Les enfants nous présentent, en français et en italien, les lieux les plus significatifs de leur quartier : leur école, le Centre Pompidou, le Bazar de l’Hôtel de ville, le fameux BHV.
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Présentation du travail par les enseignantes
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« Après avoir travaillé avec les élèves du collège Thomas Mann pour ce projet, j’ai été mise en contact avec l'école Saint-Merri qui avaient besoin d’une aide pour concevoir et suivre le travail de tournage de leurs élèves. La démarche a été différente de celle que nous avons suivie avec les élèves de Thomas Mann (voir texte Lila Pinell / Collège Thomas Mann). Nous avions beaucoup moins de temps (je suis intervenue au collège pendant toute l'année), mais Anne Laforge et Hélène Valencien avaient travaillé en amont avec leurs élèves.
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Les enfants ont choisi de présenter leur Paris à la manière de petits reporters. C'est pourquoi les lieux choisis sont plutôt dans leur quartier, et qu'à côté du Centre Pompidou, on peut trouver la boulangerie ou le BHV (Bazar de l’Hôtel de ville). L'idée est de parler d'un Paris totalement subjectif, vu par des enfants qui y habitent, mais de leur le présenter à travers une forme journalistique, connue de tous.
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Présentation du travail par les enseignantes
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« Après avoir travaillé avec les élèves du collège Thomas Mann pour ce projet, j’ai été mise en contact avec l'école Saint-Merri qui avait besoin d’une aide pour concevoir et suivre le travail de tournage de leurs élèves. La démarche a été différente de celle que nous avons suivie avec les élèves de Thomas Mann (voir texte Lila Pinell / Collège Thomas Mann). Nous avions beaucoup moins de temps (je suis intervenue au collège pendant toute l'année), mais Anne Laforge et Hélène Valencien avaient travaillé en amont avec leurs élèves.
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Les enfants ont choisi de présenter leur Paris à la manière de petits reporters. C'est pourquoi les lieux choisis sont plutôt dans leur quartier, et qu'à côté du Centre Pompidou, on peut trouver la boulangerie ou le BHV (Bazar de l’Hôtel de ville). L'idée est de parler d'un Paris totalement subjectif, vu par des enfants qui y habitent, mais de le leur présenter à travers une forme journalistique, connue de tous.
Nous avons décidé de continuer ce travail et de l'étendre à d'autres lieux de leur Paris, et cela dans la perspective notamment de continuer le dialogue avec les élèves italiens.
J'espère que le projet va continuer et évoluer avec les années, parce que les enfants s'amusent, créent et apprennent beaucoup grâce à ce type d'initiatives. Et moi aussi. » Lila Pinell, juin 2009.
Une promenade à Sienne avec les enfants de l’école.
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Texte
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« Sienne est une petite ville, très ancienne, de Toscane entourée de douces collines et de grands espaces verts. Dans notre ville il n’y a pas de grands bâtiments et surtout il y a peu de trafic. Nous pouvons marcher ou faire du vélo tranquillement. L’année dernière avec nos maîtresses nous avonstravaillé sur les limites et, grâce à cette réflexion, l’envie est née de travailler avec la classe de CE1 de l’école à aires ouvertes Saint-Merri et Renard : nous avons envoyé des dessins montrant nos moments préférés du film Le Caméraman , ainsi que nos portraits. »
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« Sienne est une petite ville, très ancienne, de Toscane entourée de douces collines et de grands espaces verts. Dans notre ville il n’y a pas de grands bâtiments et surtout il y a peu de trafic. Nous pouvons marcher ou faire du vélo tranquillement. L’année dernière avec nos maîtresses nous avons travaillé sur les limites et, grâce à cette réflexion, l’envie est née de travailler avec la classe de CE1 de l’école à aires ouvertes Saint-Merri et Renard : nous avons envoyé des dessins montrant nos moments préférés du film Le Caméraman , ainsi que nos portraits. »
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Ecole Saint-Merri, Paris (France)
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CE1 - Agnès de Willecot, institutrice
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A préparer film matinée
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Présentation par l’enseignante Agnès de Willecotfaire interview Willecot et Serre
« Regards croisés de notre patrimoine : le mur », durée 5’
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« Regards croisés de notre patrimoine : le mur », durée 5’
Quatre regards sur les murs du 18ème arrondissement de Paris.
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Présentation du travail par l’enseignante
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Présentation du travail par l’enseignante
« En échange avec l'Ecole centrale de Bucarest, un travail sur le patrimoine architectural de chaque ville a été réalisé.
La classe de CM1 et CM2 de l'école Maurice Genevoix du 18ème arrondissement présente un travail en cours.
Ce qui est présenté doit être repris et complété, pour être plus ‘lisible’.
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Italo Calvino, Les Villes invisibles, Seuil Editions.
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« En partant de là et en allant trois jours vers le levant, l'homme se trouve à Diomira, une ville avec soixante coupoles d'argent, des statues en bronze de tous les dieux, des rues pavées d'étain, un théâtre en
- cristal, un coq en or qui chante chaque matin sur une tour. Toutes ces beautés, le voyageur les connaît déjà pour les avoir vues aussi dans d'autres villes. Mais le propre de celle-ci est que si l'on y arrive un soir de septembre, quand les jours raccourcissent et que les lampes multicolores s'allument toutes ensemble aux portes des friteries, et que d'une terrasse une voix de femme crie : hou !, on en vient à envier ceux qui à l'heure présente pensent qu'ils ont déjà vécu une soirée pareille et qu'ils ont été cette fois-là heureux. »
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Italo Calvino, Les Villes invisibles, Seuil Editions.
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« En partant de là et en allant trois jours vers le levant, l'homme se trouve à Diomira, une ville avec soixante coupoles d'argent, des statues en bronze de tous les dieux, des rues pavées d'étain, un théâtre en cristal, un coq en or qui chante chaque matin sur une tour. Toutes ces beautés, le voyageur les connaît déjà pour les avoir vues aussi dans d'autres villes. Mais le propre de celle-ci est que si l'on y arrive un soir de septembre, quand les jours raccourcissent et que les lampes multicolores s'allument toutes ensemble aux portes des friteries, et que d'une terrasse une voix de femme crie : hou !, on en vient à envier ceux qui à l'heure présente pensent qu'ils ont déjà vécu une soirée pareille et qu'ils ont été cette fois-là heureux. »
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5ème C - Mariana Visan, Isabelle Bucurescu, A. Oslobeanu, Cecila Potescu
« Bucarest d’aujourd’hui – Ancien ‘Petit Paris’ », durée 16’50’’
Une balade dans la ville, à travers les yeux des enfants de 6ème de l’école de Bucarest.
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Texte
« Nous avons décidé de participer à ce projet et de réaliser ce film avec nos élèves de 6ème pour réinvestir des apprentissages scolaires dans un projet de communication vers l’extérieur de l`école, développer le sens de la rigueur et pour donner un lien aux différents contenus scolaires.
Les domaines concernés plus particulièrement ont été :
- Le français
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Collège Thomas Mann, Paris 13ème (France)
4èmeD - Elisabeth Loupiac, professeur d’arts plastiques
Réalisé sous la direction de Lila Pinell (scénario, tournage, montage).
Un « journal télévisé » sur la ville, réalisé par les élèves il s’inspire de certains des films les plus célèbres de l’histoire du 7ème art. »
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Présentation par Lila Pinell
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Présentation par Lila Pinell
« J'ai rencontré Elisabeth Loupiac il y a un an, au mois de juillet. Elle voulait monter une comédie musicale avec quelques élèves inscrits à l'école ouverte du collège Thomas Mann. Nous avons donc travaillé ensemble pendant une semaine, l'expérience a été riche et heureuse, et il en a résulté un film qui a été projeté aux élèves et à leurs invités. Le tout s'est déroulé au bétonsalon, un centre d'art au sein duquel j'organise ces différents ateliers vidéo. Cette année elle m'a recontacté et je l'ai assisté sur le projet « Ma ville vue par... ». J’ai suivi deux classes : avec la première, nous avons imaginé un scénario dans lequel des élèves seraient projetés dans le film Le Caméraman. Cela a permis aux élèves de comprendre la construction du film plan par plan. Pour insérer leur propre image dans le film, ils ont dû distinguer les champs et les contre-champs, les plans serrés et les plans larges, et trouver les moments opportuns pour apparaitre. Ils avaient imaginé une histoire de vengeance lors de laquelle un élève deviendrait invisible. Nous avons donc créé des effets spéciaux très simples, et les élèves ont imaginé des situations comiques mettant en jeu cette invisibilité. Le temps nous ayant un peu manqué, j'ai monté moi même le petit film, mais j'aurais aimé qu'ils puissent aussi participer à cette dernière phase.
Avec le deuxième groupe, nous nous sommes concentrés sur Paris. Après plusieurs discussions, nous sommes tombés d'accord sur l'idée de faire des remakes de scènes très connues du cinéma international, mais de les transposer à Paris. Nous avons choisi les films, les scènes, les lieux. Puis nous avons observé le découpage exact des morceaux choisis et nous avons tenté de les reproduire dans la mesure du possible. Nous avons utilisé des plans larges, moyens, ou des contre-plongées lorsqu'il y en avait dans la scène initiale.
« Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’
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« Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’
La classe a voulu mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d'entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer: le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l'orthodoxie.
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Présentation par les enseignants
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Présentation par les enseignants
« Pour les petits films, c'est très simple : l'un d'entre eux est une promenade joyeuse et très jeune dans une ville qui s'ouvre à la jeunesse malgré son âge vénérable et sa vétusté. Il a un rythme joyeux et alerte, qui voulait faire pendant au deuxième film, qui veut mettre en évidence un Iasi orthodoxe, paisible, conservateur, calme, malgré toute la modernité, plein d'images d'églises qui projettent dans un autre espace et un autre temps. En fait, la classe a voulu, finalement, se mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d'entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l'orthodoxie. »
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Lycée Maurice Ravel, Paris 19ème(France)
BTS Assistant trilingue - Yola Le Caïnec, professeur de français
« Ma ville vue par moi », réalisée par Maëlys Bourgoin, durée 2’37’’
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« Ma ville vue par moi », réalisée par Maëlys Bourgoin, durée 2’37’’
« J’ai choisi de montrer différents lieux du centre de Paris à mes correspondants Roumains du Colegiul national I.C. Bratianu de Pitesti. »
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« J’ai travaillé dans l’optique de définir comment mon regard perçoit le caractère culturel de Paris. Jai souhaité donner deux grands axes à mon film tout en restant fidèle au thème de la promenade ; donne à voir des lieux emblématiques comme : la Cathédrale Notre Dame, le Marais ou encore le Centre Pompidou. »
La chronologie : Je voulais que le mouvement de la caméra corresponde aux trajectoires prises par mon corps et que l’on puisse repérer sur une carte les détours empruntés.
Le rythme : Toujours dans un souci de réalisme, j’ai fait coïncider la musique avec les accélérations de la foule et j’ai marqué les moments clés par des pauses dans la musique.
Grâce à la « Maison du Geste et de l’Image » de Paris, qui m’a accueillie, j’ai pu monter mon film sur le logiciel de montage Final Cut Pro. » Maëlys Bourgoin
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« Walk in Paris by Sophie B. et Esther B. », réalisée par Sophie Besson, Esther Baucher, durée 3’26’’
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« Walk in Paris by Sophie B. et Esther B. », réalisée par Sophie Besson, Esther Baucher, durée 3’26’’
Une promenade à Paris.
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« Nous avons dû faire vite avec deux caméras pour deux heures en ville avec une météo très favorable ce jour. Ne disposant que de très peu de temps, nous avons orienté les images vers deux thèmes principaux, l'architecture et les animaux, les rues servant plus de repères pour la promenade.
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« Nous avons dû faire vite avec deux caméras pour deux heures en ville avec une météo très favorable ce jour-là. Ne disposant que de très peu de temps, nous avons orienté les images vers deux thèmes principaux, l'architecture et les animaux, les rues servant plus de repères pour la promenade.
Je dirais que l'architecture est le thème dominant. » Sophie Besson
« Nous avons voulu présenter l’architecture de notre ville d’une manière originale, dans le cadre d’une petite histoire qui racontait une amourette. Le plus difficile a été le montage. Il a été réalisé par Adonis et George, qui ont de l’expérience dans ce domaine. La lecture a été faite par Iulia, qui a traduit les textes et George a fait l’enregistrement. Les autres membres de l’équipe ont fait les recherches sur l’architecture de Pitesti. L’équipe a été coordonnée par notre professeur, Iulian Untaru. »
« La foule diverse, bigarrée, anonyme représente l’âme quotidienne de notre ville, elle peuple notre univers noyé dans le béton et dans l’artificiel, cette civilisation urbanisée et polluée d’aujourd’hui. La foule, c’est le triomphe de l’homme vivant sur l’homme câblé, scotché devant le moniteur.
Nous pouvons écouter aussi la voix mystérieuse de l'actrice Luminita Borta qui récite le poème L'Amour de Jacques Prévert.
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1èreES - Isabelle Limon, professeur d’allemand
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A préparer film matinée
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Présentation par Isabelle Limon
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Présentation par Isabelle Limon
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Diaporamas « Visite à Aix-la-Chapelle » durée 5’
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Diaporamas « Visite à Aix-la-Chapelle » durée 5’
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En mars 2009, les élèves de la classe de 1ère ES déjà en lien depuis l’année précédente, avec le Berufskolleg d’Herzogenrath, ont visité leurs partenaires. Promenades à Herzogenrath, Aix-la-Chapelle (Aachen), et à la frontière entre l’Allemagne, la Belgique et la Hollande…
« Les élèves du Berufskolleg Herzogenrath de la classe G11 passeront l’Abitur dans trois ans. Dans le cours de français ils ont participé cette année, avec leurs correspondants du Lycée Maurice Ravel de Paris 20, au projet cinéma proposé par le Centre Pompidou et dont le thème est : « Ma ville vue par…
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Présentation par l’enseignant
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« Les élèves du Berufskolleg Herzogenrath de la classe G11 passeront l’Abitur dans trois ans. Dans le cours de français, ils ont participé cette année, avec leurs correspondants du Lycée Maurice Ravel de Paris 20, au projet cinéma proposé par le Centre Pompidou et dont le thème est : Ma ville vue par…
Le point de départ a été l’Atelier Lignes de temps qui a eu lieu à notre école au mois de novembre. Les explications étaient en langue française. Les élèves qui avaient quatre ans de français ont très bien compris ce qu’on leur a communiqué. Le thème cinématographique était très motivant et la présentation du logiciel Lignes de temps était parfaitement à leur portée. L’intervention d’experts extra scolaires a complètement capté leur attention et l’introduction très pédagogique des intervenantes ne pouvait que rencontrer la compréhension de tous. Plusieurs collègues dont notre directeur ont assisté à cette prestation exceptionnelle.
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Puis les élèves ont regardé le film « L’Aurore » de Murnau et ont écrit leurs impressions et leurs remarques. Celles-ci ont été envoyées aux correspondants parisiens, qui ont fait de même. L’appréhension du départ pour un film en noir et blanc et muet par-dessus le marché a été vite surmontée. Les élèves ont reconnu la qualité artistique du film, les moyens techniques employés, l’interprétation des acteurs. Certains en ont parlé dans leur résumé, sans qu’on ait au préalable attiré leur attention sur ces points. Le thème de la ville vue par Murnau a ensuite été discuté en cours.
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Puis les élèves ont regardé le film « L’Aurore » de Murnau et ont écrit leurs impressions et leurs remarques. Celles-ci ont été envoyées aux correspondants parisiens, qui ont fait de même. L’appréhension du départ pour un film en noir et blanc et muet par-dessus le marché a été vite surmontée. Les élèves ont reconnu la qualité artistique du film, les moyens techniques employés, l’interprétation des acteurs. Certains en ont parlé dans leur résumé, sans qu’on ait au préalable attiré leur attention sur ces points. Le thème de la ville vue par Murnau a ensuite été discuté en cours.
Après les vacances de Noël les élèves ont formé de petits groupes pour faire une présentation filmée de leur ville ou leur quartier. C’est ainsi que nous avons obtenu plusieurs résultats : deux sur la ville d’Aix-la-Chapelle, un sur Alsdorf et un sur Baesweiler. Ces films ont été envoyés à Paris.
Lors de la rencontre à Paris au mois de mars, les petits groupes allemands se sont associés aux petits groupes français et pour prendre quelques images ou quelques vidéos sur la ville de Paris ou ses quartiers selon des aspects qui ont préalablement été convenus au sein des groupes franco-allemands. L’échange n’est pas encore terminé puisque nous devons encore recevoir à Herzogenrath le groupe parisien.
Parmi les multiples effets positifs que nous a apportés le projet citons en quelques-uns au hasard : Le thème de la ville est particulièrement bien adapté aux échanges puisqu’une partie des activités d’un échange ordinaire consiste à visiter les lieux où vivent les partenaires. L’aspect cinématographique nous a apporté un grand plus, puisque les élèves ont été sensibilisés à certains côtés de l’art et de la technique cinématographique, qu’ils ont communiqué sur ce sujet, qu’ils l’ont même utilisé pour communiquer entre eux. Ce moyen de communication étant, comme le pensait Chaplin, universel, ils ont pu communiquer au-delà des mots par le truchement de la caméra. Ce ne sont pas uniquement les élèves qui ont tiré parti de ce projet, mais aussi les professeurs car il leur a ouvert des horizons. » J.P. M.
« Une rencontre à Paris » par des élèves de 3èmeBCDE : montage par Marie, durée 2’25’’ / montage par Vladimir, durée 5’59’’ / montage par Théo, durée 5’20’’ / montage par Yixuan, durée 4’41’’
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« Une rencontre à Paris » par des élèves de 3èmeBCDE : montage par Marie, durée 2’25’’ / montage par Vladimir, durée 5’59’’ / montage par Théo, durée 5’20’’ / montage par Yixuan, durée 4’41’’
Un adolescent visite Paris pour la première fois. Il rencontre un élève du collège Jean Moulin. Deux visions de Paris, l'une touristique, l'autre plus quotidienne, se croisent. Différents montages réalisés par les élèves à partir des mêmes images tournées par la classe.
Des élèves sont rejetés par un groupe en raison de leur habillement (différent des leurs). Rejetés, ils font le tour de Paris et observent des tenues vestimentaires très diverses. Ils reviennent et sont finalement intégrés au groupe.
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Attention voir le DVD dans dossier, film upi / faire encodage / voir Thibaut
« Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’
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« Ma ville de jeunesse », durée 7’22’’ / « Ma ville de tranquillité », durée 10’08’’
La classe a voulu mettre en opposition - par le sujet, par le rythme et aussi par la manière d'entrevoir la gestuelle, la marche et même la façon de filmer - le Iasi de la jeunesse et le Iasi de l'orthodoxie.
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Présentation par les enseignantes
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Présentation par les enseignantes
« Les classes ont fait des progrès dans la préparation (thèmes des petits films, petits scénarios, travail technique de compréhension des notions cinématographiques...). Pour ce qui est des collaborations avec le Collège Thomas Mann à Paris les enfants ont fait connaissance grâce à des blogs.
Nous avons aussi assisté à des projections d’un festival de documentaires sur la ville de Iasi programmé pour la commémoration des 600 ans de la fondation de la ville. C'était l'illustration idéale de notre projet, et qui est tombé fort à propos... Les enfants ont apprécié et ont beaucoup argumenté sur la valeur des films. » Sorina Danaila
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Colegiul national Radu Negru, Făgăraş(Roumanie)
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Colegiul national Radu Negru, Făgăraş (Roumanie)
1ère Raluca Ionescu, professeur de français langue étrangère
« Ma ville vue par… la mère et sa fille », durée 5’40’’
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« Ma ville vue par… la mère et sa fille », durée 5’40’’
Les alentours du collège à travers deux points de vue : le regard du bébé et celui de sa mère.
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« Nous avons écrit une trame de scénario : Ma ville vue par... des personnes d'âges différents.
Les deux angles de vues du film seront le regard d'un bébé/jeune enfant et de sa mère.
Point de vue de l'enfant : Vision en contre-plongée et/ou depuis une poussette. Les choses sont vues d'en bas, on est au ras du sol, on voit tout un tas d'aspect de la ville dont les plus grands n'ont pas forcément conscience, ou qu'ils perçoivent différemment : pots d'échappements, voitures qui passent très près de la poussette et qui sont effrayantes, crottes de chiens, plaques d'égouts, jambes des passants, chiens agressifs juste au même niveau (qui se jettent contre le grillage ou aboient en montrant les dents au passage de la poussette), secousses du trajet en poussette, descente du toboggan (chute en avant vers le vide), personnes qui se penchent sur la poussette pour embrasser l'enfant ou le toucher (gros plan d'une personne qui se penche vers la caméra) etc.
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La musique est plutôt gaie, enjouée et en tout les cas agréable pour faire un vrai contraste avec l'autre point de vue.
La raison des deux différents points de vue ne devra pas être trop explicite dès le début, ce serait bien de pouvoir intriguer et de ne révéler la clé qu'à la fin, à l'aide d'une chute (mère qui se penche sur la caméra et dit quelque chose concernant la balade)
Lieux : rues voisines du collège par exemple, parc près du collège (en allant vers l'espace Gérard Philippe) ou parc du dispensaire…
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Nous (le prof de techno) avons créé un logiciel pour rédiger les scénarios et allons commencer à monter le 31 mars sur un salon où nous nos élèves présentent les logiciels libres : http://www.intertice.fr/.
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Nous (le prof de techno) avons créé un logiciel pour rédiger les scénarios et allons commencer à monter le 31 mars sur un salon où nous nos élèves présentent les logiciels libres : http://www.intertice.fr/.
« I Ragazzi con la machina da presa – Odessa adesso », durée 11’49’’
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« I Ragazzi con la machina da presa – Odessa adesso », durée 11’49’’
Fascinés par L’Homme à la caméra de Dziga Vertov, les élèves ont construit leur film sur le modèle du film.
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Présentation par les enseignants
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Présentation par les enseignants
Piacenza, 26 juin 2008
Projet européen La mia città vista da…
Cadre :
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4e étape (avril/mai pendant les cours de Langages et Informatique) :
• Les classes partenaires s’échangent les courts-métrages réalisés, ils les analysent et s’échangent leurs points de vue.
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Présentation par les enseignants
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Présentation par les enseignants
Piacenza, mai 2009
« Les élèves ont analysé plusieurs films sur la ville et ont été fascinés par L’homme à la caméra de Dziga Vertov, film dans lequel on voit des images de Moscou mais aussi les péripéties de l’opérateur qui cherche ses images dans la ville, ainsi que les spectateurs qui assistent, dans une salle de cinéma, à la projection du film que la caméra a capturé pour eux.
En réfléchissant à la manière de représenter Piacenza, ils ont voulu se référer à ce modèle qu’ils considèrent encore d’actualité. Ils n’ont donc pas suivi de scénario, et se sont montrés dans l’acte de tourner. Leur caméra a essayé de saisir le rythme de la vie quotidienne. Le montage a eu un rôle capital : la comparaison entre les plans de la ville soviétique et ceux de Piacenza montre que les villes, bien que distantes dans l’espace et dans le temps, se ressemblent un peu, lorsqu’elles parlent de la vie de tout les jours lorsque la ville est vide parce qu’elle dort ; lorsqu’elle s’anime et se remplit, lorsqu’elle travaille; mais, puisque le tournage s’est fait le jour où le pont sur le Pô s’est écroulé, ils ont pu filmer aussi cet événement exceptionnel.
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3ème4- Anne-Catherine Mourgue, professeur de lettres classiques / Aurélie Pieterwas professeur de lettres classiques / Philippe Roca et Julien Charlier, professeurs de technologie / Christelle Musset, professeur d'anglais / Christophe Sayol, professeur d'anglais / Nicolas Henry professeur de SVT
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NN : Le Collège Darius Milhaud et le Colegiul National Mihai Eminescu ayant plusieurs classes en binôme ont produit des films communs. Voir ci-dessus.
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NB : Le Collège Darius Milhaud et le Colegiul National Mihai Eminescu ayant plusieurs classes en binôme ont produit des films communs. Voir ci-dessus.
Sylvain, 20 ans se présente confiant à une audition pour l’adaptation américaine de Bérénice, dans le Marais.
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Texte
« Avant de partir, sa copine ne l’encourage qu’à demi-mot. Pourtant, l’enjeu est important. Il échoue. A la sortie de l’audition, pris de désespoir il suit la directrice de casting dans les rues du Marais, en vue d’une seconde chance. Réalisant son erreur, il reprend ses esprits et se réconcilie avec sa copine. » Laure Massiet
« Salut Paris », durée 24’’ / « Ma ville vue par… Buzău », durée 13’08’’
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19_Buzău
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« Salut Paris », durée 24’’ / « Ma ville vue par… Buzău », durée 13’08’’
L’idée générale du film, c'est la ville, les rues, les parcs, des aspects de la vie des gens, des animaux et des bâtiments anciens, notre lycée et nos élèves.
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Présentation par les enseignants
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Présentation par les enseignants
« Nous avons travaillé sur des séquences :
1. tout d'abord notre lycée avec l'entrée.
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11. la ville pendant la nuit avec le Palais Communal.
12. retour au lycée avec le portrait du patron, l'écrivain BP Hasdeu, les bustes de deux grandes personnalités, anciens élèves, les halls , les fleurs très chères à notre directeur. » Ioana Voinea
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Quelques courriers des élèves roumains à leurs correspondants français
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Quelques courriers des élèves roumains à leurs correspondants français
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Quelques courriers des élèves roumains à leurs correspondants français
Je m’appelle Patricia et je suis lycéenne au college B. P. Hasdeu .Je suis née en novembre 1992 et j’ai 16 ans. A l’école je suis dans une classe ou nous étudions les mathématiques, informatique, chimie, biologie, physiques plus que les autres copains. Je connais l`anglais très bien et le français de niveau moyen.
J’aime communiquer avec d’autres gens et me faire beaucoup d’amies. J`aime aussi lire tandis que ma classe est faite pour ceux qui aiment les sciences. Mon rêve est de devenir un bon médecin parce que je crois qu’aider les hommes quand ils sont malades est un des plus beaux métiers. Si on parle « éducation physique » je peux dire que j`aime le basket-ball et la danse sportive. J’aime aussi les promenades avec mes amis et mes copains.
Les animaux… je les aime. J’ai deux chiens qui s’appellent Fred et Lady et une petite chatte câline qui s’appelle Zuzu.
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Et maintenant quelques choses sur moi : je suis très sociable, j’aime connaître de nouvelles personnes. J’aime beaucoup lire, surtout des romans et pièces de théâtre. J’aime la nature, les excursions à la montagne avec mes amis…
Coté loisirs, je préfère écouter de la musique, me promener avec mes amis , mais j’aime aussi rester à la maison et faire diverses choses avec ma famille.
Suite à une dispute avec sa mère, un jeune homme sort de chez lui furieux le jour de l’examen du baccalauréat.
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« Epreuve capitale » durée 4’87’’ fini à 7’22’’
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Suite à une dispute avec sa mère, un jeune homme sort de chez lui, furieux, le jour de l’examen du baccalauréat.
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Texte
« … Il claque la porte et prétend qu’il se moque de l’examen. Il prend le bus, mais n’a pas son pass Navigo. Tout le bus s’en mêle. Deuxième dispute, le chauffeur pile. Le jeune homme doit sortir et croise deux jeunes gens à qui il demande son chemin. Les deux jeunes l’accompagnent sur la Petite ceinture, puis le laissent seul. Il cherche son chemin et découvre un lieu tout à fait insoupçonné où l’on découvre les traces d'une capitale champêtre, fantôme, abandonnée. Finalement, il panique à l’idée de rater son examen. En apercevant des individus peu rassurants, il décide de quitter les lieux. par le premier moyen possible, et s’aperçoit que, miraculeusement, il est arrivé au lycée Paul Valéry. Il arrive à convaincre le gardien de le laissé entrer in extremis et peut passer son examen, l’esprit tranquille, libéré de toute pression. »
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Texte
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Journal de bord collectif
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Journal de bord collectif / Compte-rendu de la séance du 3 Décembre 2008
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Journal de bord collectif / Compte-rendu de la séance du 3 décembre 2008
Nous avons d’abord commencé par faire un tour de table pour rassembler les idées de chacun pour le film :
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Eric : les quais de seines, voyage au fil de l’eau. Rencontre entre un homme riche qui attend sa femme et un SDF assis là. Les deux protagonistes se parlent, se lient, deviennent presque amis.
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® voir les films de Renoir, La règle du jeu ; Boudu, Sauvé des eaux.
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Eric : les quais de Seine, voyage au fil de l’eau. Rencontre entre un homme riche qui attend sa femme et un SDF assis là. Les deux protagonistes se parlent, se lient, deviennent presque amis.
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® voir les films de Renoir, La Règle du jeu ; Boudu sauvé des eaux.
Elie : voir chaque facette de Paris, du métro à la seine en passant pas les beaux quartiers puis par Belleville etc.….
Maïa : partie de ballon, puis perte du ballon après un shoot malencontreux. Puis recherche du ballon à travers la ville.
Laure : coulée verte.
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Youri : dispute entre un homme et une femme, l’homme tente de la rattraper et tombe dans une partie de la ville qu’il ne soupçonnait pas. Il est étonné puis retour a la réalité.
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Alexandre : un homme cherche une femme après une dispute, il la retrouve mais elle ne veut plus de lui…Déprimé il rencontre alors une personne qui est opposée a lui comme un artiste fou (opposition de deux personnages cf Eric )
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Guillaume : deux personnes marchent dans la rue l’un fait découvrir a l’autre un lieu secret puis disparaît. Retrouvé seul le deuxième personnage se perd et découvre des endroits étranges (catacombes ?)
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Youri : dispute entre un homme et une femme, l’homme tente de la rattraper et tombe dans une partie de la ville qu’il ne soupçonnait pas. Il est étonné puis retour à la réalité.
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Alexandre : un homme cherche une femme après une dispute, il la retrouve mais elle ne veut plus de lui…Déprimé il rencontre alors une personne qui est opposée à lui comme un artiste fou (opposition de deux personnages cf. Eric )
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Guillaume : deux personnes marchent dans la rue ; l’un fait découvrir a l’autre un lieu secret puis disparaît. Retrouvé seul le deuxième personnage se perd et découvre des endroits étranges (catacombes ?)
Jeu d’opposition entre le mouvement, le bruit, le gens de la ville extérieure et la ville souterraine silencieuse et vide. (petite ceinture ?) Ville du haut ¹ ville du bas.
® voir le film d’Antonioni, L’Avventura.
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Pierre : Barbes, rue de la chapelle, métro aérien, terrain de basket, lieux sales, tristes… Comparaison avec un autre quartier.
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Pierre : Barbès, rue de la Chapelle, métro aérien, terrain de basket, lieux sales, tristes… Comparaison avec un autre quartier.
Timothée : Petite ceinture, maison abandonnée lieux de la digression ?
Découverte de la maison.
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Samuel : Un homme rate une séance au MK2 Bibliothèque, il se perd dans les nouveaux quartiers atroces qu’il ne connaissait pas et est en quelque sorte absorbé par cette ville. Il avance et se retrouve finalement sur les quais ou il retrouve l’humanité des couleurs de la seine et va mieux.
® Voir le film d’Antonioni, La Notte.
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Tim : Un adolescent qui doit aller acheter du pain tôt le matin, il rencontre une personne qui l’intrigue et décide de la suivre. Cet homme se dirige de magasins en magasins ( Galeries Lafayette ?) l’adolescent le suit.
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Tim : Un adolescent qui doit aller acheter du pain tôt le matin, rencontre une personne qui l’intrigue et décide de la suivre. Cet homme se dirige de magasins en magasins (Galeries Lafayette ?) l’adolescent le suit.
L’homme se révèle finalement être une femme .
Philippe Zill : une personne rencontre une autre personne et la suit à travers Paris car il est séduit.
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Timothée : Une personne se rendant a un RDV passe devant la cinémathèque ou un réalisateur est en train de se faire interviewer. En arrière plan des images de son film sont projetées on y voit Paris. Film dans le film.
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Blandine : Petite ceinture, une fille passe par plusieurs endroits animés et rencontre des musiciens elle s’installe avec eux.
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Timothée : Une personne se rendant a un RDV passe devant la cinémathèque ou un réalisateur est en train de se faire interviewer. En arrière-plan des images de son film sont projetées on y voit Paris. Film dans le film.
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Blandine : Petite ceinture, une fille passe par plusieurs endroits animés et rencontre des musiciens ; elle s’installe avec eux.
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Siham : Une personne lisant un journal assis sur un banc, se crispe à la lecture d’un article. Il repense à plusieurs endroits de Paris de sa vie d’avant en temps que juif pendant la seconde guerre mondiale sous l’occupation nazis. Il revient ensuite à la réalité .
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Louise : Un homme a un entretient d’embauche ou il est refusé. Pour tenter d’oublier ses ennuis il s’échappe dans un endroit qu’il ne connaît pas (coulée verte ?)
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Igor : Un groupe de jeunes ne savant pas ou passer leur soirée du samedi soir. Ils ont plusieurs possibilités. On film chacune d’entres elles.
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Siham : Une personne lisant un journal assis sur un banc se crispe à la lecture d’un article. Il repense à plusieurs endroits de Paris de sa vie d’avant en temps que juif pendant la seconde guerre mondiale sous l’occupation. Il revient ensuite à la réalité.
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Louise : Un homme a un entretien d’embauche auquel il échoue. Pour tenter d’oublier ses ennuis il s’échappe dans un endroit qu’il ne connaît pas (coulée verte ?)
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Igor : Un groupe de jeunes ne sachant pas où passer leur soirée du samedi soir. Ils ont plusieurs possibilités. On filme chacune d’entres elles.
Propositions retenues :
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Proposition 1 :
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Proposition 1 :
Deux amis se retrouvent puis se perdent dans la petite ceinture.
· Les personnages seront-ils dans une dure réalité ou bien la digression est elle vecteur de cette réalité ?
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· Les personnages seront-ils dans une dure réalité ou bien la digression est-elle vecteur de cette réalité ?
Tristesse®digression®joie
Joie®digression®tristesse.
· La digression sert-elle à s’échapper de la réalité ou bien justement à la trouver ?
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Texte
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Journal de bord
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Journal de bord
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Journal de bord
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Un film écrit et réalisé par la classe d’option cinéma audiovisuel facultative de 1ère du Lycée Paul Valéry :
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Un film écrit et réalisé par la classe d’option cinéma audiovisuel facultative de 1ère du Lycée Paul Valéry :
Timothée, 1ère S1
Alexandre, 1ère ES1
Timothée, 1ère S2
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Pierre, 1ère S2
Vlad, 1ère L
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Table des matières
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Table des matières
Le calendrier du film
Le sujet proposé
Le synopsis
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La bande-son et le mixage
Le générique
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Le calendrier
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Le calendrier
Séance du 21/01/2009 (3h)
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- 1ère idée du synopsis / manque
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- 1ère idée du synopsis
Une personne du groupe est chargée d’envoyer la version à tout le monde.
- Scénario Nous avons cherché une idée de scénario à partir du synopsis que nous avons imaginé. Puis nous réfléchissons à un lieu de tournage (la petit ceinture en l’occurrence) et à élaborer des scènes et des situations.
La petite ceinture est un bon lieu de tournage car il y a peu de bruit.
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Pour la prochaine séance Tourner des images de la petite ceinture, avec une description des lieux (faire un essai avec les figurants, puis nous regarderons les rushs que nous avons tournés.
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Pour la prochaine séance Tourner des images de la petite ceinture, avec une description des lieux (faire un essai avec les figurants, puis nous regarderons les rushes que nous avons tournés.
Séance du 28/01/2009 (3h)
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Arrivée d’un nouveau membre de l’équipe : Vlad RATOYAN (1ère L2)
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En début de séance nous faisons un récapitulatif du scénario en apportant quelques modifications. manque
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Nous avons cherché à améliorer la scène du bus : Le protagoniste descend à porte de Vincennes après une altercation avec le conducteur du bus (le conducteur contraint le protagoniste à descendre car les autres passagers trouvent injuste qu’il l’ait laissé entré malgré qu’il ait oublié son titre de transport, même s’il passe son bac).
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Arrivée d’un nouveau membre de l’équipe : Vlad Ratoyan (1ère L2)
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En début de séance nous faisons un récapitulatif du scénario en apportant quelques modifications.
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Nous avons cherché à améliorer la scène du bus : Le protagoniste descend à porte de Vincennes après une altercation avec le conducteur du bus (le conducteur contraint le protagoniste à descendre car les autres passagers trouvent injuste qu’il l’ait laissé entrer bien qu’il ait oublié son titre de transport, même s’il passe son bac).
Nous avons également modifié la scène de la rencontre entre les deux connaissances du protagoniste et celui-ci. Et du coup la façon dont le il est amené à se rendre sur la petite ceinture.
Séance du 04/02/2009 (3h)
- La quasi-totalité de cette séance a servi au groupe de réaliser la mise au point du séquencier (12 séquences).
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- Une petite partie du groupe s’est occupé de rédigé sur ordinateur le sujet proposé, ainsi que les données personnelles de chaque membre du groupe et de la répartition de chacun aux différents postes techniques.
+
- Une petite partie du groupe s’est occupé de rédiger sur ordinateur le sujet proposé, ainsi que les données personnelles de chaque membre du groupe et de la répartition de chacun aux différents postes techniques.
- Nous avons également commencé en fin de séance le scénario de la 1ère séquence.
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Manque 1er scénario
Séance du 11/02/2009 (1h30)
- Visionnage des vidéos de repérage
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Discussion autour d’une table sur les choses importantes à mettre en évidence dans le scénario et sur le tournage. Manque texte
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Discussion autour d’une table sur les choses importantes à mettre en évidence dans le scénario et sur le tournage.
Pour la prochaine séance : Les trois acteurs devront écrire un paragraphe sur la vie et la personnalité du personnage qu’ils joueront.
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Pour les autres membres du groupe, chacun devra se charger d’écrire le scénario de la séquence qui lui sera attribué.
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Pour les autres membres du groupe, chacun devra se charger d’écrire le scénario de la séquence qui lui sera attribuée.
Séance du 04/03/2009 (3h)
- Rédaction complète de tout le scénario.
- Dernières mises au point sur les fiches personnages.
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Le sujet proposé
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Au départ, deux groupes ont été formés, il nous a été imposé deux thématiques ; la première traitait de la digression dont le protagoniste devait se détourner de son objectif, s’effacer et laisser place au décor. La seconde thématique était celle de la ville. Il fallait filmer la ville d’un point de vue différent de l’image habituelle de Paris. Nous nous sommes alors tourné vers l’idée d’une action sur la petite ceinture. Cette voie ferrée donnant un point de vue sur l’arrière des immeubles haussmanniens, très beaux sur la devanture et négligés sur la façade arrière, permet une opposition flagrante avec le décor du début du film.
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Le sujet proposé
+
Au départ, deux groupes ont été formés, il nous a été imposé deux thématiques ; la première traitait de la digression. Le protagoniste devait se détourner de son objectif, s’effacer et laisser place au décor. La seconde thématique était celle de la ville. Il fallait filmer la ville d’un point de vue différent de l’image habituelle de Paris. Nous nous sommes alors tourné vers l’idée d’une action sur la Petite ceinture. Cette voie ferrée donnant un point de vue sur l’arrière des immeubles haussmanniens, très beaux sur la façade et négligés sur la façade arrière, permet une opposition flagrante avec le décor du début du film.
Pour nous faciliter la tâche on nous a aussi donné une trame narrative à suivre : notre personnage principal se détourne de son objectif et laisse alors place à une digression qu’il va suivre un temps, avant de la laisser de côté et de retourner à son objectif initial.
Pour nous, cet objectif initial était celui du passage du BAC.
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Synopsis
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Suite à une dispute avec sa mère, un jeune homme sort de chez lui furieux le jour de l’examen du BAC. Il claque la porte et prétend qu’il se fiche du BAC.
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Il prend le bus, mais n’a pas son « PASS NAVIGO » tout le bus s’en mêle. Deuxième dispute, le chauffeur pile, il doit sortir et croise deux garçons à qui il demande son chemin. Les deux l’accompagnent sur la P.C. puis le laissent seul. Il cherche son chemin et découvre un lieu tout à fait insoupçonné où l’on découvre les traces d'une capitale champêtre, fantôme, abandonnée. Et il panique à l’idée de rater son BAC.
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En apercevant des individus peu rassurants, il décide de quitter la P.C. par le premier moyen possible, et s’aperçoit miraculeusement qu’il est arrivé au lycée Paul Valéry. Il arrive à convaincre le gardien de le laisser passer in extremis et peut passer son examen, l’esprit tranquille, libéré de toute pression.
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Fiches personnages
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Fiches personnages
Louis : (par Louis)
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Louis est un jeune garçon âgé de 16 ans, il vit seul avec sa mère suite au départ de son père qui n’est jamais revenu. Départ qui marque aussi la relation tumultueuse avec sa mère. Il aime le sport, et passer du temps avec ses amis, il n’est pas très travailleur mais reste motivé à l’idée d’avoir son bac. Il connaît assez peu Pierre et Tim mais garde un souvenir plutôt sympathique des deux personnages qu’il n’a pas revu depuis longtemps. Il sort assez souvent délaissant un peu son travail. Son humeur est plutôt joviale mais reste quelque peu renfermé sur lui même.
+
Louis est un jeune garçon âgé de 16 ans, il vit seul avec sa mère suite au départ de son père qui n’est jamais revenu. Départ qui marque aussi la relation tumultueuse avec sa mère. Il aime le sport, et passer du temps avec ses amis, il n’est pas très travailleur mais reste motivé à l’idée d’avoir son bac. Il connaît assez peu Pierre et Tim mais garde un souvenir plutôt sympathique des deux personnages qu’il n’a pas revu depuis longtemps. Il sort assez souvent délaissant un peu son travail. Son humeur est plutôt joviale mais il reste quelque peu renfermé sur lui même.
Pierre : (par Pierre)
-
Pierre est un jeune garçon âgé d’environ 16 ans, c’est un adolescent au tempérament assez joyeux, tout en restant bien trempé. Il a grandi dans les quartiers populaires parisiens aux cotés de ses amis de quartiers (y compris Tim). Après une enfance tumultueuse, et un échec scolaire cuisant, il s’immisce dans les trafiques de quartiers ainsi que dans les délits mineurs afin de subvenir aux besoins financiers de son ménage.
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Suite à une altercation musclé face aux forces de l’ordre, il évite de peut la prison et décide alors de quitté ce milieu dans lequel il commence à ressentir un mal-être. Il trouve alors un petit boulot tranquille, et occupe son temps libre à sortir avec son principal ami Tim. Leur passe temps favori, bien que illégal, reste le graffiti ; et leur terrain de jeu préféré : Les chemins de fers désaffectés de « La Petite Ceinture » (où il guidera, avec Louis, voir synopsis).
+
Pierre est un jeune garçon âgé d’environ 16 ans, c’est un adolescent au tempérament assez joyeux, tout en restant bien trempé. Il a grandi dans les quartiers populaires parisiens aux côtés de ses amis du quartier (y compris Tim). Après une enfance tumultueuse, et un échec scolaire cuisant, il s’immisce dans les trafics du quartier ainsi que dans des délits mineurs afin de subvenir aux besoins financiers de sa famille.
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Suite à une altercation musclée avec les forces de l’ordre, il évite de peu la prison et décide alors de quitter ce milieu dans lequel il commence à ressentir un mal-être. Il trouve alors un petit boulot tranquille, et occupe son temps libre à sortir avec son principal ami Tim. Leur passe temps favori, bien que illégal, reste le graffiti ; et leur terrain de jeu préféré : Les chemins de fers désaffectés de « La Petite Ceinture » (où il guidera, avec Louis, voir synopsis).
Tim : (par Timothée)
C’est un jeune garçon, habitué à sortir dans la rue, il va souvent sur la petite ceinture de Paris pour y faire du graffiti et y vagabonder avec des amis.
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Il ne connaît pas très bien Louis (le personnage principal) et cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vue, avant de le croiser dans la rue (voir synopsis).Il est d’humeur plutôt jovial et plaisantin, tout comme son amis Pierre avec qui il passe le plus claire de son temps à trainer dans les rues et à la petite ceinture.
+
Il ne connaît pas très bien Louis (le personnage principal) et cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vue, avant de le croiser dans la rue (voir synopsis).Il est d’humeur plutôt jovial et plaisantin, tout comme son amis Pierre avec qui il passe le plus claire de son temps à trainer dans les rues et à la petite ceinture.
Le séquencier
1ère séquence : Louis, le protagoniste du récit, est réveillé par sa mère vers 13h00, alors qu’il a passé sa nuit à réviser pour son BAC qu’il doit passer le jour même.
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2ème linguistique A - Paola Gozzi, professeur de langages non verbaux
L'objectif de ce court-métrage (sorte de docu-fiction) est de montrer Piacenza à partir du point de vue d'une jeune femme étrangère qui ‘découvre’ la ville.
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Texte
« Ekaterina est étrangère. Elle vient de s’installer à Piacenza . La ville est montrée à travers un regard subjectif et intime, souligné par le recours à la voix-off de la protagoniste. Piacenza y est décrite comme une ville de frontière, délimitée par le fleuve Pô : l'atmosphère est un peu fade, mais en même temps fascinante et captivante c'est un lieu mystérieux prisonnier du temps et, souvent, du brouillard, qui semble vouloir cacher ses secrets à tous ceux qui ne lui appartiennent pas. »
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Texte
-
Synopsis
+
Synopsis
Synopsis
Piacenza : Passi nella città - Les pas dans la ville.
diff -r 334bb84ec231 -r 55bf91c766c9 web/fr/mavillevuepar_etapes.html
--- a/web/fr/mavillevuepar_etapes.html Tue Nov 10 10:07:06 2009 +0000
+++ b/web/fr/mavillevuepar_etapes.html Wed Nov 18 16:18:58 2009 +0000
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- Ma ville vue par... - Projet
+ Ma ville vue par... - Etapes
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De la théorie… Dans un premier temps, les classes complètent l’analyse du film de référence fourni sur le logiciel Lignes de temps. Les films correspondent à une double nécessité : ils sont le produit d’un travail d’auteur et montrent les choix auxquels les cinéastes sont confrontés ; la ville y tient un rôle en tant que « personnage », sans jamais n’être qu’une « option ». La ville peut être montrée de façon documentaire ou fantastique mais doit rester un lieu reconnaissable et descriptible. Espace émotionnel de rencontre entre le cinéaste et le spectateur, le film part à la découverte de la ville dans ses aspects les plus étonnants et les plus quotidiens.
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Après visionnage, les élèves commentent leurs émotions face au film et vont à la recherche des éléments qui les ont suscitées. Comment s’opère la transformation de l’espace envahi par la projection de la géographie mentale du cinéaste ? Comment les émotions du réalisateur passent-elles à travers l’espace montré pour arriver au spectateur ? Comment peut-elle devenir le catalyseur des regards du cinéaste et du spectateur ?...
Ces interprétations et réflexions sur le film sont alors échangées entre classes partenaires via Lignes de temps sous forme de bout-à-bouts, occasion pour chacun d’analyser les différences de perception d’une même œuvre, d’enrichir une analyse grâce au regard de l’autre, de partager un point de vue critique, mais aussi émotionnel, sur une œuvre d’art…
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…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
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…à la pratique À ce temps de réflexion succède un temps de création, soit la réalisation d’un « film-essai » par les élèves de chaque classe. La classe écrit son projet, puis tourne un court-métrage à partir de procédés techniques de réalisation, ou « cahier des charges », définis par chaque enseignant en coopération avec son partenaire et en grande partie inspirés de l’analyse filmique du film de référence.
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Il s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville)… Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
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Il s’agit par exemple de demander aux élèves de travailler sur une contrainte purement formelle, comme les échelles de plans, ou bien thématique (la foule, les toits, l’architecture, les rues, les animaux dans la ville…) Les figures de style imposées étant identiques pour chaque partenaire du binôme afin d’offrir une base de travail commune et de pouvoir clairement identifier les différences de points de vue des réalisateurs.
Plusieurs consignes de travail sont données aux classes, telles que : montrer un monument ou un lieu représentatif, voire « cliché », de la ville et en proposer une solution filmique originale et personnelle.
La durée des rushes est limitée à vingt minutes par classe.
Ces rushes sont ensuite dérushés (un premier choix de plans) puis décrits sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire. Les réalisateurs prenant ainsi du recul sur leur propre exercice, tandis que les élèves de la classe partenaire peuvent analyser les plans de l’autre et réfléchir sur les diverses étapes de la création cinématographique.
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Chaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages seront alors effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque filmmonté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
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En tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de 4 courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, et le point de vue de l'autre est une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
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Chaque classe se trouve alors en possession de deux fichiers de rushes : le sien propre, et celui de la classe associée. Deux montages pouvant alors être effectués, offrant pour l’un un regard personnel et affectif sur sa propre ville, et pour l’autre une vision neuve et interprétative de celle du partenaire. Chaque film monté sera décrit et indexé sur Lignes de temps avant d’être envoyé à la classe partenaire, laquelle, à son tour, le commentera et le renverra à la classe réalisatrice, selon le modèle des « Regards signés » initiés par l’IRI.
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En tout, chaque binôme produira, visionnera et montera le matériel de quatre courts-métrages et les étudiants pourront, à chaque étape des échanges, en débattre avec leurs enseignants. L’analyse se nourrit de la discussion, parfois même de la controverse, le point de vue de l'autre étant une aide précieuse pour conforter ou amender sa propre opinion.
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Les chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
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Les chapitres majeurs de l’expérience reposent sur un principe d’échanges via Lignes de temps et tout autre moyen numérique ou classique de correspondance, et ce, a chacune des étapes du processus :
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1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
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2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
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3/ Réalisation de « films-essais »et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
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1/ Analyse d’un film - long métrage de fiction, documentaire ou film expérimental. Documenté et commenté par des documentalistes de l’IRI sur Lignes de temps, le film est transmis aux écoles qui, à leur tour enrichissent le descriptif. Dirigés par Marta Boni (doctorante en cinéma) des ateliers de prise en main du logiciel sont tenus dans les classes et amorcent le travail des binômes.
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2/ Echanges de points de vue entre partenaires par le biais du logiciel disponible en ligne ou en local.
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3/ Réalisation de « films-essais » et de« films-regards ». Ces essais peuvent ou non s’inspirer de la structure narrative ou formelle des films analysés ou de tout autre principe scénaristique dégagé lors des discussions entre partenaires. Chaque groupe documente ses propres rushes dans Lignes de temps et les échange avec ceux de sonpartenaire : deux films sont ainsi montés par chaque classe - le premier, le « film-essai » avec ses propres rushes, le second, le « film-regard » avec les rushes du partenaire.
Chaque film, une fois monté, ne devant pas excéder 10’.
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Présentations des expérimentations
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Présentations des expérimentations Mai - Juin 2009
« Ma ville vue par… Une étape » Vendredi 15 mai 2009
« Ma ville vue par… / Etape 2 » Jeudi 4 juin 2009
Centre Pompidou / Cinéma 1 / 9h15>13h30
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Les travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » et les réalisés durant cette année scolaire 2008-2009 ont été projetés lors de journées de projection au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
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Les travaux réalisés durant l’année scolaire 2008-2009, « Regards-signés » et « Films-essais » ont été projetés lors de journées de rencontres au Centre Pompidou. Les enseignants présents accompagnés de leurs élèves ont témoigné de leurs relations de travail. Plus de 350 élèves, dont deux classes italiennes et une classe roumaine ont assisté à ces matinées.
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Ces deux matinées d'échanges et de projections ont réuni environ cinq cent élèves venus de Roumanie, d'Italie et de France pour l'occasion.
+Une présentation de bout-à-bouts effectués dans les classes a été commentée par Marta Boni et Thibaut Cavalié. Les projections des films-essais ont été précédées par la présentation des processus de travail par les enseignants et les jeunes réalisateurs.
+Vous pouvez retrouver les « films-essais » ainsi que les textes et photographies préparatoires dans les pages binômes.
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diff -r 334bb84ec231 -r 55bf91c766c9 web/fr/mavillevuepar_generique.html
--- a/web/fr/mavillevuepar_generique.html Tue Nov 10 10:07:06 2009 +0000
+++ b/web/fr/mavillevuepar_generique.html Wed Nov 18 16:18:58 2009 +0000
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- Ma ville vue par... - Projet
+ Ma ville vue par... - Générique
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Ce projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
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+
Ce projet a pu être mené à bien grâce à l’aide précieuse de
L’Ambassade de France en Roumanie, Bucarest
Le Centre culturel suédois, Paris
@@ -55,17 +55,18 @@
Sophie Besson
Maëlys Bourgoin
Laure Grimaldi
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Alexandre Marques
+
-
Alexandre Marques
-
Institut de recherche et d’innovation-Centre Pompidou
+
Josep Ramoneda,président
Bernard Stiegler, directeur
Vincent Puig, directeur-adjoint
Thibaut Cavalié, chef de projet - ingénieur logiciel Lignes de temps
-
Fanny Belvisi, chargée d’administration et de communication
Yves-Marie L’Hour, responsable éditorial
-
Yves-Marie Haussonne, chef de projet web
+
Yves-Marie Haussonne, chef de projet web
+
Maison du geste et de l’image
Evelyne Panato directrice
@@ -78,42 +79,53 @@
REMERCIEMENTS
-
Pour leur chaleureux soutien
+
Pour leur chaleureux soutien
-
Jean-Christophe Aguas
-
+
Jean-Christophe Aguas
Marion Alluchon
-
Alain Bergala
-
Lucile Bruand-Exner
+
Alain Bergala
+
Olivier Bernon
+
Bruno Boullault
+
Lucile Bruand-Exner
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Françoise Cagli
Elisabeth Caillet
Sébastien Canevet
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Magda Carneci
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Jean-Louis Comolli
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Yves Clerget
+
Magda Carneci
+
Patrice Chazotte
+
Jean-Louis Comolli
+
Louis Corno
+
Yves Clerget
+
Yves Dalmau
Simona Edwards
-
-
Laurence Emile-Besse
+
Laurence Emile-Besse
+
Hugues Fournier-Montgieux
Anne-Sophie François
-
Cezar Grumazescu
+
Cezar Grumazescu
+
Sacha Ilic
Alexis Jäderholm
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Marie Kraft
-
Sonia Ouchelli
+
Marie Kraft
+
Serge Navas
+
Sonia Ouchelli
+
Marc Oustabatchieff
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Fabrice Pleynet
Philippe Puicouyoul
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Peter Schott
+
Peter Schott
+
Laurie Szulz
Boris Tissot
+
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-
Rectorat de Paris
-
Déléguation académique aux relations européennes et internationales et à la coopération
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Gilles Laborde, Délégué
+
Rectorat de Paris
+
Déléguation académique aux relations européennes et internationales et à la coopération
+
Gilles Laborde, délégué général
Jean-Paul Chouard, chargé de mission
GIldas Le Roux, chargé de mission
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Mission académique « Innovation et expérimentation »
+
+
+
Mission académique « Innovation et expérimentation »
François Muller, responsable
+
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Les directeurs d’établissement scolaires et les enseignants dont l’engagement sans faille tout au long de ce projet aura permis la réalisation des échanges entre partenaires
+
Les directeurs d’établissement scolaires et les enseignants dont l’engagement sans faille tout au long de ce projet aura permis la réalisation des échanges entre partenaires
Donatella Bargis
Elisabeth Battistel
Isabelle Bucurescu
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Julien Charlier
Dorothée Clerc
Sorina Danaila
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Laurence Dauvergne
Monique Dugué-Boyer
Maria Rita Fiori
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Raluca Ionescu
Yola Le Cainec
Anne Laforge
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Isabelle Limon
Elisabeth Loupiac
Elisabeth Meyer
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Philippe Roca
Luc Richard
Assetou Sampebgo
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Gabriela Sandulescu
Maria Augusta Schippisi
Dan Solcan
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Iulian Untaru
Dominique Vadet
Hélène Valencien
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Mariana Visan
Ioana Voinea
Agnès de Willecot
Philippe Zill
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Centre Pompidou
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Centre Pompidou
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Louis Corno
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Olivier Bernon
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Bruno Boullault
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Françoise Cagli
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Yves Clerget
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Patrice Chazotte
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Yves Dalmau
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Hugues Fournier-Montgieux
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Sacha Ilic
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Serge Navas
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Marc Oustabatchieff
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Fabrice Pleynet
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Laurie Szulz
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Philippe Puicouyoul
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Boris Tissot
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Et toutes les personnes que nous aurions oubliées.
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Et toutes les personnes que par mégarde nous aurions oubliées.
Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
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Le projet européen « Ma ville vue par… » a été initié dans le cadre du Département du développement culturel / Centre Pompidou en mai 2008. Il fait suite au travail d’expérimentation sur le cinéma avec le logiciel Lignes de temps mené dans des écoles parisiennes lors de la programmation au Centre Pompidou des films de Víctor Erice et d’Abbas Kiarostami.
Fondé en avril 2006 au sein du DDC-Centre Pompidou et constitué en association depuis août 2008, l'Institut de recherche et d'innovation travaille sur l'étude et le développement de technologies culturelles et cognitives favorisant l'émergence de nouvelles pratiques amateurs. L’Iri met librement à la disposition du public le logiciel Lignes de temps, accompagné pour ce type de projet, d’une analyse documentée et commentée des films étudiés.
La Maison du geste et de l’image, centre de recherche et d’éducation artistique est aussi une structure de « médiation » culturelle. Intermédiaire entre les établissements scolaires et culturels, la MGI accompagne et coordonne des projets, en initie, propose des formations et des présentations liées à l’initiation artistique des publics jeunes. Il s’agit de mettre ce public au contact direct de la création et des créateurs, de lui permettre de s’engager dans une démarche de création collective.
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Le cinéma et la citoyenneté Rencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
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Le cinéma et la citoyenneté Rencontres européennes ; échanges culturels ; partage de connaissance ; échanges de points de vue…
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Le cinéma et la ville Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
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Le cinéma et la ville Regards croisés sur la ville, échanges de points de vue, création ; Innovation ; découverte du langage cinématographique ; créativité ; parcours guidé de création aux fins d’une correspondance entre binômes sous forme de production de « films-essais » sur sa propre ville (scénarisation, tournage, montage) ; exploration du point de vue d’autrui à travers la relecture de son propre film par les autres (montage d’un « film-regard » à partir des rushes produits par son partenaire) ; projections des films ; rencontres des participants….
Le cinéma entretient, depuis son origine, (Les frères Lumière : L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat) un rapport privilégié avec la ville. Décor autant que personnage la ville occupe une place centrale dans bien des œuvres, à tel point que son image fictionnelle prend parfois le pas sur la réalité. Sa présence imprègne les films d’une aura particulière et les place sous le sceau d’une culture.
L’espace urbain comprend une identité forte, révélatrice du pays et de son histoire. Il incarne une culture tout entière. Et, si chacun entretient un rapport affectif avec sa propre ville, celle de l’autre ne représente trop souvent qu’une carte postale, un souvenir ou un voyage imaginaire. Parler de sa ville à l’autre, ou de la ville de l’autre, c’est partager une intimité, une identité, bien au-delà des clichés. C’est offrir un quotidien, un regard authentique sur sa vie. Par l’échange des expériences et des regards, le cinéma peut devenir le lieu d’une telle rencontre.
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Les films de référence Les films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
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Les films de référence Les films proposés à l’analyse aux élèves partenaires du projet sont « Le Caméraman » d’Edward Sedgwick et Buster Keaton, avec Buster Keaton et « L’Aurore » de Wilhelm Friedrich Murnau.
Scénario : Friedrich-Wilhelm Murnau d'après Le Voyage à Tilsitt de Hermann Südermann
Avec George O'Brien, Janet Gaynor, Margaret Livingstone, Bodil Rosing
Photo Karl Struss, Charles Rosher
Musique Dr Hugo Riesenfeld
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Durée 1h20
Séduit par une intrigante de la ville, un fermier tente de noyer son épouse lors d'une promenade sur le lac. Pris de remords, il ne parvient pas à commettre son crime. La jeune femme s’enfuit.
Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
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Le réseau d’établissements scolaires constitué à partir des partenariats déjà engagés lors du projet Erice-Kiarostami s’est étendu à l’Europe. Il réunit une quinzaine d’établissements pour une vingtaine de binômes de même niveau et qui travaillent selon les cas dans ou hors temps scolaire.
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Les pays participants Allemagne, France, Italie, Roumanie…
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Les pays participants : Allemagne, France, Italie, Roumanie…
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Les (binômes Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants), la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.
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Les binômes. Une fois formés - groupe ou classe française et groupe ou classe d’un pays européen -, réunis en fonction de l’âge, du niveau, ainsi que des demandes spécifiques des participants, la relation des partenaires s’organise autour d’une série d’étapes envisagées avec les enseignants.