage place Daumesnil, à l’arrêt de bus du 46 et sur la place. Cadrage : Marie (Gaétan) \r\nSéquence 6 : Tournage Boulevard Soult, en face du lycée Paul Valéry, à coté du Franprix. Cadrage : Timothée. Prise de son : Guillaume. Acteur : Louis, Pierre et Timothée. \r\nSéquence 7 : Tournage sur la P.C., à l’entrée. Cadrage : Marie (Timothée). Prise de son : Guillaume. \r\nSéquence 8 : \r\nSéquence 9 : \r\nSéquence 10 : \r\nSéquence 11 : \r\nSéquence 12 : \r\nSéquence 5 : \r\n3ème JOUR DE TOURNAGE : (séquence 13) \r\nSéquence 13 : néant. \r\nmanquent \r\n \r\nLe tournage \r\n\r\n \r\nLe dérushage, le montage, la bande-son et le mixage, le générique \r\n\r\n\r\n | \r\n\r\n Liceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie) \r\n2ème linguistique A - Paola Gozzi, professeur de langages non verbaux \r\n\r\n« Passi nella città », durée 8’53’’ \r\nL''objectif de ce court-métrage (sorte de docu-fiction) est de montrer Piacenza à partir du point de vue d''une jeune femme étrangère qui ‘découvre’ la ville. \r\n\r\n« Ekaterina est étrangère. Elle vient de s’installer à Piacenza . La ville est montrée à travers un regard subjectif et intime, souligné par le recours à la voix-off de la protagoniste. Piacenza y est décrite comme une ville de frontière, délimitée par le fleuve Pô : l''atmosphère est un peu fade, mais en même temps fascinante et captivante c''est un lieu mystérieux prisonnier du temps et, souvent, du brouillard, qui semble vouloir cacher ses secrets à tous ceux qui ne lui appartiennent pas. » \r\nSynopsis \r\nSynopsis \r\nPiacenza : Passi nella città - Les pas dans la ville. \r\nPiacenza Plan général (panoramique verticale 120°) du dernier étage du Lycée Gioia, 9h/10h du matin. \r\nPiacenza.Chez la protagoniste, Ekaterina Dimanche matin, Ekaterina, est assise à son bureau, elle écrit son journal : elle raconte la journée précédente, passée à visiter la ville dans laquelle elle vient de s’installer. \r\nPiacenza. Les enceintes de la ville (début du flashback) La protagoniste est dans un bus, elle observe les murs et elle commente ce premier regard sur la ville. \r\nPiacenza. Piazza Cittadella Ekaterina arrive sur la place, elle descend du bus. En traversant le terminal de bus, elle entrevoit trois filles qui attendent le bus et, en observant l’endroit, elle remarque le Palazzo Farnese et ensuite son école, le Lycée Gioia. \r\nPiacenza. Lycée Gioia En face, des jeunes gens sont assis sur des bancs et bavardent entre eux. \r\nEkaterina, après avoir observé le Lycée, se tourne vers la rue Cavour. \r\nPiacenza. Bar Italia En parcourant cette rue, la protagoniste passe sous les portiques et elle arrive au Bar Italia, où l’attend une amie. \r\nPiacenza. Bar Italia, intérieur Les deux filles sont assises à une table du café et sirotent une boisson. L’amie montre à Ekaterina des photos de la ville ancienne qui sont accrochés aux murs du café et Ekaterina fait une comparaison des lieux d’autrefois avec les lieux d’aujourd’hui. (Les mêmes photos seront ensuite montrées tout au long du court-métrage pour faire une comparaison avec les lieux que la protagoniste visite). \r\nPiacenza. Piazza Duomo La protagoniste arrive Piazza Duomo en parcourant le dernier bout de la rue XX septembre. La place est montrée à travers des coupes nettes entre les multiples images qui apparaissent aux yeux d’Ekaterina. \r\nPiacenza. Piazza Cavalli Sur les marches de l’église qui est dans le coin de la rue XX septembre, Ekaterina observe la Piazza Cavalli et, par la suite, lorsqu’elle se tourne vers la place, elle entrevoit l’Hôtel de Ville et l’avenue Vittorio Emanuele. La protagoniste observe la statue des deux chevaux et elle réfléchit. \r\nPiacenza. Rue Calzolai La protagoniste fait un tour dans la place et elle tourne dans la rue Calzolai. Ekaterina marche dans cette rue et elle regarde autour d’elle, elle voit des grands bâtiments du Moyen Age. Elle s’arrête ensuite pour observer des vitrines. Elle est cadrée de l’intérieur du magasin, en respectant la même échelle de plans, afin de cadrer aussi des gens qui passent dans la rue. \r\nPiacenza. Piazza Borgo Ekaterina arrive Piazza Borgo venant de la rue Calzolai. Elle remarque une autre tour bâtie durant le Moyen Age puis ensuite regarde la place dans son ensemble en s’arrêtant notamment sur l’église. \r\nPiacenza. Faxal La protagoniste, venant de l’avenue Vittorio Emanuele, se tourne vers le Faxal. On voit Ekaterina s’éloigner de la caméra lorsqu’elle parcourt le boulevard, jusqu’à arriver au square des jeux pour enfants. Ici, la protagoniste s’arrête et elle commence à se balancer sur la balançoire en repensant à son enfance dans la ville de Petrich. \r\nPiacenza. Parc de la Galleana En provenant de la rue Manfredi, montrée rapidement avec des coupes nettes, Ekaterina arrive au parc de la Galleana en y entrant par la grille principale. La caméra observe la protagoniste qui s’éloigne dans le parc. Après avoir marché un peu, elle s’allonge dans le gazon en repensant à la journée. Après cet instant de réflexion, elle sort du parc en parcourant la même rue. \r\n Piacenza. Chez la protagoniste. Ekaterina conclut la rédaction de son journal et elle le ferme en le laissant sur son bureau. \r\nPiacenza. Les berges du Pô au crépuscule. | \r\n
\r\n
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\r\nPARTENAIRES
\r\nCe projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
\r\nL’Ambassade de France en Roumanie, Bucarest
\r\nLe Centre culturel suédois, Paris
\r\nL’Institut culturel roumain, Paris
\r\nL’Institut français, Berlin
\r\nLa Mairie de Paris / Mission cinéma
\r\nLe Rectorat de Paris / Dareic et Mission innovation
\r\n\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nEQUIPE
\r\n\r\n
\r\nDépartement du développement culturel-Centre Pompidou,
\r\nFrédérique Mirotchnikoff direction du projet.
\r\nIntervenants
\r\nMarta Boni doctorante en cinéma, direction des Ateliers Lignes de temps.
\r\nLila Pinell réalisatrice, membre de l’association bétonsalon, direction des tournages dans des établissements scolaires partenaires.
\r\nAurore Frey étudiante en cinéma
\r\nStagiaires
\r\nEsther Baucher
\r\nElodie Bertrand
\r\nSophie Besson
\r\nMaëlys Bourgoin
\r\nLaure Grimaldi
\r\nAlexandre Marques
\r\nInstitut de recherche et d’innovation-Centre Pompidou
\r\nJosep Ramoneda,président
\r\nBernard Stiegler, directeur
\r\nVincent Puig, directeur-adjoint
\r\nThibaut Cavalié, chef de projet - ingénieur logiciel Lignes de temps
\r\nFanny Belvisi, chargée d’administration et de communication
\r\nYves-Marie L’Hour, responsable éditorial
\r\nYves-Marie Haussonne, chef de projet web
\r\nMaison du geste et de l’image
\r\nEvelyne Panato directrice
\r\nLaurent Geniller coordinateur vidéo
\r\nEt l’équipe de la MGI
\r\nREMERCIEMENTS
\r\nPour leur chaleureux soutien
\r\nJean-Christophe Aguas
\r\nMarion Alluchon
\r\nAlain Bergala
\r\nOlivier Bernon
\r\nBruno Boullault
\r\nLucile Bruand-Exner
\r\nFrançoise Cagli
\r\nElisabeth Caillet
\r\nSébastien Canevet
\r\nMagda Carneci
\r\nPatrice Chazotte
\r\nJean-Louis Comolli
\r\nLouis Corno
\r\nYves Clerget
\r\nYves Dalmau
\r\nSimona Edwards
\r\nLaurence Emile-Besse
\r\nHugues Fournier-Montgieux
\r\nAnne-Sophie François
\r\nCezar Grumazescu
\r\nSacha Ilic
\r\nAlexis Jäderholm
\r\nMarie Kraft
\r\nSerge Navas
\r\nSonia Ouchelli
\r\nMarc Oustabatchieff
\r\nFabrice Pleynet
\r\nPhilippe Puicouyoul
\r\nPeter Schott
\r\nLaurie Szulz
\r\nBoris Tissot
\r\nRectorat de Paris
\r\nDéléguation académique aux relations européennes et internationales et à la coopération
\r\nGilles Laborde, délégué général
\r\nJean-Paul Chouard, chargé de mission
\r\nGIldas Le Roux, chargé de mission
\r\nMission académique « Innovation et expérimentation »
\r\nFrançois Muller, responsable
\r\nLes directeurs d’établissement scolaires et les enseignants dont l’engagement sans faille tout au long de ce projet aura permis la réalisation des échanges entre partenaires
\r\nDonatella Bargis
\r\nElisabeth Battistel
\r\nIsabelle Bucurescu
\r\nElisa Cappi
\r\nJulien Charlier
\r\nDorothée Clerc
\r\nSorina Danaila
\r\nLaurence Dauvergne
\r\nMonique Dugué-Boyer
\r\nMaria Rita Fiori
\r\nM. Goebbels
\r\nPaola Gozzi
\r\nDominique Natta
\r\nRaluca Ionescu
\r\nYola Le Cainec
\r\nAnne Laforge
\r\nIsabelle Limon
\r\nElisabeth Loupiac
\r\nElisabeth Meyer
\r\nJean-Paul Moreau
\r\nAnne Catherine Mourgue
\r\nCéline Noras
\r\nPhilippe Roca
\r\nLuc Richard
\r\nAssetou Sampebgo
\r\nGabriela Sandulescu
\r\nMaria Augusta Schippisi
\r\nDan Solcan
\r\nThierry Sursin,
\r\nSylvie Tomas
\r\nCorina Ungurean
\r\nIulian Untaru
\r\nDominique Vadet
\r\nHélène Valencien
\r\nMariana Visan
\r\nIoana Voinea
\r\nAgnès de Willecot
\r\nPhilippe Zill
\r\nCentre Pompidou
\r\nEt toutes les personnes que par mégarde nous aurions oubliées.', 'Ma ville vue par ...', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '103-revision-2', '', '', '2009-12-16 16:18:06', '2009-12-16 15:18:06', '', 103, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=105', 0, 'revision', '', 0),
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\nCe projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
\nL’Ambassade de France en Roumanie, Bucarest
\nLe Centre culturel suédois, Paris
\nL’Institut culturel roumain, Paris
\nL’Institut français, Berlin
\nLa Mairie de Paris / Mission cinéma
\nLe Rectorat de Paris / Dareic et Mission innovation
\n\n\n\n\n\nEQUIPE
\n\n
\nDépartement du développement culturel-Centre Pompidou,
\nFrédérique Mirotchnikoff direction du projet.
\nIntervenants
\nMarta Boni doctorante en cinéma, direction des Ateliers Lignes de temps.
\nLila Pinell réalisatrice, membre de l’association bétonsalon, direction des tournages dans des établissements scolaires partenaires.
\nAurore Frey étudiante en cinéma
\nStagiaires
\nEsther Baucher
\nElodie Bertrand
\nSophie Besson
\nMaëlys Bourgoin
\nLaure Grimaldi
\nAlexandre Marques
\nInstitut de recherche et d’innovation-Centre Pompidou
\nJosep Ramoneda,président
\nBernard Stiegler, directeur
\nVincent Puig, directeur-adjoint
\nThibaut Cavalié, chef de projet - ingénieur logiciel Lignes de temps
\nFanny Belvisi, chargée d’administration et de communication
\nYves-Marie L’Hour, responsable éditorial
\nYves-Marie Haussonne, chef de projet web
\nMaison du geste et de l’image
\nEvelyne Panato directrice
\nLaurent Geniller coordinateur vidéo
\nEt l’équipe de la MGI
\nREMERCIEMENTS
\nPour leur chaleureux soutien
\nJean-Christophe Aguas
\nMarion Alluchon
\nAlain Bergala
\nOlivier Bernon
\nBruno Boullault
\nLucile Bruand-Exner
\nFrançoise Cagli
\nElisabeth Caillet
\nSébastien Canevet
\nMagda Carneci
\nPatrice Chazotte
\nJean-Louis Comolli
\nLouis Corno
\nYves Clerget
\nYves Dalmau
\nSimona Edwards
\nLaurence Emile-Besse
\nHugues Fournier-Montgieux
\nAnne-Sophie François
\nCezar Grumazescu
\nSacha Ilic
\nAlexis Jäderholm
\nMarie Kraft
\nSerge Navas
\nSonia Ouchelli
\nMarc Oustabatchieff
\nFabrice Pleynet
\nPhilippe Puicouyoul
\nPeter Schott
\nLaurie Szulz
\nBoris Tissot
\nRectorat de Paris
\nDéléguation académique aux relations européennes et internationales et à la coopération
\nGilles Laborde, délégué général
\nJean-Paul Chouard, chargé de mission
\nGIldas Le Roux, chargé de mission
\nMission académique « Innovation et expérimentation »
\nFrançois Muller, responsable
\nLes directeurs d’établissement scolaires et les enseignants dont l’engagement sans faille tout au long de ce projet aura permis la réalisation des échanges entre partenaires
\nDonatella Bargis
\nElisabeth Battistel
\nIsabelle Bucurescu
\nElisa Cappi
\nJulien Charlier
\nDorothée Clerc
\nSorina Danaila
\nLaurence Dauvergne
\nMonique Dugué-Boyer
\nMaria Rita Fiori
\nM. Goebbels
\nPaola Gozzi
\nDominique Natta
\nRaluca Ionescu
\nYola Le Cainec
\nAnne Laforge
\nIsabelle Limon
\nElisabeth Loupiac
\nElisabeth Meyer
\nJean-Paul Moreau
\nAnne Catherine Mourgue
\nCéline Noras
\nPhilippe Roca
\nLuc Richard
\nAssetou Sampebgo
\nGabriela Sandulescu
\nMaria Augusta Schippisi
\nDan Solcan
\nThierry Sursin,
\nSylvie Tomas
\nCorina Ungurean
\nIulian Untaru
\nDominique Vadet
\nHélène Valencien
\nMariana Visan
\nIoana Voinea
\nAgnès de Willecot
\nPhilippe Zill
\nCentre Pompidou
\nEt toutes les personnes que par mégarde nous aurions oubliées.', 'Ma ville vue par ...', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '103-autosave', '', '', '2009-12-21 18:40:40', '2009-12-21 17:40:40', '', 103, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=106', 0, 'revision', '', 0),
+(109, 1, '2009-12-21 18:48:27', '2009-12-21 17:48:27', '\nDe la théorie…\n\n Dans un premier temps, les classes complètent l’analyse du film de référence fourni sur le logiciel Lignes de temps. Les films correspondent à une double nécessité : ils sont le produit d’un travail d’auteur et montrent les choix auxquels les cinéastes sont confrontés ; la ville y tient un rôle en tant que « personnage », sans jamais n’être qu’une « option ». La ville peut être montrée de façon documentaire ou fantastique mais doit rester un lieu reconnaissable et descriptible. Espace émotionnel de rencontre entre le cinéaste et le spectateur, le film part à la découverte de la ville dans ses aspects les plus étonnants et les plus quotidiens.\nAprès visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\n…à la pratique
\nÀ ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '100-autosave', '', '', '2009-12-21 18:48:27', '2009-12-21 17:48:27', '', 100, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=109', 0, 'revision', '', 0),
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\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\n…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\r\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\r\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\r\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\r\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\r\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\r\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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+(112, 1, '2009-12-16 16:27:53', '2009-12-16 15:27:53', '\n\n13-15 novembre 2007 Ircam (site officiel)\nabstract\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\nOrganisateurs :\n\n * IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr\n * LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr\n * éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu\n * IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr\n * GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr\n\n\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\n\n * IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)\n * IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)\n * IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).\n\n\n\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\n\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\n\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\n\n\nformat pdfInterfaces pour l''annotation et la manipulation d''objets temporels\nformat pdfEESI : SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif\nformat pdfGRAME : L''annotation de partitions musicales à des fins pédagogiques : l''exemple de Vemus\nformat pdfIRCAM : Interface de navigation musicale par le contenu\nformat pdfIRI : Lignes de temps, une plateforme collaborative pour l''annotation de films et d''objets temporels.\nformat pdfLIRIS : Annotations de documents audiovisuels Temporalisation et spatialisation\nformat pdfIRCAM : Annoter la musique : de la segmentation de fichiers audio à la publication d''articles multimédia', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '111-revision', '', '', '2009-12-16 16:27:53', '2009-12-16 15:27:53', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=112', 0, 'revision', '', 0),
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\r\nCes interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
\r\n…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
\r\nIl s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
\r\nPlusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
\r\nLa durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
\r\nCes rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
\r\nChaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
\r\nEn tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l''autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
\r\nLes chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
\r\n1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
\r\n2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
\r\n3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
\r\nChaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
\r\nPrésentations des expérimentations Mai - Juin 2009
\r\n« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
\r\n« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
\r\nCentre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
\r\nLes travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
\r\nCes deux matinées d''échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d''Italie et de France pour l''occasion.\r\nUne présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.\r\nVous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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+(114, 1, '2010-01-28 11:37:48', '2010-01-28 10:37:48', 'Interfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\n\n13-15 novembre 2007 - Ircam (site officiel de l''événement) \nOrganisateurs :
\n\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\n
\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\n\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\n
\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\n\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\n\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\n', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '111-autosave', '', '', '2010-01-28 11:37:48', '2010-01-28 10:37:48', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=114', 0, 'revision', '', 0);
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\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\nOrganisateurs :
\r\n\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\r\n', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '111-revision-7', '', '', '2010-01-26 17:58:40', '2010-01-26 16:58:40', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/non-classe/111-revision-7/', 0, 'revision', '', 0),
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\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\nOrganisateurs :
\r\n\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\n
Interfaces pour l''annotation et la manipulation d''objets temporels\r\n
EESI : SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif\r\n
GRAME : L''annotation de partitions musicales à des fins pédagogiques : l''exemple de Vemus\r\n
IRCAM : Interface de navigation musicale par le contenu\r\n
IRI : Lignes de temps, une plateforme collaborative pour l''annotation de films et d''objets temporels.\r\n
LIRIS : Annotations de documents audiovisuels Temporalisation et spatialisation\r\n
IRCAM : Annoter la musique : de la segmentation de fichiers audio à la publication d''articles multimédia', 'Atelier IHM 2007', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '111-revision-2', '', '', '2009-12-16 16:28:12', '2009-12-16 15:28:12', '', 111, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=115', 0, 'revision', '', 0),
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\nCe projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
\nL’Ambassade de France en Roumanie, Bucarest
\nLe Centre culturel suédois, Paris
\nL’Institut culturel roumain, Paris
\nL’Institut français, Berlin
\nLa Mairie de Paris / Mission cinéma
\nLe Rectorat de Paris / Dareic et Mission innovation
\n\n\n\n\n\nEQUIPE
\nDépartement du développement culturel-Centre Pompidou,
\nFrédérique Mirotchnikoff direction du projet.
\nIntervenants
\nMarta Boni doctorante en cinéma, direction des Ateliers Lignes de temps.
\nLila Pinell réalisatrice, membre de l’association bétonsalon, direction des tournages dans des établissements scolaires partenaires.
\nAurore Frey étudiante en cinéma
\nStagiaires
\nEsther Baucher
\nElodie Bertrand
\nSophie Besson
\nMaëlys Bourgoin
\nLaure Grimaldi
\nAlexandre Marques
\nInstitut de recherche et d’innovation-Centre Pompidou
\nJosep Ramoneda,président
\nBernard Stiegler, directeur
\nVincent Puig, directeur-adjoint
\nThibaut Cavalié, chef de projet - ingénieur logiciel Lignes de temps
\nFanny Belvisi, chargée d’administration et de communication
\nYves-Marie L’Hour, responsable éditorial
\nYves-Marie Haussonne, chef de projet web
\nMaison du geste et de l’image
\nEvelyne Panato directrice
\nLaurent Geniller coordinateur vidéo
\nEt l’équipe de la MGI
\nREMERCIEMENTS
\nPour leur chaleureux soutien
\nJean-Christophe Aguas
\nMarion Alluchon
\nAlain Bergala
\nOlivier Bernon
\nBruno Boullault
\nLucile Bruand-Exner
\nFrançoise Cagli
\nElisabeth Caillet
\nSébastien Canevet
\nMagda Carneci
\nPatrice Chazotte
\nJean-Louis Comolli
\nLouis Corno
\nYves Clerget
\nYves Dalmau
\nSimona Edwards
\nLaurence Emile-Besse
\nHugues Fournier-Montgieux
\nAnne-Sophie François
\nCezar Grumazescu
\nSacha Ilic
\nAlexis Jäderholm
\nMarie Kraft
\nSerge Navas
\nSonia Ouchelli
\nMarc Oustabatchieff
\nFabrice Pleynet
\nPhilippe Puicouyoul
\nPeter Schott
\nLaurie Szulz
\nBoris Tissot
\nRectorat de Paris
\nDéléguation ac
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\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\nOrganisateurs :
\r\n\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
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\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\n
Interfaces pour l''annotation et la manipulation d''objets temporels\r\n
EESI : SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif\r\n
GRAME : L''annotation de partitions musicales à des fins pédagogiques : l''exemple de Vemus\r\n
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+(120, 1, '2009-12-16 11:51:10', '2009-12-16 10:51:10', 'It is a long established fact that a reader will be distracted by the readable content of a page when looking at its layout. The point of using Lorem Ipsum is that it has a more-or-less normal distribution of letters, as opposed to using ''Content here, content here'', making it look like readable English. Many desktop publishing packages and web page editors now use Lorem Ipsum as their default model text, and a search for ''lorem ipsum'' will uncover many web sites still in their infancy. Various versions have evolved over the years, sometimes by accident, sometimes on purpose (injected humour and the like).\r\n\r\nLorem Ipsum comes from sections 1.10.32 and 1.10.33 of "de Finibus Bonorum et Malorum" (The Extremes of Good and Evil) by Cicero, written in 45 BC. This book is a treatise on the theory of ethics, very popular during the Renaissance. The first line of Lorem Ipsum, "Lorem ipsum dolor sit amet..", comes from a line in section 1.10.32.\r\n\r\nThe standard chunk of Lorem Ipsum used since the 1500s is reproduced below for those interested. Sections 1.10.32 and 1.10.33 from "de Finibus Bonorum et Malorum" by Cicero are also reproduced in their exact original form, accompanied by English versions from the 1914 translation by H. Rackham.', 'Cinecast', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '59-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:51:10', '2009-12-16 10:51:10', '', 59, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=120', 0, 'revision', '', 0),
+(121, 1, '2009-12-16 18:06:12', '2009-12-16 17:06:12', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles\r\nau public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands\r\nsites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\r\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\r\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\r\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\r\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\r\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\r\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\r\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\r\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\r\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\r\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech,\r\nForum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'Cinecast', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '59-revision-3', '', '', '2009-12-16 18:06:12', '2009-12-16 17:06:12', '', 59, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=121', 0, 'revision', '', 0),
+(122, 1, '2009-12-16 11:52:46', '2009-12-16 10:52:46', 'The standard Lorem Ipsum passage, used since the 1500s
\r\n"Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum."\r\nSection 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'CineLab', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '61-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:52:46', '2009-12-16 10:52:46', '', 61, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=122', 0, 'revision', '', 0),
+(124, 1, '2009-12-16 18:09:10', '2009-12-16 17:09:10', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles\nau public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands\nsites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\n\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'Cinecast', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '59-autosave', '', '', '2009-12-16 18:09:10', '2009-12-16 17:09:10', '', 59, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=124', 0, 'revision', '', 0),
+(125, 1, '2009-12-16 18:11:08', '2009-12-16 17:11:08', 'Rassemblés au sein d’une même plateforme d’échange et de négociation de droits, les films de nombreux\r\nproducteurs européens indépendants peuvent enfin trouver un débouché rapide sur le marché de\r\nla diffusion en Vidéo à la demande (VoD). Ce service pour les professionnels permet en plus de préparer\r\net d’échanger des extraits, des éléments promotionnels et des parcours directement publiables sur\r\nun site de VoD.\r\nPrésenté par le premier groupement de producteurs français indépendants de cinéma (UniversCine.com),\r\nGlitner est un projet pilote du programme MEDIA de la Commission européenne. Il vise la mise en place\r\nd’une plateforme de partage d’informations sur les droits disponibles, les documents associés\r\net les annotations des utilisateurs de la plateforme en utilisant le logiciel Lignes de temps. Le projet s’est\r\nterminé fin 2008 mais se poursuit dans le cadre d’un GEIE dont l’IRI est membre.\r\n\r\nLe projet associe les partenaires suivants :\r\n\r\n - le Meilleur du cinéma, LMC (France),
\r\n - Autori e produttori indipendenti, API (Italie),
\r\n - Budapestfilm (Hongrie),
\r\n - Cinando, Marché du film, Festival de Cannes (France),
\r\n - Institut de recherche et d’innovation / Centre Pompidou (France),
\r\n - ISAN (Suisse),
\r\n - Korpus (Slovénie),
\r\n - TechnikArt (Suède).
\r\n
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+(126, 1, '2009-12-16 18:11:04', '2009-12-16 17:11:04', 'Rassemblés au sein d’une même plateforme d’échange et de négociation de droits, les films de nombreux\nproducteurs européens indépendants peuvent enfin trouver un débouché rapide sur le marché de\nla diffusion en Vidéo à la demande (VoD). Ce service pour les professionnels permet en plus de préparer\net d’échanger des extraits, des éléments promotionnels et des parcours directement publiables sur\nun site de VoD.\nPrésenté par le premier groupement de producteurs français indépendants de cinéma (UniversCine.com),\nGlitner est un projet pilote du programme MEDIA de la Commission européenne. Il vise la mise en place\nd’une plateforme de partage d’informations sur les droits disponibles, les documents associés\net les annotations des utilisateurs de la plateforme en utilisant le logiciel Lignes de temps. Le projet s’est\nterminé fin 2008 mais se poursuit dans le cadre d’un GEIE dont l’IRI est membre.\n\nLe projet associe les partenaires suivants :\n\n - le Meilleur du cinéma, LMC (France),
\n - Autori e produttori indipendenti, API (Italie),
\n - Budapestfilm (Hongrie),
\n - Cinando, Marché du film, Festival de Cannes (France),
\n - Institut de recherche et d’innovation / Centre Pompidou (France),
\n - ISAN (Suisse),
\n - Korpus (Slovénie),
\n - TechnikArt (Suède).
\n
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\r\n - Autori e produttori indipendenti, API (Italie),
\r\n - Budapestfilm (Hongrie),
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\r\n - Institut de recherche et d’innovation / Centre Pompidou (France),
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+(128, 1, '2009-12-16 18:12:56', '2009-12-16 17:12:56', 'TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\r\n\r\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\r\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\r\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\r\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\r\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\r\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\r\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\r\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\r\nterritoires) / Université Toulouse 2.\r\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\r\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\r\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\r\n\r\n - le choix du terrain: la définition de l’objet,
\r\n - l’observation participante,
\r\n - l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,
\r\n - la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,
\r\n - les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,
\r\n - la mise en public de la création.
\r\n
\r\n\r\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\r\nPartenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\r\nPériode : septembre 2009-septembre 2011', 'TicTac', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'tictac', '', '', '2009-12-24 14:23:37', '2009-12-24 13:23:37', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=128', 0, 'post', '', 0),
+(129, 1, '2009-12-16 18:12:54', '2009-12-16 17:12:54', 'TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\n\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\nterritoires) / Université Toulouse 2.\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\n• le choix du terrain: la définition de l’objet,\n• l’observation participante,\n• l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,\n• la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,\n• les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,\n• la mise en public de la création.\n\n\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\nPartenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\nPériode : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '128-revision', '', '', '2009-12-16 18:12:54', '2009-12-16 17:12:54', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=129', 0, 'revision', '', 0),
+(130, 1, '2009-12-21 18:34:26', '2009-12-21 17:34:26', 'TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\n\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\nterritoires) / Université Toulouse 2.\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\n\n - le choix du terrain: la définition de l’objet,
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\n
\n\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\nPartenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\nPériode : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '128-autosave', '', '', '2009-12-21 18:34:26', '2009-12-21 17:34:26', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=130', 0, 'revision', '', 0),
+(131, 1, '2009-12-16 18:15:45', '2009-12-16 17:15:45', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\n\r\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\n\r\nÉquipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\n\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'AnthropoNet ', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'anthroponet', '', '', '2010-01-06 10:54:43', '2010-01-06 09:54:43', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=131', 0, 'post', '', 0);
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+(132, 1, '2009-12-16 18:15:41', '2009-12-16 17:15:41', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\nhumaines et sociales, en vue de:\n• la valorisation des résultats de la recherche,\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\nÉquipes impliquées\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\n• Musée du Quai Branly,\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\nEn phase II le projet permettra:\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '131-revision', '', '', '2009-12-16 18:15:41', '2009-12-16 17:15:41', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=132', 0, 'revision', '', 0),
+(133, 1, '2009-12-16 18:15:45', '2009-12-16 17:15:45', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\nÉquipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '131-revision-2', '', '', '2009-12-16 18:15:45', '2009-12-16 17:15:45', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=133', 0, 'revision', '', 0),
+(134, 1, '2009-12-16 18:16:19', '2009-12-16 17:16:19', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\nÉquipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '131-revision-3', '', '', '2009-12-16 18:16:19', '2009-12-16 17:16:19', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=134', 0, 'revision', '', 0),
+(135, 1, '2009-12-16 18:16:25', '2009-12-16 17:16:25', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\n\r\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\nÉquipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '131-revision-4', '', '', '2009-12-16 18:16:25', '2009-12-16 17:16:25', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=135', 0, 'revision', '', 0),
+(136, 1, '2009-12-16 18:16:30', '2009-12-16 17:16:30', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\n\r\nLE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\nÉquipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '131-revision-5', '', '', '2009-12-16 18:16:30', '2009-12-16 17:16:30', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=136', 0, 'revision', '', 0),
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Adresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris
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Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)
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Téléphone : \r\n01 44 78 42 02.
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Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
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Tél : 01 44 78 42 02.\n\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\n\n

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\r\n
Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\n\r\n
Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\n\r\n
Une collaboration\r\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\n
Liens :\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\r\n
Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
\r\n
Fondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
\r\n
La Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
\r\n
Le cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
\r\n
\r\n
Le cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
\r\n
Le cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\n
L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
\r\n
Les films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
\r\n
Le Caméraman
\r\n
Etats-Unis 1928
\r\n
Coréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
\r\n
Avec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
\r\n
Les aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Sunrise - Aurore (L'')
\r\n
Etats-Unis, 1927
\r\n
Réalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
\r\n
Scénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\n
Avec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
\r\n
Photo Karl Struss, Charles Rosher
\r\n
Musique Dr Hugo Riesenfeld
\r\n
Durée 1h20
\r\n
Séduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
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\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
\r\n
Les pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
\r\n
Les binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
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Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\n
En savoir plus
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TÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
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? FAQ ?\r\n
Télécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
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\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
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Une fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\n
Notes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\r\n\r\n
\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
\r\n
\r\n
En savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
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Vous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
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Pour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
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Plus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
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Lignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\n
Lire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\n
Lire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '53-revision-4', '', '', '2009-12-16 16:10:27', '2009-12-16 15:10:27', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=167', 0, 'revision', '', 0),
+(148, 1, '2009-12-16 18:12:56', '2009-12-16 17:12:56', 'TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\r\n\r\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\r\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\r\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\r\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\r\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\r\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\r\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\r\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\r\nterritoires) / Université Toulouse 2.\r\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\r\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\r\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\r\n• le choix du terrain: la définition de l’objet,\r\n• l’observation participante,\r\n• l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,\r\n• la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,\r\n• les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,\r\n• la mise en public de la création.\r\n\r\n
\r\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\r\n
Partenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\r\n
Période : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '128-revision-2', '', '', '2009-12-16 18:12:56', '2009-12-16 17:12:56', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=148', 0, 'revision', '', 0),
+(149, 1, '2009-12-17 16:25:06', '2009-12-17 15:25:06', 'Pourquoi et comment commenter un film à l’aide de son téléphone portable, à la sortie du cinéma avec ses amis ou dans le cadre d’une exposition sur le cinéma au Centre Pompidou? La question pose en fait bien plus que des problèmes scientifiques liés à la synchronisation du flux du commentaire avec le flux du film ou avec les commentaires des autres visiteurs. Plus généralement c’est la pratique critique qui est ici questionnée dans une perspective de confrontation des regards portés sur les films. Le projet étend largement ses applications à l’enseignement du cinéma. Prolongement du projet Lignes de temps dans le domaine de la critique cinématographique, des pratiques éducatives, de la consultation de fonds d’archives et des technologies mobiles, CineLab est un projet de recherche, financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et le pôle de compétitivité Cap Digital jusqu’à fin juin 2009. Il vise l’annotation de films et le partage d’annotation sur postes de travail, sites web\net dispositifs mobiles. Les partenaires associés au Centre Pompidou sont le Forum des Images, le labora-\ntoire LIRIS (CNRS-Lyon I) et la société Antenna Audio.\nDispositif d’annotation sur PDA développé avec Antenna Audio, dans le cadre du projet CineLab\nÉcrans d’enregistrement et de dessin sur l’audioguide de l’exposition Víctor Erice-Abbas Kiarostami : Correspondances\nLes objectifs du projet en 2009 sont d’expérimenter l’annotation sur mobiles à base de vidéo\net d’enregistrements audio au travers d’une application Internet permettant de s’affranchir des défauts\ndu système sur téléphone portable ou sur audioguide (voir Mémoire de Master II de Cécilia Jauniau sur\nle dispositif d’annotation collaborative développé lors de l’exposition Traces du sacré, Université Paris XIII).', 'CINELAB', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '63-autosave', '', '', '2009-12-17 16:25:06', '2009-12-17 15:25:06', '', 63, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=149', 0, 'revision', '', 0),
+(150, 1, '2009-12-16 11:53:17', '2009-12-16 10:53:17', '"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"\r\n
Section 1.10.33 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat."\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"On the other hand, we denounce with righteous indignation and dislike men who are so beguiled and demoralized by the charms of pleasure of the moment, so blinded by desire, that they cannot foresee the pain and trouble that are bound to ensue; and equal blame belongs to those who fail in their duty through weakness of will, which is the same as saying through shrinking from toil and pain. These cases are perfectly simple and easy to distinguish. In a free hour, when our power of choice is untrammelled and when nothing prevents our being able to do what we like best, every pleasure is to be welcomed and every pain avoided. But in certain circumstances and owing to the claims of duty or the obligations of business it will frequently occur that pleasures have to be repudiated and annoyances accepted. The wise man therefore always holds in these matters to this principle of selection: he rejects pleasures to secure other greater pleasures, or else he endures pains to avoid worse pains."', 'Tic Tac', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '63-revision-2', '', '', '2009-12-16 11:53:17', '2009-12-16 10:53:17', '', 63, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=150', 0, 'revision', '', 0),
+(153, 1, '2009-12-17 16:39:15', '2009-12-17 15:39:15', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle\r\nde ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand\r\nnombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques\r\nde films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles\r\net de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé\r\ncinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces\r\nde navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois\r\nmarchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites\r\nde VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle\r\navec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet\r\na fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie)\r\n\r\n\r\n\r\nPartenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '151-revision-2', '', '', '2009-12-17 16:39:15', '2009-12-17 15:39:15', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=153', 0, 'revision', '', 0),
+(154, 1, '2009-12-18 12:02:21', '2009-12-18 11:02:21', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\n\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '151-autosave', '', '', '2009-12-18 12:02:21', '2009-12-18 11:02:21', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=154', 0, 'revision', '', 0),
+(155, 1, '2009-05-18 11:10:11', '2009-05-18 10:10:11', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'dossier-de-presse-de-liri-mai-2009', '', '', '2009-12-21 15:33:04', '2009-12-21 14:33:04', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=155', 0, 'post', '', 0),
+(156, 1, '2009-12-18 11:08:26', '2009-12-18 10:08:26', '', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '155-revision', '', '', '2009-12-18 11:08:26', '2009-12-18 10:08:26', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=156', 0, 'revision', '', 0),
+(157, 1, '2009-12-21 10:15:58', '2009-12-21 09:15:58', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '155-autosave', '', '', '2009-12-21 10:15:58', '2009-12-21 09:15:58', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=157', 0, 'revision', '', 0),
+(158, 1, '2009-05-14 11:14:26', '2009-05-14 10:14:26', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'publish', 'open', 'open', '', 'conference-de-presse-du-14-mai-2009-dans-lignes-de-temps', '', '', '2009-12-21 15:32:33', '2009-12-21 14:32:33', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=158', 0, 'post', '', 0),
+(159, 1, '2009-12-18 11:14:08', '2009-12-18 10:14:08', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '158-revision', '', '', '2009-12-18 11:14:08', '2009-12-18 10:14:08', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=159', 0, 'revision', '', 0),
+(160, 1, '2009-12-18 11:14:26', '2009-12-18 10:14:26', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'open', 'open', '', '158-revision-2', '', '', '2009-12-18 11:14:26', '2009-12-18 10:14:26', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=160', 0, 'revision', '', 0),
+(161, 1, '2009-12-16 12:47:47', '2009-12-16 11:47:47', 'INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\n\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Interfaces multimodales', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:47:47', '2009-12-16 11:47:47', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=161', 0, 'revision', '', 0),
+(162, 1, '2009-12-18 11:57:31', '2009-12-18 10:57:31', 'INTERFACES MULTIMODALES ET MOBILITÉ DANS LES PRATIQUES INSTRUMENTÉES\r\n\r\nLa motricité est un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en «gestualisant» une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles notamment dans le contexte muséal, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du geste ou du regard) et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.', 'Interfaces multimodales', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-revision-4', '', '', '2009-12-18 11:57:31', '2009-12-18 10:57:31', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=162', 0, 'revision', '', 0),
+(163, 1, '2010-02-01 15:27:28', '2010-02-01 14:27:28', 'L’IRI collabore avec le monde de l''enseignement supérieur et l’université dans le champ des sciences cognitives et des sciences de l’éducation pour étudier l’impact à long terme des technologies affectant le corps de manière générale et favorisant l’émergence de nouvelles pratiques amateurs, éducatives et professionnelles. La motricité est en effet un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en « gestualisant » une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. L’oreille musicale se forme dans l’activité gestuelle et oculaire que coordonnent l’instrument et la partition, de même que l’œil du peintre ne se forme que par l’activité de ses mains manipulant et maîtrisant des techniques. C’est par de tels « circuits » entre organes que se constituent les objets esthétiques.\n\nOn vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles en lien avec les expositions du Centre Pompidou, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du regard), l’utilisation des microtechnologies et des microsystèmes et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.\n\nAteliers relatifs à cet objet de recherche:\n
', 'Interfaces multimodales, mobilité et motricité dans les pratiques instrumentées ', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '79-autosave', '', '', '2010-02-01 15:27:28', '2010-02-01 14:27:28', '', 79, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=163', 0, 'revision', '', 0),
+(164, 1, '2009-12-17 16:40:13', '2009-12-17 15:40:13', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\r\n\r\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '151-revision-3', '', '', '2009-12-17 16:40:13', '2009-12-17 15:40:13', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=164', 0, 'revision', '', 0),
+(165, 1, '2009-12-16 16:33:22', '2009-12-16 15:33:22', '
\r\n
abstract
\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\n
Organisateurs :
\r\n
\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n
\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n\r\n
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\r\n
Un projet d’échanges culturels entre jeunes de la Communauté européenne / 2008-2009\r\n« Films-essais » / « Films-regards » / « Regards signés Lignes de temps » / Débats…\r\n\r\n2008 – Année européenne du dialogue interculturel\r\n2009 – Année européenne de la créativité et de l’innovation\r\n\r\n
Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création… \r\n« Ma ville vue par… » vise à encourager l’échange culturel entre jeunes gens de l’Union européenne via une approche analytique et créative du cinéma.\r\n\r\n
Une collaboration\r\nCentre Pompidou / Institut de recherche et d’innovation / Maison du geste et de l’image\r\n\r\n
Liens :\r\n
http://www.mgi-paris.org/site2009/index.php\r\n
http://www.centrepompidou.fr/\r\n\r\n
Etablissements européens partenaires\r\nBerufskolleg, Herzogenrath, (Allemagne)\r\nColegiul national B.P. Hasdeu, Buzau (Roumanie)\r\nColegiul national I. C. Bratianu, Pitesti (Roumanie)\r\nColegiul national Mihai Eminescu, Iasi (Roumanie)\r\nColegiul national Radu Negru, Fagaras (Roumanie)\r\nCollège Thomas Mann, Paris 13ème (France)\r\nCollège Darius Milhaud, Sartrouville (France)\r\nCollège Jean Moulin, Paris 14ème (France)\r\nEcole à aires ouvertes Saint-Merri et Renard, Paris 4ème (France)\r\nEcole élémentaire Maurice Genevoix, Paris 18ème (France)\r\nLiceo classico M. Gioia, Piacenza (Italie)\r\nLycée Maurice Ravel, Paris 20ème (France)\r\nLycée Paul Valéry, Paris 12ème (France)\r\nScuola centrala n° 10, Bucarest (Roumanie)\r\nScuola media Irnerio, Bologne (Italie)\r\n\r\n
http://www.bkherzogenrath.de/\r\n
http://lme.is.edu.ro/\r\n
http://radunegru.licee.edu.ro/\r\n
http://www.clg-milhaud-sartrouville.ac-versailles.fr/\r\n
http://clg-jean-moulin.scola.ac-paris.fr/spip.php?page=login\r\n
http://www.liceogioia.it/\r\n
http://lyc-maurica-ravel.scola.ac-paris.fr/citscol/college.htm\r\n
http://lyc-paul-valery.scola.ac-paris.fr/PVpages/PCSI/index_pcsi.html\r\n
Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
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Fondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l''Institut de recherche et d''innovation travaille sur l''étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l''émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
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La Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
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Le cinéma et la citoyenneté\r\nRencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
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Le cinéma et la ville\r\nRegards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
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Le cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
\r\n
L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
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Les films de référence\r\nLes films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
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Le Caméraman
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Etats-Unis 1928
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Coréalisation : Buster Keaton, Edward Sedgwick
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Avec Buster Keaton, Marceline Day, Harold Goodwin
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Les aventures de Buster, photographe de rue, spécialisé dans les daguerréotypes dans le New York des années 20.
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Sunrise - Aurore (L'')
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Etats-Unis, 1927
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Réalisation Friedrich-Wilhelm Murnau
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Scénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d''après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
\r\n
Avec George O''Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
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Photo Karl Struss, Charles Rosher
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Musique Dr Hugo Riesenfeld
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Durée 1h20
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Séduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d''une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
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Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
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Les pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
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Les binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
', 'Ma ville vue par...', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '97-revision-4', '', '', '2009-12-17 15:07:37', '2009-12-17 14:07:37', '', 97, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=166', 0, 'revision', '', 0),
+(168, 1, '2009-12-17 16:23:06', '2009-12-17 15:23:06', '
TICTAC : Trajectoires des Idées et Coopérations des Acteurs dans la dynamique de la Création.\r\n\r\nComment l’analyse de l’image vidéo peut elle nous aider à comprendre les processus de créativité?\r\nQuels outils spécifiques faut-il développer pour scruter l’enregistrement d’un brainstorming et en tirer\r\nde nouveaux enseignements a posteriori? Visionner une séance de créativité ou une création artistique\r\nau prisme de grilles de lecture différentes constitue aussi un des objectifs de ce projet de recherche.\r\nL’objectif du projet TICTAC est d’étudier scientifiquement à la fois la dynamique des idées et la coopération\r\ndes différents acteurs au cours de l’élaboration d’une création, dans le contexte de l’initiative Garage\r\n(CEA-LID), sur le cas d’une réalisation du programme «objets semi-vivants». Le projet est mené\r\nen collaboration avec l’IRI et le laboratoire LISST (Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés,\r\nterritoires) / Université Toulouse 2.\r\nL’objectif de ce projet soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR) est de saisir la variété des\r\nopérations mobilisées par un groupe de chercheurs et d’ingénieurs recentrés sur la conception d’un objet\r\ntechnologique, les méthodes d’investigations se donneront plusieurs finalités à travers différentes étapes:\r\n• le choix du terrain: la définition de l’objet,\r\n• l’observation participante,\r\n• l’enregistrement audiovisuel des séances de travail collectif,\r\n• la mise en place de procédures systématiques de traçabilité de tous les aspects du travail,\r\n• les entretiens auprès des acteurs du projet technologique,\r\n• la mise en public de la création.\r\n\r\n
\r\nType de projet : ANR Sciences humaines et sociales (appel à projets sur la Création).\r\n
Partenaires : CEA-LID, IRI, LISST.\r\n
Période : septembre 2009-septembre 2011', 'TICTAC', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '128-revision-3', '', '', '2009-12-17 16:23:06', '2009-12-17 15:23:06', '', 128, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=168', 0, 'revision', '', 0),
+(169, 1, '2009-12-16 18:11:40', '2009-12-16 17:11:40', 'Rassemblés au sein d’une même plateforme d’échange et de négociation de droits, les films de nombreux\r\nproducteurs européens indépendants peuvent enfin trouver un débouché rapide sur le marché de\r\nla diffusion en Vidéo à la demande (VoD). Ce service pour les professionnels permet en plus de préparer\r\net d’échanger des extraits, des éléments promotionnels et des parcours directement publiables sur\r\nun site de VoD.\r\nPrésenté par le premier groupement de producteurs français indépendants de cinéma (UniversCine.com),\r\nGlitner est un projet pilote du programme MEDIA de la Commission européenne. Il vise la mise en place\r\nd’une plateforme de partage d’informations sur les droits disponibles, les documents associés\r\net les annotations des utilisateurs de la plateforme en utilisant le logiciel Lignes de temps. Le projet s’est\r\nterminé fin 2008 mais se poursuit dans le cadre d’un GEIE dont l’IRI est membre.\r\n\r\nLe projet associe les partenaires suivants :\r\n
\r\n - le Meilleur du cinéma, LMC (France),
\r\n - Autori e produttori indipendenti, API (Italie),
\r\n - Budapestfilm (Hongrie),
\r\n - Cinando, Marché du film, Festival de Cannes (France),
\r\n - Institut de recherche et d’innovation / Centre Pompidou (France),
\r\n - ISAN (Suisse),
\r\n - Korpus (Slovénie),
\r\n - TechnikArt (Suède).
\r\n
', 'Glitner', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '125-revision-3', '', '', '2009-12-16 18:11:40', '2009-12-16 17:11:40', '', 125, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=169', 0, 'revision', '', 0),
+(170, 1, '2009-12-16 11:53:57', '2009-12-16 10:53:57', '
Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '65-revision-3', '', '', '2009-12-16 11:53:57', '2009-12-16 10:53:57', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=170', 0, 'revision', '', 0),
+(171, 1, '2009-12-18 12:05:06', '2009-12-18 11:05:06', '
Section 1.10.32 of "de Finibus Bonorum et Malorum", written by Cicero in 45 BC
\r\n"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos qui ratione voluptatem sequi nesciunt. Neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit qui in ea voluptate velit esse quam nihil molestiae consequatur, vel illum qui dolorem eum fugiat quo voluptas nulla pariatur?"\r\n
1914 translation by H. Rackham
\r\n"But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?"', 'Eulalie 2', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '65-revision-4', '', '', '2009-12-18 12:05:06', '2009-12-18 11:05:06', '', 65, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=171', 0, 'revision', '', 0),
+(172, 1, '2009-12-18 12:01:18', '2009-12-18 11:01:18', 'Les contenus audiovisuels et notamment les films sont rendus de plus en plus facilement accessibles au public (diffusion de masse sur DVD, développement des sites de VoD et de l’IPTV, utilisation des grands sites vidéo collaboratifs pour la diffusion ou la promotion des films). L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter l’enrichissement de contenus et le partage de points de vue par le plus grand nombre en combinant le savoir-faire en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises avec le jugement et les annotations d’un public amateur de plus en plus large.\r\nAu-delà de ces ambitions, l’enjeu du projet est avant tout industriel et vise dans un premier temps\r\nà développer des modules génériques dans le domaine de l’ingénierie des connaissances audiovisuelles et de l’ingénierie sociale (détection automatique d’éléments du film, moteur de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation) puis le déploiement de nouveaux produits/services spécifiques ou communs au trois marchés visés en priorité : archives et bibliothèques, sites communautaires/réseaux sociaux et sites de VoD (partage d’annotations/parcours consultables une fois le film loué, sous-titrage collaboratif).\r\nLe projet prévoit pour ces trois déploiements un certain nombre d’expérimentations en grandeur réelle avec les contenus des partenaires et une analyse qualitative des nouvelles pratiques explorées. Le projet a fait l’objet d’une soumission au FUI 8 (Ministère de l’Industrie).\r\n\r\n
Partenaires : NETIA (chef de file), GlobeCast/France Telecom, IRI, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, Ina, AF83, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, Allo Ciné', 'CINE CAST', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '151-revision-4', '', '', '2009-12-18 12:01:18', '2009-12-18 11:01:18', '', 151, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=172', 0, 'revision', '', 0),
+(173, 1, '2009-12-16 12:48:25', '2009-12-16 11:48:25', 'L’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de «Lectures signées collaboratives» combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et concerne à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.', 'Technologies collaboratives', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '77-revision-3', '', '', '2009-12-16 12:48:25', '2009-12-16 11:48:25', '', 77, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=173', 0, 'revision', '', 0),
+(174, 1, '2009-12-16 12:49:12', '2009-12-16 11:49:12', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe des outils d’annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l’annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d’images.', 'Ingénierie des connaissances', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '74-revision-4', '', '', '2009-12-16 12:49:12', '2009-12-16 11:49:12', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=174', 0, 'revision', '', 0),
+(175, 1, '2009-12-18 12:07:28', '2009-12-18 11:07:28', 'INGÉNIERIE DES CONNAISSANCES ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE DANS LES APPAREILS CRITIQUES\r\n\r\nContrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner\r\ntoute métadonnée, qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet\r\nde recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement\r\nla phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus\r\nd’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de\r\nmétadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques\r\nculturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter\r\n(au sens d’une organologie générale définie par B. Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche\r\nsur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.\r\n\r\nL’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d''annotation et des appareils critiques\r\nd’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec\r\ndes interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des\r\nmodules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l''annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d''images.', 'Ingénierie des connaissances', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '74-revision-5', '', '', '2009-12-18 12:07:28', '2009-12-18 11:07:28', '', 74, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=175', 0, 'revision', '', 0),
+(176, 1, '2009-12-16 18:17:05', '2009-12-16 17:17:05', 'Numériser, préserver, rendre accessible les archives audiovisuelles et notamment les éléments\r\nethnographiques ou les entretiens filmés constitue la première mission des chercheurs et des musées\r\nen Sciences humaines et sociales. AnthropoNet veut aller au-delà pour permettre de nouvelles formes\r\nde publications ouvertes aux apports et contributions du public.\r\nL’objectif général du projet est de fédérer des outils informatiques et des pratiques pour organiser,\r\nconserver et diffuser des corpus et des ressources numériques, issus de la recherche en Sciences\r\nhumaines et sociales, en vue de:\r\n\r\n• la valorisation des résultats de la recherche,\r\n• l''édition électronique et les échanges entre professionnels et amateurs,\r\n• la conception et la réalisation de productions numériques multimédias,\r\n• la médiation culturelle dans les expositions et les musées de société.\r\n\r\n
LE CONSORTIUM 2008 (soutien Adonis/Cnrs et MRT)\r\n• le Musée de l’Homme (Muséum national d''histoire naturelle), coordinateur,\r\n• le Musée des civilisations Europe Méditerranée (Ministère de la culture et de la communication: MCC),\r\n• le laboratoire d''éco-anthropologie et ethnobiologie (CNRS / Muséum / Univ. Paris VII),\r\n• le laboratoire d''ethnomusicologie (CNRS / Université Paris X / MCC),\r\n• le laboratoire de linguistique MoDyCo (CNRS / Université Paris X),\r\n• l’unité d''anthropologie – adaptabilité biologique et culturelle (CNRS / Université Médit.),\r\n• l’équipe du LEDEN (Université Paris VIII / CNRS / MSH Paris Nord / MCC),\r\n• l’Institut de recherche et d''innovation.LE PROJET 2009 (soutien de la MRT)\r\n\r\n
Équipes impliquées\r\n• Institut de recherche et d’innovation, coordinateur,\r\n• Centre de recherche en ethnomusicologie (CREM), LESC, UMR 7173,\r\n• Laboratoire d’acoustique Musicale (LAM), UMR 7190,\r\n• Phonothèque de la MMSH d’Aix-en Provence, USR3125,\r\n• Muséum national d’histoire naturelle (MNHN, département HNS),\r\n• Musée des civilisations de l’europe et de la Méditerranée (MUCEM),\r\n• Institut national des techniques documentaires (INTD),\r\n• Musée national des arts et métiers / Mission Nationale,\r\n• Musée du Quai Branly,\r\n• Fédération des écomusées et des musées de société.\r\n\r\nInitié et soutenu par le programme ADONIS-CNRS et la MRT (Mission de la Recherche et de la Technologie\r\ndu Ministère de la culture et de la communication), le projet ANTHROPONET a conduit en 2008\r\nune première phase de veille technologique, échanges de bonnes pratiques et établissement d’un cahier\r\ndes charges pour le développement d’outils d’indexation, d’enrichissement collaboratif et de valorisation\r\néditoriale des diverses données de la recherche. Au cours de l’étude de faisabilité, une communauté\r\nd’intérêt s’est consolidée, constatant la nécessité de répondre en priorité à quatre besoins spécifiques\r\nde la recherche en Sciences humaines et sociales:\r\n\r\n- permettre au chercheur d’indexer rapidement ces matériaux enregistrés en respectant les normes\r\nd’archivage garantissant ensuite l’interopérabilité\r\n- disposer d’un outil performant pour la production et l’indexation d’archives sonores et vidéo,\r\n- pouvoir enrichir et annoter ces contenus temporels dans la perspective d’une valorisation éditoriale,\r\n- accéder à des outils de travail collaboratif entre chercheurs mais aussi associant les médiateurs\r\nmuséaux et le public amateur à la démarche d’enrichissement et d’échange.\r\nEn phase II le projet permettra:\r\n- de poursuivre l’analyse prospective et la veille technologique entreprise et de l’étendre à de nouveaux\r\nacteurs du monde culturel et notamment les musées (séminaires et ateliers)\r\n- de réduire le champ d’étude de la phase I aux documents audiovisuels (sonores et vidéo) de recherche\r\nen SHS, et de considérer principalement l’activité du chercheur.\r\n- de réaliser dans les outils Telemeta et Lignes de temps quelques maquettes «proof of concepts»\r\navec les chercheurs intéressés.', 'ANTHROPONET', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '131-revision-9', '', '', '2009-12-16 18:17:05', '2009-12-16 17:17:05', '', 131, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=176', 0, 'revision', '', 0),
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+(178, 1, '2009-12-18 12:20:25', '2009-12-18 11:20:25', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\n\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '177-revision', '', '', '2009-12-18 12:20:25', '2009-12-18 11:20:25', '', 177, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=178', 0, 'revision', '', 0),
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+(180, 1, '2009-12-18 12:21:39', '2009-12-18 11:21:39', 'InstItut de reCherChe et d’InnovatIon : vers une renaIssanCe de l’amateur ?\n\nAncien directeur de l’Ircam, Bernard Stiegler est depuis le 1 er janvier 2006 directeur du département\ndu développement culturel. Il y a créé un nouveau service, l’Institut de recherche et d’innovation, et\nnous présente ici ses concepts, ses projets et ses objectifs. Entretien avec un philosophe pragmatique.', 'Un article présentant l''Institut, juillet 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '177-autosave', '', '', '2009-12-18 12:21:39', '2009-12-18 11:21:39', '', 177, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=180', 0, 'revision', '', 0),
+(181, 1, '2009-12-18 11:10:11', '2009-12-18 10:10:11', 'CRÉATION DE L’ASSOCIATION\r\nINSTITUT DE RECHERCHE ET D’INNOVATION', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-2', '', '', '2009-12-18 11:10:11', '2009-12-18 10:10:11', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=181', 0, 'revision', '', 0),
+(182, 1, '2009-12-18 12:23:27', '2009-12-18 11:23:27', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-3', '', '', '2009-12-18 12:23:27', '2009-12-18 11:23:27', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=182', 0, 'revision', '', 0),
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+(381, 1, '2009-12-22 18:52:14', '2009-12-22 17:52:14', '
Abstract
\r\nLe Ministère de la culture et de la communication (Mission de la Recherche et de la Technologie/Délégation au Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de recherche du Château de Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire national sur le thème « Lieux culturels et nouvelles pratiques numériques ». De mars à juin 2007, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou (IRI) a organisé pour le compte de la MRT, un premier séminaire couvrant sur huit séances l’ensemble des problématiques numériques. Le séminaire était ouvert aux étudiants de l’Ecole du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du Ministère de la culture et de la communication, aux établissements culturels et aux professionnels qui en ont fait la demande. Durant l’année scolaire 2008-2009, la thématique prioritaire a été orientée vers
les espaces critiques collaboratifs avec une attention particulière à la combinaison d’approches « top-down » et de l’innovation ascendante de type « bottom-up ». En 2009-2010, nous proposons d’aborder des questions de fond relatives aux
technologies de l’attention.\r\n\r\nLa méthodologie consiste à confronter sur des séances de deux heures expériences muséales et réflexions théorique et scientifique en analysant à chaque séance l’impact des nouveaux dispositifs d’adresse au public sur les pratiques muséales.\r\n
Thématique proposée : Techniques de l’attention
\r\nLa consommation massive des objets culturels est de plus en plus surdéterminée par l’évolution « pulsionnelle » du consumérisme en général, ce qui se traduit par des postures de zapping généralisé. Le contexte muséal n’échappe pas à cette règle et les attitudes attentionnelles sont de plus en plus configurées par les médias de masse. Rappelons que selon une étude présentée lors d’un colloque en 2005, un visiteur du Louvre consacre en moyenne quarante deux secondes par œuvre.\r\nDans ce contexte qui devrait alarmer l’ensemble des institutions culturelles en général et muséales en particulier, nous proposons d’orienter le séminaire Muséologie 2009-2010 en croisant la question théorique des conditions cognitives, sociales et économiques de réception avec des exemples de développement de technologies de l’attention notamment les appareils critiques collaboratifs et le développement des réseaux sociaux et très hauts débits.\r\n
Inscription obligatoire auprès de Fanny Belvisi, Chargée de mission de l’Institut de recherche et d’innovation/Centre Pompidou :\r\n
fanny.belvisi@centrepompidou.fr\r\nTel : 01 44 78 49 11\r\n
Séance 1 :
\r\nMardi 8 décembre 2009, 16h-18h30, Petite Salle/Centre Pompidou\r\n
\r\n - Thème : Formes d’attention et de cognition, la question du « care »
\r\n
\r\nOn propose de partir d’études cognitives récentes, telles que celles de Katerine Hayles sur la disparition de processus d’attention soutenue (deep attention) au profit de formes d’attention dispersée (hyper-attention). Comment dans ce contexte, le musée peut il « prendre soin » de ses visiteurs ? Nous nous intéresserons par ailleurs à la modélisation de ces processus d’attention, à lumière de la cognition de l’attention, du marketing et de la micro-économie de l’attention.\r\n
\r\n - Katerine Hayles, Professeur de littérature à la Duke University, Critique littéraire
\r\n - Alain Giffard, Directeur du Groupement d’intérêt scientifique Culture et Médias numériques
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation
\r\n
\r\n
Séance 2 :
\r\nMardi 19 janvier 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Thème : Techniques d’attention et pathologies modernes
\r\n
\r\nL’énergie libidinale et la question du désir sont au cœur des processus d’attention. On l’abordera en particulier à la lumière des pathologies de l’attention contemporaines, en particulier à la lumière de la thérapie de l’addiction.\r\n
\r\n - Philippe Bordes, Directeur de la recherche à l’INHA (modérateur)
\r\n - Marc Valleur, Psychiatre, Chef du service de soin aux toxicomanes de l’hôpital Marmottan (sous réserve)
\r\n - Jean-Pierre Couteron, Président de l’Anitea (Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie)
\r\n - Coup de projecteur : Mapping the museum, une expérimentation suisse de suivi des visiteurs dans une exposition: http://www.mapping-museum-experience.com/en
\r\n
\r\n
Séance 3 :
\r\nFévrier 2010, INHA\r\n
\r\n - Thème : Histoire de l’Attention
\r\n
\r\nSéance spéciale à l’INHA avec la participation de l’IRI.\r\n
\r\n - Jonathan Crary, Professor of Modern Art and Theory, Columbia University (sous réserve)
\r\n - Conversation avec Philippe Bordes (INHA)
\r\n
\r\n
Séance 4 :
\r\nMardi 16 février 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - La question du jeu
\r\n
\r\nKaterine Hayles soutient que le paradigme du jeu permet d’articuler deep attention et hyper attention. C’est aussi ce que soutiennent les concepteurs de « serious game ». La question sera examinée en perspective.\r\n
\r\n - Stéphane Natkin, Professeur titulaire de la chaire Systèmes Multimédia au CNAM (ENSJVMI) (modérateur)
\r\n - Nicolas Auray, Maître de conférences en sociologie, École Nationale Supérieure des Télécommunications
\r\n - Kristel Kerstens, Waag Society (sous réserve)
\r\n - Emmanuel Guardiola, Mimesis Republic (sous réserve)
\r\n - Coup de projecteur : le projet PLUG au Musée du CNAM avec Annie Gentes, Maître de conférence en sciences de l''information et de la communication, École Nationale Supérieure des Télécommunications, et Coline Aunis, Responsable internet du musée des arts et techniques.
\r\n
\r\n
Séance 5 :
\r\nMardi 23 mars 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Réseaux sociaux, hauts débits, nouveaux médias, nouvelles pratiques sociales et pédagogiques
\r\n
\r\nCes nouvelles technologies favorisent-elles la dispersion de l’attention ? Quels outils développer pour de nouvelles pratiques pédagogiques ?\r\n
\r\n - François Quéré, Responsable de la politique des publics, Agence France Museum (modérateur)
\r\n - Alain Garnier, PDG du réseau social JameSpot
\r\n - Thomas de Baillecourt, Orange Labs (Enquête sur Youtube/Dailymotion)
\r\n - Coup de projecteur : présentation du site collaboratif développé par l’IRI pour les professeurs avec la Mission cinéma de la ville de Paris.
\r\n
\r\n
Séance 6 :
\r\nMardi 18 mai 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Interfaces, objets et technologies de mémoire
\r\n
\r\nDans un monde de connectivité permanente y compris en mobilité comment parvenir à gérer la temporalité de l’exposition, celle du visiteur, celle des médias diffusés ?\r\n
\r\n - Roland Topalian, Cité des sciences et de l’Industrie (modérateur)
\r\n - Georges Amar, Responsable unité prospective et développement de l’innovation à la RATP (sous réserve)
\r\n - Jean-Louis Frechin, Designer-Architecte, No Design, Directeur de l’Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers
\r\n - Alain Mille, Professeur des universités, Université Claude Bernard Lyon 1 (LIRIS)
\r\n
\r\n
Séance 7 :
\r\nMardi 8 juin, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Sensori-Motricité et perception active
\r\n
\r\n
\r\n - Yves-Armel Martin, Directeur du centre d’innovation Erasme (modérateur)
\r\n - Charles Lenay, Directeur de l''unité COSTECH, Université technologique de Compiègne
\r\n - François Pachet, Directeur d’une équipe de recherche en informatique musicale au laboratoire Sony CSL
\r\n - Coup de projecteur : présentation du projet Nadal (Interface gestuelle de Microsoft)
\r\n
\r\n
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Abstract
\r\nLe Ministère de la culture et de la communication (Mission de la Recherche et de la Technologie/Délégation au Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de recherche du Château de Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire national sur le thème « Lieux culturels et nouvelles pratiques numériques ». De mars à juin 2007, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou (IRI) a organisé pour le compte de la MRT, un premier séminaire couvrant sur huit séances l’ensemble des problématiques numériques. Le séminaire était ouvert aux étudiants de l’Ecole du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du Ministère de la culture et de la communication, aux établissements culturels et aux professionnels qui en ont fait la demande. Durant l’année scolaire 2008-2009, la thématique prioritaire a été orientée vers
les espaces critiques collaboratifs avec une attention particulière à la combinaison d’approches « top-down » et de l’innovation ascendante de type « bottom-up ». En 2009-2010, nous proposons d’aborder des questions de fond relatives aux
technologies de l’attention.\r\n\r\nLa méthodologie consiste à confronter sur des séances de deux heures expériences muséales et réflexions théorique et scientifique en analysant à chaque séance l’impact des nouveaux dispositifs d’adresse au public sur les pratiques muséales.\r\n
Thématique proposée : Techniques de l’attention
\r\nLa consommation massive des objets culturels est de plus en plus surdéterminée par l’évolution « pulsionnelle » du consumérisme en général, ce qui se traduit par des postures de zapping généralisé. Le contexte muséal n’échappe pas à cette règle et les attitudes attentionnelles sont de plus en plus configurées par les médias de masse. Rappelons que selon une étude présentée lors d’un colloque en 2005, un visiteur du Louvre consacre en moyenne quarante deux secondes par œuvre.\r\nDans ce contexte qui devrait alarmer l’ensemble des institutions culturelles en général et muséales en particulier, nous proposons d’orienter le séminaire Muséologie 2009-2010 en croisant la question théorique des conditions cognitives, sociales et économiques de réception avec des exemples de développement de technologies de l’attention notamment les appareils critiques collaboratifs et le développement des réseaux sociaux et très hauts débits.\r\n
Inscription obligatoire auprès de Fanny Belvisi, Chargée de mission de l’Institut de recherche et d’innovation/Centre Pompidou :\r\n
fanny.belvisi@centrepompidou.fr\r\nTel : 01 44 78 49 11\r\n
Séance 1 :
\r\nMardi 8 décembre 2009, 16h-18h30, Petite Salle/Centre Pompidou\r\n
\r\n - Thème : Formes d’attention et de cognition, la question du « care »
\r\n
\r\nOn propose de partir d’études cognitives récentes, telles que celles de Katerine Hayles sur la disparition de processus d’attention soutenue (deep attention) au profit de formes d’attention dispersée (hyper-attention). Comment dans ce contexte, le musée peut il « prendre soin » de ses visiteurs ? Nous nous intéresserons par ailleurs à la modélisation de ces processus d’attention, à lumière de la cognition de l’attention, du marketing et de la micro-économie de l’attention.\r\n
\r\n - Katerine Hayles, Professeur de littérature à la Duke University, Critique littéraire
\r\n - Alain Giffard, Directeur du Groupement d’intérêt scientifique Culture et Médias numériques
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation
\r\n
\r\n
Séance 2 :
\r\nMardi 19 janvier 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Thème : Techniques d’attention et pathologies modernes
\r\n
\r\nL’énergie libidinale et la question du désir sont au cœur des processus d’attention. On l’abordera en particulier à la lumière des pathologies de l’attention contemporaines, en particulier à la lumière de la thérapie de l’addiction.\r\n
\r\n - Philippe Bordes, Directeur de la recherche à l’INHA (modérateur)
\r\n - Marc Valleur, Psychiatre, Chef du service de soin aux toxicomanes de l’hôpital Marmottan (sous réserve)
\r\n - Jean-Pierre Couteron, Président de l’Anitea (Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie)
\r\n - Coup de projecteur : Mapping the museum, une expérimentation suisse de suivi des visiteurs dans une exposition: http://www.mapping-museum-experience.com/en
\r\n
\r\n
Séance 3 :
\r\nFévrier 2010, INHA\r\n
\r\n - Thème : Histoire de l’Attention
\r\n
\r\nSéance spéciale à l’INHA avec la participation de l’IRI.\r\n
\r\n - Jonathan Crary, Professor of Modern Art and Theory, Columbia University (sous réserve)
\r\n - Conversation avec Philippe Bordes (INHA)
\r\n
\r\n
Séance 4 :
\r\nMardi 16 février 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - La question du jeu
\r\n
\r\nKaterine Hayles soutient que le paradigme du jeu permet d’articuler deep attention et hyper attention. C’est aussi ce que soutiennent les concepteurs de « serious game ». La question sera examinée en perspective.\r\n
\r\n - Stéphane Natkin, Professeur titulaire de la chaire Systèmes Multimédia au CNAM (ENSJVMI) (modérateur)
\r\n - Nicolas Auray, Maître de conférences en sociologie, École Nationale Supérieure des Télécommunications
\r\n - Kristel Kerstens, Waag Society (sous réserve)
\r\n - Emmanuel Guardiola, Mimesis Republic (sous réserve)
\r\n - Coup de projecteur : le projet PLUG au Musée du CNAM avec Annie Gentes, Maître de conférence en sciences de l''information et de la communication, École Nationale Supérieure des Télécommunications, et Coline Aunis, Responsable internet du musée des arts et techniques.
\r\n
\r\n
Séance 5 :
\r\nMardi 23 mars 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Réseaux sociaux, hauts débits, nouveaux médias, nouvelles pratiques sociales et pédagogiques
\r\n
\r\nCes nouvelles technologies favorisent-elles la dispersion de l’attention ? Quels outils développer pour de nouvelles pratiques pédagogiques ?\r\n
\r\n - François Quéré, Responsable de la politique des publics, Agence France Museum (modérateur)
\r\n - Alain Garnier, PDG du réseau social JameSpot
\r\n - Thomas de Baillecourt, Orange Labs (Enquête sur Youtube/Dailymotion)
\r\n - Coup de projecteur : présentation du site collaboratif développé par l’IRI pour les professeurs avec la Mission cinéma de la ville de Paris.
\r\n
\r\n
Séance 6 :
\r\nMardi 18 mai 2010, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Interfaces, objets et technologies de mémoire
\r\n
\r\nDans un monde de connectivité permanente y compris en mobilité comment parvenir à gérer la temporalité de l’exposition, celle du visiteur, celle des médias diffusés ?\r\n
\r\n - Roland Topalian, Cité des sciences et de l’Industrie (modérateur)
\r\n - Georges Amar, Responsable unité prospective et développement de l’innovation à la RATP (sous réserve)
\r\n - Jean-Louis Frechin, Designer-Architecte, No Design, Directeur de l’Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers
\r\n - Alain Mille, Professeur des universités, Université Claude Bernard Lyon 1 (LIRIS)
\r\n
\r\n
Séance 7 :
\r\nMardi 8 juin, 16h30-19h, Espace Piazza\r\n
\r\n - Sensori-Motricité et perception active
\r\n
\r\n
\r\n - Yves-Armel Martin, Directeur du centre d’innovation Erasme (modérateur)
\r\n - Charles Lenay, Directeur de l''unité COSTECH, Université technologique de Compiègne
\r\n - François Pachet, Directeur d’une équipe de recherche en informatique musicale au laboratoire Sony CSL
\r\n - Coup de projecteur : présentation du projet Nadal (Interface gestuelle de Microsoft)
\r\n
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\r\nAccès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)\r\n
\r\n
\r\nTéléphone :
01 44 78 42 02.\r\n
\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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\r\nAdresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris\r\n
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\r\nPar défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.\r\n
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\r\n
Pratique et jugement\r\n\r\n\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au cœur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter d''analyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer l''idée d''un théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison d''être principale se cherche dans l''effet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation n était pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes d''un théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera d''utiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n
Coordination du séminaire : Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com\r\n
\r\n\r\n
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\r\n
10h-12h
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10h-12h, avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001)
\r\n
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10h-12h, avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
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10h-12h, avec la participation de Pierre Frantz (L''esthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n
\r\n
10h-12h, A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
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10h-12h
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14h30-16h30, avec la participation de Georges Banu (Exercices d''accompagnement, l''Entretemps, 2002.
\r\n
\r\n
14h30-16h30, avec l''Atelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n
\r\n
14h30-16h30, avec la participation d''Hervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n
\r\n
14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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14h30-16h30, programme communiqué ultérieurement
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Pratique et jugement\r\n\r\n\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au cœur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter d''analyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer l''idée d''un théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison d''être principale se cherche dans l''effet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes d''un théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera d''utiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\n
Coordination du séminaire : Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
facdejouer@gmail.com\n
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10h-12h
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10h-12h, avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001)
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10h-12h, avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
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10h-12h, avec la participation de Pierre Frantz (L''esthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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14h30-16h30, avec la participation de Georges Banu (Exercices d''accompagnement, l''Entretemps, 2002.
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\r\n\r\nAbstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.
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\r\n\r\nAbstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\r\n\r\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\r\n\r\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\r\n\r\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\r\n\r\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\r\n\r\n
Programme des Conférences publiques :\r\n
\r\n\r\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\r\n\r\n
Horaires : 19 heures\r\n\r\n
Accès : dans la limite des places disponibles\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\r\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\r\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\r\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\r\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\r\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\r\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\r\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\r\n
\r\nDirection :
Denis Guénoun\r\n\r\nCoordination :
Johann Holland :
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\n\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\n\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\n\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\n\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\n\n
Programme des Conférences publiques :\n
\n\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\n\n
Horaires : 19 heures\n\n
Accès : dans la limite des places disponibles\n\n
Dates :\n
\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\n
\nDirection :
Denis Guénoun\n\nCoordination :
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\n\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\n\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\n\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\n\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\n\n
Programme des Conférences publiques :\n
\n\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\n\n
Horaires : 19 heures\n\n
Accès : dans la limite des places disponibles\n\n
Dates :\n
\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
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\n
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Politique et technologies de l''amateur\r\n\r\n\r\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\r\n\r\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\r\n\r\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\r\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\r\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\r\n\r\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\r\n\r\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\r\n\r\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\r\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\r\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\r\n\r\n
Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\r\n
\r\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\r\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\r\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\r\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\r\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27e région).
\r\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\r\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\r\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\r\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\r\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\r\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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Informations pratiques :\r\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\r\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\r\n\r\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \r\nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.\r\n
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Politique et technologies de l''amateur\r\n\r\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\r\n\r\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\r\n\r\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\r\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\r\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\r\n\r\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\r\n\r\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\r\n\r\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\r\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\r\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\r\n\r\n
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Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\n
\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27 e région).
\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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\nInformations pratiques :\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\n\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.', 'Politiques et technologies de l’amateur ', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '227-revision', '', '', '2009-12-21 12:16:40', '2009-12-21 11:16:40', '', 227, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=228', 0, 'revision', '', 0),
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Politique et technologies de l''amateur\n\n\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\n\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\n\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\n\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\n\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\n\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\n\n
Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\n
\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27e région).
\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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Informations pratiques :\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\n\nInscriptions ouvertes par mail à
contact@iri.centrepompidou.fr \nQuota de places réservé pour les partenaires du projet THD et pour les adhérents Cap Digital.\n
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Politique et technologies de l''amateur\n\n
Politique et technologies de l''amateur sous Lignes de Temps\n\nCe séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec le mobile (impensable l’un sans l’autre désormais).\n\nIl y a de fait une actualité de l’amateur à l’heure du dit web 2.0, ce web des usagers qui se nourrit des\nuser generated content. De nombreux débats sur le « culte de l’amateur » (Andrew Keen) alimentent\nles billets de blogs et leurs commentaires. D’étranges néologismes ont été conçus pour typifier « ceux qui font le web » : Prosumer (Alvin Toffler), ProAm (Charles Leadbeater et Paul Miller), ou encore Produser (Axel Bruns). Ces figures hybrides visent manifestement à subsumer la frontière d’un côté, les amateurs (les usagers d’Internet ?) et de l’autre les professionnels d’Internet (mais qui sont-ils au fait ?)\n\nL’un des enjeux de ce séminaire sera donc de questionner ce grand partage culturel hérité de la modernité entre différentes entités placées, dans le langage même, en relation d’asymétrie : un « amateur » se définit, jusqu’à présent, par rapport à un « professionnel ». A l’aune des pratiques transformatives des natifs digitaux, ces virtuoses de la remixabilité généralisée de la culture contemporaine (Photoshop Contest, parodies sur YouTube…) ou à la lumière des expérimentations de transplantation de la culture du hack et du Do-It-Yourself dans le domaine des techno-sciences (hackbio), il semble opportun de se demander si la figure de l’amateur ne renvoie pas à une « catégorie zombie » (Ulrich Beck) ?\n\nIl s’agira donc de mettre en délibération si la catégorisation « amateur » nous met dans l’incapacité de décrire les pratiques pour elles-mêmes et leurs significations sociales ou si cette figure permet au contraire d’articuler les termes et les enjeux d’une politique de la culture, du savoir et de l’information au temps du numérique ?\n\nDéfinir les termes et enjeux d’une politique contemporaine de l’amateur suppose de faire histoire et\nd’inventorier l’héritage de la modernité culturelle du point de vue de ses figures et de leurs\nenvironnements technologiques. Ce projet exige un effort d’imagination théorique pour décrire des pratiques et des usages sans les idéaliser afin de nourrir des actions publiques. Enfin, à l’heure du développement d’un capitalisme cognitif, les politiques de l’amateur touchent crucialement à la question d’un droit des publics ainsi qu’à l’économie du crowdsourcing, c’est-à-dire l’utilisation de la créativité, l''intelligence et le savoir-faire des internautes au moindre coût.\n\n
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Calendrier : les vendredis de 12h30 à 14h30 :\r\n
\r\n - 7 novembre 2008 : Présentation du séminaire avec Laurence Allard (Querelle des amateurs et tournant expressiviste) et Bernard Stiegler (IRI).
\r\n - 19 décembre 2008 : Remix culture et droits du public, pour un fair use à la française ? avec Sébastien Canevet (Université de Poitiers) et une présentation de pratiques culturelles transformatives (musique, jeux, vidéos) avec Gustavo Gomez-Mejia (Celsa-Paris 4).
\r\n - 9 janvier 2009 : Geek, otaku, hacker et script kiddies... une grammaire en herbe avec Nicolas Auray (ENST Paris) et Camille Paloque Bergès (Paris 8-Paragraphe).
\r\n - 30 janvier 2009 : Photographie, audiovisuel et amateurs, une longue histoire avec Roger Odin (Paris 3) et André Gunthert (EHESS).
\r\n - 6 février 2009 : User-Turn : une démocratie de l’usage ? avec Josiane Jouet (Paris 2-Carism) et Stéphane Vincent (la 27 e région).
\r\n - 6 mars 2009 : Le Crowdsourcing : le travail de l''amateur bénévole avec Marie-Anne Dujarier (Université Paris III, Ecole Polytechnique, LISE) et Olivier Auber (Labo Anoptique).
\r\n - 20 mars 2009, 13h30-15h30 : Pornotube avec Paul Mathias (CIPH) et Maxime Cervulle (Paris 1 Panthéon-Sorbonne-LETA-CRICC).
\r\n - 24 avril 2009 : Experts et amateurs dans les technosciences avec Madeleine Akrich (Mines-ParisTech) et une présentation d’expérimentations de hackbio.
\r\n - 15 mai 2009 : Culture mobile, images amateurs et économie des échanges : Joëlle Menrath (Institut de recherche "Discours et Pratiques") et Anne Jarrigeon (ENS-Lyon).
\r\n - 29 mai 2009 : Politiques culturelles 2.0 : Philippe Chantepie (DEPS-Ministère de la culture et de la communication) et Joëlle Le Marec (ENS-Lyon).
\r\n - 26 Juin 2009 : Séance de clôture.
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\r\nInformations pratiques :\r\n- Les séances des 7 novembre et 19 décembre auront lieu en Petite salle (Centre Pompidou, niveau 1 ,150 places).\r\n- Les séances suivantes se tiendront dans la salle du Collège de l’IRI (Espace Piazza, 120 places, sur la piazza Beaubourg, salle située à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge).\r\n\r\nInscriptions ouvertes par mail à
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\r\n\r\nDepuis 2007, l’IRI, le pôle de compétitivité Cap digital et l’ENSCI - Les Ateliers (École nationale supérieure de création industrielle) organisent une manifestation commune,
Les Entretiens du nouveau monde industriel, qui ont vocation à se dérouler chaque année.\r\n\r\nLa première édition qui s’est tenue les 27 et 28 novembre 2007 avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies du numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\r\n\r\nLa deuxième édition des Entretiens du nouveau monde industriel aborda ( les 3 et 4 octobre 2008 au Centre Pompidou) le thème « Réseaux sociaux, ingénierie et innovation sociales ».\r\nLa troisième édition se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants.\r\n\r\n
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\r\n - Agnès Saal, Directrice Générale du Centre Pompidou
\r\n - Alain Seban, Centre Pompidou
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Au XXème siècle, la vie quotidienne a été fondamentalement marquée par la place que le design a prise dans la production industrielle : l’art, devenu avec la modernité une exploration systématique de tous les possibles, donnant « des coups de boutoir dans tous les sens », a contribué en nouant une relation fonctionnelle avec l’industrie à ce qui allait aboutir à un processus de transformation planétaire aussi bien technologique que culturel.\r\nCe devenir, qui conférait à la vie esthétique une vocation économique, se concrétisa au moment où les publics relations, qui devinrent bientôt le marketing, inventèrent aux Etats-Unis la figure du consommateur.\r\nDésormais, tandis que le capitalisme est lui-même qualifié de culturel, c’est la conception au sens le plus large (comme recherche scientifique, comme nouveaux modèles économiques et politiques de socialisation, comme design et comme création artistique) qui vient au cœur du processus industriel – ce que l’on appelle aussi l’industrie de la connaissance, les sociétés de savoir ou le capitalisme cognitif. Les possibilités de la technologie paraissant illimitées, les destinataires des produits et des services semblent de moins en moins se satisfaire du rôle passif de clients ou d’usagers, et vouloir devenir de plus en plus des contributeurs et des praticiens – c’est-à-dire, aussi, redevenir des citoyens. C’est dans ce contexte qu’est remis en cause le circuit recherche/développement/ design/marketing/distribution.\r\n
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Le premier secteur économique où se concrétisent ces transformations est celui des nouveaux médias. Il résulte de la convergence des technologies culturelles et des technologies cognitives intégrées par la numérisation.
Social engineering et technologies de l’individuation se développent sur le Web qui devient ainsi un milieu participatif où échangent des amateurs – pour le meilleur et pour le pire : l’amateur peut devenir ce que l’on appelle au Japon un
otaku, le
user profiling au service de l’hyper-segmentation aggravant ainsi la
désindividuation ; le syndrome de saturation cognitive empoisonne les systèmes d’information et le déficit attentionnel semble se généraliser. Dans le même temps, les technologies d’autoproduction et de diffusion qui deviennent de plus en plus largement accessibles font apparaître une nouvelle forme d’attention appareillée, une attention active parce que participative (Katherine Hayles, professeur à Los Angeles, parle d’ « hyper attention »).\r\n
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Dans ce milieu technologique de plus en plus participatif, le consommateur devenu praticien ne peut plus être appréhendé comme un simple « utilisateur final » (
end user). La recherche technologique et le design doivent coopérer pour l’intégrer très en amont en mettant en œuvre de nouvelles méthodologies, comme celles qu’expérimente le design de process – la place et la responsabilité du designer dans le processus de conception ne cessant de s’étendre –. Dans ce contexte, les technologies cognitives font appel à de nouveaux modèles théoriques et méthodologiques, qui vont de ce que l’équipe COSTECH (UTC) a appelé la « phénoménologie expérimentale », jusqu’à ce qui se présente aujourd’hui comme une cognition de l’attention. C’est ainsi que se dessine une méthodologie de design ouverte à des pratiques actives et instrumentées par opposition à des usages proches de la simple consommation.\r\n
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L’extrême miniaturisation et les nouvelles liaisons sans fil transforment insensiblement mais radicalement le rapport entre les corps humains (et leurs cerveaux), devenus porteurs de fonctions technologiques toujours plus sophistiquées, et le milieu industriellement appareillé, où ils baignent presque en permanence. Cette mutation du milieu
technosocial est évidemment aussi ce qui induit une mutation des conditions de la socialisation des individus. Dans le même temps, après le « génie des matériaux » qui fut une méthode de direction de la recherche en physique appliquée, et après ces
immatériaux que furent les matériels et dispositifs informationnels médités et mis en scène par Lyotard au Centre Pompidou dès 1985, la
nanoplasticité bouleverse la distinction traditionnelle entre la forme et la matière. Nanoplasticité par où apparaissent des
hypermatériaux dits
nanostructurés, aux propriétés très éloignées de ce qui se trouve dans la nature, et élargit à des dimensions aussi bien cosmiques qu’éthiques les questions du design qui paraît devenir total.\r\n
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Depuis le début du processus d’hominisation, les organes de perception n’ont cessé de se trouver agencés avec des dispositifs techniques (techniques du corps, outils mnémotechniques) puis technologiques (machines, appareils, puces, prothèses sous-cutanées) par où les relations entre les sens ont formé des circuits engendrant des symboles, des pensées, des objets, des produits, des services, des organisations sociales…. Dans ce devenir, les nouvelles interfaces multimodales (ou multi-sensorielles), actuellement développées dans les laboratoires, préfigurent certaines situations qui seront amplifiées et généralisées par l’avènement des micro et nanotechnologies, et replacent le corps au centre du monde numérique. Après le développement des espaces et des temps numériquement virtuels (mais tout espace, qui n’est pas le « là où je suis », et tout temps qui n’est pas le « maintenant présent », sont virtuels) qui semblaient conduire à une véritable désincarnation des corps, ceux-ci reprennent une place prépondérante, tandis que la transformation des milieux vitaux vectorisés par les technologies transformationnelles ouvre la question d’une écologie numérique, micro-technologique, biotechnologique et nanotechnologique, où la virtualité devient une hyper-réalité.\r\n
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La mobilité et les objets communicants sont les technologies les plus largement socialisées de ce qui semble conduire à une véritable incarnation des artefacts industriels par les individus psychiques et tout se passe comme si le sens de ce que Leroi-Gourhan appelait un « processus d’extériorisation technique de l’humain » – comme délégation de ses fonctions vitales vers la technique – commençait à s’inverser. La convergence des technologies transformationnelles et des milieux pervasifs paraissent engager un processus d’intériorisation de la technique qui rompt avec les deux millions d’années au cours desquels se déroula l’hominisation comme extériorisation, et l’on peut en ce sens s’interroger en termes de « rupture anthropologique » - et se demander jusqu’à quel point ce renversement préserve non seulement l’intégrité individuelle, mais la sociabilité des organisations collectives. Des fonctions essentielles à la constitution de tout collectif humain, comme les dispositifs cardinaux et calendaires d’orientation dans le temps et dans l’espace, s’intègrent en services d’assistance à l’existence où l’on peut aussi bien projeter les technologies de contrôle les plus sophistiquées. Il se joue là une immense transformation organologique (des organes du corps, des organes artificiels et des organisations sociales où ils s’agencent) où la question essentielle est sa capacité à produire un lien social – plutôt que des individus sous contrôle.\r\n
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Ces mutations s’opèrent tandis que les industries culturelles et les industries de programmes qui auront été les bras séculiers de la société consumériste apparue au XXème siècle sont totalement bouleversées, et très gravement menacées, depuis l’industrie du disque jusqu’aux canaux de télévision en passant par la presse écrite qui fut la base de la république des lettres – comme le soulignait récemment Al Gore. La société des réseaux numériques engendre le passage des audiences de masse aux publics hypersegmentés – avec les problèmes déjà évoqués de nouvelles formes de désindividuation qui peuvent s’y produire. En outre, une indexation généralisée de tout objet matériel ou intellectuel semble devenir possible, de la puce RFID à la généralisation de la norme IPV6, nouveau standard du protocole internet, dont la puissance combinatoire permettrait en théorie d’encoder chaque atome de l’univers. On voit ainsi l’ingénierie des métadonnées entrer en relation directe avec les structures élémentaires de la matière qui semble ainsi déployer sous nos yeux sa définition quantique par l’énergie et l’information – où l’opposition forme/matière n’a plus cours. Mais ce sont aussi des possibilités technologiques de duplication de toutes choses qui se généralisent ainsi en remettant radicalement en cause le principe juridique qui supposait le droit de la propriété comme base de l’investissement. En tenant compte du bouleversement induit par les méthodologies de développement basées sur le logiciel libre et sur la diffusion de contenu sous licence
Creative Commons, la session finale de ces Entretiens du nouveau monde industriel abordera quelques exemples de nouveaux modèles économiques en insistant sur les questions juridiques, éthiques et sociétales qu’ils soulèvent. En d’autres termes, le cas de la communauté du logiciel libre sera examiné sous l’angle de son design, c’est-à-dire tel que cette communauté sait ou ne sait pas aujourd’hui traiter les questions de pratiques des non-développeurs.\r\n
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Design et innovation ascendante\r\n
\r\nLa première édition des Entretiens du nouveau monde industriel, qui s’est déroulée les 27 et 28 novembre 2007, avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme les technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\r\nLes mutations qui en résultent, et les contradictions qu’elles génèrent, imposent en effet de repenser les pratiques du design et de la recherche & développement, et leurs implications du point de vue social et économique. Le modèle industriel forgé au XIXème siècle, qui a conduit après la seconde guerre mondiale à la planétarisation de la société de consommation, semble de nos jours à la fois rencontrer ses limites et ouvrir de nouvelles possibilités – en renversant l’opposition producteur/consommateur (en particulier dans le domaine du numérique), et en conférant à la matière aussi bien qu’au vivant une plasticité jusqu’alors inconcevable.\r\nÀ travers un processus non linéaire où la séquence recherche / développement / design / marketing / distribution semble devenir caduque et requérir de nouvelles formes d’organisation de la société, comme le déploiement d’internet et les médias participatifs le rendent chaque jour plus manifeste, et où les possibilités de manipulation de la matière, du vivant et de l’information paraissent devenir illimitées, le design entendu en un sens élargi devient une activité de « sculpture » du social qui lui ouvre et lui assigne des perspectives et des responsabilités sans précédent – aussi exaltantes qu’écrasantes.\r\nUne nouvelle relation entre conception industrielle et pratiques quotidiennes de l’existence est en cours de définition. Veiller sur cette nouveauté et tenter d’en prendre collectivement soin seront les thématiques consacrées à ces entretiens qui ambitionnent de renouveler la relation entre savoir et industrie en particulier pour esquisser les contours de nouvelles industries culturelles numériques.
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On sait depuis la théorie psychanalytique que le désir est intrinsèquement et originellement inscrit dans un nœud de relations sociales. On sait aussi qu’au cours des dernières décennies les réseaux sociaux traditionnels ont été largement bousculés, « déterritorialisés » comme le disaient Gilles Deleuze et Félix Guattari, voire purement court-circuités, par les réseaux technologiques apparus dans le monde industriel. Or, avec la numérisation, il semble que les nouvelles formes de réseaux technologiques, dits eux-mêmes « sociaux », ouvrent à nouveaux frais la question de l’investissement du désir, de la relation sociale et de l’attention au sens large. En même temps, ils rendent possibles des formes pathologiques de tels investissements, par exemple de nature addictive, ou transforment radicalement les conditions de l’attention, par exemple comme ce que Katherine Hayles nomme l’hyper attention.\r\n
\r\n - Bernard Stiegler, Directeur, IRI / Centre Pompidou, Désir et relation sociale à l‘époque du social engineering
\r\n - Antoine Masson, Professeur, Centre Chapelle-aux-Champs à Bruxelles, Universités de Louvain et Namur, Médiation technologique et modalités de désir et de transfert à l‘adolescence.
\r\n - Elizabeth Rossé, Psychologue, Hôpital Marmottan, Désir et addiction dans la médiation technologique
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Ce que l’on appelle les réseaux sociaux dans le monde Internet repose sur la formalisation plus ou moins poussée et explicite des relations sociales par les technologies numériques. Les protocoles de participation conduisent en particulier les membres de ces réseaux à s’auto-décrire, à s’auto-indexer, et à produire des schèmes de relations sociales sous forme de métadonnées générées par eux-mêmes – consciemment ou inconsciemment. Le réseau est dit social d’abord pour cette raison. Et c’est ce qui conduit à une sorte d’automatisation des relations, fondée sur une opération d’explicitation de ces relations, et qui a pour conséquence de les transformer en profondeur – au point que l’on peut se demander dans quelle mesure une nouvelle forme de « conscience de réseau », c’est-à-dire d’appartenance, est susceptible d’y apparaître comme nouvelle forme de conscience critique, et comment tout au contraire une dissolution de la relation proprement sociale peut tout aussi bien en résulter. On examinera ainsi la double dimension potentiellement dynamique aussi bien que potentiellement réifiante des réseaux sociaux sur le plan socio-anthropologique.\r\n
\r\n - Dominique Pasquier, Sociologue, Directrice de recherche au CNRS, La nouvelle génération à la recherche du lien social.
\r\n - Dana Diminescu , Enseignant-chercheur à Telecom ParisTech, directrice scientifique du programme TIC Migrations FMSH Paris, L’appropriation des réseaux sociaux par les populations migrantes.
\r\n - Questions-réponses
\r\n - Richard Harper, Principal researcher, Microsoft Research, Cambridge, A sense of body : how digital preseence is shifting the relationship between bodyliness and human identity ?
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Les réseaux sociaux numériques se développent dans un contexte où le modèle classique de l’économie industrielle reposant sur une organisation « top down » est diversement mis en question tandis que se développe un marketing participatif aussi tâtonnant que vibrionnant – le tout sur un fond de crise financière mondiale d’une ampleur telle que certains économistes, comme André Orléan, explorent désormais l’hypothèse d’un commerce (c’est-à-dire d’une organisation des échanges) qui ne serait plus fondé sur les relations uniquement déterminées par les marchés. C’est aussi dans ce contexte que l’on examine désormais la nécessité de définir de nouveaux types d’indicateurs économiques qualitatifs et relationnels. Enfin, s’il est vrai que le « branding » aura dominé les dernières décennies en organisant ou en surdéterminant les relations sociales, on peut se demander si les réseaux sociaux n’ouvrent pas la possibilité de dépasser le modèle économique fondé sur la marque et si les technologies du social ne deviennent pas le savoir économique, managérial et politique stratégique.\r\n
\r\n - Michel Gensollen, Chercheur associé au département Sciences Economiques et Sociales de Telecom ParisTech, Economie des communautés médiatisées.
\r\n - Bernard Benhamou, Délégué aux Usages de l‘Internet, Ministère de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche
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Cette session organisée en collaboration avec l’INRIA et l’Institut TELECOM fera un état de l’art des technologies mises en œuvre et dessinera les perspectives de développements à court et moyen terme dans le domaine des industries de la relation sociale en quoi consistent les réseaux sociaux numériques. Elle traitera tout aussi bien des questions d’infrastructures de réseaux qui conditionnent l’émergence de ces technologies sociales, et en particulier du point de vue de l’avenir du protocole Internet en cours de discussion dans le cadre de l’IPV6. Enfin, elle restituera ces réseaux dans le contexte de l’actuelle activité économique et entrepreneuriale fondée sur ces technologies également appelées relationnelles.\r\n
\r\n - Olivier Auber, Directeur, Laboratoire Culturel A+H/ANOPTIQUE, Enjeux de l’IPV6.
\r\n - Francis Jutand, Directeur scientifique, Institut TELECOM, Les technologies de la collaboration.
\r\n - Serge Abiteboul, Directeur de recherche, INRIA Saclay – Ile-de-France, La gestion des données dans les réseaux sociaux.
\r\n - François Bourdoncle, Co-fondateur, Exalead, Le modèle de développement d’Exalead dans le contexte des réseaux sociaux.
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Découverte d‘usages numériques en relation avec les réseaux sociaux et les technologies collaboratives, suivi de la rencontre avec les porteurs de ces projets.
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La conception des technologies sociales et relationnelles est elle-même de plus en plus structurellement sociale et relationnelle. Le feed-back des pratiques sur la spécification en constitue désormais un élément dynamique majeur. Pour autant, la question reste intacte de concevoir des formats de données et des fonctionnalités primitives qui permettent un tel feed-back - et celui-ci peut être mis au service aussi bien d’une individuation psychique et collective assistée par ordinateur que d’une désindividuation et d’un contrôle occulte par les technologies de traçabilité innombrables qui se développent entre cookies, objets communicants, géolocalisation, etc. Ici, R&D, design et marketing distribués sont à repenser comme éléments clés du savoir émergent que forment les technologies stratégiques du
social engineering.\r\n
\r\n - Alain Mille, Professeur des Universités, Directeur de recherche (Equipe Silex, Laboratoire Liris UMR 5205 CNRS, Le concept de M-traces (ou traces modélisées).
\r\n - Jean-Louis Fréchin, Designer-Architecte NoDesign.net - Directeur de Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers, « Vous êtes ici » : Cartographie numérique et mobilité.
\r\n - Pierre-Antoine Chardel, Maître de conférences, Responsable du groupe de recherche « Ethique, Technologies, Organisations, Société », Institut TELECOM, Nomadisme, contrôle et perte d‘individuation.
\r\n - Marc Davis, Chief Scientist and Director of ESP, Yahoo! Connected Life, Yahoo! Inc.
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Le déploiement des réseaux sociaux s’opère sur le fond plus vaste d’une généralisation de la société réticulaire, où la démarche hiérarchique traditionnelle est profondément mise en cause, et où des formes d’organisation sociale aussi bien que de pouvoir politique, économique, militaire et policier très inédites apparaissent – telles que la biométrie vient s’interfacer avec les technologies sociales numériques. Dans ce contexte, de nombreux modèles socio-politiques sont projetés et généralisés à partir de situations spécifiques qui se sont concrétisées historiquement en particulier avec les pratiques des hackers et le logiciel libre. Dans quelle mesure ces données déjà anciennes permettent-elles de penser le devenir des technologies sociales et relationnelles qui se forment avec les réseaux sociaux numériques ? Quelles perspectives géopolitiques planétaires peuvent s’y dessiner ?\r\n
\r\n - Pekka Himanen, Philosophe, Ethique hacker et réseaux.
\r\n - Ken Wark, Chair of Culture and Media Studies at Eugene Lang College and Associate Professor at the New School for Social Research in New York City, Les technologies relationnelles comme technologies politiques.
\r\n - Alexander Galloway, Associate Professor of Media, Culture, and Communication (New York University), Géopolitique des réseaux sociaux.
\r\n - Scott Lash, Director, Centre for Cultural Studies, Goldsmiths, University of London, Networks and democracy in China.
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Culture, politique et ingénierie des réseaux sociaux\r\n
\r\nLa seconde édition des Entretiens du nouveau monde industriel poursuit et approfondit les réflexions engagées lors de l’édition 2007, autour de l’innovation ascendante et les enjeux du design à l’ère du capitalisme dit « culturel » et encore « cognitif ». Nous proposons cette année de poursuivre et d’étendre le débat à la question des réseaux sociaux et du social engineering dans l’environnement technologique et économique du Web 3.0 qui s’impose progressivement à tous les acteurs.\r\nLa première journée des Entretiens sera consacrée à une analyse des conditions sociologiques et psychologiques qui président à la constitution de ces réseaux sociaux, ainsi qu’à un état de l’art international des technologies et des stratégies industrielles déjà mises en œuvre ou à venir. La seconde journée portera sur leurs conséquences économiques et organisationnelles, et sur l’identification des opportunités d’innovatio, sociale comme des enjeux politiques et des menaces afférents à cette émergence du social engineering.\r\nUn Carrefour des possibles de la FING (Fondation internet nouvelle génération) consacré à l’approfondissement des aspects technologiques, économiques et industriels de ces thématiques clôturera la première journée d’interventions.\r\nAu cours des trois dernières décennies, avec l’apparition de ce que l’on a appelé la « télématique » (rapport Nora/Minc L’Informatisation de la société, 1978), puis avec l’installation mondiale du Web (1992), qui a rendu possible le développement de ce que nous appelons désormais les « réseaux sociaux » et du Web 2.0, la dissémination des technologies numériques dans toutes les couches sociales de tous les pays industrialisés transforme inexorablement les relations entre les individus, les groupes, les générations et les nations. Ces technologies relationnelles, afférentes à ce que Jeremy Rifkin regroupe plus généralement sous le terme de « technologies R », bouleversent non seulement les règles traditionnelles de l’économie et de l’industrie, mais également et plus profondément le processus d’individuation psychique et collective par lequel, selon le philosophe Gilbert Simondon, les appareils psychiques des individus ne se forment et se développent qu’en participant à la vie et à l’évolution des appareils sociaux.\r\nCette croissance spectaculaire des réseaux sociaux affecte ainsi tous les milieux et vient transformer les règles du jeu socio-économique dans son ensemble, notamment à travers les jeunes générations qui sont les premières concernées. En cela, nous pouvons et nous devons poser que les grands enjeux de conception industrielle de demain - que l’on définisse ceux-ci en termes de choix économiques, de politiques, d’investissements et de régulations, de recherche et de développement (R&D), de design, de management, de marketing ou de distribution - seront dans une très large mesure conditionnés par des choix et des processus qui se produiront du côté du social engineering.\r\nLe social engineering est en effet ce qui permet la production de ces réseaux sociaux. Or, ceux-ci peuvent en première analyse se présenter plutôt comme des réseaux non sociaux, voire même anti-sociaux. Ils sont en effet généralement coupés de ce qui caractérisait jusqu’alors le social comme lié à un territoire, à une langue, à un héritage (religieux, politique ou culturel au sens le plus large), légué par des générations d’ascendants, et qui précède en principe le social comme son passé, et en cela, comme son sol commun. Pour ces Entretiens du nouveau monde industriel 2008, nous ferons en conséquence l’hypothèse que l’un des grands enjeux du monde industriel de demain est de créer les conditions – technologiques aussi bien qu’économiques et sociales – pour actualiser le potentiel de formation de nouveaux réseaux de relations sociales porté par les social networks. Ceci nous conduira à penser non seulement les règles de constitution et de développement des réseaux sociaux du Web 3.0 (alliance du Web sémantique et du Web social), mais également les conditions économiques et éthiques d’administration de ces nouveaux milieux souhaitables, c’est-à-dire les questions de la gestion, du contrôle, de la transparence et de l’e-démocratie.\r\nLe design au sens le plus large, c’est-à-dire également comme R&D et comme initiative sociale issue de l’innovation ascendante, deviendra en conséquence de plus en plus dépendant d’une vision et d’une stratégie qui devront combiner approche experte top-down et indexation sociale bottom-up. Les Entretiens du nouveau monde industriel 2008 illustreront comment ce mouvement s’incarne dans la recherche comme dans l’industrie grâce à un renouvellement profond du développement dans les termes de ce que l’on pourrait appeler un design distribué, c’est-à-dire assumé par l’ensemble des acteurs de l’innovation qui sont aussi et d’abord, dans de véritables réseaux sociaux, les membres de ces réseaux eux-mêmes.
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Les dernières décennies ont été dominées par le développement de ce que l’on a appelé le « virtuel », que l’on a opposé au « réel », et que l’on a assimilé à l’« immatériel ». Cependant, il n’y a aucune forme sans matière, et l’information est un état de matière. Avec l’internet des objets, c’est la matière qui revient au cœur des systèmes d’information. Il n’existe pas d’information sans supports matériels et réciproquement, ce qui signifie que le virtuel n’est pas l’opposé du réel : il en est la possibilité d’apparition et la profondeur de champ. Un indien Nambikwara projette dans la forêt amazonienne une virtualité foisonnante par laquelle ce milieu hostile est pour lui non seulement habitable, mais familier, constituant en cela sa réalité quotidienne. Un espace urbanisé est un réseau de rues, c’est à dire d’objets urbains nommés et en cela « étiquetés » et « virtualisés ». L’internet des objets communicants consiste en un étiquettage électronique et généralisé des objets industriels qui intensifie la virtualisation du réel, ce qui signifie qu’il constitue un nouvel espace relationnel – le virtuel est ce qu’actualisent des relations – où les objets faisant ainsi système transforment les relations entre les sujets, au risque parfois de les court-circuiter.\r\n
\r\n - Introduction, Alain Seban, Président du Centre Pompidou
\r\n - Objets réticulés et hyperobjectivité, B. Stiegler (IRI)
\r\n - Nouveau monde industriel et nouveaux espaces du design, A. Cadix (ENSCI)
\r\n - De l‘Internet mobile à l‘Internet des Objets : les enjeux économiques, technologiques et politiques, B. Benhamou, délégué aux usages de l’Internet
\r\n - Le devenir-média des objets quotidiens, H. Verdier (Cap Digital)
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Le nouveau monde industriel produit un nouvel objet industriel – qui poursuit sur un autre mode ce que Simondon avait appelé le « processus de concrétisation » : ce néo-objet, comme l’appelle Jean-Louis Fréchin, enregistre des événements, en produit d’autres, s’agence à d’autres objets agis par des sujets, et produit ainsi lui-même des « actions » par le biais d’ « actionneurs ». Cet objet communicant « internetisé » est actif et visible du fait même de sa matérialité, tandis qu’il est porteur de qualités nouvelles, informationnelles, « virtuelles », et qui peuvent demeurer cachées, échappant au propriétaire de l’objet, et s’activant à son insu.\r\nLe nouvel objet industriel, qui « s’anime », qui « raconte des histoires », tel un objet d’enchantement, est aussi un redoutable facteur du désenchantement dont Max Weber et Marcel Gauchet auront donné le sens historique : le nouveau système des objets, accentuant les effets déjà très réels de la traçabilité, paraît pouvoir dissoudre toute intimité, tout secret, toute singularité. Autrement dit, l’internet des objets constitue aussi le carrefour des possibles et des alternatives qui feront le nouveau monde industriel.\r\n
\r\n - Designer les NéoObjets, JL Fréchin (No Design)
\r\n - Les usagers dans les nouveaux objets numériques, Nicola Nova
\r\n - La métamorphose des objets, F. Kaplan (EPFL)
\r\n - Stratégie, vision de l’Internet des objets, JL Beylat (Alcatel Lucent)
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Il n’y a pas d’internet des objets sans capteurs, il n’y a pas de capteurs sans compatibilité et standards de communication, etc. L’histoire de la traçabilité des objets, qui commence avec le code à barres dans les années 1980, entame ainsi une longue histoire qui se poursuivra avec la nanostructuration des matériaux. La mémoire des nouveaux objets, comme celle de nos ordinateurs, est déportée vers les data centers qui la stocke et la gère selon les modèles du cloud computing. La normalisation pose cependant la question de savoir si la rematérialisation peut réintroduire le modèle de l’industrie des biens d’équipement, ou si c’est au contraire le modèle internet qui est appelé à redéfinir toute l’activité industrielle.\r\nL’enjeu est plus que jamais celui du nouveau monde industriel, et qui fera bouger le modèle internet lui-même :\r\n- soit en le soumettant aux logiques d’un contrôle centralisé, occulte et toujours plus puissant,\r\n- soit au contraire en accentuant son caractère décentralisé et hautement contributif. Ici, se pose la question décisive de la définition des standards, de la régulation et de la transparence de la gestion des données.\r\n
\r\n - Traçabilité : histoire et perspectives, Xavier Barras (GS1)
\r\n - Le Cloud Computing et l‘internet des objets, Ch. Fauré (Cap Gemini)
\r\n - Données ouvertes, données portables, que partageons-nous sur le Web ?, Valérie Peugeot (Sofrecom)
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Lieu de découverte d‘usages nouveaux qui dynamisent les échanges d‘informations et les partenariats. Le Carrefour des possibles organisé au sein des Entretiens du Nouveau Monde Industriel privilégiera la thématique des objets communicants.\r\n- 19h : 10 projets innovants se présenteront (jeunes entreprises et laboratoires, associations et services publics, étudiants et créateurs, etc...). Un seul critère : la technologie mise au service de la créativité et des nouveaux usages. Une règle : l‘ouverture d‘esprit, la volonté de découvrir.\r\n- 20h30 : Autour d‘un verre, les participants peuvent ensuite retrouver les porteurs de projets qui disposent chacun d‘un espace de démonstration pour détailler et démontrer leur idée. Le Carrefour des Possibles est organisé par la FING et rendu possible par le soutien de la Région Ile-de-France.\r\n\r\n
APPEL A PROJETS FING\r\n
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Le système des néo-objets pourrait-il devenir un vaste Mécano open source ? On parle désormais de hacking d’objet (aussi bien que de biosynthèse, sinon de nano-objets), do it yourself devenant le mot d’ordre en tous domaines dans ce qui se présente comme une économie générale de la contribution – où la valeur d’usage semble faire retour, ou bien faire place à une valeur pratique non-soluble dans la valeur d’échange : la valeur de l’objet se construirait dans ce qui ne serait plus seulement ou sa customisation, mais bien sa réalisation – au sein de communautés de praticiens partageant ces réalisations d’objets aussi bien que les partitions d’objets, ou spimes virtuels, dont ils sont des interprétations.\r\nLe néo-objet, qui n’est plus le point de départ conduisant au développement de divers services autour de lui, est au contraire le point d’arrivée ménagé par un nouveau type d’industries d’équipements (c’est à dire d’instruments d’interprétation), dont l’imprimante 3D est le précurseur, permettant la concrétisation, dans un espace contributif, de réalisations qui remettent en cause la notion même de service : cet hyperobjet est aussi un objet relationnel où la fonction de production devient essentiellement une fonction de post-production, et où l’innovation ascendante devient une open innovation.\r\n
\r\n - Du fabless au fablab, le modèle d‘innovation de l‘internet appliqué aux objets industriels, Daniel Kaplan, FING
\r\n - Hackers and makers, Massimo Banzi (projet Arduino)
\r\n - When connecting things becomes possible: 7 corners of an evolved networked Episteme, Julian Bleecker (Techkwondo)
\r\n - Public objects: connected things and civic responsibilities in the networked city (Adam Greenfield, auteur de La révolution de l’ubimédia)\r\n
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Une organologie tactile est apparue avec les objets communicants dont l’Iphone est le principal représentant, et sur laquelle enchaîne une organologie haptique qui n’engage plus seulement le doigt, mais aussi les mains et avec elles tout le corps et en premier lieu le toucher, aussi bien qu’une organologie du corps propre, de la cellule familiale et plus généralement des espaces domestiques – par des sous-systèmes d’objets à travers lesquels lesquels s’agencent les secteurs industriels des biens d’équipement aussi bien que des services et des opérateurs de réseau : ici se forme un nouveau système des objets précisément au sens où Jean Baudrillard pouvait en parler en 1968. Chaussure et Ipod, mais aussi ameublement, livre et ordinateur, et bien sûr fablabs : un « objet émancipateur » devient-il ainsi domesticable ? Un nouveau milieu d’individuation psychique et collective localisé est-il en cours de formation ?\r\n
\r\n - Du transit à la reliance : le nouveau paradigme de la mobilité urbaine, Georges AMAR (RATP)
\r\n - Phénoménologie du corps propre et de l’espace intime réticulés, François David Sebbah
\r\n - Les marques à l’épreuve des néo-objets, Benoit Heilbrunn
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« Coder le savoir sur les individus », comme le dit Xavier Guchet dans un style à la fois foucaldien et deleuzien, tel est à nouveau l’enjeu (comme l’avait déjà décrit, dans une autre mesure, et en d’autres temps, Surveiller et punir). Et on peut le coder :\r\n- pour eux-mêmes, c’est à dire dans une réflexivité critique de leurs propres pratiques, et de leurs propres productions objets ou d’agencements entre objets, et à travers ces objets, entre sujets, aussi bien que dans une critique des « partitions » (spimes) qui en sont les capsules virtuelles,\r\n- ou bien à leur insu, en faisant d’eux les hyperconsommateurs contribuant passionnément et aveuglément à une forme extraordinairement sophistiquée de servitude volontaire.\r\nTelle serait peut-être finalement la grande alternative ouverte par cette « interobjectivité ». Car si la traçabilité devient permanente, hors temps de connexion délibérée, les objets étant eux-mêmes connectés en permanence, et les réseaux locaux qu’ils forment assurant au réseau mondial leur « reporting » objectal, sinon objectif, deux questions seront ici examinées pour instruire les termes d’une telle alternative (qui conduiront comme toujours à un compromis) :\r\n- l’examen d’une histoire de la formation du couple public/privé, appréhendé d’un point de vue anthropologique, c’est à dire en extériorité par rapport à la définition occidentale de cette relation, et l’examen de la possibilité hypothétique de sa disparition,\r\n- l’examen de ce qu’il en est de l’intimité aujourd’hui, et de ce qu’il pourrait en être dans ce réseau d’objets rapporteurs, au moment où l’on s’interroge de nos jours sur ce que Roland Gori appelle l’extime.\r\n
\r\n - Le consommateur mis au travail, Marie-Anne Dujarier
\r\n - L’extime, Alain Abelhauer
\r\n - Anthropologie de l’intimité, Jean-Paul Demoule
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Le nouveau système des objets\r\n
\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIè siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.
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\r\n\r\nL’édition 2010 des Entretiens visera à développer une réflexion sur la question du corps à l’heure de la miniaturisation extrême des technologies qui constituent par là une nouvelle organologie prothétique. Ces enjeux relatifs au développement des micro et nano-technologies croisent de nombreux travaux de recherche, scientifiques et artistiques et impliquent dès à présent d''anticiper le développement de nouveaux objets ou services industriels en étroite relation avec les designers. Dans ce contexte, la question de la sensori-motricité et de la cohérence de ces outils et prothèses avec notre propre perception/action notamment dans le champ culturel, seront à l’ordre du jour et ferons l’objet d’une part d’un séminaire IRI durant l’année et d’autre part d’un séminaire préparatoire avec l’ENSCI et Cap Digital.\r\n\r\n
\r\n - Séminaire préparatoire à l’ENSCI : avril 2010 (dates à confirmer)
\r\n - Entretiens : novembre 2010 au Centre Pompidou (dates à confirmer)
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Les nouveaux objets communicants :\n\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision', '', '', '2009-12-21 12:27:31', '2009-12-21 11:27:31', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=232', 0, 'revision', '', 0);
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\n\nDepuis 2007, l’IRI, le pôle de compétitivité Cap digital et l’ENSCI - Les Ateliers (École nationale supérieure de création industrielle) organisent une manifestation commune,
Les Entretiens du nouveau monde industriel, qui ont vocation à se dérouler chaque année.\n
\nLa première édition qui s’est tenue les 27 et 28 novembre 2007 avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies du numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\nLa deuxième édition des Entretiens du nouveau monde industriel aborda ( les 3 et 4 octobre 2008 au Centre Pompidou) le thème « Réseaux sociaux, ingénierie et innovation sociales ».\nLa troisième édition se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants.\n
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\n - Agnès Saal, Directrice Générale du Centre Pompidou
\n - Alain Seban, Centre Pompidou
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Au XXème siècle, la vie quotidienne a été fondamentalement marquée par la place que le design a prise dans la production industrielle : l’art, devenu avec la modernité une exploration systématique de tous les possibles, donnant « des coups de boutoir dans tous les sens », a contribué en nouant une relation fonctionnelle avec l’industrie à ce qui allait aboutir à un processus de transformation planétaire aussi bien technologique que culturel.\nCe devenir, qui conférait à la vie esthétique une vocation économique, se concrétisa au moment où les publics relations, qui devinrent bientôt le marketing, inventèrent aux Etats-Unis la figure du consommateur.\nDésormais, tandis que le capitalisme est lui-même qualifié de culturel, c’est la conception au sens le plus large (comme recherche scientifique, comme nouveaux modèles économiques et politiques de socialisation, comme design et comme création artistique) qui vient au cœur du processus industriel – ce que l’on appelle aussi l’industrie de la connaissance, les sociétés de savoir ou le capitalisme cognitif. Les possibilités de la technologie paraissant illimitées, les destinataires des produits et des services semblent de moins en moins se satisfaire du rôle passif de clients ou d’usagers, et vouloir devenir de plus en plus des contributeurs et des praticiens – c’est-à-dire, aussi, redevenir des citoyens. C’est dans ce contexte qu’est remis en cause le circuit recherche/développement/ design/marketing/distribution.\n
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Le premier secteur économique où se concrétisent ces transformations est celui des nouveaux médias. Il résulte de la convergence des technologies culturelles et des technologies cognitives intégrées par la numérisation.
Social engineering et technologies de l’individuation se développent sur le Web qui devient ainsi un milieu participatif où échangent des amateurs – pour le meilleur et pour le pire : l’amateur peut devenir ce que l’on appelle au Japon un
otaku, le
user profiling au service de l’hyper-segmentation aggravant ainsi la
désindividuation ; le syndrome de saturation cognitive empoisonne les systèmes d’information et le déficit attentionnel semble se généraliser. Dans le même temps, les technologies d’autoproduction et de diffusion qui deviennent de plus en plus largement accessibles font apparaître une nouvelle forme d’attention appareillée, une attention active parce que participative (Katherine Hayles, professeur à Los Angeles, parle d’ « hyper attention »).\n
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Dans ce milieu technologique de plus en plus participatif, le consommateur devenu praticien ne peut plus être appréhendé comme un simple « utilisateur final » (
end user). La recherche technologique et le design doivent coopérer pour l’intégrer très en amont en mettant en œuvre de nouvelles méthodologies, comme celles qu’expérimente le design de process – la place et la responsabilité du designer dans le processus de conception ne cessant de s’étendre –. Dans ce contexte, les technologies cognitives font appel à de nouveaux modèles théoriques et méthodologiques, qui vont de ce que l’équipe COSTECH (UTC) a appelé la « phénoménologie expérimentale », jusqu’à ce qui se présente aujourd’hui comme une cognition de l’attention. C’est ainsi que se dessine une méthodologie de design ouverte à des pratiques actives et instrumentées par opposition à des usages proches de la simple consommation.\n
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L’extrême miniaturisation et les nouvelles liaisons sans fil transforment insensiblement mais radicalement le rapport entre les corps humains (et leurs cerveaux), devenus porteurs de fonctions technologiques toujours plus sophistiquées, et le milieu industriellement appareillé, où ils baignent presque en permanence. Cette mutation du milieu
technosocial est évidemment aussi ce qui induit une mutation des conditions de la socialisation des individus. Dans le même temps, après le « génie des matériaux » qui fut une méthode de direction de la recherche en physique appliquée, et après ces
immatériaux que furent les matériels et dispositifs informationnels médités et mis en scène par Lyotard au Centre Pompidou dès 1985, la
nanoplasticité bouleverse la distinction traditionnelle entre la forme et la matière. Nanoplasticité par où apparaissent des
hypermatériaux dits
nanostructurés, aux propriétés très éloignées de ce qui se trouve dans la nature, et élargit à des dimensions aussi bien cosmiques qu’éthiques les questions du design qui paraît devenir total.\n
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Depuis le début du processus d’hominisation, les organes de perception n’ont cessé de se trouver agencés avec des dispositifs techniques (techniques du corps, outils mnémotechniques) puis technologiques (machines, appareils, puces, prothèses sous-cutanées) par où les relations entre les sens ont formé des circuits engendrant des symboles, des pensées, des objets, des produits, des services, des organisations sociales…. Dans ce devenir, les nouvelles interfaces multimodales (ou multi-sensorielles), actuellement développées dans les laboratoires, préfigurent certaines situations qui seront amplifiées et généralisées par l’avènement des micro et nanotechnologies, et replacent le corps au centre du monde numérique. Après le développement des espaces et des temps numériquement virtuels (mais tout espace, qui n’est pas le « là où je suis », et tout temps qui n’est pas le « maintenant présent », sont virtuels) qui semblaient conduire à une véritable désincarnation des corps, ceux-ci reprennent une place prépondérante, tandis que la transformation des milieux vitaux vectorisés par les technologies transformationnelles ouvre la question d’une écologie numérique, micro-technologique, biotechnologique et nanotechnologique, où la virtualité devient une hyper-réalité.\n
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La mobilité et les objets communicants sont les technologies les plus largement socialisées de ce qui semble conduire à une véritable incarnation des artefacts industriels par les individus psychiques et tout se passe comme si le sens de ce que Leroi-Gourhan appelait un « processus d’extériorisation technique de l’humain » – comme délégation de ses fonctions vitales vers la technique – commençait à s’inverser. La convergence des technologies transformationnelles et des milieux pervasifs paraissent engager un processus d’intériorisation de la technique qui rompt avec les deux millions d’années au cours desquels se déroula l’hominisation comme extériorisation, et l’on peut en ce sens s’interroger en termes de « rupture anthropologique » - et se demander jusqu’à quel point ce renversement préserve non seulement l’intégrité individuelle, mais la sociabilité des organisations collectives. Des fonctions essentielles à la constitution de tout collectif humain, comme les dispositifs cardinaux et calendaires d’orientation dans le temps et dans l’espace, s’intègrent en services d’assistance à l’existence où l’on peut aussi bien projeter les technologies de contrôle les plus sophistiquées. Il se joue là une immense transformation organologique (des organes du corps, des organes artificiels et des organisations sociales où ils s’agencent) où la question essentielle est sa capacité à produire un lien social – plutôt que des individus sous contrôle.\n
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Ces mutations s’opèrent tandis que les industries culturelles et les industries de programmes qui auront été les bras séculiers de la société consumériste apparue au XXème siècle sont totalement bouleversées, et très gravement menacées, depuis l’industrie du disque jusqu’aux canaux de télévision en passant par la presse écrite qui fut la base de la république des lettres – comme le soulignait récemment Al Gore. La société des réseaux numériques engendre le passage des audiences de masse aux publics hypersegmentés – avec les problèmes déjà évoqués de nouvelles formes de désindividuation qui peuvent s’y produire. En outre, une indexation généralisée de tout objet matériel ou intellectuel semble devenir possible, de la puce RFID à la généralisation de la norme IPV6, nouveau standard du protocole internet, dont la puissance combinatoire permettrait en théorie d’encoder chaque atome de l’univers. On voit ainsi l’ingénierie des métadonnées entrer en relation directe avec les structures élémentaires de la matière qui semble ainsi déployer sous nos yeux sa définition quantique par l’énergie et l’information – où l’opposition forme/matière n’a plus cours. Mais ce sont aussi des possibilités technologiques de duplication de toutes choses qui se généralisent ainsi en remettant radicalement en cause le principe juridique qui supposait le droit de la propriété comme base de l’investissement. En tenant compte du bouleversement induit par les méthodologies de développement basées sur le logiciel libre et sur la diffusion de contenu sous licence
Creative Commons, la session finale de ces Entretiens du nouveau monde industriel abordera quelques exemples de nouveaux modèles économiques en insistant sur les questions juridiques, éthiques et sociétales qu’ils soulèvent. En d’autres termes, le cas de la communauté du logiciel libre sera examiné sous l’angle de son design, c’est-à-dire tel que cette communauté sait ou ne sait pas aujourd’hui traiter les questions de pratiques des non-développeurs.\n
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Design et innovation ascendante\n
\nLa première édition des Entretiens du nouveau monde industriel, qui s’est déroulée les 27 et 28 novembre 2007, avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme les technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).\nLes mutations qui en résultent, et les contradictions qu’elles génèrent, imposent en effet de repenser les pratiques du design et de la recherche & développement, et leurs implications du point de vue social et économique. Le modèle industriel forgé au XIXème siècle, qui a conduit après la seconde guerre mondiale à la planétarisation de la société de consommation, semble de nos jours à la fois rencontrer ses limites et ouvrir de nouvelles possibilités – en renversant l’opposition producteur/consommateur (en particulier dans le domaine du numérique), et en conférant à la matière aussi bien qu’au vivant une plasticité jusqu’alors inconcevable.\nÀ travers un processus non linéaire où la séquence recherche / développement / design / marketing / distribution semble devenir caduque et requérir de nouvelles formes d’organisation de la société, comme le déploiement d’internet et les médias participatifs le rendent chaque jour plus manifeste, et où les possibilités de manipulation de la matière, du vivant et de l’information paraissent devenir illimitées, le design entendu en un sens élargi devient une activité de « sculpture » du social qui lui ouvre et lui assigne des perspectives et des responsabilités sans précédent – aussi exaltantes qu’écrasantes.\nUne nouvelle relation entre conception industrielle et pratiques quotidiennes de l’existence est en cours de définition. Veiller sur cette nouveauté et tenter d’en prendre collectivement soin seront les thématiques consacrées à ces entretiens qui ambitionnent de renouveler la relation entre savoir et industrie en particulier pour esquisser les contours de nouvelles industries culturelles numériques.
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On sait depuis la théorie psychanalytique que le désir est intrinsèquement et originellement inscrit dans un nœud de relations sociales. On sait aussi qu’au cours des dernières décennies les réseaux sociaux traditionnels ont été largement bousculés, « déterritorialisés » comme le disaient Gilles Deleuze et Félix Guattari, voire purement court-circuités, par les réseaux technologiques apparus dans le monde industriel. Or, avec la numérisation, il semble que les nouvelles formes de réseaux technologiques, dits eux-mêmes « sociaux », ouvrent à nouveaux frais la question de l’investissement du désir, de la relation sociale et de l’attention au sens large. En même temps, ils rendent possibles des formes pathologiques de tels investissements, par exemple de nature addictive, ou transforment radicalement les conditions de l’attention, par exemple comme ce que Katherine Hayles nomme l’hyper attention.\n
\n - Bernard Stiegler, Directeur, IRI / Centre Pompidou, Désir et relation sociale à l‘époque du social engineering
\n - Antoine Masson, Professeur, Centre Chapelle-aux-Champs à Bruxelles, Universités de Louvain et Namur, Médiation technologique et modalités de désir et de transfert à l‘adolescence.
\n - Elizabeth Rossé, Psychologue, Hôpital Marmottan, Désir et addiction dans la médiation technologique
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Ce que l’on appelle les réseaux sociaux dans le monde Internet repose sur la formalisation plus ou moins poussée et explicite des relations sociales par les technologies numériques. Les protocoles de participation conduisent en particulier les membres de ces réseaux à s’auto-décrire, à s’auto-indexer, et à produire des schèmes de relations sociales sous forme de métadonnées générées par eux-mêmes – consciemment ou inconsciemment. Le réseau est dit social d’abord pour cette raison. Et c’est ce qui conduit à une sorte d’automatisation des relations, fondée sur une opération d’explicitation de ces relations, et qui a pour conséquence de les transformer en profondeur – au point que l’on peut se demander dans quelle mesure une nouvelle forme de « conscience de réseau », c’est-à-dire d’appartenance, est susceptible d’y apparaître comme nouvelle forme de conscience critique, et comment tout au contraire une dissolution de la relation proprement sociale peut tout aussi bien en résulter. On examinera ainsi la double dimension potentiellement dynamique aussi bien que potentiellement réifiante des réseaux sociaux sur le plan socio-anthropologique.\n
\n - Dominique Pasquier, Sociologue, Directrice de recherche au CNRS, La nouvelle génération à la recherche du lien social.
\n - Dana Diminescu , Enseignant-chercheur à Telecom ParisTech, directrice scientifique du programme TIC Migrations FMSH Paris, L’appropriation des réseaux sociaux par les populations migrantes.
\n - Questions-réponses
\n - Richard Harper, Principal researcher, Microsoft Research, Cambridge, A sense of body : how digital preseence is shifting the relationship between bodyliness and human identity ?
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Les réseaux sociaux numériques se développent dans un contexte où le modèle classique de l’économie industrielle reposant sur une organisation « top down » est diversement mis en question tandis que se développe un marketing participatif aussi tâtonnant que vibrionnant – le tout sur un fond de crise financière mondiale d’une ampleur telle que certains économistes, comme André Orléan, explorent désormais l’hypothèse d’un commerce (c’est-à-dire d’une organisation des échanges) qui ne serait plus fondé sur les relations uniquement déterminées par les marchés. C’est aussi dans ce contexte que l’on examine désormais la nécessité de définir de nouveaux types d’indicateurs économiques qualitatifs et relationnels. Enfin, s’il est vrai que le « branding » aura dominé les dernières décennies en organisant ou en surdéterminant les relations sociales, on peut se demander si les réseaux sociaux n’ouvrent pas la possibilité de dépasser le modèle économique fondé sur la marque et si les technologies du social ne deviennent pas le savoir économique, managérial et politique stratégique.\n
\n - Michel Gensollen, Chercheur associé au département Sciences Economiques et Sociales de Telecom ParisTech, Economie des communautés médiatisées.
\n - Bernard Benhamou, Délégué aux Usages de l‘Internet, Ministère de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche
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Cette session organisée en collaboration avec l’INRIA et l’Institut TELECOM fera un état de l’art des technologies mises en œuvre et dessinera les perspectives de développements à court et moyen terme dans le domaine des industries de la relation sociale en quoi consistent les réseaux sociaux numériques. Elle traitera tout aussi bien des questions d’infrastructures de réseaux qui conditionnent l’émergence de ces technologies sociales, et en particulier du point de vue de l’avenir du protocole Internet en cours de discussion dans le cadre de l’IPV6. Enfin, elle restituera ces réseaux dans le contexte de l’actuelle activité économique et entrepreneuriale fondée sur ces technologies également appelées relationnelles.\n
\n - Olivier Auber, Directeur, Laboratoire Culturel A+H/ANOPTIQUE, Enjeux de l’IPV6.
\n - Francis Jutand, Directeur scientifique, Institut TELECOM, Les technologies de la collaboration.
\n - Serge Abiteboul, Directeur de recherche, INRIA Saclay – Ile-de-France, La gestion des données dans les réseaux sociaux.
\n - François Bourdoncle, Co-fondateur, Exalead, Le modèle de développement d’Exalead dans le contexte des réseaux sociaux.
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Découverte d‘usages numériques en relation avec les réseaux sociaux et les technologies collaboratives, suivi de la rencontre avec les porteurs de ces projets.
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La conception des technologies sociales et relationnelles est elle-même de plus en plus structurellement sociale et relationnelle. Le feed-back des pratiques sur la spécification en constitue désormais un élément dynamique majeur. Pour autant, la question reste intacte de concevoir des formats de données et des fonctionnalités primitives qui permettent un tel feed-back - et celui-ci peut être mis au service aussi bien d’une individuation psychique et collective assistée par ordinateur que d’une désindividuation et d’un contrôle occulte par les technologies de traçabilité innombrables qui se développent entre cookies, objets communicants, géolocalisation, etc. Ici, R&D, design et marketing distribués sont à repenser comme éléments clés du savoir émergent que forment les technologies stratégiques du
social engineering.\n
\n - Alain Mille, Professeur des Universités, Directeur de recherche (Equipe Silex, Laboratoire Liris UMR 5205 CNRS, Le concept de M-traces (ou traces modélisées).
\n - Jean-Louis Fréchin, Designer-Architecte NoDesign.net - Directeur de Atelier de Design Numérique ENSCI-Les Ateliers, « Vous êtes ici » : Cartographie numérique et mobilité.
\n - Pierre-Antoine Chardel, Maître de conférences, Responsable du groupe de recherche « Ethique, Technologies, Organisations, Société », Institut TELECOM, Nomadisme, contrôle et perte d‘individuation.
\n - Marc Davis, Chief Scientist and Director of ESP, Yahoo! Connected Life, Yahoo! Inc.
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Le déploiement des réseaux sociaux s’opère sur le fond plus vaste d’une généralisation de la société réticulaire, où la démarche hiérarchique traditionnelle est profondément mise en cause, et où des formes d’organisation sociale aussi bien que de pouvoir politique, économique, militaire et policier très inédites apparaissent – telles que la biométrie vient s’interfacer avec les technologies sociales numériques. Dans ce contexte, de nombreux modèles socio-politiques sont projetés et généralisés à partir de situations spécifiques qui se sont concrétisées historiquement en particulier avec les pratiques des hackers et le logiciel libre. Dans quelle mesure ces données déjà anciennes permettent-elles de penser le devenir des technologies sociales et relationnelles qui se forment avec les réseaux sociaux numériques ? Quelles perspectives géopolitiques planétaires peuvent s’y dessiner ?\n
\n - Pekka Himanen, Philosophe, Ethique hacker et réseaux.
\n - Ken Wark, Chair of Culture and Media Studies at Eugene Lang College and Associate Professor at the New School for Social Research in New York City, Les technologies relationnelles comme technologies politiques.
\n - Alexander Galloway, Associate Professor of Media, Culture, and Communication (New York University), Géopolitique des réseaux sociaux.
\n - Scott Lash, Director, Centre for Cultural Studies, Goldsmiths, University of London, Networks and democracy in China.
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Culture, politique et ingénierie des réseaux sociaux\n
\nLa seconde édition des Entretiens du nouveau monde industriel poursuit et approfondit les réflexions engagées lors de l’édition 2007, autour de l’innovation ascendante et les enjeux du design à l’ère du capitalisme dit « culturel » et encore « cognitif ». Nous proposons cette année de poursuivre et d’étendre le débat à la question des réseaux sociaux et du social engineering dans l’environnement technologique et économique du Web 3.0 qui s’impose progressivement à tous les acteurs.\nLa première journée des Entretiens sera consacrée à une analyse des conditions sociologiques et psychologiques qui président à la constitution de ces réseaux sociaux, ainsi qu’à un état de l’art international des technologies et des stratégies industrielles déjà mises en œuvre ou à venir. La seconde journée portera sur leurs conséquences économiques et organisationnelles, et sur l’identification des opportunités d’innovatio, sociale comme des enjeux politiques et des menaces afférents à cette émergence du social engineering.\nUn Carrefour des possibles de la FING (Fondation internet nouvelle génération) consacré à l’approfondissement des aspects technologiques, économiques et industriels de ces thématiques clôturera la première journée d’interventions.\nAu cours des trois dernières décennies, avec l’apparition de ce que l’on a appelé la « télématique » (rapport Nora/Minc L’Informatisation de la société, 1978), puis avec l’installation mondiale du Web (1992), qui a rendu possible le développement de ce que nous appelons désormais les « réseaux sociaux » et du Web 2.0, la dissémination des technologies numériques dans toutes les couches sociales de tous les pays industrialisés transforme inexorablement les relations entre les individus, les groupes, les générations et les nations. Ces technologies relationnelles, afférentes à ce que Jeremy Rifkin regroupe plus généralement sous le terme de « technologies R », bouleversent non seulement les règles traditionnelles de l’économie et de l’industrie, mais également et plus profondément le processus d’individuation psychique et collective par lequel, selon le philosophe Gilbert Simondon, les appareils psychiques des individus ne se forment et se développent qu’en participant à la vie et à l’évolution des appareils sociaux.\nCette croissance spectaculaire des réseaux sociaux affecte ainsi tous les milieux et vient transformer les règles du jeu socio-économique dans son ensemble, notamment à travers les jeunes générations qui sont les premières concernées. En cela, nous pouvons et nous devons poser que les grands enjeux de conception industrielle de demain - que l’on définisse ceux-ci en termes de choix économiques, de politiques, d’investissements et de régulations, de recherche et de développement (R&D), de design, de management, de marketing ou de distribution - seront dans une très large mesure conditionnés par des choix et des processus qui se produiront du côté du social engineering.\nLe social engineering est en effet ce qui permet la production de ces réseaux sociaux. Or, ceux-ci peuvent en première analyse se présenter plutôt comme des réseaux non sociaux, voire même anti-sociaux. Ils sont en effet généralement coupés de ce qui caractérisait jusqu’alors le social comme lié à un territoire, à une langue, à un héritage (religieux, politique ou culturel au sens le plus large), légué par des générations d’ascendants, et qui précède en principe le social comme son passé, et en cela, comme son sol commun. Pour ces Entretiens du nouveau monde industriel 2008, nous ferons en conséquence l’hypothèse que l’un des grands enjeux du monde industriel de demain est de créer les conditions – technologiques aussi bien qu’économiques et sociales – pour actualiser le potentiel de formation de nouveaux réseaux de relations sociales porté par les social networks. Ceci nous conduira à penser non seulement les règles de constitution et de développement des réseaux sociaux du Web 3.0 (alliance du Web sémantique et du Web social), mais également les conditions économiques et éthiques d’administration de ces nouveaux milieux souhaitables, c’est-à-dire les questions de la gestion, du contrôle, de la transparence et de l’e-démocratie.\nLe design au sens le plus large, c’est-à-dire également comme R&D et comme initiative sociale issue de l’innovation ascendante, deviendra en conséquence de plus en plus dépendant d’une vision et d’une stratégie qui devront combiner approche experte top-down et indexation sociale bottom-up. Les Entretiens du nouveau monde industriel 2008 illustreront comment ce mouvement s’incarne dans la recherche comme dans l’industrie grâce à un renouvellement profond du développement dans les termes de ce que l’on pourrait appeler un design distribué, c’est-à-dire assumé par l’ensemble des acteurs de l’innovation qui sont aussi et d’abord, dans de véritables réseaux sociaux, les membres de ces réseaux eux-mêmes.
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Les dernières décennies ont été dominées par le développement de ce que l’on a appelé le « virtuel », que l’on a opposé au « réel », et que l’on a assimilé à l’« immatériel ». Cependant, il n’y a aucune forme sans matière, et l’information est un état de matière. Avec l’internet des objets, c’est la matière qui revient au cœur des systèmes d’information. Il n’existe pas d’information sans supports matériels et réciproquement, ce qui signifie que le virtuel n’est pas l’opposé du réel : il en est la possibilité d’apparition et la profondeur de champ. Un indien Nambikwara projette dans la forêt amazonienne une virtualité foisonnante par laquelle ce milieu hostile est pour lui non seulement habitable, mais familier, constituant en cela sa réalité quotidienne. Un espace urbanisé est un réseau de rues, c’est à dire d’objets urbains nommés et en cela « étiquetés » et « virtualisés ». L’internet des objets communicants consiste en un étiquettage électronique et généralisé des objets industriels qui intensifie la virtualisation du réel, ce qui signifie qu’il constitue un nouvel espace relationnel – le virtuel est ce qu’actualisent des relations – où les objets faisant ainsi système transforment les relations entre les sujets, au risque parfois de les court-circuiter.\n
\n - Introduction, Alain Seban, Président du Centre Pompidou
\n - Objets réticulés et hyperobjectivité, B. Stiegler (IRI)
\n - Nouveau monde industriel et nouveaux espaces du design, A. Cadix (ENSCI)
\n - De l‘Internet mobile à l‘Internet des Objets : les enjeux économiques, technologiques et politiques, B. Benhamou, délégué aux usages de l’Internet
\n - Le devenir-média des objets quotidiens, H. Verdier (Cap Digital)
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Le nouveau monde industriel produit un nouvel objet industriel – qui poursuit sur un autre mode ce que Simondon avait appelé le « processus de concrétisation » : ce néo-objet, comme l’appelle Jean-Louis Fréchin, enregistre des événements, en produit d’autres, s’agence à d’autres objets agis par des sujets, et produit ainsi lui-même des « actions » par le biais d’ « actionneurs ». Cet objet communicant « internetisé » est actif et visible du fait même de sa matérialité, tandis qu’il est porteur de qualités nouvelles, informationnelles, « virtuelles », et qui peuvent demeurer cachées, échappant au propriétaire de l’objet, et s’activant à son insu.\nLe nouvel objet industriel, qui « s’anime », qui « raconte des histoires », tel un objet d’enchantement, est aussi un redoutable facteur du désenchantement dont Max Weber et Marcel Gauchet auront donné le sens historique : le nouveau système des objets, accentuant les effets déjà très réels de la traçabilité, paraît pouvoir dissoudre toute intimité, tout secret, toute singularité. Autrement dit, l’internet des objets constitue aussi le carrefour des possibles et des alternatives qui feront le nouveau monde industriel.\n
\n - Designer les NéoObjets, JL Fréchin (No Design)
\n - Les usagers dans les nouveaux objets numériques, Nicola Nova
\n - La métamorphose des objets, F. Kaplan (EPFL)
\n - Stratégie, vision de l’Internet des objets, JL Beylat (Alcatel Lucent)
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Il n’y a pas d’internet des objets sans capteurs, il n’y a pas de capteurs sans compatibilité et standards de communication, etc. L’histoire de la traçabilité des objets, qui commence avec le code à barres dans les années 1980, entame ainsi une longue histoire qui se poursuivra avec la nanostructuration des matériaux. La mémoire des nouveaux objets, comme celle de nos ordinateurs, est déportée vers les data centers qui la stocke et la gère selon les modèles du cloud computing. La normalisation pose cependant la question de savoir si la rematérialisation peut réintroduire le modèle de l’industrie des biens d’équipement, ou si c’est au contraire le modèle internet qui est appelé à redéfinir toute l’activité industrielle.\nL’enjeu est plus que jamais celui du nouveau monde industriel, et qui fera bouger le modèle internet lui-même :\n- soit en le soumettant aux logiques d’un contrôle centralisé, occulte et toujours plus puissant,\n- soit au contraire en accentuant son caractère décentralisé et hautement contributif. Ici, se pose la question décisive de la définition des standards, de la régulation et de la transparence de la gestion des données.\n
\n - Traçabilité : histoire et perspectives, Xavier Barras (GS1)
\n - Le Cloud Computing et l‘internet des objets, Ch. Fauré (Cap Gemini)
\n - Données ouvertes, données portables, que partageons-nous sur le Web ?, Valérie Peugeot (Sofrecom)
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Lieu de découverte d‘usages nouveaux qui dynamisent les échanges d‘informations et les partenariats. Le Carrefour des possibles organisé au sein des Entretiens du Nouveau Monde Industriel privilégiera la thématique des objets communicants.\n- 19h : 10 projets innovants se présenteront (jeunes entreprises et laboratoires, associations et services publics, étudiants et créateurs, etc...). Un seul critère : la technologie mise au service de la créativité et des nouveaux usages. Une règle : l‘ouverture d‘esprit, la volonté de découvrir.\n- 20h30 : Autour d‘un verre, les participants peuvent ensuite retrouver les porteurs de projets qui disposent chacun d‘un espace de démonstration pour détailler et démontrer leur idée. Le Carrefour des Possibles est organisé par la FING et rendu possible par le soutien de la Région Ile-de-France.\n\n
APPEL A PROJETS FING\n
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Le système des néo-objets pourrait-il devenir un vaste Mécano open source ? On parle désormais de hacking d’objet (aussi bien que de biosynthèse, sinon de nano-objets), do it yourself devenant le mot d’ordre en tous domaines dans ce qui se présente comme une économie générale de la contribution – où la valeur d’usage semble faire retour, ou bien faire place à une valeur pratique non-soluble dans la valeur d’échange : la valeur de l’objet se construirait dans ce qui ne serait plus seulement ou sa customisation, mais bien sa réalisation – au sein de communautés de praticiens partageant ces réalisations d’objets aussi bien que les partitions d’objets, ou spimes virtuels, dont ils sont des interprétations.\nLe néo-objet, qui n’est plus le point de départ conduisant au développement de divers services autour de lui, est au contraire le point d’arrivée ménagé par un nouveau type d’industries d’équipements (c’est à dire d’instruments d’interprétation), dont l’imprimante 3D est le précurseur, permettant la concrétisation, dans un espace contributif, de réalisations qui remettent en cause la notion même de service : cet hyperobjet est aussi un objet relationnel où la fonction de production devient essentiellement une fonction de post-production, et où l’innovation ascendante devient une open innovation.\n
\n - Du fabless au fablab, le modèle d‘innovation de l‘internet appliqué aux objets industriels, Daniel Kaplan, FING
\n - Hackers and makers, Massimo Banzi (projet Arduino)
\n - When connecting things becomes possible: 7 corners of an evolved networked Episteme, Julian Bleecker (Techkwondo)
\n - Public objects: connected things and civic responsibilities in the networked city (Adam Greenfield, auteur de La révolution de l’ubimédia)\n
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Une organologie tactile est apparue avec les objets communicants dont l’Iphone est le principal représentant, et sur laquelle enchaîne une organologie haptique qui n’engage plus seulement le doigt, mais aussi les mains et avec elles tout le corps et en premier lieu le toucher, aussi bien qu’une organologie du corps propre, de la cellule familiale et plus généralement des espaces domestiques – par des sous-systèmes d’objets à travers lesquels lesquels s’agencent les secteurs industriels des biens d’équipement aussi bien que des services et des opérateurs de réseau : ici se forme un nouveau système des objets précisément au sens où Jean Baudrillard pouvait en parler en 1968. Chaussure et Ipod, mais aussi ameublement, livre et ordinateur, et bien sûr fablabs : un « objet émancipateur » devient-il ainsi domesticable ? Un nouveau milieu d’individuation psychique et collective localisé est-il en cours de formation ?\n
\n - Du transit à la reliance : le nouveau paradigme de la mobilité urbaine, Georges AMAR (RATP)
\n - Phénoménologie du corps propre et de l’espace intime réticulés, François David Sebbah
\n - Les marques à l’épreuve des néo-objets, Benoit Heilbrunn
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« Coder le savoir sur les individus », comme le dit Xavier Guchet dans un style à la fois foucaldien et deleuzien, tel est à nouveau l’enjeu (comme l’avait déjà décrit, dans une autre mesure, et en d’autres temps, Surveiller et punir). Et on peut le coder :\n- pour eux-mêmes, c’est à dire dans une réflexivité critique de leurs propres pratiques, et de leurs propres productions objets ou d’agencements entre objets, et à travers ces objets, entre sujets, aussi bien que dans une critique des « partitions » (spimes) qui en sont les capsules virtuelles,\n- ou bien à leur insu, en faisant d’eux les hyperconsommateurs contribuant passionnément et aveuglément à une forme extraordinairement sophistiquée de servitude volontaire.\nTelle serait peut-être finalement la grande alternative ouverte par cette « interobjectivité ». Car si la traçabilité devient permanente, hors temps de connexion délibérée, les objets étant eux-mêmes connectés en permanence, et les réseaux locaux qu’ils forment assurant au réseau mondial leur « reporting » objectal, sinon objectif, deux questions seront ici examinées pour instruire les termes d’une telle alternative (qui conduiront comme toujours à un compromis) :\n- l’examen d’une histoire de la formation du couple public/privé, appréhendé d’un point de vue anthropologique, c’est à dire en extériorité par rapport à la définition occidentale de cette relation, et l’examen de la possibilité hypothétique de sa disparition,\n- l’examen de ce qu’il en est de l’intimité aujourd’hui, et de ce qu’il pourrait en être dans ce réseau d’objets rapporteurs, au moment où l’on s’interroge de nos jours sur ce que Roland Gori appelle l’extime.\n
\n - Le consommateur mis au travail, Marie-Anne Dujarier
\n - L’extime, Alain Abelhauer
\n - Anthropologie de l’intimité, Jean-Paul Demoule
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Le nouveau système des objets\n
\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIè siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.
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\n\nL’édition 2010 des Entretiens visera à développer une réflexion sur la question du corps à l’heure de la miniaturisation extrême des technologies qui constituent par là une nouvelle organologie prothétique. Ces enjeux relatifs au développement des micro et nano-technologies croisent de nombreux travaux de recherche, scientifiques et artistiques et impliquent dès à présent d''anticiper le développement de nouveaux objets ou services industriels en étroite relation avec les designers. Dans ce contexte, la question de la sensori-motricité et de la cohérence de ces outils et prothèses avec notre propre perception/action notamment dans le champ culturel, seront à l’ordre du jour et ferons l’objet d’une part d’un séminaire IRI durant l’année et d’autre part d’un séminaire préparatoire avec l’ENSCI et Cap Digital.\n\n
\n - Séminaire préparatoire à l’ENSCI : avril 2010 (dates à confirmer)
\n - Entretiens : novembre 2010 au Centre Pompidou (dates à confirmer)
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Entretiens du nouveau monde industriel se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants :\r\n\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision-2', '', '', '2009-12-21 12:28:15', '2009-12-21 11:28:15', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=234', 0, 'revision', '', 0),
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FAQ
\r\n
Introduction :\r\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\r\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\r\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\r\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\r\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\r\n
\r\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\r\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\r\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\r\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\r\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\r\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\r\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\r\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\r\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.8 :\r\n
\r\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\r\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\r\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\r\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\r\n - Debug
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\r\n
\r\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\r\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\r\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\r\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\r\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.3 :\r\n
\r\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10 :\r\n
\r\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\r\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\r\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\r\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\r\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\r\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\r\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\r\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\r\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.4 :\r\n
\r\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\r\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\r\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\r\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\r\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
\r\n - Possibilité de dupliquer une ligne en ne sélectionnant que les segments en surbrillance.
\r\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\r\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.2 :\r\n
\r\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
\r\n - Ajout du champ tag pour les segments.
\r\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
\r\n - Débogage des bugs identifiés dans la version précédente.
\r\n - Modification de l''interface : fenêtre d''informations agrandie en hauteur et en largeur et fenêtre d''affichage des lignes agrandie en largeur.
\r\n
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\r\n
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Adresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris
\r\n
Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)
\r\n
Téléphone : \r\n01 44 78 42 02.
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Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
\r\n
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Adresse Postale :\r\n\r\n4 rue Aubry le Boucher,\r\n75004 Paris
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Accès :\r\n\r\n111, rue Saint-Martin,\r\n75004 Paris\r\nCode : B 1235\r\nEscalier C à gauche dans la cour, puis interphone ( IRI N°9060)
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Téléphone : \r\n01 44 78 42 02.
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Par défaut les conférences ou séminaires organisés par l''IRI se déroulent dans la salle "Piazza". Elle se situe sur la Piazza Beaubourg (l''esplanade pentue devant l’entrée du Centre Pompidou), à droite du pot de Reynaud, près de l’ascenseur rouge.
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Entretiens du nouveau monde industriel se déroula les 26 et 27 Novembre 2009 et eut pour thème
Les nouveaux objets communicants :\r\n\r\nL’émergence des technologies de capteurs et d’actionneurs, qui se concrétisent comme « internet des objets » (
internet of things), et qui enchaînent sur l’immense développement des technologies de traçabilité qui sont déjà au cœur du modèle économique d’internet, reconfigure l’agencement du virtuel et du réel tout en rematérialisant l’information. C’est un nouveau « système des objets » qui se forme ainsi.\r\nTout objet humain est technique, et tout objet technique est inscrit dans un système technique, comme Jean Baudrillard le rappelait dans
Le système des objets en citant Gilbert Simondon. L’objet industriel devenu systémiquement communicant, c’est à dire émetteur et récepteur d’informations – souvent à l’insu de son propriétaire – , constitue un système d’objets tout à fait nouveau qui dominera à n’en pas douter l’organisation industrielle du XXIème siècle, et transformera les espaces quotidiens publics aussi bien que privés dans leurs couches les plus profondes aussi bien qu’à leurs surfaces mêmes.', 'Entretiens du nouveau monde industriel 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '231-revision-3', '', '', '2009-12-21 12:31:05', '2009-12-21 11:31:05', '', 231, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/231-revision-3/', 0, 'revision', '', 0),
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l''amphithéâtre Dürer à l’Ecole du Louvre (Métro Palais Royal, aile sud-ouest).\r\n\r\n
Horaires inchangés : de 16h à 18h30.', 'ATTENTION : en raison d''un mouvement social du personnel du Centre Pompidou ...', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'attention-en-raison-dun-mouvement-social-du-personnel-du-centre-pompidou', '', '', '2009-12-23 15:35:01', '2009-12-23 14:35:01', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=246', 0, 'post', '', 0),
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+(249, 1, '2009-12-18 11:14:46', '2009-12-18 10:14:46', '', 'Conférence de presse du 14 mai 2009 dans Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '158-revision-3', '', '', '2009-12-18 11:14:46', '2009-12-18 10:14:46', '', 158, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=249', 0, 'revision', '', 0),
+(250, 1, '2009-12-21 10:14:42', '2009-12-21 09:14:42', 'Lors de la conférence de presse du 14 mai 2009, le Centre Pompidou,\r\nMicrosoft France et le CCCB (Centre de Culture Contemporaine de Barcelone)\r\nont présenté l’association Institut de Recherche et d’Innovation créée à l’été 2008.\r\nÀ cette occasion, l’IRI a annoncé l’arrivée de cinq nouveaux partenaires :\r\nl’Université de Tokyo, le Goldsmiths College (Université de Londres), l’École\r\nNationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (ENSCI), l’Institut Telecom\r\n(Paris) et l’École Supérieure des Arts de l’Image Les Rocailles (Biarritz-Anglet).', 'Dossier de presse de l''IRI, mai 2009', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '155-revision-5', '', '', '2009-12-21 10:14:42', '2009-12-21 09:14:42', '', 155, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=250', 0, 'revision', '', 0),
+(251, 1, '2009-12-21 15:10:28', '2009-12-21 14:10:28', '', 'Les vidéos des Entretiens du Nouveau Monde Industriel sont accessibles sur http://enmi.tivipro.tv/.', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '242-revision-2', '', '', '2009-12-21 15:10:28', '2009-12-21 14:10:28', '', 242, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=251', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n
abstract
\r\nInterfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique\r\n
Organisateurs :
\r\n
\r\n - IRI (Institut de Recherche et d’Innovation/Centre Pompidou) Vincent Puig, Xavier Sirven, Thibaut Cavalié http://www.iri.centrepompidou.fr contact : vincent.puig@centrepompidou.fr
\r\n - LIRIS Yannick Prié, Olivier Aubert http://liris.cnrs.fr
\r\n - éESI (école Européenne Supérieure de l’Image) Jean Marie Dallet, Frédéric Curien http://www.eesi.eu
\r\n - IRCAM (équipes Analyse des pratiques musicales et Analyse Synthèse) Nicolas Donin, Samuel Goldszmidt, Geoffroy Peeters http://www.ircam.fr
\r\n - GRAME Yann Orlarey http://www.grame.fr
\r\n
\r\nCet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes:\r\n
\r\n - IHM pour l’analyse et la segmentation des flux temporels (discrimination d’unités de sens par méthodes d’extraction automatique ou manuelles)
\r\n - IHM pour la symbolisation/représentation/description des unités de sens (problématiques de niveau sémantique, langages, notations)
\r\n - IHM pour la manipulation et le traitement des éléments annotés (problématiques de masse de données, contextes de publication et de partage, interaction live ou temps différé).
\r\n
\r\nUne dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels.\r\nLa présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS.\r\n\r\nL’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation.\r\n\r\nNous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
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Introduction :\r\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\r\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\r\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\r\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\r\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\r\n
\r\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\r\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\r\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\r\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\r\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\r\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\r\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\r\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\r\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.8 :\r\n
\r\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\r\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\r\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\r\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\r\n - Debug
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\r\n
\r\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\r\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\r\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\r\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\r\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10.3 :\r\n
\r\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\r\n - Débug divers
\r\n
\r\n
Notes de version 0.10 :\r\n
\r\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\r\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\r\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\r\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\r\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\r\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\r\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\r\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\r\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.4 :\r\n
\r\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\r\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\r\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\r\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\r\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
\r\n - Possibilité de dupliquer une ligne en ne sélectionnant que les segments en surbrillance.
\r\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\r\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
\r\n
\r\n
Notes de version 0.9.2 :\r\n
\r\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
\r\n - Ajout du champ tag pour les segments.
\r\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
\r\n - Débogage des bugs identifiés dans la version précédente.
\r\n - Modification de l''interface : fenêtre d''informations agrandie en hauteur et en largeur et fenêtre d''affichage des lignes agrandie en largeur.
\r\n
', 'FAQ - ligne de temps', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'faq-ligne-de-temps', '', '', '2009-12-21 18:14:12', '2009-12-21 17:14:12', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=254', 0, 'post', '', 0),
+(255, 1, '2009-12-21 15:42:35', '2009-12-21 14:42:35', '', 'FAQ - ligne de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '254-revision', '', '', '2009-12-21 15:42:35', '2009-12-21 14:42:35', '', 254, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=255', 0, 'revision', '', 0),
+(256, 1, '2009-12-21 15:43:54', '2009-12-21 14:43:54', '
Introduction :\nLe logiciel
Lignes de temps est composé de deux parties, que l''on appellera système et interface.\n- La partie système est "invisible" pour l''utilisateur et permet d''enregistrer son travail (notes, découpages, bout à bout) dans un fichier. Elle permet aussi de lancer les programmes nécessaires à l''import d''un fichier audio ou vidéo. Ces programmes encodent la vidéo pour qu''elle soit lisible dans l''interface et génèrent le plan par plan et la forme d''onde.\n- L''interface est tout ce qui est "visible" et manipulable par l''utilisateur. Elle se compose du menu en haut à gauche (Fichier, Affichage...) et des trois fenêtres : informations, lecteur vidéo et celle qui affiche les lignes de temps.\nLes deux parties du programme communiquent entre elles mais cette communication peut parfois s''interrompre sans en informer l''utilisateur. Dans ce cas, on ne peut malheureusement plus enregistrer son travail. L''Institut de recherche et d''innovation travaille constamment à la résolution de ce type de bogues. Pour toute information, commentaire ou problème, merci d''envoyer un mail à
contact@iri.centrepompidou.fr\nUn travail dans
Lignes de temps est sauvegardé dans un fichier de projet (extension .ldt) qui contient les références vers les médias utilisés et toutes les données personnelles (notes, découpages, bout à bout, vues). Les données non personnelles sur un média (plan par plan et forme d''onde par exemple) sont enregistrées dans un fichier à extension .iri.\n
\n - J''utilise un MAC, comment connaître ma configuration ?\nPour savoir si votre ordinateur est "Intel" ou "Power PC", allez dans le menu Pomme en haut à gauche de votre écran. Dans le menu qui est apparu, cliquez sur "à propos de ce mac". La ligne "Processeur" indique si celui-ci est de type "Intel" ou "Power PC".\nAprès différents tests, il apparait que Lignes de temps ne s''installe que sur les postes équipés du système d''exploitation 10.5, dit "léopard", et du processeur Intel, ou ceux équipés du système 10.4, dit "tiger", et du processeur Power PC.
\n - Je n''arrive pas à afficher les lignes de temps d''un film :\nPour afficher ces lignes il faut cliquer sur le titre du film dans la fenêtre "lignes de temps" puis sur l''onglet "Découpages" de la fenêtre d''informations. Dans cet onglet, se trouve la liste des découpages disponibles. Il suffit de cliquer sur l''un d''entre eux pour afficher la ligne correspondante.
\n - Je n''arrive pas à importer un fichier audio ou vidéo :\nIl faut s''assurer que l''extension du fichier est compatible. Lignes de temps accepte les fichiers .avi, .mpg, .mov, .flv pour la vidéo et .mp3 pour l''audio. Ensuite, même si celui-ci est accepté, il se peut que l''encodage ne soit pas compatible avec le programme (ffmpeg) qui transforme ce fichier en vidéo lisible par Lignes de temps, c''est-à-dire au format flv. Sous MAC, même si l''extension du fichier est correcte, il se peut que certains caractères empêchent l''import. Il est donc conseillé que le chemin d''accès et le nom de fichier n''aient pas les caractères suivants : caractères accentués, espace, ç, #, &, %, !, *, (), [], |, {}, :, ;, @.
\n - Je n''arrive pas à sauvegarder mon travail :\nComme expliqué dans l''introduction, ce problème peut venir de la perte de communication entre l''interface et la partie du programme qui enregistre dans un fichier. Pour enregistrer son travail, on peut passer par le menu en haut à gauche (Fichier -- Enregistrer) ou par le raccourci clavier Ctrl+S sur PC et Pomme+S sur Mac. En général, quand un travail a été modifié depuis le dernier enregistrement, une étoile apparaît à côté du titre du projet pour montrer qu''un enregistrement est nécessaire.
\n
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Notes de version 0.10.8 :\n
\n - Possibilité de vidéo en plein écran sur fond noir
\n - Possibilité d''afficher des sous-titres depuis un fichier externet au format TimedText XML
\n - Possibilité d''afficher l''intégralité des annotations (titre et description) d''une timeline dans un grand champ texte équipé d''une recherche simple
\n - Améliorations ergonomiques (boutons pour timeline réarrangés, fenêtre de tags redimensionnable)
\n - Debug
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Notes de version 0.10.4 à 0.10.7 :\n
\n - Possibilité d''importer des découpages depuis un autre fichier .ldt
\n - Possibilité d''annoter un flux live streamé en rtmp://...
\n - Déplacement des lignes de temps et des films par simple drag and drop
\n - Améliorations ergonomiques (nom du fichier .ldt affiché dans le titre fenêtre d''information, zoom plus fluide, possibilité de sauvegarder sa langue par défaut)
\n - Possibilité de dupliquer les segments en surbrillance d''une ligne de temps
\n - Débug divers
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Notes de version 0.10.3 :\n
\n - Langue japonaise ajoutée par défaut
\n - Débug divers
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Notes de version 0.10 :\n
\n - INTERFACE MULTILINGUE avec Anglais et Français proposés par défaut et possibilité d''ajouter soi-même des langues (étapes expliquées dans le mode d''emploi grâce à l''outil GETTEXT)
\n - Refonte complète de l''interface et de l''ergonomie avec entre autres ajout de boutons avec icones, de nouveaux onglets plus visibles, de bulles d''aide, de messages de confirmation avant suppression.
\n - Vues : possibilité de renommage et de déplacement.
\n - Tags : affichage de la liste complète du nuage de tags du projet par le menu en haut à gauche et le raccourci Shift + T.
\n - Prise de notes : amélioration du suivi de la frappe grâce au positionnement automatique de l''ascenceur, indication du timecode correspondant au survol du marqueur.
\n - Bout à bout : possibilité de suppression.
\n - Ajout d''un trac pour le suivi des bugs.
\n - Mise à jour complète du mode d''emploi en français et en anglais.
\n - Ajout de la license dans l''à propos.
\n
\n
Notes de version 0.9.4 :\n
\n - Ajout d''un module prise de notes, permettant d''écrire des commentaires à la volée puis de les transformer en ligne de temps.
\n - Vues : la sauvegarde des états d''affichage prennent maintenant en compte le niveau de zoom, la position de l''ascenceur horizontal et si un bout à bout est en lecture.
\n - Amélioration de la saisie des tags : possibilité d''avoir une fenêtre avec tous les tags d''une ligne et ajout du tag par simple clic.
\n - Possibilité d''afficher tous les tags du projets dans une grande fenêtre grâce au raccourci clavier Shift + F.
\n - Possibilité de mettre en surbrillance les segments en cliquant sur les tags d''une ligne. Cinq couleurs sont disponibles (une par tag), puis au-delà les segments concernés par la recherche s''affichent en blanc.
\n - Possibilité de dupliquer une ligne en ne sélectionnant que les segments en surbrillance.
\n - Possibilité de créer un bout à bout à partir d''une ligne complète ou des segments en surbrillance.
\n - Ajout de messages d''erreur en cas de plantage du logiciel. Cela limite le risque de perdre son travail.
\n
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Notes de version 0.9.2 :\n
\n - Possibilité de dupliquer n''importe quelle ligne (bouton "dupliquer" dans la fenêtre d''informations).
\n - Ajout du champ tag pour les segments.
\n - Possibilité d''afficher le sommaire d''un découpage, c''est-à-dire la liste de ses segments sous forme de texte cliquable.
\n - Débogage des bugs identifiés dans la version précédente.
\n - Modification de l''interface : fenêtre d''informations agrandie en hauteur et en largeur et fenêtre d''affichage des lignes agrandie en largeur.
\n
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+INSERT INTO `wp_posts` (`ID`, `post_author`, `post_date`, `post_date_gmt`, `post_content`, `post_title`, `post_excerpt`, `post_status`, `comment_status`, `ping_status`, `post_password`, `post_name`, `to_ping`, `pinged`, `post_modified`, `post_modified_gmt`, `post_content_filtered`, `post_parent`, `guid`, `menu_order`, `post_type`, `post_mime_type`, `comment_count`) VALUES
+(258, 1, '2009-12-18 12:03:04', '2009-12-18 11:03:04', '
Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.
\r\n
En savoir plus
\r\n\r\n
TÉLÉCHARGEMENT de Lignes de temps :
\r\n
? FAQ ?\r\n
Télécharger dès maintenant le logiciel "Lignes de temps". Grâce à lui, analysez et annotez les films de votre choix.
\r\n\r\n
\r\n
\r\n - MAC (voir la FAQ pour connaître votre configuration) :\r\n\r\n
\r\n
\r\n
Une fois téléchargé, lancez l''installeur et suivez les étapes proposées. Une fois installé, importez un contenu vidéo (formats avi, mpg, mov ou flv) ou audio (mp3) en passant par le menu Fichier -> Importer.
\r\n
Notes importantes sur l''utilisation de "Lignes de temps":
\r\n\r\n
\r\n - En fonction de la puissance de votre ordinateur et de la taille du fichier, l''import peut durer de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.
\r\n - Cette version est une version beta, c''est-à-dire qu''elle contient encore des bogues. Malgré tous nos efforts, il se peut donc que le logiciel soit instable et se bloque par moments, rendant la sauvegarde du travail impossible, et que certaines vidéos ne soient pas importables. Voir les FAQ
\r\n
\r\n
En savoir plus sur le logiciel : Flyer de présentation, mode d''emploi et Licence.
\r\n
Vous pouvez accéder directement à la démonstration et à la consultation du film Nosferatu de F.W. Murnau dans "Lignes de temps".
\r\n
Pour toute information, feedback ou problème, contact@iri.centrepompidou.fr.
\r\n\r\n
Plus d''information :\r\nÀ ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres «lignes de temps» parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.\r\n\r\n
Pour appareiller les pratiques «amateurs» :\r\nD’ores et déjà des historiens, des critiques, des théoriciens, des étudiants d’écoles d’art et de cinéma ont accepté de s’emparer de ces outils pour vérifier des hypothèses qu’ils avaient formulées, pour en explorer de nouvelles et permettre, à travers ce travail, l’expertise, la critique, l’enrichissement, voire le détournement de ces dispositifs. Bénéficiant de l’expérience d’une communauté experte en matière d’analyse cinématographique, de nouveaux cercles d’amateurs développent progressivement de nouvelles «pratiques» de Lignes de temps. C’est notamment le cas des professeurs de l’enseignement primaire et secondaire (écoles, collèges, lycées) abordant l’étude du cinéma et plus largement des cinéphiles désireux de concrétiser leur appréhension d’un film, leurs souvenirs, leurs impressions, leurs réflexions, sur un support approprié à ces contenus temporels.\r\n
Le logiciel shotdetect développé par l''IRI : détection automatique de plans
\r\n\r\n
Lignes de temps présenté au Carrefour des possibles de la FING le 15 mai 2008\r\n\r\n
Lire un article sur Lignes de temps dans le numéro 112 de Culture & Recherche\r\n
Lire un article sur Les amateurs du XXIème siècle dont un extrait a paru dans le numéro 118-119 de Culture & Recherche', 'Lignes de temps', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '53-revision-5', '', '', '2009-12-18 12:03:04', '2009-12-18 11:03:04', '', 53, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=258', 0, 'revision', '', 0),
+(270, 1, '2009-12-21 16:06:11', '2009-12-21 15:06:11', '
Abstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com', 'Sur la faculté de jouer', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '263-revision-5', '', '', '2009-12-21 16:06:11', '2009-12-21 15:06:11', '', 263, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=270', 0, 'revision', '', 0),
+(260, 1, '2009-12-21 15:54:05', '2009-12-21 14:54:05', 'Au sein du Collège, il s’agit de théoriser et de formaliser les résultats de ces travaux de recherche technologique pour les confronter aux objets de la recherche en sciences humaines en revisitant depuis ce contexte les questions les plus traditionnelles de disciplines afférant à l’esthétique, à l’histoire de l’art, à la psychologie, à la philosophie, principalement sous l’angle des rapports de la vie de l’esprit avec les techniques.', 'Séminaires', '', 'publish', 'closed', 'closed', '', 'seminaire-page', '', '', '2010-01-05 17:04:11', '2010-01-05 16:04:11', '', 0, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?page_id=260', 0, 'page', '', 0),
+(261, 1, '2009-12-21 15:53:45', '2009-12-21 14:53:45', '', 'Collège', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '260-revision', '', '', '2009-12-21 15:53:45', '2009-12-21 14:53:45', '', 260, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=261', 0, 'revision', '', 0),
+(262, 1, '2009-12-22 14:14:19', '2009-12-22 13:14:19', 'Au sein du Collège, il s’agit de théoriser et de formaliser les résultats de ces travaux de recherche technologique pour les confronter aux objets de la recherche en sciences humaines en revisitant depuis ce contexte les questions les plus traditionnelles de disciplines afférant à l’esthétique, à l’histoire de l’art, à la psychologie, à la philosophie, principalement sous l’angle des rapports de la vie de l’esprit avec les techniques.', 'Séminaire', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '260-autosave', '', '', '2009-12-22 14:14:19', '2009-12-22 13:14:19', '', 260, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=262', 0, 'revision', '', 0),
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\r\n
\r\n
\r\n
Sur la faculté de jouer\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre 2006, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre 2006, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre 2007, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - li>Jeudi 11 janvier 2007, 10h-12h| : (programme en cours)\r\n
- Lundi 5 février 2007, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février 2007, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars 2007, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
facdejouer@gmail.com\r\n\r\n
\r\n\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
Présentation générale| : Denis Guénoun.
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9 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n
\r\n
Jeudi 23 novembre 2006, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n
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Jeudi 7 décembre 2006, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n
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Jeudi 21 décembre 2007, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
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Jeudi 11 janvier 2007, 10h-12h| : programme en cours)
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Lundi 5 février 2007, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
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Lundi 5 mars 2007 : Sur le théâtre didactique de Brecht
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Lundi 19 mars 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 30 avril 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 14 mai 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 4 juin 2007, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
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Lundi 18 juin 2007, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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\r\n\r\n
Sur la faculté de jouer\r\n\r\nLe séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\r\n\r\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\r\n\r\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\r\n
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Abstract : Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l''IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des praticiens de la scène pendant le jeu.\n\nDans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui (se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses continuateurs.\n\nDans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.\n\n
Accès : limité et sur inscription\n\n
Dates :\n
\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n
\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\r\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\r\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\r\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
\r\n - Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, 1980).
\r\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\r\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\r\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\r\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\r\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
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\r\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\r\n
\r\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\r\n\r\n
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Accès : limité et sur inscription\n\n
Dates :\n
\n - Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
\n - Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, Desjonquères, 2001).
\n - Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, Gallimard, 2005).
\n - Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
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\n - Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
\n - Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, lEntretemps, 2002).
\n - Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
\n - Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
\n - Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
\n - Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
\n
\nCoordination du séminaire :
Denis Guénoun, Julien Abriel\n\n
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.\r\n\r\nLe programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il s''agirait pour chacun d''interroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).\r\n\r\nLes « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.\r\n\r\nCette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des
Lignes de temps sous le nom de
Regards signés.\r\n\r\nLe Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.\r\n\r\n
Programme des Conférences publiques :\r\n\r\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.\r\n\r\n
Horaires : 19 heures\r\n\r\n
Accès : dans la limite des places disponibles\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - 26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\r\n - 24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\r\n - 28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\r\n - 9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\r\n - 13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\r\n - 13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\r\n - 24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\r\n - 22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\r\n
\r\nDirection :
Denis Guénoun\r\n\r\nCoordination :
Johann Holland :
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\r\n
\r\n
\r\n
Images et Visages\r\n\r\nArtistes & Associés et l''Institut de Recherche et d''Innovation du Centre Pompidou, proposent à l''initiative de Bernard Stiegler, un dispositif visuel et intellectuel dont l''enjeu est d''inscrire dans le temps une réflexion sur les images. Ce dispositif prend appui sur l''expérience d''une récente rencontre à Biarritz dans le cadre de la manifestation Grande Plage # 1. Rencontre marquée par l''image en mouvement d''un visage d''enfant qui regarde une image, et sur le regard de qui nos premières réflexions en commun se sont esquissées.\r\n\r\nIl s''agit de réunir pendant une saison, à intervalles réguliers de deux mois,
Christian Caujolle,
Pascal Convert,
Georges Didi-Huberman et
Bernard Stiegler à qui, chaque fois, seront proposés par Artistes & Associés de brefs moments d''images susceptibles de faire lever une problématique. La forme du feuilleton devrait permettre un véritable travail, c''est-à-dire une façon d''approfondir le regard par répétitions et variations successives.\r\n\r\nIl s''agit aussi d''un dispositif visuel, voire télévisuel et diffusable. Les membres d''Artistes & Associés filment la manifestation avec plusieurs caméras, de façon à ne pas séparer les images regardées sur l''écran des visages qui les regardent. À ne pas séparer non plus les visages - et les réactions - des auditeurs et ceux des intervenants. On espère ainsi, en ne séparant pas images et visages, biaiser le rapport spectaculaire standard (rapport standard qui perdure lorsqu''on assiste au «| spectacle| » d''intellectuels en train de parler, en public ou devant une caméra).\r\n\r\nLa rencontre des problématiques des uns et des autres semble, pour le moment, privilégier la question de la fabrique de l''image et du sort esthétique - mais politique tout aussi bien - qui est fait à ceux qui, d''ordinaire, ne sont pas «| acteurs| » mais «| figurants| » de l''Histoire. Comment représente-t-on, comment photographie-t-on, comme filme-t-on - dignement s''entend - ceux qui n''ont ni la parole ni l''autorité pour se mettre en scène| ? C''est encore une question de visage et d''envisagement.\r\n\r\n
Modalités pratiques\r\n\r\nLes séances de projection sont enregistrées puis débattues à la séance suivante. Ce séminaire s''inscrit dans l''axe de recherche «| Jugement| » mené par l''Institut de Recherche et d''Innovation.\r\n\r\n
\r\n\r\n
Lieu : Centre Pompidou, petite salle (niveau -1)\r\n
Accès : Chercheurs, étudiants et professionnels sur inscription.\r\n
Dates et horaires : de 18h à 20h, les mardis suivants \r\n
Inscriptions :
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
\r\n\r\n
\r\n \r\n
Images et Visages\r\n\r\nArtistes & Associés et l''Institut de Recherche et d''Innovation du Centre Pompidou, proposent à l''initiative de Bernard Stiegler, un dispositif visuel et intellectuel dont l''enjeu est d''inscrire dans le temps une réflexion sur les images. Ce dispositif prend appui sur l''expérience d''une récente rencontre à Biarritz dans le cadre de la manifestation Grande Plage # 1. Rencontre marquée par l''image en mouvement d''un visage d''enfant qui regarde une image, et sur le regard de qui nos premières réflexions en commun se sont esquissées.\r\n\r\nIl s''agit de réunir pendant une saison, à intervalles réguliers de deux mois,
Christian Caujolle,
Pascal Convert,
Georges Didi-Huberman et
Bernard Stiegler à qui, chaque fois, seront proposés par Artistes & Associés de brefs moments d''images susceptibles de faire lever une problématique. La forme du feuilleton devrait permettre un véritable travail, c''est-à-dire une façon d''approfondir le regard par répétitions et variations successives.\r\n\r\nIl s''agit aussi d''un dispositif visuel, voire télévisuel et diffusable. Les membres d''Artistes & Associés filment la manifestation avec plusieurs caméras, de façon à ne pas séparer les images regardées sur l''écran des visages qui les regardent. À ne pas séparer non plus les visages - et les réactions - des auditeurs et ceux des intervenants. On espère ainsi, en ne séparant pas images et visages, biaiser le rapport spectaculaire standard (rapport standard qui perdure lorsqu''on assiste au «| spectacle| » d''intellectuels en train de parler, en public ou devant une caméra).\r\n\r\nLa rencontre des problématiques des uns et des autres semble, pour le moment, privilégier la question de la fabrique de l''image et du sort esthétique - mais politique tout aussi bien - qui est fait à ceux qui, d''ordinaire, ne sont pas «| acteurs| » mais «| figurants| » de l''Histoire. Comment représente-t-on, comment photographie-t-on, comme filme-t-on - dignement s''entend - ceux qui n''ont ni la parole ni l''autorité pour se mettre en scène| ? C''est encore une question de visage et d''envisagement.\r\n
\r\n - 24 octobre 2006
\r\n - 14 novembre 2006
\r\n - 26 janvier 2007(Séance publique au FIPA Biarritz)
\r\n - 13 mars 2007 (reporté)
\r\n - 15 mai (reporté)
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.
\n
Le programme de cette année d''ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l''expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d''entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l''obscur, du connu et de l''énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d''un chemin d''expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).
\n
Les « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l''enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.
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Cette visée contribue en cela directement aux objectifs de l''IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l''analyse et de la synthèse, c''est-à-dire d''une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour des Lignes de temps sous le nom de Regards signés.
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Le Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l''exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont indiqués ci-dessous.
\n
Programme des Conférences publiques :
\n
Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.
\n
Horaires : 19 heures
\n
Accès : dans la limite des places disponibles
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Dates :
\n
\n - \n
26 septembre : Denis Guénoun (Paris-Sorbonne), Dramaturgie du football et question nationale
\n \n - \n
24 octobre : Marcello Vitali Rosati (Pise) : Réflexions pour une resémantisation du concept de virtuel
\n \n - \n
28 novembre : Bernard Stiegler (Centre Georges Pompidou), Critique et théorie
\n \n - \n
9 janvier : Sarah Kay (Princeton), Poésie, vérité, et le sujet supposé savoir
\n \n - \n
13 février : Thomas Dommange (Montréal), Pourquoi une théorie de l''espace musical ?
\n \n - \n
13 mars, Jean-Baptiste Brenet (Paris X - Nanterre), L''averroïsme difficile : intellect, morale et politique
\n \n - \n
24 avril : Michel Deguy (Paris VIII et revue Poésie), Une poétique est-elle une théorie ?
\n \n - \n
22 mai, Judith Butler (Berkeley), Geste, performativité, critique
\n \n
\n
Direction : Denis Guénoun
\n
Coordination : Johann Holland : information.grt@gmail.com
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\r\n
Résumé :\r\n\r\nInternet et la mutation numérique travaillent en profondeur le champ culturel.\r\n\r\nL''attention s''est focalisée, dans un premier temps, sur l''impact des phénomènes de numérisation et de dématérialisation sur les industries culturelles : gains de productivité, phénomènes de « convergence », concurrence et coopération entre les acteurs traditionnels des filières culturelles et les acteurs issus du numérique, déstabilisation des modes de valorisation, d''exploitation et de distribution des 1/2uvres, exploration de nouveaux modèles économiques.\r\n\r\nL''attention tend à se déplacer désormais vers les usages numériques culturels eux mêmes, sinon vers les « contenus ».\r\n\r\nCe changement de perspective amène à sinterroger sur la manière dont les logiciels, les services en ligne, les compétences et savoir-faire « numériques » des « usagers » informent les pratiques culturelles.\r\n\r\nL''objectif de ce séminaire est de dégager les lignes de force qui travaillent tant l''offre culturelle que les pratiques culturelles.\r\n\r\nLe séminaire se propose d''explorer avec des chercheurs et des praticiens les problématiques d''usages émergents. Il portera une attention particulière aux usages liés à l''univers du « Web 2.0 ».\r\n\r\nPlutôt que de passer en revue l''impact du numérique sur chacune des grandes filières culturelles (l''audiovisuel, l''écrit, la photographie ou la musique), le parti a été retenu d''organiser le séminaire autour de quelques grandes thématiques d''usage transversales aux filières.\r\n\r\nCe séminaire s''adresse aux agents du DEPS : il est ouvert aux responsables des différentes directions du ministère de la Culture.\r\n\r\nLes travaux du séminaire s''appuieront sur un état bibliographique et donneront lieu à une synthèse. (Le détail des intervenants ultérieurs sera communiqué très prochainement).\r\n\r\nLa séance inaugurale aura lieu le 17 octobre, à 15h Salle «Vivant Denon», Ministère de la Culture, 182 rue Saint Honoré.\r\n\r\nSauf indication différente, le séminaire se tiendra ensuite les mardi de 14h30 à 17h30.\r\n\r\nSalle Colette. Ministère de la Culture. 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage.\r\n\r\nDes séances auront lieu au Centre G. Pompidou.\r\n\r\nAprès le mois de février, ce séminaire se poursuivra par une suite de manifestations ouvertes au public, à linitiative de lIRI / Centre G. Pompidou.\r\n\r\n
Programme et horaires :\r\n\r\n
Contact Y. Maignien (0140157975) et J. Beaudoin-Glandières. (0140157917)\r\n\r\n
Lieu : Salle Colette. Ministère de la Culture : 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage. (excepté séance inaugurale)\r\n\r\n
Horaires : les mardi de 14h30 à 17h30
EN 2006\r\n\r\n
Dates :\r\n
\r\n - Mardi 17 octobre 14h30 Ouverture du séminaire Objectifs Paysage technologique Les convergences (informatique-audiovisuel-télécoms, fixe-mobile, image-son etc |) La prééminence du logiciel Le Web 2.0
\r\n - Mardi 7 novembre Publier, s''exprime r,| Médias personnels, nano-publication Nouvelles lignes de partage entre le public et le privé
\r\n - Mardi 21 novembre Rechercher, conserver, archiver, classer, indexer, taguer, annoter, géolocaliser Les nouvelles pratiques documentaires : moteurs de recherche, « indexation sociale », folksonomies, « recherche communautaire ». Les nouvelles bibliothèques.
\r\n - Mardi 5 décembre Commenter, juger, évaluer, coopérer, co-produire, collaborer, partager Co-création et communautés
\r\n - Mardi 9 janvier Echanger, distribuer, communiquer, accéder, faire suivre, reproduire| L''Internet comme architecture La neutralité technologique Logiques pull et push, RSS, Web 2.0 Agrégation de contenus et assemblage de systèmes, mash up
\r\n - Mardi 23 janvier Citer, emprunter, recycler, réutiliser, remixer La révolution modulaire dans la musique (Culture « remix ») et dans le logiciel Les nouvelles licences
\r\n - Mardi 6 février Jouer, simuler, modéliser Le jeu video : un foyer d''innovations, un « attracteur» pour les industries culturelles Les nouvelles articulations virtuel-réel
\r\n - Mardi 20 février Natifs et immigrants numériques Cultures jeunes, cultures urbaines, culture numériques (Mobilité, nomadisme, « culture de l''écran »)
\r\n - Synthèse publique Typologie des usages numériques culturels Figures de l''usager, du consommateur, du bricoleur, de l''amateur et du pro-am (amateur-professionnel). Synthèse des problématiques prospective
\r\n
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\r\n
\r\n
\r\n\r\n
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies\r\n\r\nSéminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d’Innovation, 2007-2009\r\n\r\n
Nanotechnologies 2009 sous Lignes de Temps\r\n\r\nL’intention générale qui anime ce séminaire, programmé sur les trois prochaines années, est double :\r\n- il s’agit d’abord de stimuler une approche résolument critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que le développement des NST aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques. Construire une réflexion critique et, au besoin, réformer notre entendement à partir d’une analyse de la réalité de la recherche et non dans le ressassement de quelques lieux communs sur la technoscience, telle est la première ambition de ces séminaires ;\r\n- il s’agit ensuite de réfléchir aux usages sociaux des objets communicants afin de déterminer si ces objets, dont certains prédisent que demain ils seront parmi les premiers à être équipés en nanotechnologies, pourront faire émerger un nouvel espace critique ainsi qu’une nouvelle figure de l’amateur des oeuvres d’art, ou bien risqueront d’intensifier ce que Hannah Arendt décrivait comme un engloutissement du monde des oeuvres dans le processus de la consommation.
\r\n
\r\n\r\n
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\r\n
Introduction du séminaire par X. Guchet (IRI, INRA) – Projection du film « Le silence des nanos », du réalisateur J. Colin – Communication de P. Pajon, Maître de conférences en sémiologie, Université Stendhal Grenoble III, et Centre de Recherche sur L’Imaginaire
\r\n
\r\n
« nano ». Communication de T. Shinn, Directeur de recherche au CNRS / GEMAS (Groupe d’Etude des Méthodes de l’Analyse Sociologique). Débat introduit par S. Loeve (IRI, Université Paris X).
\r\n
\r\n
\r\nCommunication de J.-M. Lévy-Leblond, professeur émérite à l’Université de Nice.
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunications de G. Dujardin, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Laboratoire de Photophysique Moléculaire, groupe Nanosciences (LPPM, Université Paris XI), et E. Klein, physicien et philosophe des sciences, CEA.
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunication de C. Joachim, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Centre d’Elaboration des Matériaux et d’Etudes Structurales (CEMES, Toulouse).
\r\n\r\n
\r\n
\r\nCommunications de J. Frey, chimiste, Laboratoire de Chimie Organo-Minérale (LCOM, Strasbourg), et B. Bensaude-Vincent, professeur de philosophie et d’histoire des sciences, Université de Paris X – Nanterre.
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\nLa première année du séminaire fut consacrée à la fabrique des représentations, que le programme des séances permet d’aborder selon différentes perspectives.\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
V. Bontems, sur le thème « Nanosciences et relations d’échelle »
\r\n
\r\n
Xavier Guchet, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon ».
\r\n
\r\n
Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences »
\r\n\r\n
\r\n
D. Debaise, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead »
\r\n\r\n
\r\n
Jean-Pierre Dupuy, sur le thème « Nanosciences et théories de la complexité ».
\r\n\r\n
\r\n
Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences ».
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n
Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\n
Nanotechnologies 2009 sous Lignes de Temps\r\n\r\nL’intention générale de ce séminaire, commencé l’an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\nLe séminaire de l’an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu’il n’est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l’électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d’avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l’idée que les NST ne font pas qu’intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu’elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu’on ne peut pas aujourd’hui penser la nature sans parler des nanosciences. C’est cette pensée de la nature que l’on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l’an passé a permis d’en donner un aperçu par l’examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n’y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s’appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l’hypothèse qu’elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l’ère d’une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l’être. L’idée même d’une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d’instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
\r\n\r\n
\r\n
\r\n\r\n\r\n
\r\n
\r\n
\r\n
intervention d’Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d’un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\r\n\r\n
\r\n
intervention d’Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d’une thèse sur l’émergence de MINATEC.
\r\n
\r\n
intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\r\n\r\n
\r\n
intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\r\n\r\n
\r\n
intervention d’Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
\r\n\r\n
\r\n
intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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\r\n\r\nLe séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l’examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d’une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l’indique clairement le rapport d’un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c’est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n’émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l’ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d’une société de la connaissance s’articule-t-il aux dynamiques de recherche et d’innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\r\n\r\n
Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\r\n\r\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve\r\n\r\n
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Flyer du séminaire 2009\r\n\r\n
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Résumé :
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Internet et la mutation numérique travaillent en profondeur le champ culturel.
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L''attention s''est focalisée, dans un premier temps, sur l''impact des phénomènes de numérisation et de dématérialisation sur les industries culturelles : gains de productivité, phénomènes de « convergence », concurrence et coopération entre les acteurs traditionnels des filières culturelles et les acteurs issus du numérique, déstabilisation des modes de valorisation, d''exploitation et de distribution des 1/2uvres, exploration de nouveaux modèles économiques.
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L''attention tend à se déplacer désormais vers les usages numériques culturels eux mêmes, sinon vers les « contenus ».
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Ce changement de perspective amène à sinterroger sur la manière dont les logiciels, les services en ligne, les compétences et savoir-faire « numériques » des « usagers » informent les pratiques culturelles.
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L''objectif de ce séminaire est de dégager les lignes de force qui travaillent tant l''offre culturelle que les pratiques culturelles.
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Le séminaire se propose d''explorer avec des chercheurs et des praticiens les problématiques d''usages émergents. Il portera une attention particulière aux usages liés à l''univers du « Web 2.0 ».
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Plutôt que de passer en revue l''impact du numérique sur chacune des grandes filières culturelles (l''audiovisuel, l''écrit, la photographie ou la musique), le parti a été retenu d''organiser le séminaire autour de quelques grandes thématiques d''usage transversales aux filières.
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Ce séminaire s''adresse aux agents du DEPS : il est ouvert aux responsables des différentes directions du ministère de la Culture.
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Les travaux du séminaire s''appuieront sur un état bibliographique et donneront lieu à une synthèse. (Le détail des intervenants ultérieurs sera communiqué très prochainement).
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La séance inaugurale aura lieu le 17 octobre, à 15h Salle «Vivant Denon», Ministère de la Culture, 182 rue Saint Honoré.
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Sauf indication différente, le séminaire se tiendra ensuite les mardi de 14h30 à 17h30.
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Salle Colette. Ministère de la Culture. 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage.
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Des séances auront lieu au Centre G. Pompidou.
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Après le mois de février, ce séminaire se poursuivra par une suite de manifestations ouvertes au public, à linitiative de lIRI / Centre G. Pompidou.
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Programme et horaires :
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Contact Y. Maignien (0140157975) et J. Beaudoin-Glandières. (0140157917)
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Lieu : Salle Colette. Ministère de la Culture : 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage. (excepté séance inaugurale)
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Horaires : les mardi de 14h30 à 17h30 EN 2006
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Dates :
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\n - Mardi 17 octobre 14h30 Ouverture du séminaire Objectifs Paysage technologique Les convergences (informatique-audiovisuel-télécoms, fixe-mobile, image-son etc |) La prééminence du logiciel Le Web 2.0
\n - Mardi 7 novembre Publier, s''exprime r,| Médias personnels, nano-publication Nouvelles lignes de partage entre le public et le privé
\n - Mardi 21 novembre Rechercher, conserver, archiver, classer, indexer, taguer, annoter, géolocaliser Les nouvelles pratiques documentaires : moteurs de recherche, « indexation sociale », folksonomies, « recherche communautaire ». Les nouvelles bibliothèques.
\n - Mardi 5 décembre Commenter, juger, évaluer, coopérer, co-produire, collaborer, partager Co-création et communautés
\n - Mardi 9 janvier Echanger, distribuer, communiquer, accéder, faire suivre, reproduire| L''Internet comme architecture La neutralité technologique Logiques pull et push, RSS, Web 2.0 Agrégation de contenus et assemblage de systèmes, mash up
\n - Mardi 23 janvier Citer, emprunter, recycler, réutiliser, remixer La révolution modulaire dans la musique (Culture « remix ») et dans le logiciel Les nouvelles licences
\n - Mardi 6 février Jouer, simuler, modéliser Le jeu video : un foyer d''innovations, un « attracteur» pour les industries culturelles Les nouvelles articulations virtuel-réel
\n - Mardi 20 février Natifs et immigrants numériques Cultures jeunes, cultures urbaines, culture numériques (Mobilité, nomadisme, « culture de l''écran »)
\n - Synthèse publique Typologie des usages numériques culturels Figures de l''usager, du consommateur, du bricoleur, de l''amateur et du pro-am (amateur-professionnel). Synthèse des problématiques prospective
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archive 2008
\n\nLe séminaire
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l''examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d''une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l''indique clairement le rapport d''un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c''est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n''émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l''ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d''une société de la connaissance s''articule-t-il aux dynamiques de recherche et d''innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\n
Dates en 2009\n
\n - Jeudi 15 janvier de 17h à 19h : intervention d''Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d''un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\n - Jeudi 26 février de 17h à 19h : intervention d''Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d''une thèse sur l''émergence de MINATEC.
\n - Jeudi 26 mars de 17h à 19h : intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\n - Jeudi 9 avril de 17h à 19h : intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\n - Jeudi 14 mai de 17h à 19h : intervention d''Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
\n - Jeudi 18 juin de 17h à 19h : intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\n\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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archive 2008
\r\n\r\nLe séminaire
Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l''examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d''une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l''indique clairement le rapport d''un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c''est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n''émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l''ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d''une société de la connaissance s''articule-t-il aux dynamiques de recherche et d''innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\r\n
Dates en 2009\r\n
\r\n - Jeudi 15 janvier de 17h à 19h : intervention d''Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d''un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
\r\n - Jeudi 26 février de 17h à 19h : intervention d''Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d''une thèse sur l''émergence de MINATEC.
\r\n - Jeudi 26 mars de 17h à 19h : intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 9 avril de 17h à 19h : intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 14 mai de 17h à 19h : intervention d''Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
\r\n - Jeudi 18 juin de 17h à 19h : intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\r\n\r\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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\n\nEnjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies\n\nSéminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d’Innovation, 2007-2009\n\nL’intention générale qui anime ce séminaire, programmé sur les trois prochaines années, est double :\n- il s’agit d’abord de stimuler une approche résolument critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que le développement des NST aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques. Construire une réflexion critique et, au besoin, réformer notre entendement à partir d’une analyse de la réalité de la recherche et non dans le ressassement de quelques lieux communs sur la technoscience, telle est la première ambition de ces séminaires ;\n- il s’agit ensuite de réfléchir aux usages sociaux des objets communicants afin de déterminer si ces objets, dont certains prédisent que demain ils seront parmi les premiers à être équipés en nanotechnologies, pourront faire émerger un nouvel espace critique ainsi qu’une nouvelle figure de l’amateur des oeuvres d’art, ou bien risqueront d’intensifier ce que Hannah Arendt décrivait comme un engloutissement du monde des oeuvres dans le processus de la consommation.
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Introduction du séminaire par X. Guchet (IRI, INRA) – Projection du film « Le silence des nanos », du réalisateur J. Colin – Communication de P. Pajon, Maître de conférences en sémiologie, Université Stendhal Grenoble III, et Centre de Recherche sur L’Imaginaire
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« nano ». Communication de T. Shinn, Directeur de recherche au CNRS / GEMAS (Groupe d’Etude des Méthodes de l’Analyse Sociologique). Débat introduit par S. Loeve (IRI, Université Paris X).
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\nCommunication de J.-M. Lévy-Leblond, professeur émérite à l’Université de Nice.
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\nCommunications de G. Dujardin, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Laboratoire de Photophysique Moléculaire, groupe Nanosciences (LPPM, Université Paris XI), et E. Klein, physicien et philosophe des sciences, CEA.
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\nCommunication de C. Joachim, physicien, Directeur de recherche au CNRS, Centre d’Elaboration des Matériaux et d’Etudes Structurales (CEMES, Toulouse).
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\nCommunications de J. Frey, chimiste, Laboratoire de Chimie Organo-Minérale (LCOM, Strasbourg), et B. Bensaude-Vincent, professeur de philosophie et d’histoire des sciences, Université de Paris X – Nanterre.
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\n\nLa première année du séminaire fut consacrée à la fabrique des représentations, que le programme des séances permet d’aborder selon différentes perspectives.\n
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V. Bontems, sur le thème « Nanosciences et relations d’échelle »
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Xavier Guchet, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon ».
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Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences »
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D. Debaise, sur le thème « Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead »
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Jean-Pierre Dupuy, sur le thème « Nanosciences et théories de la complexité ».
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Bernard Stiegler, sur le thème « Ontologie des nanosciences ».
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Nanosciences et philosophies de la nature\n\nL’intention générale de ce séminaire, commencé l’an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d’une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d’une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l’expérience et de la connaissance humaines. Il s’agit par conséquent d’abandonner toute position de survol pour s’enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\nLe séminaire de l’an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu’il n’est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l’électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d’avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l’idée que les NST ne font pas qu’intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu’elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu’on ne peut pas aujourd’hui penser la nature sans parler des nanosciences. C’est cette pensée de la nature que l’on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l’an passé a permis d’en donner un aperçu par l’examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n’y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s’appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l’hypothèse qu’elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l’ère d’une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l’être. L’idée même d’une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d’instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\n
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intervention d’Isabelle BRUNO (sciences politiques, Université Lille 2), auteur d’un ouvrage sur la notion de « société de la connaissance ».
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intervention d’Aurélie DELEMARLE (gestion, ESIEE), auteur d’une thèse sur l’émergence de MINATEC.
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intervention de Dominique VINCK (sociologie, Université Pierre Mendès-France, Grenoble), sur les dynamiques de la recherche en micro- et nanotechnologies.
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intervention de Céline VERCHERE (sociologie, CEA-LID, Grenoble), sur les usages anticipés des micro- et nanotechnologies.
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intervention d’Alain KAUFMANN (sociologie, Université de Lausanne), sur les débats publics autour des nanotechnologies.
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intervention de Xavier GUCHET et Sacha LOEVE. Clôture du séminaire.
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\n\nLe séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera consacré cette troisième et dernière année à l’examen des dynamiques sociales associées aux innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction d’une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence de Lisbonne en 2000. Comme l’indique clairement le rapport d’un groupe de travail mandaté par la Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la connaissance, c’est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n’émanent pas des seuls scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l’ensemble parties prenantes, notamment le public. Comment ce programme de construction d’une société de la connaissance s’articule-t-il aux dynamiques de recherche et d’innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire » des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois.\n\n
Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.\n\n
Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve\n\n
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Flyer du séminaire 2009\n\n
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\nL''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\n\r\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
dates en 2008 : \r\n
\r\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\r\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\r\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\r\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\r\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\r\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Modernités\r\n\r\nSous la direction de Pierre-Damien Huyghe, philosophe Paris I Panthéon-Sorbonne\r\n\r\nLe Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.\r\n\r\nLa naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.\r\n\r\nQu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?\r\n\r\nLimportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :\r\n\r\n«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?\r\n\r\nNous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.\r\n\r\nNous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »\r\n\r\n\r\n
Accès : limité et sur inscription
contact@iri.centrepompidou.fr\r\n
Horaires : les lundis : 18h-20h\r\n
Coordination du séminaire : Pierre-Damien Huygue\r\n\r\n\r\n\r\n
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle du Collège (Piazza Beaubourg)
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, en Salle Messiaen, Ircam.
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Par Bernard Stiegler, en Salle Messiaen, Ircam.
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En Salle Messiaen, IRCAM.
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En Salle Messiaen, IRCAM.
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En Salle Messiaen de l''Ircam.
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Par Pierre-Damien Huyghe et Bernard Stiegler, en Salle Messiaen de l''Ircam
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Modernités\r\n\r\nSous la direction de Pierre-Damien Huyghe, philosophe Paris I Panthéon-Sorbonne\r\n\r\nLe Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.\r\n\r\nLa naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.\r\n\r\nQu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?\r\n\r\nLimportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :\r\n\r\n«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?\r\n\r\nNous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.\r\n\r\nNous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »\r\n
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Séminaire « Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies ». Séminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d''Innovation, 2007-2008
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature
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L''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.
\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.
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dates en 2008 : \n
\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Flyer du séminaire 2008
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Flyer du séminaire 2007
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Programme de l''atelier : Pour une évaluation critique des bionanotechnologies (25-26 janvier 2008, ENS)
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+(285, 1, '2007-03-09 16:24:32', '2007-03-09 15:24:32', 'Sous la direction de
Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.\r\n
La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
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Ethique foucaldienne et art contemporain
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
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Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
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Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
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L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
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Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
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Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
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Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
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Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
\r\n
L’articulation savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, de jugement.
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La nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques de soi et des arts de la mémoire.
\r\n\r\nNous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »\r\n
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Accès Sur invitation\r\n\r\n
Dates : à partir du mois de mars\r\n\r\n
Lieux: Salle du collège\r\n\r\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :\r\n
\r\n - 9 mars
\r\n - 16 mars
\r\n - 23 mars
\r\n - 30 mars
\r\n - 6 avril
\r\n - 27 avril
\r\n - 4 mai
\r\n - 11 mai
\r\n - 18 mai
\r\n - 25 mai
\r\n - 1er juin
\r\n - 8 juin
\r\n - 15 juin
\r\n
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abstract :
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Le Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, antimodernités.
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La naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.
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Qu''en est-il aujourd''hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu''en est-il de la modernité aujourd''hui en général, et dans le monde entier ? En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu''en 1977 ?
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Limportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, qui précise dans ces quelques lignes son propos| :
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«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l''aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l''usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » et l''« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N''avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d''objets et de domaines de valorisation n''est-il pas lui-même aujourd''hui « déplacé » et incapable d''organiser la « sociation » ?
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Nous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses formes, refusé pour d''autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d''en mettre en question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s''il existe différentes phases, époques ou états de l''avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l''idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.
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Nous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d''abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu''une société et une culture « déplacées » par les modalités des inventions qui s''y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l''esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à l''élaboration de ces affects dans les champs de l''économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l''examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d''intelligence collective » passant par l''enregistrement, l''annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »
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Lieu :
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Accès : Sur inscription : contact@iri.centrepompidou.fr
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Horaires : les lundis : 18h-20h
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Dates et lieux :
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\n - 23 octobre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Les formes de l''invention » Salle du Collège (Piazza Beaubourg).
\n - 06 novembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Du moderne à la modernité, la représentation en question » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 20 novembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Les fondements de l''urbanité : entre violence souveraine et poussées productives. » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 04 décembre, Pierre-Damien Huyghe, Paris 1 IRI, « Expérience vécue et expérience enregistrée, la double mémoire des modernes. » Salle Messiaen, Ircam.
\n - 18 décembre, Bernard Stiegler, titre à déterminer. Salle Messiaen, Ircam.
\n - 15 janvier, Salle Messiaen, IRCAM.
\n - 29 janvier, Salle Messiaen, IRCAM.
\n - 12 février, Salle Messiaen de l''Ircam (Annulée)
\n - 26 février, Salle Messiaen de l''Ircam.
\n - 12 mars, Pierre-Damien Huyghe et Bernard Stiegler : conclusion du séminaire. Salle Messiaen de l''Ircam
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Programme 2009
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Nanosciences et philosophies de la nature\r\n\r\nL''intention générale de ce séminaire, commencé l''an passé, est de stimuler une approche critique des nanosciences et nanotechnologies (NST), non pas au sens d''une mise en accusation systématique des sciences et des techniques, mais au sens d''une analyse des effets que leur développement aura sur les conditions de l''expérience et de la connaissance humaines. Il s''agit par conséquent d''abandonner toute position de survol pour s''enfoncer dans la fabrique des représentations et des concepts, au plus près du travail des scientifiques en NST.\r\n\r\nLe séminaire de l''an passé, sur les représentations du nanomonde, a montré qu''il n''est pas possible de réduire la recherche en NST à des considérations strictement utilitaires. Les recherches dans les domaines de l''électronique et de la mécanique moléculaires, pourtant propices à suggérer une orientation purement utilitaire des recherches en NST, apparaissent au contraire sinon exclusivement, du moins prioritairement motivées par des intérêts de connaissance. Or, ce constat ne peut pas manquer d''avoir des incidences sur la, ou les, conception(s) de la nature que les recherches en NST font émerger. On veut en effet dans ce séminaire défendre l''idée que les NST ne font pas qu''intensifier ce rapport de pure exploitation à la nature qui est supposé définir la modernité technoscientifique, mais qu''elles font aussi émerger une vraie pensée de la nature. En parodiant Merleau-Ponty parlant de la cybernétique à la fin des années 50, on peut dire qu''on ne peut pas aujourd''hui penser la nature sans parler des nanosciences. C''est cette pensée de la nature que l''on voudrait interroger cette année. Si le séminaire de l''an passé a permis d''en donner un aperçu par l''examen des artifices fabriqués en laboratoire, le séminaire de cette année sera consacré à expliciter plus précisément cette pensée et avant tout à en montrer la diversité (il n''y a pas une mais plusieurs conceptions de la nature dans les NST). On entend pour cela s''appuyer sur des pensées philosophiques de la nature, celles de Whitehead et de Simondon en particulier, en faisant l''hypothèse qu''elles sont susceptibles de fournir des concepts permettant de mieux caractériser cette pensée de la nature qui se forge au coeur de la recherche en NST. Les NST, considérées comme le fleuron de la créativité opératoire des technosciences contemporaines, semblent inaugurer l''ère d''une processualité pure dans laquelle le devenir aurait destitué l''être. L''idée même d''une nature extérieure à nos activités technoscientifiques achèverait sa décomposition et ferait place à une perspective massive d''instrumentalisation des processus matériels, considérés dans leur ensemble comme des « dispositifs pour ». Peut-on en rester là ? Cette question servira de fil conducteur aux réflexions de ce séminaire 2007-2008.\r\n
dates en 2008 : \r\n
\r\n - mardi 29 janvier : V. Bontems, sur le thème "Nanosciences et relations d''échelle"
\r\n - mardi 19 février : Xavier Guchet, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature et de la technique de G. Simondon"
\r\n - mardi 18 mars : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences"
\r\n - mardi 15 avril : D. Debaise, sur le thème "Les nanosciences à la lumière de la philosophie de la nature de Whitehead"
\r\n - mardi 13 mai : Jean-Pierre Dupuy, sur le thème "Nanosciences et théories de la complexité".
\r\n - mardi 10 juin : Bernard Stiegler, sur le thème "Ontologie des nanosciences".
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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve
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Flyer du séminaire 2008\r\n\r\n
Flyer du séminaire 2007\r\n\r\n
Programme de l''atelier : Pour une évaluation critique des bionanotechnologies (25-26 janvier 2008, ENS)', 'Séminaire Nanotechnologies 2008', '', 'inherit', 'closed', 'closed', '', '281-revision-2', '', '', '2009-12-21 16:22:53', '2009-12-21 15:22:53', '', 281, 'http://www.iri.centrepompidou.fr/dev/~hurons/?p=287', 0, 'revision', '', 0),
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Sous la direction de Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.
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La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
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Ethique foucaldienne et art contemporain
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
\n
Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
\n
Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
\n
L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
\n
Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
\n
Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
\n
Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
\n
Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
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L’articulation savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, de jugement.
\n
La nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques de soi et des arts de la mémoire.
\n
Nous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »
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Accès Sur invitation
\n
Dates : à partir du mois de mars
\n
Lieux: Salle du collège
\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :
\n
\n - 9 mars
\n - 16 mars
\n - 23 mars
\n - 30 mars
\n - 6 avril
\n - 27 avril
\n - 4 mai
\n - 11 mai
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Catherine Perret, Paris 10 Nanterre.\n
La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?
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Ethique foucaldienne et art contemporain
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Ce nouveau séminaire aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne de l’histoire de l’art moderne.
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Ces analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation « sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
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Tout en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à inclure la pratique comme une de ses dimensions.
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L’articulation du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données esthétiques de cette expérience.
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Le séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent confrontées les Lumières contemporaines.
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Dans ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, -ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
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Qu’en est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques et des modes d’individuation inédits ?
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Michel Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques de production et d’administration du 19ème siècle. C’est pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
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L’articulation savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, de jugement.
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La nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques de soi et des arts de la mémoire.
\n\nNous pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »\n
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Accès Sur invitation\n\n
Dates : à partir du mois de mars\n\n
Lieux: Salle du collège\n\n
Dates et horaires EN 2007 : de 14h30 à 17h30, les vendredi suivants :\n
\n - 9 mars
\n - 16 mars
\n - 23 mars
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+ PRIMARY KEY (`ID`)
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+-- Contenu de la table `Lignes`
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+INSERT INTO `Lignes` (`ID`, `Auteur`, `Titre`, `Fond`, `NomFichier`) VALUES
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