# HG changeset patch # User ymh@caf4f556-3d62-0410-8435-a86758001935 # Date 1236963898 0 # Node ID 553f788214d5b7d9a1597d881aba7d042ab29ba5 # Parent 69ad5eacfee529afeca26a44b2b1b800b2f14c0a Add seminar + version 00.05 diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/index.en.html --- a/web/index.en.html Wed Mar 11 16:01:02 2009 +0000 +++ b/web/index.en.html Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -1,5 +1,5 @@ - + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/index.fr.html --- a/web/index.fr.html Wed Mar 11 16:01:02 2009 +0000 +++ b/web/index.fr.html Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -1,5 +1,5 @@ - + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/culture2.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/culture2.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,102 @@ + + +

Culture 2.0

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Résumé : +

Internet et la mutation numérique travaillent en profondeur le champ culturel.

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L'attention s'est focalisée, dans un premier temps, sur l'impact des phénomènes de numérisation et de dématérialisation sur les industries culturelles : gains de +productivité, phénomènes de « convergence », concurrence et coopération entre les acteurs traditionnels des filières culturelles et les acteurs issus du numérique, +déstabilisation des modes de valorisation, d'exploitation et de distribution des 1/2uvres, exploration de nouveaux modèles économiques.

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L'attention tend à se déplacer désormais vers les usages numériques culturels eux mêmes, sinon vers les « contenus ».

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Ce changement de perspective amène à sinterroger sur la manière dont les logiciels, les services en ligne, les compétences et savoir-faire « numériques » des « +usagers » informent les pratiques culturelles.

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L'objectif de ce séminaire est de dégager les lignes de force qui travaillent tant l'offre culturelle que les pratiques culturelles.

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Le séminaire se propose d'explorer avec des chercheurs et des praticiens les problématiques d'usages émergents. Il portera une attention particulière aux usages +liés à l'univers du « Web 2.0 ».

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Plutôt que de passer en revue l'impact du numérique sur chacune des grandes filières culturelles (l'audiovisuel, l'écrit, la photographie ou la musique), le parti a +été retenu d'organiser le séminaire autour de quelques grandes thématiques d'usage transversales aux filières.

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Ce séminaire s'adresse aux agents du DEPS : il est ouvert aux responsables des différentes directions du ministère de la Culture.

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Les travaux du séminaire s'appuieront sur un état bibliographique et donneront lieu à une synthèse. (Le détail des intervenants ultérieurs sera communiqué très +prochainement).

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La séance inaugurale aura lieu le 17 octobre, à 15h Salle «Vivant Denon», Ministère de la Culture, 182 rue Saint Honoré.

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Sauf indication différente, le séminaire se tiendra ensuite les mardi de 14h30 à 17h30.

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Salle Colette. Ministère de la Culture. 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage.

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Des séances auront lieu au Centre G. Pompidou.

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Après le mois de février, ce séminaire se poursuivra par une suite de manifestations ouvertes au public, à linitiative de lIRI / Centre G. Pompidou.

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Programme et horaires :

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Contact Y. Maignien (0140157975) et J. Beaudoin-Glandières. (0140157917)

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Lieu : Salle Colette. Ministère de la Culture : 182, rue Saint-Honoré Paris 7ème étage. (excepté séance inaugurale)

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Horaires : les mardi de 14h30 à 17h30

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Dates : +

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+ + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/desirtechnologie.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/desirtechnologie.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,89 @@ + + +

Désir et technologies


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Destins du désir / devenirs de l'amateur : adolescence, subjectivations, addictions, dans le contexte des industries culturelles

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Séminaire de l'Institut de recherche et d'innovation du Centre Pompidou, organisé avec la collaboration de l'Hôpital Marmottan et de L'Ecole Doctorale de Recherche en Psychanalyse (CEPP) de l'Université Paris VII.

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Sous la direction de Mathilde Girard (psychologue-psychothérapeute et philosophe).

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+ A partir des figures de l'enfant et de l'adolescent aujourd'hui investies par une multiplicité de discours - sociologiques, philosophiques, psychologiques, mais politiques et médiatiques également -, il s'agirait ici de revenir sur ce que représentent ces catégories de la population au regard du processus de « modernisation », et sur la fonction politique de leur singularisation. Entre les parts de marché qu'elles représentent (l'exemple de la création de la nouvelle chaîne télévisée Baby first est de ce point de vue très éloquent), les interrogations et les inquiétudes qu'elles soulèvent dans le champ social et les enjeux psychanalytiques qu'elles recouvrent, comment distinguer les repères anthropologiques propres à la construction de la subjectivité des pathologies spécifiquement contemporaines ? Comment comprendre et analyser, avec les outils de la métapsychologie, les formes actuelles de désorganisation psychique des sujets au contact d'une machine capitalistique dévorante et destructrice ? Si par exemple l'opposition, le refus, pouvaient être identifiées comme des modalités d'expression et d'apparition de subjectivités avec lesquelles il nous faut toujours en découdre, comment le « trouble oppositionnel avec provocation » (TOP) est-il devenu un « trouble des conduites » suivant les résultats de l'enquête menée par L'Inserm en 2005 ? Si l'enfance et l'adolescence font symptôme, il convient de s'attarder sur les déterminants de ces manifestations, leur origine et leur valeur d'usage.
+ Dans le cadre d'une réflexion sur les industries culturelles, et à l'aide des développements critiques que propose la philosophie contemporaine, il s'agirait d'élaborer les enjeux politiques posés par l'enfant et l'adolescent dans leur rapport aux objets, aux nouvelles technologies, quand ceux-ci en font des consommateurs abusifs, captifs, ou lorsqu'ils engagent au contraire des capacités de jugement et des processus de subjectivation inédits.
+ Nous proposerons ainsi de mobiliser l'actualité de la notion de jeu, à partir des écrits sur l'enfance de Benjamin, de Baudelaire, de Bataille et des analyses plus récentes de Deleuze et Agamben ; il s'agirait de mettre en évidence la fonction inaugurale du jeu, de la manipulation des objets par l'enfant dans l'activité créatrice, l'expérience esthétique et la sublimation. Le jeu apparaissant comme fondateur d'une relation transitionnelle d'un sujet aux objets qui l'environnent, au travers de différentes étapes de cette relation : saisir l'objet, le regarder, l'ouvrir, le casser, le perdre, le retrouver...
+ Des passerelles pourront se tisser entre ces expériences philosophiques et la théorie psychanalytique qui fit du jeu le moment premier de la symbolisation et de la capacité d'imaginer ; la scène du fort/da décrite par Freud dans Au Delà du principe de plaisir, ainsi que les caractéristiques de l'objet transitionnel « créé-trouvé » déployées par Winnicott étayeront notre élaboration.
+ A partir de la distinction établie par Winnicott entre play et game, nous avancerons vers la problématique adolescente et les nouveaux modes de relation qu'elle met en place avec l'objet, dans le cas des addictions (le jeu pathologique), des pathologies dites « narcissiques », des conduites ordaliques, entre autres. Partant de l'analyse de ces comportements, à la jointure de la psychopathologie et de la sociopathologie, nous tenterons de mettre en évidence les différents processus de subjectivation que recouvrent ces expressions de l'adolescence, qu'ils soient positifs ou négatifs, en établissant des liens avec leurs manifestations sociales et politiques. C'est alors plus largement sur la possibilité d'aborder l'adolescence sous l'angle de l'événement, de l'expérience et de la transmission que nous souhaitons nous pencher.
+ Au cours de cette réflexion, où la question du désir, de ses définitions, de son caractère intempestif, seront un repère essentiel, nous avancerons dans un dialogue entre concepts psychanalytiques et philosophiques : ainsi, la symbolisation, la sublimation, n'iront pas sans une élaboration politique de la mémoire, de l'expérience, et de l'histoire ; c'est ensemble que nous tenterons de penser les modalités disciplinaires, biopolitiques, psychologiques, par lesquelles s'exerce le pouvoir (B.Stiegler invite ainsi à penser la notion de « psychopouvoir ») et les pratiques de soi, les subjectivations et résistances qui en découlent ou s'en émancipent.
+ Nous tenterons de mobiliser ces questions par le développement de la figure l'amateur, par opposition à celle du consommateur (de télévision, de ritaline) dans le contexte des industries culturelles et de la médicalisation de la société.
+ Dans le cadre d'une organisation associant l'Institut de recherche et d'rnnovation du Centre Pompidou, l'Hôpital Marmottan, L'Ecole Doctorale de Recherche en Psychanalyse (CEPP) de l'Université Paris VII et travaillant à la préparation d'un colloque sur la question du désir prévu en 2010, le séminaire se propose d'agencer des interventions théoriques et cliniques à partir de différents axes de travail :
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+ L'enfant et l'objet aux origines de la symbolisation
+ + + + Destins de l'objet et du désir à l'adolescence
+ + + L'enfance et l'adolescence : nouvelles catégories à risques
+ + + Subjectivations - Désir et technique
+ + + La mémoire, l'archive et la transmission
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+ format pdfBibliographie sur le jeu et le jeu pathologique par Clotilde Carrandié de l'hôpital Marmottan +

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Accès Sur invitation: contact(at)iri.centrepompidou.fr

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Lieux: Salle du collège

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Dates et horaires : de 18h à 20h, les jeudis suivants:

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+ format pdfFlyer du séminaire +

diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/experiences.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/experiences.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,49 @@ + +

Experiences theoriques

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Abstract : Le Groupe de Recherches Théoriques se propose de mettre en relation des chercheurs de disciplines et de provenances diverses, dans le but de +parvenir à une écoute réciproque attentive et, si possible, au tracé de croisements utiles.

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Le programme de cette année d'ouverture ( 2006-2007 : « Expériences théoriques »), se donne deux objectifs. En premier lieu, des chercheurs sont invités à +présenter, en dehors de leur communauté de travail coutumière, l'expérience actuelle de leur recherche : non pas un exposé de résultats acquis, mais une introduction à un +mouvement en cours, quand celui-ci approche un de ses points de plus grande incertitude ou instabilité. On voudrait tenter d'entrevoir dans, chaque cas, la ligne, la frontière du clair et de l'obscur, du connu et de l'énigme. Mais par là-même, et en second lieu, il sagirait pour chacun dinterroger ce quil en est des fonctions et utilités du théorique comme +tel : en quoi et comment «la théorie» (dispositifs et appareils critiques, construction de modèles formels) ouvre des voies ou fait obstacle à la poursuite d'un chemin +d'expérience (expérience de recherche, de travail, voire de vie individuelle ou partagée).

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Les « Expériences théoriques » pourraient essayer ainsi de poser un jalon pour une redéfinition de l'enjeu de la pensée formelle, et de sa nécessité (ou pas) dans +la formulation des questions que nous adresse le monde qui se reconfigure devant nous, et en nous.

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Cette visée contribue en cela directement aux objectifs de l'IRI, en particulier là où, à travers sa pensée des appareils critiques, et en particulier des +appareils technologiques dans leurs rapports aux appareils physiologiques et sociaux, il tente de poser à nouveaux frais les questions de l'analyse et de la synthèse, c'est-à-dire d'une nouvelle théorie du jugement, qui puisse accompagner les démarches empiriques de ses divers ateliers, par exemple celui qui est actuellement conduit autour +des Lignes de temps sous le nom de Regards signés.

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Le Groupe propose pour cette première année deux sortes de séances : une série de conférences publiques, alternant avec des réunions de travail sur inscriptions. +Les séances ont lieu en Sorbonne, à 19h, les deuxième et quatrième mardis de chaque mois, à l'exception des périodes de vacances scolaires ou universitaires. Les lieux sont +indiqués ci-dessous.

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Programme des Conférences publiques :

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Lieu : en Sorbonne, amphithéâtre Milne-Edwards, 17 rue de la Sorbonne, escalier B, 3ème étage.

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Horaires : 19 heures

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Accès : dans la limite des places disponibles

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Dates : + +

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Direction : Denis Guénoun

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Coordination : Johann Holland : information.grt@gmail.com

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+ + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/figure_amateur.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/figure_amateur.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,29 @@ + + +

Les figures de l'amateur


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Sous la direction de Jacqueline Lichtenstein, Université Paris IV.

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Les figures de l'amateur dans Lignes de temps

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+ Le terme d'amateur a perdu le sens précis qu'il avait dans la langue du XVIIème et du XVIIIème siècles. Des « particuliers », qui n'étaient ni peintres ni sculpteurs, pouvaient être élus à l'Académie royale de peinture et de sculpture en raison du goût qu'ils professaient pour les arts ; ils y siégeaient au rang d' « amateurs ». L'usage du terme s'est depuis considérablement élargi et n'est plus aujourd'hui limité au seul domaine de l'art : on peut être amateur de bons vins comme d'opéras. Mais il s'est également déplacé du champ du goût à celui des activités. Il désigne en effet ces activités auxquelles on s'adonne par plaisir, parce qu'on aime ça, et non pour des raisons professionnelles. On peut faire du théâtre, de la peinture ou de la musique en amateur, mais aussi pratiquer le rugby ou le vélo en appartenant à une équipe d'amateurs. A la distinction ancienne entre amateurs et artistes, qui n'était pas une distinction hiérarchique puisque tous portaient le titre d'académiciens, s'est substituée l'opposition entre amateurs et professionnels qui implique une image socialement dévalorisée et dévalorisante de l'amateur, toujours suspecté de faire preuve d'amateurisme ! Nous nous proposons dans ce séminaire d'étudier la constitution puis la transformation de cette figure de l'amateur dans le champ de l'art, afin d'en saisir les raisons et les enjeux, à la fois artistiques, philosophiques, politiques et sociaux. +

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Accès: Sur invitation

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Contact séminaire: Yves-Marie L'Hour à l'adresse contact(at)iri.centrepompidou.fr

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Lieux: Salle du collège

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Dates et horaires : de 17h à 19h, les mardis suivants :

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+ \ No newline at end of file diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/footer.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/footer.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,7 @@ + + + + + + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/header.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/header.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,24 @@ + + + + + + + + + Institut de Recherche et d'innovation + + + + + + +
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Institut de recherche et d'innovation

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diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/ihm.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/ihm.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,88 @@ + + + +

IHM 2007

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13-15 novembre 2007 + Ircam (site officiel)

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abstract

+ + +Interfaces pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels : une comparaison des outils et des paradigmes dans le domaine musical et cinématographique +
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Organisateurs :
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+Cet atelier se propose d’étudier de façon détaillée, différentes IHM développées pour l’annotation et la manipulation d’objets temporels dans le domaine cinématographique comme dans le champ musical. L’objectif étant de croiser les motivations et méthodologies qui ont abouties au design d’interfaces innovantes dans le domaine et de dégager de possibles paradigmes communs. + +L’atelier s’articulera autour de présentations d’outils d’annotation et de manipulation de documents musicaux et cinématographiques en considérant les dimensions suivantes: +

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+Une dimension transversale est celle de la présentation et de l’interaction avec les unités de description des documents temporels. +
+La présentation s’appuiera notamment sur des exemples d’IHM issus des outils en cours de développement chez les participants de l’atelier, à savoir le logiciel Lignes de temps pour l’annotation cinématographique développé par l’IRI - Centre Pompidou, le logiciel Advene du LIRIS pour l’analyse et l’annotation de documents temporels et la réalisation d’hypervidéo, le logiciel SLIDERS pour la performance temps réel sur base de données audio visuelles et les outils. Pour la partie musicale seront présentés des outils d’annotation de la musique développés dans l’équipe Analyse des pratiques musicales de l’Ircam en collaboration avec l’équipe Analyse Synthèse (outil de visualisation de segmentation automatique, segmentation en unités sémiotiques temporelles, projet RNTL Scenari, outil pour la publication de parcours dans une oeuvre, description sémantique de la partition à base de formes géométriques) ainsi que des outils d’annotation à visée pédagogique développés par le GRAME dans le cadre du projet européen VEMUS. +

+L’IRI et le LIRIS collaborent à l’expérimentation de nouvelles formes de pratiques cinéphiliques et pédagogiques dans le cadre du projet RIAM Ciné Lab (Annotation de films et partage d’annotation sur postes de travail, sites Web et dispositifs mobiles). +SLIDERS est un laboratoire de recherche artistique au sein de l’éESI ; il bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DAP, Direction de la Recherche et de l’Innovation. +

+Nous invitons d’autres contributeurs à nous soumettre des propositions de présentation courte (10 minutes) d’outils d’annotation d’objets temporels en envoyant une proposition et si possible un accès au logiciel à l’adresse : contact@iri.centrepompidou.fr +

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+ format pdfInterfaces pour l'annotation et la manipulation d'objets temporels
+ format pdfEESI : SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif
+ format pdfGRAME : L'annotation de partitions musicales à des fins pédagogiques : l'exemple de Vemus
+ format pdfIRCAM : Interface de navigation musicale par le contenu
+ format pdfIRI : Lignes de temps, une plateforme collaborative pour l'annotation de films et d'objets temporels.
+ format pdfLIRIS : Annotations de documents audiovisuels Temporalisation et spatialisation
+ format pdfIRCAM : Annoter la musique : de la segmentation de fichiers audio à la publication d'articles multimédia
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+ \ No newline at end of file diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/imagesvisages.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/imagesvisages.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,56 @@ + + + +

Séminaire images et visages + Seminaire reporté

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+ abstract : Artistes & Associés et l'Institut de Recherche et d'Innovation du Centre Pompidou, proposent à l'initiative de Bernard Stiegler, un dispositif +visuel et intellectuel dont l'enjeu est d'inscrire dans le temps une réflexion sur les images. Ce dispositif prend appui sur l'expérience d'une récente rencontre à Biarritz +dans le cadre de la manifestation Grande Plage # 1. Rencontre marquée par l'image en mouvement d'un visage d'enfant qui regarde une image, et sur le regard de qui nos premières +réflexions en commun se sont esquissées.

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Il s'agit de réunir pendant une saison, à intervalles réguliers de deux mois, Christian Caujolle, Pascal Convert, Georges Didi-Huberman et +Bernard Stiegler à qui, chaque fois, seront proposés par Artistes & Associés de brefs moments d'images susceptibles de faire lever une problématique. La forme du +feuilleton devrait permettre un véritable travail, c'est-à-dire une façon d'approfondir le regard par répétitions et variations successives.

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Il s'agit aussi d'un dispositif visuel, voire télévisuel et diffusable. Les membres d'Artistes & Associés filment la manifestation avec plusieurs caméras, de +façon à ne pas séparer les images regardées sur l'écran des visages qui les regardent. À ne pas séparer non plus les visages - et les réactions - des auditeurs et ceux des +intervenants. On espère ainsi, en ne séparant pas images et visages, biaiser le rapport spectaculaire standard (rapport standard qui perdure lorsqu'on assiste au «| spectacle| +» d'intellectuels en train de parler, en public ou devant une caméra).

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La rencontre des problématiques des uns et des autres semble, pour le moment, privilégier la question de la fabrique de l'image et du sort esthétique - mais +politique tout aussi bien - qui est fait à ceux qui, d'ordinaire, ne sont pas «| acteurs| » mais «| figurants| » de l'Histoire. Comment représente-t-on, comment +photographie-t-on, comme filme-t-on - dignement s'entend - ceux qui n'ont ni la parole ni l'autorité pour se mettre en scène| ? C'est encore une question de visage et +d'envisagement.

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Modalités pratiques

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Les séances de projection sont enregistrées puis débattues à la séance suivante. Ce séminaire s'inscrit dans l'axe de recherche «| Jugement| » mené par l'Institut +de Recherche et d'Innovation.

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En raison d'un retard dans les travaux de rénovation de la Salle de l'IRI, la suite du séminaire "Images et Visages" est reportée à l'automne 2007.

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Lieu : Centre Pompidou, petite salle (niveau -1)

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Accès : Chercheurs, étudiants et professionnels sur inscription.

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Dates et horaires : de 18h à 20h, les mardis suivants :

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  • 24 octobre
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  • 14 novembre
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  • 26 janvier (Séance publique au FIPA Biarritz)
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  • 13 mars (reporté)
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  • 15 mai (reporté)
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Inscriptions : contact@iri.centrepompidou.fr

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+ + + + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/jugement.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/jugement.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,61 @@ + + + +

Séminaire Jugement

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Sur la faculté de jouer

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+ Abstract : + + Le séminaire interrogera la question du jugement qui est au coeur des préoccupations de l'IRI en se donnant, dans un premier temps, un objet circonscrit : +tenter danalyser la différence entre le jugement de goût, qui est supposé qualifier depuis les modernes la position de spectateur, et les jugements qui se forment chez des +praticiens de la scène pendant le jeu.

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Dans ce but, on se propose de réfléchir sur des textes ou sur des pratiques qui ont voulu développer lidée dun théâtre fait pour ceux qui le jouent : théâtre +imaginé non pas pour le bénéfice ou le plaisir des spectateurs appelés à le voir, mais dont la raison dêtre principale se cherche dans leffet à produire chez les acteurs qui +(se) le présentent. On pense en particulier au théâtre pédagogique des Jésuites, dont la représentation nétait pas exclue mais qui se donnait comme finalité principale de +contribuer à la formation (morale, théologique, humaine) des acteurs amateurs, au sens moderne du mot; aux fictions diderotiennes dun théâtre sans spectateurs ; au +théâtre didactique de Brecht, parfois interdit à la représentation publique, et ne valant que comme exercice pour les comédiens ; aux exercices de Grotowski et de ses +continuateurs.

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Dans un deuxième temps, le séminaire tentera dutiliser les acquis de cette analyse pour aborder plus largement les questions liées au jugement : concepts, +appareils, programmation, pratiques critiques dans le but de contribuer de façon plus directe à la préparation du colloque sur le jugement prévu pour décembre 2007.

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Accès : limité et sur inscription

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Dates :

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  • Jeudi 19 octobre, 10h-12h| : Présentation générale| : Denis Guénoun.
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  • Jeudi 9 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre pédagogique des Jésuites| : avec la participation de Jean-Marie Valentin (Les Jésuites et le théâtre, +Desjonquères, 2001).
  • +
  • Jeudi 23 novembre, 10h-12h| : Sur le théâtre à la «| Maison de Saint Louis à Saint-Cyr| », avec la participation de Georges Forestier (Jean Racine, +Gallimard, 2005).
  • +
  • Jeudi 7 décembre, 10h-12h| : Sur les Entretiens sur le fils Naturel, de Diderot, avec la participation de Pierre Frantz (Lesthétique du tableau dans +le théâtre du XVIIIème siècle, PUF,| 1998).
  • +
  • Jeudi 21 décembre, 10h-12h| : A propos de la lecture de Diderot par Eisenstein («| Diderot a parlé de cinéma| », dans Le Mouvement de lart, Cerf, +1980).
  • +
  • Jeudi 11 janvier, 10h-12h| : (programme en cours)
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  • Lundi 5 février, 14h30-16h30| : A propos des ateliers de Jerzy Grotowski| : avec la participation de Georges Banu (Exercices daccompagnement, +lEntretemps, 2002).
  • +
  • Lundi 19 février, 14h30-16h30| : A propos dune expérience contemporaine| : lAtelier de recherche théâtrale (dirigé par Emmanuel Ostrovski)
  • +
  • Lundi 5 mars, 14h30-16h30| : Sur le théâtre didactique de Brecht| : avec la participation dHervé Loichemol (metteur en scène).
  • + +
  • Lundi 19 mars, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
  • +
  • Lundi 30 avril, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
  • +
  • Lundi 14 mai, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
  • +
  • Lundi 4 juin, 14h30-16h30: (programme communiqué ultérieurement)
  • +
  • Lundi 18 juin, 14h30-16h30| : (programme communiqué ultérieurement)
  • +
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Coordination du séminaire : Denis Guénoun, Julien Abriel

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facdejouer@gmail.com

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+ + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/jugementfull.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/jugementfull.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,153 @@ + +

La pratique peut-elle être une instance de jugement aujourdhui ?

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Ethique foucaldienne et art contemporain

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Ce nouveau séminaire +aura pour objet l’articulation de la pratique artistique et du jugement +critique. Il prendra appui sur un séminaire engagé en 2006 à Paris +X, consacré aux impasses formalistes auxquelles s’est confronté +l’art conceptuel et néo-conceptuel. En nous appuyant sur les écrits +de Jeff Wall, nous avions étudié comment l’interrogation de l’institution +par les pratiques conceptuelles et néo-conceptuelles de l’art avaient +succombé à une institutionnalisation de ces pratiques, et un mouvement +de retour à des positions formalistes plus ou moins explicites, et, +par voie de conséquence, au renforcement de la lecture greenbergienne +de l’histoire de l’art moderne.

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Ces +analyses nous ont amené à reposer l’importance pour l’art, pour +sa production comme pour sa réception, de la notion d’expérience +sans contenu. « L’expérience esthétique nous forme, modifie nos +sentiments et nous transforme : c’est pourquoi, selon Kant, on a besoin +d’art ». (Jeff Wall, Ecrits et entretiens, p.29). La critique doit +passer « par » nous, si nous voulons en devenir les agents. Ce que Kant +appelle « jugement » dans la Troisième Critique est l’appréciation +« sentimentale » de cette formation par l’expérience esthétique. +L’exercice du jugement s’oriente à partir du « jeu des facultés » +et suppose que ce jeu puisse être appréhendé dans ses accords comme +dans ses désaccords, comme plaisir ou comme déplaisir. Mais cette +appréhension n’est pas intuitive : elle doit être réfléchie à +partir d’une forme « une » que Kant identifie à la forme de l’entendement.
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Tout +en conservant l’essentiel de cette notion d’expérience esthétique, +la modernité a contesté que cette forme « une » puisse être +donnée a priori. Comme le montre l’histoire de la forme-tableau au +moins depuis Manet, elle a montré et travaillé le caractère historique +et artificiel de cette forme. Mais surtout elle a montré qu’elle +devait être pratiquée pour donner lieu à expérience. La modernité +a ainsi insisté sur la force non seulement formative mais transformatrice +de l’expérience esthétique. Ce qui a donné lieu, du côté de la +production, à l’abandon « du » medium pour l’expérimentation des +media, et, du côté de la réception, à la problématisation de la +forme-musée. C’est ainsi que le jugement s’est élargi jusqu’à +inclure la pratique comme une de ses dimensions.

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L’articulation +du jugement et de la pratique est au coeur de l’expérience artistique +moderne, qu’on la considère du point de vue de la réception ou de +la production. Elle pourrait être définie par le mot de « justesse » +qui ajoute aux deux premières, jugement et pratique, la notion fondamentale +de « balance » ou de critique. La justesse désigne la manière dont +la transmission artistique de l’expérience peut transformer les données +esthétiques de cette expérience.

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Le +séminaire à venir partira de ces formulations et reformulations de +la modernité et les reprendra à la lumière du discours philosophique +de Michel Foucault et de son analyse de la modernité comme « réflexion +du présent » telle qu’elle est proposée dans les différentes versions +de l’essai de 1984 Was ist Aufklärung. Foucault relance dans ce texte +le projet kantien de modernité critique, à ceci près que le sujet +de la réflexion n’est pas le sujet de l’entendement et ses capacités +de schématisation mais ce qu’il appelle les savoirs, c’est-à-dire +les formules épistémologiques qui en s’effectuant sous la forme +de techniques opérent, sans l’intervention précisément d’aucun +jugement, le contrôle des modes d’individuation. Comment dénouer +le lien fatal entre maîtrise technologique et domination bio-politique ? +ou encore comment déconnecter la « croissance des capacités et l’intensification +des relations de pouvoir » ? Telle est la question à laquelle se trouvent +confrontées les Lumières contemporaines.

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Dans +ce contexte, Michel Foucault réintroduit la fonction du « jugement » +à partir de l’expérimentation des pouvoirs conférés aux savoirs +par les techniques. L’expérimentation par exemple des pouvoirs sur +les corps conférés aux théories sociales occidentales par les techniques +d’administration de la vie et de la mort. Conduite dans un esprit +de transgression méthodique, cette expérimentation des moyens non +plus en vue de leurs fins « propres » mais indépendamment de ces fins, +voire contre elles, « autorise » une réflexion de ces moyens, +et, avec elle, l’invention de formules épistémologiques neuves. +Le jugement désigne dans ce contexte la « conduite » de la transgression. +Pour que la transgression puisse donner lieu à des modes d’individuation +qui excèdent les « programmes de contrôle » sans pour autant +sortir du terrain de l’expérimentation partageable, voire universalisable, +-ce en quoi Foucault demeure un Aufklärer- elle doit en effet être +dirigée. Cette conduite, direction ou pratique relève d’un art du +jugement ou ethos que Michel Foucault réfère aux techniques de soi +antiques et chrétiennes. Et tout particulièrement aux arts de la mémoire. +Le jugement devient dans sa pensée « souci de soi ».
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Qu’en +est-il aujourd’hui de cet art du jugement, autrement dit de la possibilité +de conduire l’expérimentation des modes de contrôle impliqués par +les technologies contemporaines dans le sens de la transgression de +telle manière qu’elle puissent servir de nouvelles formules épistémologiques +et des modes d’individuation inédits ?

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Michel +Foucault lègue cette question ; il n’y répond pas, s’étant consacré +à l’articuler dans le contexte de savoirs médiatisés par les techniques +de production et d’administration du 19ème siècle. C’est +pourquoi sa théorie a pu être mise au service de la défense des identités +et récupérée par des épistémologisations à vocation identitaire, +ce qui n’était assurément pas son propos. Pourtant son intérêt +pour les arts de la mémoire sur lesquels reposent les techniques de +soi traditionnelles est de première importance pour la compréhension +de ce que peut être une pratique transgressive de nos outils.
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L’articulation +savoirs/pouvoirs passe aujourd’hui par les technologies de reproduction +et d’archivage, et le contrôle politique des sociétés s’exerce +par l’intermédiaire des appareils collectifs de mémorisation. +Avant de s’exercer sur les individus, les pouvoirs des systèmes de +programmation s’exercent sur l’information elle-même. La question +est donc de savoir ce que signifient dans ce contexte nouveau et au-delà +du pragmatisme ambiant les concepts de réflexion, de transgression, +de jugement.

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La +nouvelle forme de la relation de pouvoir est aujourd’hui l’information. +Cette information se réfléchit automatiquement en s’archivant. Pour +que cette réflexion automatique devienne matière à expérimentation +il est nécessaire que cet archivage émancipe l’information du programme +qui l’a produite et la connecte avec d’autres programmes. C’est +le modèle rhyzomatique de l’archive conçu par Gilles Deleuze « pour » +Michel Foucault, modèle actuellement pratiqué par de nombreux artistes. +Mais à quelle condition cette expérimentation est-elle transgression au +sens où Foucault l’entend ? A condition qu’elle émancipe l’information +non seulement de « son » programme, mais de sa fonction de communication +soluble dans l’opération de sa transmission, et que sa réflexion +ne soit pas simplement formelle mais réelle : qu’elle produise non +seulement de la connectivité mais de l’individuation. L’information +est réfléchie sur un mode pratique dès lors qu’elle est lue. Lue, +interprétée, documentée. L’opération du jugement intervient ici +avec l’intervention de la lecture, partie intégrante des techniques +de soi et des arts de la mémoire.

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Nous +pourrons alors faire retour vers l’art contemporain, pour envisager +les modes de lecture, de réinscription et d’archivage qu’il met +en oeuvre comme autant d’actualisations de la réflexion de Michel +Foucault. On s’intéressera dans cette perspective à l’oeuvre de +Chris Marker, de Pierre Huyghe et de Tatiana Trouvé. Il s’agira au +cours de cette étape de proposer des représentations du jugement aujourd’hui +tel qu’il s’exerce dans la production/réception artistique de manière +à pouvoir élargir ce concept de « lecture ». »

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+ + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/lecturessignees.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/lecturessignees.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,41 @@ + + + + +

Atelier Lectures Signées

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abstract : Cet atelier s'inscrit dans le cadre des recherches de l'IRI sur les appareils critiques et bénéficie des travaux déjà entrepris sur le cinéma dans le cadre de l'Atelier Regards signés. L'atelier aborde la question de l'annotation de textes en partant d'enregistrements de conférences et séminaires organisés par le DDC/Forum de société/Revues parlées ou plus récemment par l'IRI.

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Accès : Résidents et conseillers de l'IRI.

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Dates : le vendredi de 10h à 12h

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Textes de Bernard Stiegler à télécharger : +

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+ + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/modernites.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/modernites.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,92 @@ + + +

Séminaire Modernités

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Sous la direction de Pierre-Damien Huyghe, philosophe Paris I Panthéon-Sorbonne

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abstract : + + +

Le Centre Pompidou fêtera son trentième anniversaire en 2007 et il organisera à cette occasion un colloque : MODERNITÉS / Postmodernités, hypermodernités, +antimodernités.

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La naissance du Centre Pompidou, consécutive aux mouvements sociaux de 1968, voulut être une affirmation exemplaire de la modernité française. Ce qui veut dire +aussi que 1968 fut ainsi interprété comme un refus de la modernité.

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Qu'en est-il aujourd'hui de la modernité du Centre Pompidou, et au Centre Pompidou ? Qu'en est-il de la modernité aujourd'hui en général, et dans le monde entier ? +En quoi fait-elle ou ne fait-elle pas tout autrement question qu'en 1977 ?

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Limportance de ce colloque oblige à un travail préparatoire en amont. Celui-ci prendra la forme dun séminaire dont la conduite a été confiée à Pierre-Damien Huyghe, +qui précise dans ces quelques lignes son propos| :

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«| Caractériser la phase historique où nous nous trouvons à l'aide de termes comme «| post-moderne » ou « post-industriel » ne nous aide pas fondamentalement à +comprendre et à repérer ce qui se passe. La réception et l'usage de ces termes donne tout de même une indication sur le fait que nous ne pouvons plus considérer le « moderne » +et l'« industriel » comme allant de soi. Faut-il que nous revenions définitivement sur les illusions du progrès ? N'avons-nous pas plutôt affaire à une sorte de mise à nu de la +modernisation, à son « désenchantement » ? Autre hypothèse encore : est-ce la nature même des processus en cours qui change de registre ? Ou qui se déplace ? Le processus +industriel contemporain qui se dé-localise et se re-localise, qui change d'objets et de domaines de valorisation n'est-il pas lui-même aujourd'hui « déplacé » et incapable +d'organiser la « sociation » ?

+ +

Nous avons à comprendre une situation véritablement complexe. Le moderne, certes, gagne des espaces. Mais pas de façon univoque. Il est exigé dans certaines de ses +formes, refusé pour d'autres, critiqué par certains aspects. Le propos du séminaire sera, avant toute affirmation concernant les singularités de notre époque, d'en mettre en +question le principe même. Nous présupposerons paradoxalement que, s'il existe différentes phases, époques ou états de l'avancée du moderne dans le monde, il existe aussi une +sorte de constance de cette avancée. Il y a des répétitions. Etudiant ces répétitions, empruntant à des strates historiques à des champs variés (sciences, techniques, arts mais +aussi politique, économie, urbanité), nous dégagerons l'idée que la modernisation est un processus une poussée des conditions sociales par les techniques qui manque à la +figuration et à la représentation. Cette affaire touche à la possibilité même du politique.

+ +

Nous procéderons en trois temps. Nous nous demanderons d'abord si une société et une culture « modernes » peuvent être autre chose qu'une société et une culture « +déplacées » par les modalités des inventions qui s'y produisent. Quelles sont les formes de cette inventivité, les sources et les procédures de ce déplacement ? Nous nous +attacherons ensuite à définir quelques champs et formes des affects modernes de l'esprit, notamment ceux de la violence et de la mémoire. Nous nous intéresserons à +l'élaboration de ces affects dans les champs de l'économie et de la politique. Enfin, toutes ces propositions constituant essentiellement des hypothèses à discuter, nous +chercherons à en organiser la critique possible en les soumettant à l'examen des participants et de quelques invités. Une procédure de travail commun et « d'intelligence +collective » passant par l'enregistrement, l'annotation et la publication sur site web des séances sera mise en place.| »

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Lieu : +

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Accès : Sur inscription : contact@iri.centrepompidou.fr

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Horaires : les lundis : 18h-20h

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Dates et lieux : +

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+ + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/museologie.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/museologie.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,111 @@ + + + +

Seminaire muséologie

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Archives 2007
+Muséologie 2007 dans Lignes de temps

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Abstract

+ +Le Ministère de la culture et de la communication (Mission de la Recherche et de la Technologie/Délégation au Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de recherche du Château de Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire national sur le thème « Lieux culturels et nouvelles pratiques numériques ». De mars à juin 2007, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou (IRI) a organisé pour le compte de la MRT, un séminaire sur le thème Muséologie, Muséographie et nouvelles formes d’adresse au public qui a pris la forme d'une série de huit séances ouvertes aux étudiants de l’Ecole du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du Ministère de la culture et de la communication, aux établissements culturels et aux professionnels qui en ont fait la demande. +

Le Séminiaire

+Dans le cadre de son programme de recherche sur les nouvelles technologies culturelles et éducatives et sur les nouvelles formes d'adresse au public, +l'IRI propose de focaliser les axes de réflexion de ce séminaire pour 2008-2009 sur les technologies collaboratives en collaboration avec +le projet ADONIS/CNRS Anthroponet (accès et valorisation des archives muséales) et le projet THD Cap Digital (Pratiques culturelles sur les réseaux haut débit). +Le principe de ce séminaire est de confronter expériences muséales et réflexions théorique et scientifique en analysant à chaque séance +l'impact des nouveaux dispositifs d'adresse au public sur les pratiques muséales. Cette année, le séminaire est plus particulièrement ouvert +aux étudiants de l'Ecole du Louvre (Master I), de l'Institut national du patrimoine (INP) et de l'Ecole des Chartes, ainsi qu'aux professionnels du secteur culturel. + +
+ +

Inscription obligatoire auprès d’Anne-Sophie François, Chargée de mission de l’Institut de recherche et d’innovation/Centre Pompidou :
+ anne-sophie.francois@centrepompidou.fr
+ Tel : 01 44 78 49 11 +

+ +

+

On s’accorde aujourd’hui à considérer comme une caractéristique du Web 3.0, la conjonction d’un + point de vue éditorial et de contributions des visiteurs. En ingénierie sociale, on parle aussi de + combiner une approche « top-down » et de l’innovation ascendante de type « bottom-up ». Cette + séance introduira et mettra en débat cette notion, sans ignorer les effets de « viralisation » tant + recherchés par les industries culturelles, et montrera par des expériences concrètes comment les + musées réussissent ou échouent à combiner singularité d’un point de vue sur les oeuvres et contribution des visiteurs. +

+

 

+ +

Un musée peut-il s’articuler avec des réseaux sociaux et des sites collaboratifs existants (type FaceBook, Flickr, YouTube, Daily Motion…) ? Dans ce cas, de quelle marge de manoeuvre dispose-t-il pour le choix des métadonnées et leur récupération pour enrichir son fonds ? Doit-il créer intégralement son propre réseau social ?

+ +

 

+ +

Les technologies de la mobilité, utiles à la personnalisation des visites, constituent aussi un lien « pervasif » avec les espaces numériques. Reste à penser de nouvelles formes d’adresse au public + (débats, approfondissements, jeux…) pour que l’objet communicant devienne un véritable instrument + critique.

+ +

 

+ +

Le contexte éducatif est dans les musées particulièrement propice à l’expérimentation, on y mesure + sans doute plus précisément l’importance d’une « instrumentation » de la perception et du jugement. + On abordera également dans cette séance la problématique des adolescents.

+ +

 

+ +

Quelle nouvelle organisation de la création de la valeur se dessine dans le contexte du Web + collaboratif, des réseaux sociaux, de la mobilité et de l’accès aux réseaux haut débit ? Comment + repenser l’articulation entre services culturels et tourisme ?

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+ + + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/museologie2007.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/museologie2007.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,247 @@ + + + +Séminaire Muséologie 2007 - Institut de recherche et d'innovation - Centre Pompidou</title> + + +

Seminaire muséologie

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Programme 2008

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abstract

+ +Le Ministère de la Culture (Mission de la Recherche et de la +Technologie/Délégation au +Développement et aux Affaires Internationales) et le Centre de +recherche du Château de +Versailles ont organisé le 8 novembre 2006 un séminaire +national sur le thème « Lieux +culturels et nouvelles pratiques numériques ». +Parallèlement, l’Institut de Recherche et +d’Innovation du Centre Pompidou (IRI), créé en avril +2006, a mis en place un programme +de recherche et une série de séminaires sur la +problématique générale de l’adresse au +public dans le contexte culturel. Sur cette base, il est proposé +à la MRT de prolonger +l’expérience du colloque de Versailles dans le cadre d’un +séminaire. + +

Le Seminiaire

+Objectifs et modalités du séminaire +Le séminaire, sur le thème « Muséologie, +Muséographie et nouvelles formes d’adresse au +public », prendrait la forme d'une série de huit +séances ouvertes aux étudiants de l’Ecole +du Louvre (4ème année, Master I) ainsi qu’aux agents du +Ministère de la Culture, aux +Etablissements culturels et aux professionnels qui en feraient la +demande.
+Dans le cadre du programme de recherche de l’IRI sur le +développement de nouveaux +dispositifs critiques pouvant favoriser l’émergence d’une +nouvelle figure de « l’amateur », +il est proposé de confronter expériences muséales +et réflexions théorique et scientifique +en analysant à chaque séance l’impact des nouveaux +dispositifs d’adresse au public sur +les pratiques culturelles. L’objectif théorique qui sous-tend le +séminaire consiste à +réinscrire les œuvres présentées dans le cadre de +« séries » ou monographies +permettant d’articuler de nouvelles formes de rendus tenant compte +notamment du +contexte esthétique, culturel et historique.
+ +

Esquisse du programme 2007

+ +Le principe du programme du séminaire est de partir en amont de +l’analyse des outils +d’ingénierie des connaissances en tant qu’ils peuvent être +mis au service d’une stratégie +de publication et de présentation des œuvres. Les +expériences de gestion documentaire +seront ensuite abordées notamment lorsqu’elles visent à +produire des contenus +déclinables selon les publics et selon les supports. On +étudiera ensuite le champ de la +représentation et des dispositifs de rendus, notamment les +nouveaux dispositifs en cours +de développement dans les laboratoires de recherche. Enfin, les +dernières séances seront +consacrées à l’enjeu de la participation et de la +personnalisation dans les lieux culturels +mais également sur Internet et en situation de mobilité.
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Accès : sur inscription (dans la limite des places disponibles) aux : +

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Inscriptions : contact@iri.centrepompidou.fr

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Dates : le mercredi de 17h à 20h au Centre Pompidou

+ +Comment indexer, documenter et articuler les contenus en fonction d’un public donné ? Comment constituer un réservoir d’expertises mobilisable en amont pour concevoir des parcours ? + +

Comment numériser, indexer et valoriser en restant indépendant des formats et en adaptant les contenus aux différents publics ? La base de données peut-elle servir directement la production de l’exposition ? Chaînes de production : comment passer des œuvres numérisées à l’édition numérique ? Système d’information : comment récupérer les éléments documentaires de l’exposition pour une réédition ou une version en ligne ?

+ +

Interaction, visualisation 3D, avatars : au service de quel propos artistique ? Nouveau statut de l’œuvre d’art à l’heure de la reproductibilité numérique. Valeur ajoutée au contenu dans le contexte numérique ?

+ +

Mesure et analyse du public, recueil des réactions, parcours personnalisés, intervention d’artistes, jeux de rôles/jeux vidéo.

+ +

Comment mobiliser tous les sens ? Dans quel contexte l’immersion se justifie-t-elle ? Comment articuler bases de données documentaires et outils de visualisation avancés ? Outils de cartographie.

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Comment accompagner et prolonger la visite ? Quels usages innovants de la mobilité dans le contexte culturel ? Comment concevoir des systèmes/réseaux/appareils adaptés pour les musées ?

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Comment préparer et compléter la visite ? Mise en réseau de bases de données. Impact des technologies Web 2.0. Espaces personnels et sites éducatifs.

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Dans un contexte participatif et d’échange, quels outils pour favoriser une meilleure appropriation et un enrichissement des contenus par le public lui-même ? Quelles pédagogies développer avec ces nouveaux outils ?

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Consulter les fonds



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+ + + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/nanotechnologies.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/nanotechnologies.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,68 @@ + + +

Nanotechnologies

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Séminaire « Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies ». Séminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d'Innovation, 2007-2009

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archive 2008

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+Le séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanotechnologies sera +consacré cette troisième et dernière année à l'examen des dynamiques sociales associées aux +innovations en micro- et nanotechnologies. La question sera traitée du point de vue de la construction +d'une « société européenne de la connaissance », considérée comme une priorité depuis la conférence +de Lisbonne en 2000. Comme l'indique clairement le rapport d'un groupe de travail mandaté par la +Commission européenne, les nanotechnologies et plus généralement les technologies convergentes +doivent être considérées comme une opportunité pour construire une société européenne de la +connaissance, c'est-à-dire une société dans laquelle les connaissances n'émanent pas des seuls +scientifiques et experts mais sont « co-construites » par l'ensemble parties prenantes, notamment le +public. Comment ce programme de construction d'une société de la connaissance s'articule-t-il aux +dynamiques de recherche et d'innovation en micro- et nanotechnologies ? Que signifie « coconstruire +» des connaissances ? Comment le public est-il invité à « co-construire » des +connaissances ? Quel rôle pour les sciences humaines et sociales dans ce contexte et quel type de +connaissance produisent-elles ? Le séminaire se focalisera sur le cas grenoblois. +

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+ +Dates en 2009 + +

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Lieu : salle du Collège sur la Piazza Beaubourg.

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Coordination : Xavier Guchet, Sacha Loeve

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+ format pdfFlyer du séminaire 2009 +

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+ + diff -r 69ad5eacfee5 -r 553f788214d5 web/seminaires/nanotechnologies2008.php --- /dev/null Thu Jan 01 00:00:00 1970 +0000 +++ b/web/seminaires/nanotechnologies2008.php Fri Mar 13 17:04:58 2009 +0000 @@ -0,0 +1,60 @@ + + +

Nanotechnologies

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Séminaire « Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies ». Séminaire organisé par X. Guchet (Paris I) et S. Loeve (Paris X). Institut de Recherche et d'Innovation, 2007-2008

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Programme 2009

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